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Véronique au bureau – Chapitre 5

Véronique au bureau - Chapitre 5



Alors quAna venait de refermer la porte et de quitter l’agence en compagnie forcée de Fauve, Véronique, elle se posait des questions.

Comment se faisait-il que quelques heures auparavant, Ana était très amoureuse et surtout, décidée à mettre en échec Fauve, et qu’à cet instant, sans l’avoir prévenu plus tôt, elle ne pouvait pas rester ???

Fauve !!! Fauve est derrière tout ça !!!

Véronique, d’un bon, quitta son bureau, pour éventuellement, les suivre. Mais cela fait dix minutes qu’elles sont parties, et dans quelle direction ???

Peine perdue, à cet instant, Véronique savait qu’elle ne passerait pas sa soirée dans les bras d’Ana. Déçue, elle quitta l’agence, sans même, vérifier si Sabine était là, ou pas.

Au point d’en avoir oublié, sa voisine Virginie, vous savez, la petite blonde, qu’elle avait pu mater la nuit dernière. Se faisant sauter par son étalon, dans lencoignure de la porte-fenêtre du salon, pendant que Véronique, elle, se masturbait, en réponse à leurs exhibitions.

Alors qu’elle se trouvait perdue dans ses idées, durant le trajet en bus, assise au fond. Une voix féminine vint la faire revenir à la réalité.

— Excusez-moi, je peux m’asseoir ??

Véronique, qui avait son regard vers l’extérieur, tourna la tête vers sa gauche. Comme le hasard fait bien les choses, la jeune femme qui s’était assise à ses côtés nétait ni plus ni moins, Virginie.

— Oh, excuse-moi, je ne t’avais pas reconnu, dit Virginie.

— Pas de mal, ma chérie, lui répondit Véronique. Quel hasard !!!

— Oui, tu prends régulièrement ce bus ??? Demanda Virginie, qui, lui avait posé sa main droite sur le haut de sa cuisse, sur l’aine de sa cuisse.

— Oui, tous les jours, mais généralement, un peu plus tard, et toi ??? Demanda Véronique, après un rapide coup d’il sur cette main.

— J’avais une course à faire dans le quartier… David est de garde pour la soirée… Nous pourrions peut-être prendre du temps pour nous ?? Demanda Virginie.

— Pourquoi pas !!! Répondit Véronique, qui profita du regard, pour la déshabiller.

Virginie portait un chemisier blanc, lui voilant tout juste son soutien-gorge en peau d’ange, blanc, pour une petite, mais ferme poitrine, jupe droite, courte, en jean, boutonnée par des pressions, escarpins blancs.

Son physique était à la hauteur de sa tenue, une petite coquine en chaleur. Les deux jeunes femmes se regardèrent, sans un mot, envieuses des yeux, elles se dévorèrent, de longues minutes.

— Que dirais-tu de se faire un peu de shopping ?? Lui demanda Virginie.

— Je n’ai pas envie de rentrer, donc ce qu’il te plaira sera à mon goût… Dit Véronique, ayant une chaleur ardente, au plus profond de sa petite culotte.

— Tu sais que j’ai mon ventre qui me brûle… Lui souffla à l’oreille, Virginie.

— Et moi donc, ma chérie, je suis trempée… Lui répondit Véronique.

Virginie se leva d’un bon, prenant par la main sa nouvelle amie, et l’entraîna à elle, pour descendre, alors que le bus venait de s’arrêter et ouvrir ses portes.

Véronique eut tout juste le temps de réagir, pour prendre son sac et la suivre.

— Mais où m’emmènes-tu ??? Demanda Véronique.

— Nous allons nous amuser, comme des folles… J’adore m’exhiber, pas toi ??? Dit Virginie, rayonnante de plaisirs.

— Si, comme tu as pu le voir, cette nuit… Répondit Véronique.

Virginie, qui ne la tenait toujours, fermement, par la main, venait d’entrer dans un bar.

Se dirigeant au fond, dans un coin retiré de la salle, faisant asseoir Véronique sur la banquette, de façon à faire face au comptoir.

Virginie étant à sa droite, toutes les deux avaient en vue, le barman, un superbe brun, la trentaine, qui ne laisse pas indifférent aux regards.

— Il est mignon, hein ??? Dit-elle à Véronique. Je me demande comment il est membré ???

Véronique n’en pensait pas moins,, se prenant à son jeu.

— Hum !!! Pour moi, tout aussi appétissant que celle de David !!! Dit Véronique

— Eh, ma cochonne, tu te permets de mater mon mec ??? Répondit, avec un large sourire, Virginie… Tu as peut-être raison, ma belle !!!

Sur ce fait, une blonde, cheveux mi courts, coiffée au carré, dans un chemisier blanc, offrant son soutien-gorge blanc, qui enveloppe une forte poitrine ferme, où se dessinaient, ses mamelons bruns, et une jupe droite, courte, en toile, noire, vint jusqu’à elles.

— Bonsoir, mesdames, dit-elle, que voulez-vous prendre ???

— Heu !!! Pour moi, un café, serré, dit Virginie, qui dévorait des yeux sa poitrine, et toi, ma chérie ???

— Pareil, répondit Véronique.

— Parfait, dit la serveuse !!! Qui allait repartir.

— Heu !!! Je peux vous poser une question ??? Dit Virginie.

— Oui, dit-elle, étonnée !!!

— Vous avez des yeux à croquer, je peux savoir comment vous vous appelez ?? Dit Virginie.

Sans même réfléchir, la serveuse lui répondit, avec un sourire.

— Julie… Et vous ???

— Virginie et ma copine, Véronique… Hum !!! Votre collègue est super mimi…

— Lui, c’est Gabin… C’est vrai qu’il en fait rêver plus d’une…

— On se posait la question… Il doit avoir une queue d’enfer ??? Lui demanda Virginie.

— Coquine, Virginie… Vous n’avez qu’à lui demander… Moi, ce nest pas ma tasse de thé… Dit Julie, en souriant.

— OK… Répondit Virginie…

Puis, Julie les abandonna pour se diriger vers son collègue. Prenant la commande, Julie lui parla des deux jeunes femmes, qu’il dévisagea longuement.

Et décida de faire le service, il vint leurs porter les cafés.

— Bonsoir, mesdames… Cafés ???

— Bonsoir Gabin, Julie a bien pris en compte notre demande, à ce que je vois, dit Virginie !!!

Gabin, dans son jean moulant, toutes ses formes et surtout au niveau de la braguette, où l’on pouvait sans mal, deviner son membre enflé.

Virginie ne lâchait pas cette forme, qui descendait à l’intérieur de la cuisse droite, lui dévorant des yeux, alors que le serveur se pencha pour déposer les deux cafés.

Virginie pouvait humer son parfum de mâle, profitant qu’il se trouvait accolé à elle, pour glisser sa main par-derrière et venir lui toucher cette bosse.

— Excuse, c’est trop tentant… Lui dit-elle. Tu as raison, Véronique, elle doit-être aussi appétissante que celle de mon mec… J’y goutterais bien en pause-café ??? En le dévorant des yeux.

— Euh !!! Pourquoi pas… Lui sourit-il. Je vais voir ce que je peux faire pour vous…

Les deux jeunes femmes le regardèrent rejoindre le comptoir, où se trouvait Julie, qui navait rien manqué du spectacle, tout ceci du coin de l’il. Alors que Gabin et Julie discutaient, nos deux clientes, entre deux gorgées, continuèrent leurs commentaires sur ce bel étalon.

— Tu es une sacrée garce !!! Lui dit Véronique.

— J’ai envie de m’amuser… Lui répondit Virginie.

— Et David dans tout ça ??? Demanda Véronique.

— T’inquiète pour lui !!! Nous sommes tous les deux libérés et je ne lui cache rien, je lui raconterai en détail, çà l’excite, ce gros cochon !!! Il prend encore plus de plaisir pour me sauter… Et moi, j’adore ça !!!

Véronique ne répondit pas à ça, se contentant de boire son café, mais au plus profond de sa culotte, elle se sentait totalement trempée. Elle avait un gros coup de chaud, comme toute femme qu’elle est, surtout le clitoris, qui en rajoutait une couche.

Virginie la regardait, elle devina son état, lui glissant une main jusqu’à l’entrejambe du pantalon blanc, où elle appuya deux doigts cherchant à aller au plus loin dans son entrecuisse, béante.

Les deux jeunes femmes se regardèrent, sans un mot, Véronique, cuisse ouverte, profita de la caresse. Haletante, elle se mordait les lèvres, pour ne pas crier son envie de jouir.

— Je vais m’occuper de toi… Nous allons jouer avec ce bel étalon… Et puis après ça sera ta fête… Lui souffla à l’oreille Virginie.

Véronique ne pouvait répondre, les yeux mi-clos, concentrée sur la caresse de sa nouvelle amie.

Gabin, qui suivait de loin leur petit manège, vint les rejoindre. Virginie, qui continuait son doigter à même l’entrejambe du pantalon, de l’autre main, fit signe à Gabin silence, afin de ne pas la déconcentrer. Celui-ci venait pour lui dire qu’il voulait bien participer, mais qu’il fallait le suivre dans une arrière-salle, lui glissant à l’oreille. Virginie cessa sa caresse, et rapidement, Véronique reprit ses esprits, haletante et surprise de la présence de Gabin.

Nous allons suivre Gabin, il nous emmène dans un endroit un peu plus discret… Allez, ma petite chatte… Debout, dit Virginie, excitée par la proposition.

Le trio traversa la salle, alors que Julie les regarda passer et se diriger vers les escaliers, pour monter au premier étage, la salle à manger, et disparaître dans une arrière-salle.

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