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Mike, sa tante et sa Cousine – Chapitre 1

Mike, sa tante et sa Cousine - Chapitre 1



Salut, moi cest Mike. Je travaille dans une société dinformatique et à lépoque de cette histoire je venais d’avoir 18 ans et j’habitais toujours avec ma belle-mère âgée de 38 ans, Marie. J’ai une demi-sur, Élodie, 17 ans en ce temps là, que Marie a eu avant dépouser mon père dont elle est divorcée depuis mes 13 ans.

Marie ma dit quelle vous a raconté comment nos relations familiales ont évolué par la suite après cette histoire. (Voir lénorme bite de mon fils). Mais vous pourrez constater au fil de la lecture quelle na pas vraiment dit la vérité ! Et quelle a exagéré un peu sur les dimensions de ma bite.

Je vais essayer de vous raconter fidèlement cette période de ma vie

Chapitre 1 : Janine ma tante

Nous étions allés voir Élodie pour laider à sinstaller dans sa chambre de luniversité. En partant, Élodie m’a surpris en me donnant un rapide baiser humide sur mes lèvres (avec un petit bout de sa langue) avant de dire au revoir. En revenant à la maison jai réfléchi sur ce baiser ; pourquoi sur les lèvres, et pourquoi sa petite langue a essayé de forcer mes lèvres, et pourquoi son corps sest collé sur le mien.

Elle sest accrochée à moi comme si elle ne voulait pas me quitter. Cela ma turlupiné pendant tout le trajet de retour.

En arrivant jai dit à maman quÉlodie allait beaucoup me manquer car nous avons été très proche avant quelle parte près de son père pour ses études et surtout que je couche avec Marie.

Rentrer à la maison maman reçoit un coup de fil de sa sur en larmes qui lui annonce que son mari la fait cocu avec une petite jeune de son bureau.

Bien sûr maman fait ce quelle peut pour la consoler et en fin de compte lui dit de venir quelques jours à la maison.

Quelques jours plus tard une voiture klaxonne devant le portail et ouvrant la porte nous apercevons sa sur Janine qui a 35 ans. Janine a une fille de 18 ans, Marilyn.

En arrivant près de la voiture je remarque que celle-ci est chargée à ras bord, bizarre ?

Tante Janine et Marilyn accourent vers nous et cest les embrassades et les effusions mais elles parlent tellement rapidement que je ne comprends rien.

— Heee, doucement les filles, entrons dans la maison et nous pourrons parler tranquillement.

Une fois à l’intérieur, maman demande :

— Alors…quest ce qui se passe ?

— Marie, je suis au bord du gouffre !

Et elle éclate en sanglots, les larmes coulent sur son visage.

— Philippe ma dit qu’il aime cette salope de dix-neuf ans qui travaille avec lui ! Il a demandé le divorce et il nous a foutus à la porte. On a pris tout ce que nous pouvions et le seul endroit où aller cest ici chez toi. Je n’ai jamais travaillé et maintenant comment puis-je obtenir un emploi à mon âge?

— Ne vous inquiétez pas, vous pouvez rester ici avec nous, nous avons beaucoup d’espace ! Et je peux vous aider à trouver un emploi, je connais beaucoup de gens. Mike, apporte leurs affaires, je vais te dire où les mettre.

— Je vais taider, me dit Marilyn.

Près de la voiture, je me tourne vers ma cousine qui arrive vers moi et qui dun seul coup se jette dans mes bras en me tenant fermement et déverse ses larmes sur mes joues. Nous restons comme ça quelques minutes et puis elle sexcuse de m’avoir tout mouillé.

— Marilyn, ma douce, tu peux venir pleurer sur mon épaule à n’importe quel moment, je serai là pour toi.

En la réconfortant mes yeux sont attirés par son petit chemisier devenu presque transparent par ses larmes qui ont coulé dessus. Un petit vent froid passant sur ses tétons a pour conséquence de les faire pointer sous le tissu léger et jadmire au passage sa belle poitrine dune taille 85 C environ. Comme je bafouillais pour lui parler, ses yeux ont suivi les miens et :

— Ohhh, merde, tu vois mes seins… Je suis désolé, Mike !

Je rigole en lui disant :

— Pas de problème, tu sais si tu restes chez nous un moment, on aura sûrement des situations embarrassantes pour nous deux. Mais quoi quil en soit, tu as de très beaux seins.

— Merci, tu es gentil, Mike, répond-t-elle en rougissant. Et en rigolant nous avons déchargé la voiture.

Une fois tout rangé, nous nous sommes tous les quatre assis dans le salon pour parler.

Jécoute tous leurs malheurs pour finalement dire :

— De toute façon je nai jamais aimé mon oncle ! Cest un trou du cul dominateur qui pense que le monde est à ses pieds.

Ma tante veut minterrompre mais je continue :

— Ce con à une maîtresse alors quil est avec une femme canon et qui pour moi me semble parfaite !

Janine rougit et je continue de plus belle :

— Et il se tape une jeunette en plus, cest comme si il couchait avec sa fille, elles ont presque le même âge !

— Mike, arrête ! me dit maman

— Mais c’est vrai ! On a le droit de dire ce que lon pense !

— Bon jarrête mais Tati, crois-moi, tu feras encore tourner la tête aux mecs !

Ma tante rougit à nouveau.

— Merci, Mike, je suis d’accord avec toi sur le comportement de ton oncle et je te remercie pour ton beau compliment.

Maman a donné à ma tante la chambre contiguë à la mienne et Marilyn celle au bout du couloir.

Les premiers mois s’écoulèrent sans problème particulier.

Néanmoins je suis entré deux fois dans la salle de bains et surpris ma tante à sa sortie de la douche et, chaque fois, jai pu admirer sa beauté. Elle fait environ 1,70 m de hauteur et elle doit peser dans les 55 kg avec une poitrine dun bon 85 D et une belle paire de fesses bien en chair mais encore très ferme et pas un gramme de cellulite.

Une autre fois, cest Marilyn que jai surprise de la même façon ! Elle ressemble étrangement à sa mère dans un gabarit légèrement inférieur avec toutefois un pubis recouvert de quelques poils juste pour cacher son clitoris.

Elles aussi mont surpris nu dans la salle de bains et leurs yeux se sont écarquillés quand elles ont aperçu mon sexe à moitié dur qui pendait entre mes cuisses.

Une autre fois, ma tante Janine a ouvert la porte des toilettes que javais oublié de fermer et ma surpris entrain déjaculer après une branlette en pensant à elle !

Les yeux grands ouverts et fixés sur ma bite, elle a fait :

— Ooooh…Pardon ! Mais sa langue courait entre ses lèvres humides.

Vous connaissez mon gabarit… 22 cm et la grosseur dun poignet (oui je sais… jai un peu forcé la dose dans la précédente histoire ! mais croyez-moi, ça existe !). La chose qui fait fuir plus d’une fille. Il faut deux mains pour bien la branler. Mon gland est de taille normale, cest plutôt ma queue qui s’élargit assez rapidement après !

Nous avons, tous les deux, balbutié des excuses, mais ses yeux nont pas quitté ma bite pendant quelle reculait en fermant la porte.

Marilyn a changé de lycée pour terminer ses études et sadaptait bien à sa nouvelle vie.

Tante Janine n’a pas trouvé un emploi et son stress augmentait au fur et à mesure des jours qui passaient.

Un jour, je suis rentré beaucoup plus tôt que prévu, maman était au travail, Marilyn à l’école, et aucune idée où ma tante était. Je monte à l’étage dans ma chambre et jentends quelque chose.

J’approche de la porte de la chambre de ma tante et entends des sanglots derrière elle. Je frappe et je demande si je peux entrer et, doucement, elle a dit :

— Nonnn…heu ouii…Oh merde ! Oui, Mike, tu peux entrer.

Je suis entré et je lai vue sur son lit, vêtue seulement d’un ensemble soutien-gorge et culotte en dentelle. Dautres ensembles étaient éparpillés sur le lit.

— Mon Dieu, Quel gâchis ! Tu dois penser que ta vieille tante est complètement folle !

Je mapproche rapidement delle et je massoie à côté delle. Puis je mets ma main sur son bras en disant :

— Tante Janine, j’ai plusieurs choses à te dire. Tout d’abord, tu nes pas folle du tout ! Cest une période très difficile pour toi, mais tu ne dois pas te laisser aller, tu dois reprendre confiance en toi.

Elle veut parler, mais je mets mon doigt sur ses lèvres et je continue :

— En second lieu, tu nes pas vielle du tout ! Tu es splendide, belle à croquer et Philippe (je refuse de l’appeler oncle) est un crétin stupide qui na pas vu ce quil avait près de lui.

Il a abandonné une femme sexy, énergique, dynamique comme une jeune fille ! Cest un vrai con !

— Et, troisièmement, il y a un tas dhommes que je connais qui tueraient père et mère pour être en mesure de tavoir dans leur lit avec eux tous les soirs pendant le reste de leur vie !

Ma tante me regarde, incrédule, pendant quelques secondes, puis elle a pris un autre mouchoir pour se moucher et essuyer les larmes qui coulaient encore.

Me regardant dans les yeux, elle demanda :

— Tu penses vraiment ce que tu dis ou cest simplement pour que jarrête de pleurer ?

Je lattrape par la main et je lemmène vers le miroir :

— Regarde ! Non ! Pas les larmes ! Regarde la femme. Vois comme tu es sexy, belle comme un ange. Tu as eu un enfant mais on pourrait croire que tu as encore 20 ans et que tu es vierge ! Je te jure que ton mari est un vrai connard de tavoir laissée pour une autre. Moi je ne taurais jamais quittée.

Ma tante réfléchit un peu et me demande :

— Tu me vois vraiment comme ça ?

Je hoche de la tête et, quand elle se penche contre moi, je vois ses mamelons qui ont durci en quelques secondes.

— C’est la plus belle chose quon ne mait jamais dite !

Ses mains ont attrapé les miennes qui étaient sur ses épaules et elle me les mit sur sa taille en gardant les siennes dessus.

— Mon con de mari ne ma plus dit un compliment de la sorte depuis belle lurette !

— Oh mon Dieu, je peux te dire que la moitié des mecs du bureau… non tous les mecs voudraient avoir un rendez-vous avec toi !

Je disais cela tout en caressant son ventre.

— Rien quà sentir çà, pas un gramme de graisse et… voila… quand tu souris, je vois un ange descendu, ici, sur la terre !

Nous avons tous deux regardé nos mains plaquées sur son ventre et il nous était impossible de ne pas remarquer une tache humide sur sa culotte à hauteur de sa fente.

— Oh mon Dieu, tu es un homme surprenant. Personne ne ma jamais fait réagir aussi vite !

Cela dit, elle me serre dans ses bras, membrasse sur les lèvres, et sa langue dans ma bouche recherche ma propre langue ! Ses jambes écartées se referment sur une des miennes et elle frotte sa chatte frénétiquement contre elle pendant que nous nous embrassons.

Dun seul coup, ma tante tombe à genoux, ses mains ouvrent rapidement mon pantalon et libèrent ma bite en pleine croissance.

— J’ai besoin de ta bite ! Putain… J’ai besoin de ta belle bite…

Elle ne peut plus parler car ses lèvres se sont enroulées autour de mon gland et elle aspire celui-ci comme un aspirateur.

Je suis un peu surpris par la tournure des événements, je ne mattendais pas à ça.

Janine a les deux mains sur mon pieu et elle lâche mon gland brièvement pour dire :

— Oh Mike, ta bite est si dure, si grosse, si longue! Ohhh!

Puis, elle ne dit plus rien car elle a replongé sur ma bite quelle enfourne dans sa bouche humide et chaude.

Mes mains sont sur sa tête quand, tout à coup, elle enfonce sa tête vers l’avant et prend presque entièrement ma queue dans sa bouche.

— Oh putain, tante Janine, tu avales ma bite parfaitement, Ouahhhh, cest bon…

Instinctivement mes hanches commencent à se balancer pour baiser sa bouche.

Ma tante me taille une sacrée pipe avec ma bite qui fait des va-et-vient au rythme de mes hanches, ses mains sur mes fesses.

— Ooohhh la vache, je te baise la bouche Tatie, oui, cest boooonnnn…

Je crie quand elle me fait une gorge profonde et que ma bite glisse complètement dans sa bouche et sa gorge ! Pas une seule de mes copines avait été capable de le faire ; beaucoup d’entre elles navaient même pas essayé !

Je suis complètement excité de regarder mon gros sexe entrer et sortir de la bouche de ma tante.

Maintenant je me laisse faire et elle fait toute seule le travail. Elle ressort lentement ma bite de sa bouche, sarrête sur le gland quelle aspire en comprimant ses lèvres autour, et je sens sa langue qui titille mon méat. Prenant en main ma bite, elle se frotte les joues avec, lèche de bas en haut et attrape mes couilles au passage. Elle replonge sur ma queue en gardant sa main serrée sur sa base et me branle à une vitesse folle !

Nos yeux ne se quittent pas beaucoup et jai même limpression quils sourient quand je lui dis :

— Oh putain de merde, tante Janine, tu me fais une pipe incroyable…tes une sacrée suceuse ! Mais tu vas me faire jouir, fais gaffe ! Je vais me lâcher !

Je sens mon sperme qui monte dans ma queue et qui la gonfle encore plus, mais Tatie est comme possédée. Elle attrape mon cul à pleines mains et enfonce ma bite le plus loin quelle peut.

Je me lâche et je gicle avec plus de force que jamais !

Je n’ai jamais eu une fellation où la jeune fille pouvait gérer ma charge. Mon sperme sort comme un geyser mais ma tante a apparemment un appétit de sperme sans pareil. Je regarde avec stupéfaction comment elle avale chaque giclée de sperme jusqu’à la dernière goutte et aspire en vain pour être sûre de ne rien laisser !

Enfin, elle décide de lâcher mon sexe, convaincue quil ny a plus rien à tirer de lui. En gémissant, je tombe en arrière sur le lit, affalé sur le dos, ma bite encore tendue pointant vers le plafond.

Ma tante tombe à mes pieds et sécrie :

— Mon Dieu, Mike, ton sperme est le meilleur de tous ceux que jai goûtés !

Elle est entre mes jambes, au bord du lit, et elle caresse mes jambes avant de prendre ma bite dans sa main gauche.

— Oh tu es incroyable ! Ta bite est encore dure comme un roc ! Je nen reviens pas et tu mexcites tellement que je ne peux pas résister ! Pardonne-moi, Mike !

Elle grimpe sur son lit, tire sa culotte sur le côté puis me chevauche avant de coller ma bite dans son ouverture.

— Oh doux Jésus, c’est tellement grrrooos… ! cria-t-elle avant de se laisser tomber et de sempaler de plus de 10 cm sur ma grosse bite qui trouve facilement son chemin dans sa chatte chaude et humide.

Son corps frémit au-dessus de moi avant qu’elle se soulève de quelques centimètres et quelle retombe en criant :

— Oh mon Dieu, putain, tas une bite de cheval, Mike ! Tu vas me déchirer… AAAAhhhh…. merde ! C’est dingue! OOOOh…Waouh, quelle baise… Noooonnn… ne bouge pas, Mike ! Laisse-moi mhabituer à ton monstre de queue !

Ma tante s’appuya sur ma poitrine et se cramponna à moi serrant mon corps avec ses genoux. Après environ une minute, elle soupira, disant :

— Ouf, ça y est, ma chatte a pris la dimension de ton énorme queue !

Lentement ses hanches commencent à bouger en ondulant doucement, elle se soulève et retombe en se redressant. Son cul entame des déplacements davant en arrière et quand elle recule, ma bite sort un peu des profondeurs de son vagin et frotte sur son clito. Les yeux dans les miens elle continue un moment jusquà ce qu’elle gémisse :

— Oh mon Dieu, ta bite est si grosse et si longue que je naurais pas cru quelle puisse tenir entière à lintérieur de ma chatte.

Disant cela, elle ferme les yeux et senfonce ma bite en complète érection, le plus loin possible dans sa chatte. Elle remue dans tous les sens pour sassurer quelle a bien absorbé la totalité de mon sexe dans sa chatte somptueuse !

— Oooooooohh… je sens que je vais connaître le 7e ciel. Aaaaahhhhh… tu es si gros que je te sens partout, je suis pleine de toi ! Jaime cette sensation…Vas-y, Mike. Baise ta salope de tante et fais la jouir ! Elle est en manque en ce moment.

Et la voilà qui saffole sur ma bite, son cul monte et descend de plus en plus vite et moi je laccompagne comme je peux.

Étant donné que j’ai déjà joui quelques minutes avant, je sais que je peux tenir sa cadence longtemps et que cest elle qui se lâchera en premier.

Et jai raison car son corps se cabre, tremble et ses gémissements montent en tonalité.

— Oooohhhh, je suiiiiiiiis…….je…..jouiiiiiiis ! Je jouis…ouiiiiii continue Mike…. haaaaa…. putain que cest boooonnnn ! Encoooore Mike, ne tarrête pas…. AAAAhhhh, je jouis sans arrêt, je vais mévanouir…. arrête… Noooonnn… continue !

Sa chatte enserre ma bite quand elle est en plein orgasme.

Ses spasmes étant plus espacés et moins forts, elle se laisse tomber sur ma poitrine en membrassant partout.

Le calme revenu et ayant retrouvé son souffle, elle se redresse et dit :

— Mike, maintenant tu vas me tringler, me baiser pour prendre ton plaisir. Je ne te lâche pas avant de sentir ta crème dans ma chatte en feu. Vas-y, éteint lincendie !

On roule sur le lit et maintenant cest moi qui ait le dessus et qui commence à ramoner sa chatte dégoulinante.

Et ma tante a commencé à trembler et à crier pendant que je lenfilais avec ma grosse bite bien dure, qui allait frapper violemment le fond de sa chatte qui, apparemment, ne demandait que ça !

Je n’avais presque jamais entendu ma tante être grossière avant, mais maintenant elle vomit une litanie de mots grossiers du genre :

— Sainte putain de merde! Fils de pute ! Salopard denculé de neveu ! Défonce mon con de salope…. Pour finir par :

— Défonce-moi, enfoiré de putain de salaud !

Tante Janine narrête pas de hurler des cochonneries pendant que je la baise avec force et je peux dire que jamais une femme na pris ma grosse queue avec autant de puissance ; et en plus, elle en réclame :

— Vas- y salaud… enfonce-toi à fond, perfore mon ventre…. AAAaahhhh…. ouiiiii !

Bien que sa chatte comprime mon engin en pleine éruption, il ma fallu plus de 15 minutes pour sentir ma deuxième jouissance arriver. En revanche, ma tante avait des orgasmes à répétition et elle refermait ses cuisses autour de ma taille en la serrant plus ou moins suivant lintensité de ses spasmes.

— Oh mon Dieu, Mike, je te sens de plus en plus à l’intérieur de moi ! Tu frappes le col de mon utérus ! Donne-moi ton sperme ! MAINTENANT ! Je veux ton sperme MAINTENANT !…Lâche-toi salaud ! Oooohhhh…

Ma tante est une vraie machine à jouir, et qui ne contrôle plus son corps car je ne compte plus ses orgasmes.

Ma bite gonfle dans sa chatte et je crie quand je jouis et que mon sperme sort de ma bite en feu. Jéjacule au moins huit fois et, sûrement, inonde le fond de sa chatte ; ce nest pas pour autant que ça calme ma tante.

Quand je veux me retirer de son vagin brûlant, elle plaque mes hanches contre elle et retient ainsi ma queue au plus profond de son trou d’amour.

Du coup, une nouvelle giclée de sperme vient se rajouter aux précédentes.

Je me laisse tomber sur elle et ses jambes relâchent enfin mon corps et nous reprenons lentement nos esprits et surtout notre souffle.

Complètement épuisé, je vais me retirer de son sexe mais tante Janine mets ses mains sur mes reins et dit :

— Non, ne te retire pas ! Oh s’il te plaît, j’aime te sentir en moi et je te sens encore bien. Ne bouge pas et reste ancré dans mon sexe. Ouiiiii…comme ça, bien collés…huuuummm.

Et nous restons enlacés pendant de longues minutes, ma bite encastrée profondément dans sa chatte. Ma tante se cramponnait fermement à moi et croyez-moi cest le paradis sur terre de rester connecté dans une chatte brûlante et frémissante.

Après un moment de bonheur mutuel elle me dit :

— Oh Mike, tu as été merveilleux ! Je nai jamais ressenti de jouissance pareille. Je ne sais même pas combien dorgasmes tu mas procurés, mon corps est épuisé mais, au combien comblé par une bite comme la tienne ! Ah la vache ! Elle est belle et tu sais ten servir !

Pendant quelle dit cela, je retire lentement ma queue de son vagin et je lentends gémir doucement de la perte de mon bâton baiseur.

Ma tante se lève pour aller aux toilettes, puis nous prenons une douche ensemble et elle ne peut pas sempêcher de me tailler une pipe prodigieuse. Elle possède vraiment un talent pour cette activité !

Nous sommes sortis de la douche et séchés mutuellement pour aller ensuite prendre une petite collation.

Tout en satisfaisant notre faim avec un sandwich nous avons parlé de ce qui venait de se passer.

— Mike, ce qui vient de se passer est une chose merveilleuse pour moi. Non seulement je nai jamais eu autant de plaisir avec un homme mais je me sens maintenant beaucoup mieux. Jétais complètement déprimée, je navais plus destime pour moi et je ne ressentais plus rien ! Si ce nest quun énorme vide dans ma vie.

Tu es un magnifique étalon et tu baises comme un dieu. Et quelle puissance ! Ta bite est incroyable, dune grosseur et dune longueur à faire peur aux jeunes filles vierges !

Elle me prend dans ses bras, contre sa poitrine et m’embrasse langoureusement et profondément.

— Un grand merci pour me faire sentir comme la femme la plus désirable sur terre !

— Et toi, tante Janine, tu m’as fait sentir comme le roi des baiseurs !

— Cest ce que tu es, mon adonis !

— Je taime, tante Janine, j’aime la façon dont tu prends ma bite dans ta chatte et dans ta bouche, quand tu labsorbes entièrement! Aucune fille n’a jamais été capable de le faire !

— Mike, si nous devons continuer à baiser ensemble il faut arrêter de mappeler « Tante» ! Dautre part, les femmes, dans ma famille, sont faites pour prendre des queues énormes. En fait, nous sommes sexuellement très actives et constamment à la recherche dhommes bien montés qui puissent remplir nos chattes et assouvir nos besoins.

Je la regarde, abasourdi pendant plusieurs secondes. Alors je lui demande :

— Toutes les femmes de ta famille ? Maman aussi ? Ta fille ?

Avec des pensées quelque peu salaces dans la tête.

— Dis donc, Mike ! À quoi tu penses là ! Tu ne touches pas à ma fille ! Si tu as de gros besoins je suis là, moi !

Et cest comme cela que nous nous sommes engagés dans des relations tumultueuses avec des baises presque quotidiennes, parfois sauvages, étant souvent seuls avant que maman ne rentre tard du boulot.

A certains moments, elle me faisait une pipe rapide qui finissait toujours par une décharge de sperme au fond de sa gorge.

En plus de cela, chaque nuit, elle vient se glisser dans ma chambre et elle suce ma bite pendant environ deux heures, et elle me fait jouir une à deux fois, voir certaines nuits, trois fois !

La première nuit quelle est venue dans ma chambre, je lui ai demandé si elle ne voulait pas que nous baisions, mais elle a dit :

— Non, je crie beaucoup trop fort quand je jouis et surtout avec toi ! On réveillerait toute la maison ! Et dailleurs, j’aime comme ta bite palpite dans ma bouche, jaime la caresser de mes mains et de mes lèvres et, au final, ta crème est si bonne ! Parfois je me dis que je ne pourrais plus vivre sans elle, et ton sperme, cest ma potion magique !

Janine et moi nous faisons lamour depuis plus dune semaine maintenant et maman et Marilyn ne se sont aperçu de rien.

Ce matin, au petit déjeuner, maman nous informe qu’elle rentrera très tard car elle a un client important en fin de journée. Je rentre à la maison en fin daprès-midi comme d’habitude ce jour-là, et ma tante m’attendait. Et, bien sûr, on baise comme des fous dans sa chambre avant d’avoir soif. Nous descendons tout nus et prenons une boisson dans le salon. Jallume la chaîne stéréo et je mets une belle musique douce. Il me faut un certain temps pour trouver la station et cette salope de Janine a déjà ma bite dans sa bouche et, rapidement, elle est remise en état, bien dure et humide. Elle se met à genoux et le cul en lair, et me demande de la baiser en levrette.

Tu penses que je ne me suis pas privé de lui enfoncer ma grosse queue dans sa chatte béante et je lai rapidement fait jouir avant de me répandre en elle. Il a fallu nous désaltérer de nouveau puis, allongés sur le divan, elle dessus, moi dessous, nous avons un peu perdu la notion du temps.

Je me réveille allongé sur le dos, la tête sur un accoudoir et les pieds à l’autre bout avec ma tante à cheval sur ma bite en train de faire du rodéo !

Après que Janine obtienne ce quelle voulait c’est-à-dire deux ou trois orgasmes, elle se laisse tomber sur moi et dit :

— Beau travail ! Ta bite est toujours disponible et dure comme un roc et encore solidement à l’intérieur de moi. J’aime la façon dont je la sens pleinement en moi !

Donc, au lieu de nous lever, nous restons sur le dos, nos têtes à lopposé lune de lautre, reposant sur les accoudoirs mais soudés par nos sexes, nos pubis face à face, étroitement serrés, et nous parlons de toutes sortes de choses. Nous ne sommes pas pressés de nous désunir car nous profitons des sensations incroyables que nos deux organes sexuels nous procurent par les petits mouvements ou contractions que nous ne pouvons contrôler.

Avec la musique qui tourne en boucle dans le salon, nous nentendons pas Marilyn qui rentre à la maison.

En entendant la musique, elle entre dans le salon et regarde vers le canapé pour apercevoir nos têtes qui dépassent de chaque côté sur les accoudoirs. Nous ne la voyons pas tout de suite et Janine, à force donduler des fesses et de contracter sa chatte sur ma grosse bite, arrive presque à un autre point culminant de son plaisir, quand nous nous sommes figés en entendant :

— Ah, vous êtes là tous les deux !

Je ne sais pas comment Janine va réagir avec sa fille dans le salon et ma bite enfoncée jusquaux couilles au fond de sa chatte, mais Marilyn pense que sa maman a peut-être un petit problème en lentendant gémir doucement.

Sapprochant de nous, Marilyn nous voit mieux et commence à dire :

— Maman, tu te sens bien, es-tu malade et… OOOH… MAMAN ! Sainte Marie, quest ce que vous faites…..

Marilyn regardait vers le bas, la bouche grande ouverte, nos organes étroitement liés et complètement nus. Sa mère gémissait de plus en plus fort arrivant au point de non retour !

— Ooooohhhh, je jouiiiiiiiss. Aaaahhhh… putain de nom de dieu ! Tu me fais jouiiirrrr !

Et elle narrête pas de bouger son cul et de claquer son pubis sur le mien continuant de jouir sur ma bite dure comme du granit !

Cen est trop pour moi. Devant cette scène irréelle et Janine qui continue de traire ma queue et de se baiser toute seule, ma bite gonfle à l’intérieur de son vagin et je commence à linonder avec des giclées de sperme.

— Oh putain Mike, je sens ton sperme qui frappe en moi ! Oh mon Dieu, Marilyn, cest si bon ! Oh, ouiiiiii Mike, lâche-toi, Aaaahhhh… la vache, jen veux encore, huuuummm… continue !

Marilyn a instinctivement mis ses mains sur ses yeux, mais à entendre son nom, elle nous regarde de nouveau et elle nous voit, sa maman et moi, redescendre progressivement sur terre. Sa bouche se referme lentement et quelques larmes coulent sur le corps de sa mère, qui, reprenant ses esprits, reste néanmoins encastré à moitié sur ma grosse bite encore gonflée.

— Bon Dieu, maman ! Je ny crois pas, ce nest pas possible ! Quavez-vous fait ! dit-elle avec des sanglots dans sa voix.

— Oh ma chérie, je comprends que tu sois surprise mais je nai pas pu marrêter. Jétais en pleine jouissance ! Oh mon Dieu, Mike, cest tellement bon, merci Mike !

— MERCI MIKE ?, sécrit Marilyn. Merde ! Maman, c’est ton neveu ! Comment pouvez-vous faire ça ensemble ?

Tendant la main, Janine prit la main de Marilyn dans la sienne et doucement dit :

— Chérie, cest arrivé par hasard, un jour où jétais complètement déprimée avec des idées noires et heureusement Mike était là ! Cest moi qui lui ait sauté dessus, je navais plus toute ma tête mais maintenant qu’il… que nous avons commencé, je ne peux plus men passer !

— Marilyn, mon cur, ton cousin est le meilleur baiseur que jaie jamais connu ! Tu devrais lessayer, tu vas ladorer!

Quand sa maman lui dit ces mots, Marilyn regardant ma bite toujours à l’intérieur de sa mère, arrache sa main de la sienne et elle court vers sa chambre en criant que cest dégueulasse et que nous sommes des porcs lubriques.

— Oh merde, viens en haut avec moi il faut que je lui parle.

— Non, j’ai une meilleure idée. Nous avons besoin dune bonne douche tous deux, donc je vais te porter vers la douche avec ma bite toujours dans ton sexe pour éviter les écoulements de sperme sur le divan car si maman découvre des traces suspects, ça risque de barder encore plus !

— Dit comme ça, je ne peux rien dire pour my opposer, mon bel étalon ! Allons-y !

Je la tire lentement sur mes genoux, la repositionne convenablement et en me levant elle met ses jambes autour de ma taille et magrippe par le cou.

Je monte doucement les escaliers, ma tante se tenant serrée contre moi, ma bite qui a repris de la vigueur profondément enfoncée dans sa chatte brûlante. Je ne suis pas certain de ce que jentends mais on dirait que Janine recommence à gémir à chaque montée des marches et, approchant de la porte de la chambre de Marilyn, Janine couine dans mon cou en métreignant plus fort de ses bras et de ses cuisses. Tout à coup, juste devant la porte de Marilyn, Janine s’écrie :

— Mike, Oh… Mike, ce nest pas possible, je vais encore jouir ! Ouuuiiiii cest ça ! Je Jouiiiiis de nouveau sur ton monstre.

— Oooohhhh… mon dieu, je ne peux résister au plaisir que ta putain de queue me donne ! Ouillllle… AAAAaaahhh…Whouaiiiii !

Je lai faite taire avec un baiser et ma langue que jenfonce dans sa bouche à la recherche de ses amygdales. Du coin de lil, je vois la porte souvrir légèrement et Marilyn qui jette un coup d’il dehors pour me voir transporter sa mère sur ma bite et qui sagite furieusement de bas en haut.

Je vous jure que je lai entendue soupirer en refermant doucement sa porte.

Le corps de Janine vibre toujours dans mes bras, sa chatte malmenant sauvagement ma bite quand jarrive dans la salle de bains. Je tourne le robinet de la douche et, une fois leau à température, jentre dans la douche et dégage lentement Janine du pieu où elle est empalée.

Ma tante s’appuie contre le mur de la douche et se retient à moi quand un autre spasme secoue son corps. Enfin elle se redresse en me disant :

— Mike cétait… Cest… tu mas baisée encore mieux que dhabitude. On peut dire que tu sais comment faire grimper les femmes au rideau ! Tu nas pas arrêté de me faire jouir de tout laprès-midi, mais putain de merde, jaime ! Tu es incroyable ! Incroyablement incroyable !

Et, encore une fois, elle tombe à genoux et suce ma grosse et longue bite jusqu’à ce quelle gonfle dans sa bouche et que je lui envoie plusieurs jets de sperme !

— Janine, Tes vraiment la reine des suceuses ! Je ne pourrai plus me passer de tes pipes !

— Oh Mike, j’aime ta bite, jen suis accro ! Dès que je la vois, jai envie de la prendre en bouche.

Après plusieurs baisers, nous avons enfin pu nous doucher de la tête aux pieds. Certaines zones nous ont demandé un peu plus de temps que d’autres et, enroulés dune serviette de bains, nous sommes sortis de la douche.

Quand nous sommes arrivés à la porte de Marilyn, Janine me dit :

— Il faut que je lui parle de notre relation.

Avant quelle nentre dans la chambre de Marilyn, je larrête et lui dis :

— Permets-moi de lui parler. Elle est sûrement moins en colère contre moi !

— Eh bien, je suppose que oui…, je te laisse faire !

Et, me donnant un petit bisou sur les lèvres, elle se dirige vers sa chambre pour s’habiller.

A moi de jouer maintenant !

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