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Nathalie la bourgeoise – Chapitre 3

Nathalie la bourgeoise - Chapitre 3



« Putain, tas vu la meuf, tu crois quelle porte des bas ? «

Hein, doù cela vient ? Mais, Patrick ne me laisse pas le temps de réfléchir davantage et me relève pour me positionner contre la rambarde de lescalier, dos à lui et me pénètre la chatte dun puissant coup de rein qui manque de me faire basculer dans le vide et marrache un véritable feulement de plaisir de sentir ce gourdin se frayer un passage dans ma chatte béante.

Jai limpression de sentir son sexe pénétrer mon estomac, ma mouille sécoule en de longs filets de cyprine et je hurle mon plaisir de me sentir défoncée par ce pieu de chair. Mes seins se balancent dans tous les sens sous les coups de boutoir et regardant en bas dans le hall, je vois une cinquantaine de personnes me regardent me faire saillir comme la dernière des trainées mais je men fiche, je prends un super pied et jencourage mon amant à aller encore plus loin.

— Vas-y, défonce-moi, perfore-moi de ta grosse queue

— Attends, je vais tenculer maintenant, tu vas le sentir passer mais tu vas adorer, je vais te casser le cul, salope

— Non, pas ça, tu es trop monstrueux, tu vas me déchirer

TocToc Toc

— Si tu vas lavoir dans le cul et dune traite, tu vas me sentir passer

— non sil te pl

Je sens son gland énorme se poser sur ma rondelle, puis de manière incompréhensible, les 50 spectateurs en bas disparaissent de mon champ de vision, même le décor sétiole, les lumières sassombrissent et je me retrouve assise dans ma voiture avec quelquun qui frappe à ma vitre.

— Madame, madame ça va ? On peut vous aider ?

Me tournant vers ma vitre, je ne peux réprimer un cri deffroi en découvrant deux jeunes magrébins en survêtements de sport qui sont en train de me parler. Un coup dil sur ma montre, je me rends compte quil est 4h30 et que je me suis assoupie (damned vin blanc) et jai tout rêvé, quoique un rêve fort réel comme en témoigne mon string trempé.

Je remets un peu dordre dans ma tenue car ma jupe est légèrement remontée, puis descend de 10 cm ma vitre pour mieux comprendre ce quils me disent.

— Excusez-moi, je métais assoupie

— Ben, on a vu votre voiture et on sest arrêté pour voir si on pouvait vous aider

— Oh, ce serait très gentil, jai crevé un pneu et je suis incapable de changer une roue tout seule

— Eh bien, on est bien tombé alors, mes copains et moi. Vous navez pas demandé de laide à votre mari ou à garagiste?

— Non, il est à létranger (oups, jaurais du peut-être mabstenir) et de plus, jai oublié mon GSM à la maison, donc vous êtes la providence même.

— Ouvrez-nous le coffre, on va soccuper de cela.

Je déverrouille ma porte et sors de ma voiture, en essayant de rester correcte et ne pas trop dévoiler mes jambes et mon entrejambe.

Ils sont finalement au nombre de trois, dune vingtaine dannées, tous dorigine magrébine. Jouvre le coffre pour leur permettre de prendre la roue de secours et tout le matériel nécessaire.

Pendant que deux soccupent de changer la roue, le troisième, Rachid, me tient compagnie et me fait la conversation. Ses deux copains, Ahmed et Mouloud, et lui reviennent dune soirée à leur club de sport qui sest un peu éternisée et cest en rentrant quils ont vu ma voiture. Il est désolé de mavoir fait peur mais il a essayé de faire doucement pour me réveiller.

Ils sont charmants et loin des stéréotypes liés à leur origines magrébines. Mais je ne peux mempêcher de surprendre certains coups dil de ses copains vers le bas de ma jupe, car du fait de leur position agenouillée, elle doit dévoiler mes jambes davantage que je ne le souhaiterais. Ils parlent entre eux en arabe, je ny comprends rien mais à leurs intonations, jai limpression dêtre au centre de leur conversation.

Finalement, en un quart dheure, ma roue de secours est placée et je peux rentrer chez moi. Ahmed mouvre galamment la portière pour que je puisse prendre place derrière mon volant et je minstalle en prenant soin, consciemment, douvrir mes jambes exagérément, dévoilant furtivement la lisière de mes bas.

Je lui fais ce petit plaisir en remerciement de leur aide et il ne se gène pas de lancer à ses deux copains, un « javais raison « , laissant deviner quils avaient parié entre eux si je portais des bas ou des collants.

Je suis contente de leur avoir fait ce petit plaisir et mets le contact satisfaite de men tirer à si bon compte, si ce nest que le moteur ne prend pas , pas le moindre petit bruit et je me rends compte que la lumière et lhorloge du tableau de bord sont désespérément éteintes.

— Bordel, plus la batterie maintenant !!

En effet, javais laissé les phares et mes clignotants allumés et cela a déchargé complètement ma batterie pendant que je métais assoupie.

Toc toc toc

Je ne me saisis plus car cest Rachid qui vient aux nouvelles, il a compris le problème et me propose de me remorquer jusque chez moi avec un câble quil a dans son coffre.

Je ne me saisis plus car cest Rachid qui vient aux nouvelles, il a compris le problème et me propose de me remorquer jusque chez moi avec un câble quil a dans son coffre. Après tout avoir installé pour le remorquage, il me demande si jai déjà roulé derrière une voiture rattachée par un câble.

Au risque de passer pour une idiote (je suis blonde, rappelez-vous), javoue mon incompétence. Aussi, il me propose de prendre le volant et de minstaller sur le siège passager. Après un nouvel effet de jambes, je massieds côté passager et lui au volant et nous partons, tractés par la voiture de mes sauveurs.

Après un trajet dun quart dheure, nous arrivons enfin chez moi, ils ont même la délicatesse de pousser la voiture jusque dans mon garage, non sans peine car il y a une pente assez forte menant au garage. Finalement, tout rentre dans lordre et suants, ils font mine de vouloir repartir. Mais je leur propose un verre pour les désaltérer avant de partir. On passe dans la cuisine et je leur sers leurs verres.

— Encore un tout grand merci, je ne saurai jamais comment vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ce soir.

— Il y aurait bien un moyen de nous remercier, par exemple, en nous montrant si vous portez des bas ou des collants car Ahmed prétend que ce sont des bas et quil a gagné son pari mais nous, on voudrait avoir confirmation, me rétorque Mouloud

— Menfin, vous êtes fous, je ne vais pas vous montrer ce que je porte sous ma jupe.

— Allez, faites-nous plaisir, Madame, on veut juste vérifier et on sen va, rajoute Rachid

— Mais il nen est pas question, voyons…

— Allez, ne vous faites pas prier, insiste Mouloud en tentant de soulever ma jupe.

— Non, arrêtez, je vous en prie, vous êtes très sympas mais cela, je ne peux pas faire. Ok, je confirme les dires de Ahmed, je porte des bas, donc il a gagné son pari mais maintenant, laissez-moi, je suis crevée.

— Désolé, mais on doit quand même vérifier par nous-mêmes, murmure Ahmed

Avant davoir pu faire un geste, je suis encadré par Rachid et Mouloud qui me prennent chacun la main, fermement mais non violemment, empêchant toute tentative de fuite pendant quAhmed se saisit de lourlet de ma jupe à volants et la remonte lentement sur mes cuisses. Je me débats faiblement pour échapper à leur emprise mais je sens mon bas-ventre salourdir et une sensation malsaine envahir ma chatte.

Je pousse un « ooh » de désespoir quand je sens ma jupe remonter jusquau haut des cuisses, dévoilant mes bas et les attaches des jarretelles de ma guêpière.

— Waow, cest mieux que jespérais, je croyais que cétait des dim-up mais ce sont des vrais bas avec porte-jarretelles et tout le bazar

— Je crois même quelle porte une guêpière, si cest bien ce que je vois dans son décolleté.

Bon sang, dans ma tentative de méchapper à leur étreinte, les deux pressions supérieures de ma veste ont sauté, laissant apercevoir la naissance de ma poitrine comprimée dans les bonnets de ma guêpière.

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