"Alors petite, tu as perdu ta langue ? Il te plaît ou pas, mon démonte-pneu ?"
Caroline ne pouvait pas articuler un mot. Sa seule réponse fut de prendre le sexe de Yannick dans sa main !
Elodie intervint. "Caroline, non ! Vous aviez dit que vous vouliez seulement voir !
Yannick la coupa. "Mais laisse cette petite samuser un peu ! A son regard, elle nen a jamais vu de si grosses, pas vrai ? Allez ma mignonne, caresse-la bien ! Là bien comme ça naie pas peur elle est très dure, tu ne vas pas labîmer ! Cest cool de me faire masser la bite par une petite jeune ! Dhabitude, les femmes que je baise ici sont plus âgées, des bourgeoises qui viennent se faire troncher par une grosse trique en toute discrétion laprès-midi, avant de rejoindre leur mari à petite bite ! Vive la jeunesse ! Putain, jeune mais tu branles bien, salope !"
Effectivement, la main timide de Caroline sétait enhardie. Elle branlait allègrement ce pieu si raide, elle semblait ailleurs, émerveillée Sa main ne parvenait pas à faire le tour de cette magnifique teub. Elle vivait un rêve éveillé, le genre de rêve quelle faisait après avoir visionné un film X, non mieux, le sexe de Yannick aurait ridiculisé pas mal dacteurs du X.
"Arrêtez, Yannick ! Romain doit être habillé depuis longtemps. Il doit se demander ce que vous faites, il va bientôt revenir" essaya de dire Elodie.
"Mais arrête de jouer les rabat-joie ! Ta cliente prend son pied à manipuler mon dard. Regarde, tu vois pas son plaisir ?"
Il était clair quelle éprouvait du plaisir. Elle avait un large sourire et branlait Yannick avec passion, à 2 mains. Exactement comme elle lavait fait avec Romain il y a quelques minutes ! Et Romain avait beau avoir déjà un gros membre, la comparaison était vraiment à lavantage de Yannick.
"Tu es une bonne manieuse de queue, petite ! Tu as du potentiel Avec un peu dexpérience dans quelques années tu seras une super salope ! Oui branle bien à fond, la main ferme, cest bonnnn ! Oh la petite pute, elle ma pris en bouche !!!!!!!"
En effet, à la grande joie de Yannick et au regret dElodie, Caroline sétait mise à pomper le nud du cinquantenaire. Elle avait hésité, elle avait rapproché son visage comme pour mieux admirer la branle quelle lui administrait, puis elle sest décidée à lui avaler le bout. Rien que son gland lui emplissait bien la bouche. Mais elle voulait donner plus, se donner à fond, comme la dernière des salopes. Elle essayait davaler à fond cette verge bien trop grosse pour elle. Elle sacharnait sur cette bite qui lui défonçait la bouche et le palais. Elle était comme ivre, ivre de toutes ses queues qui se sont agitées devant elle cet après-midi, ivre de lorgasme récent avec Romain, ivre de lodeur si forte du sexe de Yannick.
"Oh la petite chienne ! Je savais que tu avais du potentiel. Elle me la prend jusquà la glotte, cette traînée !!! Putain, cest trop bon ! Mais retire maintenant ma pine de ta bouche, petite ! Je ne veux pas jouir tout de suite pas avant de tavoir baisé la chatte !"
A ces mots, Elodie intervint ulcérée. "Non, là je dis stop ! Stop, tu entends Yannick ? Cette fille vient de trouver ici un garçon avec qui elle devrait vivre une belle histoire damour. Je ne la laisserais pas tout gâcher pour un vieux cochon comme toi."
Yannick regarda Elodie dun air vicieux. "Ben alors ma salope ! On joue les défenseurs de la vertu ? Tu trouves que ma pine nest pas assez bien pour elle ? Tu ne disais pas ça il y a un mois. Rappelle-toi ! Cest toi qui mavais demandé de te ramoner la chatte. Et toute la nuit en plus ! Tu avais raconté à ton mec que tu avais un voyage dentreprise, cte blague ! Tu ne ten es pas plainte de ta nuit avec mon gros zob. Tu disais que tu narrivais plus à compter tes orgasmes. Et qui a voulu reprendre un petit coup après le petit-déj ?"
Le visage dElodie se décomposa. Elle aurait voulu oublier sa nuit avec celui quelle considérait comme un gros porc. A force dentendre ses clientes lui vanter les prouesses au lit de Yannick, "si grand, si fort, si puissant", "à faire hurler de jouissance la dernière des frigides", Elodie avait fini par avoir envie dessayer. Cest vrai, elle na jamais autant joui que cette nuit-là, mais elle sétait dégoûtée delle-même davoir couché avec quelquun quelle détestait. Elle aurait voulu éviter ça à Caroline, une cliente quelle avait tout de suite trouvé sympathique. Mais elle se rendait compte que cela ne servait plus à rien de discuter. Caroline irait jusquau bout. Elodie se rassit résignée à son bureau en observant le couple.
Yannick sétait allongé par terre, la queue dressée, conquérante.
"Viens tempaler sur mon gros pieu, chérie !"
Caroline sétait accroupie au-dessus du barreau de chair. Elle tournait le dos à Yannick, elle préférait ne pas voir son visage peu avenant. Elle hésita une seconde, pensa à Romain quelle allait probablement perdre, mais lappel de la bite était trop fort.
"Je dois me rendre à lévidence, je suis une salope. Il faut que jassume, jaime ça !" pensa-t-elle.
Elle écarta la chatte, visa et sassit sur cette pine énorme.
"Aïe ! Ton gland est trop gros, il me déchire la chatte !!!"
"Continue ! Descends sur ma queue ! Le plaisir va bientôt remplacer la douleur."
"Ahhhhhhh le gland est passé ! Hmmmmmmm ! Tu vas me déformer la chatte, salaud !"
"Vas-y ! Descends ! Centimètre par centimètre ! Voilà, cest bien ! Putain, ce que tes serrée ! On dirait une pucelle ! Ma parole, tu ne tes fait saillir que par des petites bites ! Je vais te faire connaître la baise avec une queue dhomme ! Une vraie !"
"Ahhhh ça y est ! Tu touches le fond de ma grotte !"
"Ouiiiii ! Et tu as vu toute la longueur qui reste dehors ?" sexclama Yannick avec fierté.
"Remonte maintenant ! Accélère ! Je vais te reluire la chatte, petite pute !
Caroline sactivait de haut en bas sur ce braquemart qui lui défonçait le vagin. Elle allait de plus en plus vite. Comme il lui avait annoncé, elle ne ressentait plus de douleur, mais un immense plaisir qui montait de manière irrésistible. Elle ne sétait jamais sentie aussi pleine. Elle était si excitée que sa mouille coulait le long du sexe de Yannick.