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Belle maman à la Saint Sylvestre – Chapitre 1

Belle maman à la Saint Sylvestre - Chapitre 1



Mon épouse, Laure, étant de garde à l’hôpital pour la nuit, nous ’avions rien prévu pour le réveillon du 31. Refusant d’aller faire la fête avec nos amis sans ma femme, nous avions décidé elle et moi d’inviter Nicole, sa mère, elle aussi seule ce soir-là. Je suis allé la chercher chez elle. Je m’entends super bien avec ma belle-mère. Elle a 57 ans, est blonde aux cheveux longs, les yeux clairs, et a une silhouette agréable à regarder. Et puis sa poitrine est très généreuse, plus que celle de sa fille. Quand elle a ouvert sa porte, quelle ne fut pas ma surprise:

"- Quelle élégance Nicole! Mais on ne sort pas. On dîne à la maison rien de plus.

— Quand je suis invitée quelque part, j’essaye toujours de faire un effort, raison de plus pour aller chez ma fille et mon gendre."

Nicole portait une robe noire sexy qui s’arrêtait au-dessus des genoux, un collant couleur chair qui lui faisait des jambes d’adolescente, et des chaussures à talons, rien de tel pour qu’un coquin comme moi, se rince les yeux dès que l’occasion le permet. Des idées se bousculaient dans ma tête pendant tout le trajet vers notre domicile. Et si je posais une main sur sa cuisse, histoire de voir sa réaction. Non, Charles, c’est belle-maman quand même. Je repris mes esprits en arrivant.

Laure dîna avec nous. Le repas du réveillon était simple, mais nous avons tout de même ouvert du vin et le champagne. Vers 22h30, Laure nous a quitté pour prendre son service qu’elle terminerait à 6h le lendemain. Nous voilà seuls en tête à tête Nicole et moi. La soirée bat son plein. On parle, on rigole et on boit le champagne. Minuit moins cinq, Laure nous téléphone pour nous souhaiter la bonne année 5 minutes avant l’heure fatidique. Cela commence à bouger aux urgences, sa nuit risque d’être un peu animée nous dit-elle donc elle anticipe car après ce sera dur.

Minuit sonne.

"- Bonne année Nicole!

— Bonne année Charles!"

On se fait la bise, on se souhaite toutes les meilleures choses du monde et… on ouvre une nouvelle bouteille de champagne. Rien de plus. Belle-maman a beau être vêtue comme une chaudasse, je sais me tenir. Laure avait décoré la table avec de petites branches de gui, c’est là que tout a démarré.

"- Charles, embrassons-nous sous le gui, ça porte bonheur." Dit Nicole, toute gaie sous l’effet du champagne.

Alors qu’elle tenait une branche au-dessus de nos têtes, nous approchons nos visages l’un de l’autre pour faire la bise, sauf que ce sont nos lèvres qui se sont rencontrées.

"- Pardon Nicole." Dis-je gêné.

"- C’est pas grave".

On se regarde quelques secondes dans les yeux, puis on recommence avec la langue cette fois. Je roule un patin à ma belle-mère et c’est trop bon. Elle sait y faire. Ma main caresse sa cuisse tandis que l’autre lui tient la taille. Je passe sous la robe pensant trouver le collant, mais il n’en est rien. Nicole porte en fait des bas qui s’arrêtent à mi-cuisse et tenus par un porte-jarretelles. Je suis tout fou, je sens ma queue grandir et gonfler d’excitation. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises, mes mains continuent d’explorer sous la robe ce territoire inconnu et pas du tout hostile: Nicole porte un string. Je tâte ses fesses fermes. Sa peau est douce. Si je ne me contrôle pas très vite, je sens que je jouir dans mon froc. Je fais de la place sur la table pour que Nicole s’y couche. Nicole dit alors:

"- Je sais que c’est pas bien ce qu’on est en train de faire mais on est allés trop loin pour s’arrêter maintenant. Je veux que tu me baises Charles.

— Oh ça oui Nicole, comptez sur moi."

J’attrape une chaise et m’assoies face à son entrejambes. J’ôte son string et sa toison clair m’apparaît. Les jambes de Nicole reposent chacune sur mes épaules. Laure n’existe plus, ni pour elle ni pour moi. Cela va être une nuit de la saint-sylvestre assez animée finalement. Je plonge ma tête entre ses cuisses pour lécher son bouton. Je fais jouer ma langue dessus. Nicole pousse déjà de petits cris de plaisir. Je pose ma bouche dessus tel une ventouse et aspire tout en agitant ma langue. Je sens son bouton dans ma bouche.

"- Oh oui, Charles c’est bon ce que tu fais."

Puis je descends vers son vagin. Ma langue les lèvres humides de Nicole qui n’en peut plus et intensifie ses cris. heureusement que nous habitons une maison et pas un appartement. Elle peut crier sans que le voisinage n’entende. Elle a bon goût ma belle-mère et elle sent bon. A croire qu’elle s’est parfumée entre les cuisses. J’introduis mon index dans sa chatte mouillée.

"- Tu vas me sucer ma belle cochonne."

C’est la première fois que je tutoie Nicole. Il n’y a plus de barrière et encore moins de respect. Nicole se redresse et s’agenouille devant ma chaise pour sortir ma queue dressée qui n’attendait qu’une chose: qu’on s’occupe d’elle! Quel délice, une bonne pipe par cette femme mûre. Sa bouche monte et descend sur ma tige tandis qu’elle caresse mes bourses. Je m’abandonne et passe ma main dans ses cheveux.

"- Tu suces comme ta fille, je sais de qui elle tient ça. C’est héréditaire."

Alors qu’elle me suce toujours, j’ouvre la fermeture de la robe. Nicole se débarrasse de sa robe. Elle est en sous-vêtements maintenant. J’enlève ma chemise pendant qu’elle retire mon pantalon. Debout face à face, on s’embrasse de nouveau à pleine bouche. Je dégrafe son soutien-gorge et peut enfin me nourrir de ses 2 gros seins. J’avale chacun des têtons, les lèche, les mordille.

"- Là par contre, tu n’a pas laissé grand chose à Laure. Tes seins sont plus beaux. Tu savais ce que tu voulais en t’habillant comme ça. T’avais ton idée derrière la tête, hein, vieille salope. Tu vas voir ce que je vais te mettre sale pute!"

On se dirigea vers le canapé. Je m’assis et Nicole vint sur moi, face à moi. Mon sexe entra dans sa fente comme un couteau chaud dans du beurre. Elle poussa un petit cri.

"-Je sens que je commence bien l’année moi." Dit-elle.

Mes mains tenaient ses fesses. Elle commença à bouger sur moi tout en m’embrassant. Moi, je tétais ses miches, l’embrassais dans le cou.

"- Mmmm, c’est bon, quelle bonne sensation. Oh oui, doucement mon chéri, on a toute la nuit."

Je m’étonnais de ne pas avoir encore joui tellement j’étais excité, mais j’arrivais à me contenir. Il faut dire que dans l’après-midi j’avais baisé Laure et m’étais bien vidé les couilles dans son ventre. Tant mieux, je pouvais durer avec belle-maman. On changea de position. Couchée sur le dos, elle écarta ses cuisses et je la pénétrais un peu plus fort que tout à l’heure. Ses cris résonnaient dans le salon:

"- Oh oui! Ma fille est une chanceuse, elle a un mari de rêve…

— Et une sacrée bonne baiseuse de mère." Rajoutais-je.

A chaque coup de bite, des "han" sortaient de la bouche de Nicole. Je sortis ma queue et remis ma langue dans son vagin trempée. Puis:

"- Tourne toi ma jolie, on va passer à autre chose."

Nicole à 4 pattes m’offrait son vagin et son cul. D’abord le vagin, ne brusquons rien. Une levrette simple. Je la tenais par les hanches et entrais et sortais de son ventre sous les cris de plaisir de ma vieille maîtresse qui me caressait les boules par en-dessous. Puis, au bout de quelques minutes je me sortis pour monter à l’étage supérieur.

"- Une bonne enculade ça te dis belle maman?

— Oui, encule moi salaud de gendre!"

Je mis mon index dans son anus serré. C’est, bon, pensais-je je devrais rentré sans trop de difficultés. J’approchais donc ma queue décalottée de ce petit trou et forçai pour y entrer.

"- Ooooooh Oui, ooooh, doucement chéri, c’est pas l’autoroute là c’est chemin de campagne."

Ca y est! je pouvais commencer mon va et vient. Mes boules venaient s’écraser contre ses fesses. A chaque coup, Nicole criait. ses mains étaient crispé sur le coussin. Puis je sentis monter la semence, j’allais jouir.

"- Je viens Nicole, je vais jouir. Tourne toi vite !!!"

Elle s’assit sur le canapé et je me mis debout devant elle, le sexe dressé prêt à gicler. Nicole me branla énergiquement.

"- Vas-y t’arrête pas je vais jouir !"

Mon sperme sortit telle une balle de fusil. Nicole orienta le canon vers son visage. Elle reçut ma liqueur en plein faciès tandis que je poussais un râle de soulagement et délivrance. Moi vidé et heureux, Nicole souillée. On se regarda en silence.

A 6 heures 30, Laure rentra. Nicole et moi dormions sur le canapé, exténués. Nous étions douchés et rhabillés. Laure nous embrassa. On lui souhaita la bonne année comme si rien ne s’était passé. Elle alla se coucher, exténuée de sa nuit. Moi, je raccompagnais Nicole chez elle.

Dans la voiture, je ne pus m’empêcher de caresser la chatte de belle-maman.

"-Attends que l’on soit à la maison, on va avoir un accident."

Je ne pus attendre plus longtemps et rentra dans un sentier isolé. Nicole me suça dans la voiture. Puis, on sortit et elle se cambra sur le capot.

Arrivés chez elle, à peine à l’intérieur, on fila dans sa chambre. Une fois à poils, elle me pompa comme une affamée de sexe.

Je la pris en missionnaire. Je pilonnais ce vagin pour la seconde fois de la journée et de l’année, alors que je n’avais pas encore baisée Laure une seule fois.

"- Baise-moi mon chéri, tu es à moi seule pour le moment.

— T’es qu’une vieille chienne Nicole! J’aime baiser les chiennes comme toi.

— Tu trompes ma fille mais ça reste dans la famille au moins."

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