Cette aventure à commencé le jour où ma voisine à fait une chute dans l’escalier. C’est une dame d’une septantaine d’années, qui vit seule depuis le décès de son mari, il y à 8 ans.
Depuis 4 ans elle a un Grand Caniche, gris argent avec une fourrure épaisse et douce. Un superbe animal, joueur, câlin et obéissant.
Et impressionnant aussi, avec ses 50 cm au garrot.
Entendant un gros bruit dans le couloir, je suis sorti de chez moi et j’ai vu ma voisine couchée dans l’escalier. Je me suis précipité à son secours, mais, Bobby ne l’entendait pas ainsi. Il s’interposa et me menaça de toutes ses dents, bien qu’il me connaisse depuis tout petit et me fasse la fête à chaque rencontre.
Sa maitresse, bien qu’un peu sonnée réussit à le calmer et le rassurer. J’ai pu m’approcher, bien que Bobby essayait de rester toujours entre elle et moi, mais sans être agressif maintenant.
J’aidai ma voisine à regagner son appartement. Malgré mon conseil de faire venir un médecin, elle ne voulait pas en entendre parler.
Je suis sorti faire ses courses et promener Bobby, qui avait retrouvé son calme.
En revenant, j’ai trouvé ma voisine trop pâle et j’ai appelé un médecin. Rien de cassé, en apparence, mais il a ordonné une observation de 2 jours à l’hôpital.
J’ai proposé de m’occuper de Bobby.
En attendant l’ambulance elle m’a fait quelques recommandations.
Bobby à droit à 2 carrés de chocolat le soir.
Je croyais que le chocolat était interdit aux chiens.
Elle me répond que son Bobby à droit à un traitement de faveur.
En début de soirée, je vais chercher la couverture et la gamelle de Bobby pour l’installer chez moi. Il a bien accepté la situation et nous avons joué un moment à faire les fous sur le tapis.
Après un petit souper, j’ai regardé un film et Bobby est venu s’asseoir contre moi sur le canapé. Il m’avait adopté.
Après avoir promené Bobby dans le quartier, je me suis souvenu du chocolat.
Non! ce n’est pas bon pour lui!
Oui! il a eu une dure journée et il est vraiment cool…
J’ai été chercher une plaque de chocolat à la cuisine, et dès que je l’ai déballé, Bobby est arrivé. Je lui tends un carré, il le renifle, puis me renifle l’entrejambe, je lui repasse le chocolat sous le nez, il le lèche un petit coup et retourne entre mes jambes en me regardant…
J’ai mis un moment à comprendre le "traitement de faveur" de Bobby. Il allait chercher lui même le chocolat qu’on avait caché au chaud…
La coquine de voisine. Je me suis retrouvé tout excité par cette idée et j’ai décidé de tenter l’expérience.
Je me suis fait un petit lavement, je me suis enfilé un gros plug dans l’anus, et j’ai sorti une toile cirée que j’ai étendu sur mon lit.
En enlevant le plug, j’ai constaté que mon cul était bien ouvert, j’y ai glissé les 2 carrés de chocolat et nous avons encore fait les fous, Bobby et moi. Il essayait de me lécher l’anus et je lui échappais.
Soudain, il m’a renversé et à planté sa truffe entre mes fesse. Il avait gagné et je me suis laissé faire.
Un peu de chocolat s’était échappé pendant la bagarre et il le lécha avec tant de vigueur qu’un énorme frisson me parcourut. Il me léchait si bien. Sa grosse langue mouillée qui me bousculait les couilles et qui bientôt essaya de rentrer en moi…
Je relevai les jambes et me donnai à lui. Sa langue rentra en moi avec une force tranquille qui me fit m’ouvrir encore plus grand. Cinquante fois sa longue langue entra, se tortilla, ressortit. Il me nettoya l’intérieur de toute trace de chocolat.
J’ai joui les bras en croix, par la seule caresse de sa langue dans mon anus.
Jamais je n’aurais pu imaginer de telles sensations.
Puis Bobby lécha mon sperme sur mon ventre et fit la toilette de ma bite.
Il quémanda encore du chocolat, et voyant que je ne cédais pas, il se coucha à côté de moi avec un gros soupir.
Je lui ai fait un câlin et j’ai remarqué que ce petit jeu l’avait aussi excité. Une pointe rouge dépassait de son fourreau, et il avait l’intérieur des cuisses tout mouillé.
Voulant lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné, je commençai à lui lécher le bout.
C’est la première fois que je faisais ça!
J’avais toujours refoulé l’idée de sucer une bite, de qui que ce soit!
Mais là, ce fut instinctif, je ne me posai pas de question; j’ouvris mes lèvres et fis glisser son sexe dans ma bouche.
Son érection grandit à toute vitesse, j’ai la bouche pleine de son sexe qui m’envoie quelques giclées de son jus. Je suis impressionné par la taille de son engin.
J’ai très envie de me faire prendre, mais je crains que ça ne passe pas.
Puis Bobby s’agite, se lève et tourne dans la chambre.
Je me décide.
Je m’installe à genoux, le torse sur le lit. Je me cambre, je tends mes fesses et j’attends.
J’ai la tête qui tourne, je frémis.
Il revient vers moi, me renifle, lèche un peu et se décide à me saillir.
Il pose les pattes avant sur le lit, me serrant les côtes et après quelques coups dans le vide qui me brutalisent les couilles, il trouve mon trou dans lequel il se précipite. Ouch! il y va fort. A la troisième poussée, il est au fond. C’est tellement bon!
Il me pistonne d’un mouvement rapide, sauvage, me défonçant toujours plus profondément.
J’ai un éclair de lucidité en me rappelant qu’il ne faut pas le laisser venir au fond car son nud va bientôt gonfler.
C’est trop tard. Il est planté entre mes fesses et je le sens m’envahir, il grossit et s’allonge encore. J’ai le souffle coupé.
Il me serre plus fort entre se pattes avant, assure sa prise et pousse encore.
Il grossit encore plus, mais heureusement, il ne bouge plus, il vibre.
Je sans son souffle rapide sur ma nuque, ses poils frisés me caressent le dos et les fesses et son jus coule le long de mes cuisses.
Dans mon ventre, je le sens trembler et je sens qu’il m’injecte son sperme par saccades.
Mon cul est tellement écarté par sa boule que je me demande si j’arriverai à le refermer.
Je me suis fait fister plusieurs fois par ma dernière petite amie. Elle avait les mains fines, beaucoup de douceur, et un peu peur de me blesser.
Bobby m’a sauté comme une chienne. On avait jamais été si brutal avec mon cul! En trois secondes, il était au fond.
J’adore ça!
Ça fait mal!
C’est bon!
Ça dure longtemps.
Il n’en finit pas de se déverser en moi.
Dans ma position, les larmes aux yeux, essayant de reprendre mon souffle, tout en étant secoué de spasmes et de frissons, je n’ai pas eu le temps de réagir lorsqu’il s’est retourné.
J’ai cru qu’il m’arrachait le cul. Ce mouvement de traction et de torsion qu’il m’imposait fut une vraie torture… qui me fit jouir très fort.
Bobby venait de me faire découvrir que je suis vraiment maso.
Il me traîna par le cul sur le carrelage dans ses tentatives pour se décoller, m’arrachant à chaque mouvement des plaintes et des larmes.
J’avais beau pousser aussi fort que je pouvais pour l’expulser, rien n’y faisait, sa boule était derrière les muscles de mon cul et ça ne passait vraiment pas.
J’ai réussi à le tranquilliser de la voix et avec quelques caresse, puis à trouver une position moins douloureuse en me tenant à ses patte arrière. Nous sommes restés comme ça, cul contre cul, encore 10 minutes. Je sentais son membre palpiter en moi, mon trou s’était un peu habitué à cette énorme intrus.
Il tirait encore un peu de temps en temps, me branlant les boyaux, compressant ma prostate et tendant mon cul à la limite de la déchirure.
Puis je sentis que ça glissait un peu à chaque fois qu’il tirait; il se dégonflait. Il le sentit aussi et se retira d’un coup!
J’en eu le souffle coupé. La sensation et le bruit furent incroyables! Comme si on m’avait retourné le ventre.
J’ai bien dû rester une minute immobile, le cul et la bouche grands ouverts ne sachant plus qui j’étais.
Bobby me léchant le visage et le cul.
Je vis sur le carrelage entre mes jambes, un énorme flaque de jus qui sortait de mon cul béant et mon sperme qui continuait à s’écouler doucement de ma bite, tellement ma prostate avait été massée.
Je me laissai aller sur le sol, couché dans cette mare gluante, épuisé, tremblant, mes muscles ne réagissant plus. Mon cul palpitait et je sentais de mouvements dans mon ventre avec des vagues de chaleur et des frissons.
Le froid me donna bientôt envie d’uriner, mais je n’avais pas la force d’aller jusqu’aux toilettes, alors je me suis laissé aller.
Quel bonheur!
Après une douche et un peu de ménage, je me suis couché, Bobby contre moi.
Décidément je ne me reconnais plus. Je n’aurais jamais pensé que je pourrais avoir un tel comportement. Cette journée à été pleine de "première fois" pour moi.
Nous avons encore un jour et une nuit à passer ensemble Bobby et moi.
J’espère que sa maîtresse sera d’accord de le partager avec moi de temps en temps.
J’imagine une partie à trois, avec ma vieille voisine ridée… ça m’excite tellement que j’ai envie de me faire prendre encore une fois.
Mais non! J’ai trop peur que mon anus ne se referme plus jamais si je ne le laisse pas se reposer un peu.
Je me contente d’une branlette.
Et le fidèle Bobby me fait encore une toilette complète avant que je ne m’endormes.