Je m’appelle Paul et j’ai 25 ans. L’histoire que je vais vous raconter date d’il y a quelques années et perdure, pour partie, encore aujourd’hui. Tout a commencé un soir de novembre, chez ma mère.
Mon père étant mort, nous vivions chez ma mère, ma petite soeur Laura et moi. J’avais 20 ans, elle en avait 18. Nous avons toujours été proches avec Laura, très fusionnels, surtout à la mort de notre père. Je la protégeais comme je pouvais, et elle savait me redonner le sourire quand je l’avais perdu.
Ce soir de novembre, Maman étant sortie danser avec des copines, nous sommes restés seuls à la maison. Je venais d’intégrer une école dans la région, ce qui fait que j’avais récupéré ma chambre chez ma mère. Ça arrangeait tout le monde et particulièrement ma mère qui avait du mal à couper le cordon. Nous étions ses seules raisons d’être comme elle le disait souvent. La mort de mon père l’avait complètement abattue et elle avait repris goût à la vie par amour pour nous.
Je révisais ce soir-là dans ma chambre. Laura, dans celle d’à-côté, s’ennuyait. Je l’entendais gesticuler à travers la cloison. À un moment, elle frappa à ma porte.
— Paul ?
— Qu’est-ce qu’il y a Laura ?
— Je m’ennuie…
— Je vois ça mais je dois réviser ma puce…
— Oh allez tu réviseras plus tard ! J’ai une meilleure idée…
Elle tenait quelque chose dans la main. Il s’agissait d’un flacon d’huile de massage.
— Non, dis-je, pas maintenant, demain si tu veux.
— Paul allez, fais pas ton rabat-joie ! Ça nous rappellera le bon vieux temps !
Nous avions pris l’habitude, adolescents, de nous masser mutuellement. On adorait ça. Les années passant, ça n’arrivait que plus rarement et mes études en prépa nous avaient éloignés géographiquement. Ces massages se faisaient en tout innocence et nous mettions un point d’honneur à les faire du mieux possible. Nous avions développé une sacrée technique dont mes copines ne se sont jamais plaintes.
— Bon d’accord, j’ai fini par lâcher, pensant retourner vite à mes cours.
— Chouette ! Tu commences !
Et merde ! Elle avait dégainé trop vite. J’ai pris son flacon en grommelant. Elle, pendant ce temps, enlevait son haut et son pantalon. Elle portait un joli soutien-gorge rose pâle assorti à sa culotte. Son corps avait beaucoup changé, je ne l’avais pas vu grandir. Ses seins avaient beaucoup poussé, elle faisait un bon 90C. Sa taille était davantage marquée et ses fesses, blanches et bien arrondies, la rendaient très sexy. Son corps mince d’adolescente avait gagné en formes aux bons endroits.
Elle s’est allongée sur mon lit, à plat ventre. Je la regardais pendant qu’elle se relevait les cheveux. Ma petite Laura était devenue une femme et je ne m’en étais pas aperçu… Sa culotte, presque transparente, laissait entrevoir sa raie. J’étais subjugué devant tant de beauté.
— Alors ? C’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
— Excuse-moi…
Je me suis installé à califourchon sur ses jambes et j’ai étalé de l’huile sur mes mains puis sur son dos. Elle frissonnait.
— Tu devrais dégrafer ton soutif, lui ai-je dit. C’est pas pratique.
Elle s’exécuta, l’enlevant complètement et le jetant par terre. J’ai aperçu, l’espace d’une seconde, sa belle poitrine mais elle s’est très vite remise en place. Mes mains pouvaient désormais caresser à loisir ce dos qui m’était familier. Je passais par moments sur ses côtes et la base de ses seins. Elle gémissait de plaisir, comme autrefois, mais j’interprétais différemment ces petits cris à présent. Ils m’excitaient vachement. Tant et si bien qu’une bosse apparut au niveau de mon entrejambe.
Je continuais de la masser du mieux que je pouvais. Elle me lâchait des "oui continue", "c’est si bon…" Mon sexe, tordu dans mon pantalon, gonflait à vue d’oeil. Il était maintenant en contact avec son petit cul mais ça n’avait pas l’air de la gêner. Au bout de quelques minutes, elle m’a dit que c’était mon tour. Je me suis déshabillé, gardant mon pantalon pour essayer de cacher mon érection. Laura attendait assise sur le lit, les bras sur ses seins.
— T’as fait de la muscu ?
— Pas du tout, j’ai répondu. Je devrais ?
— Oh non c’est très bien comme ça, t’as pris en muscles je trouve. T’es beau. Bon tu t’installes ?
J’obéis de bonne grâce à ma petite soeur.
— Attends tu peux enlever ton pantalon stp Paul ?
— Ok.
Je l’ai enlevé en me tournant vers le mur, pour qu’elle ne voie pas la bosse dans mon boxer. Elle s’est assise sur moi et a commencé le massage. Ses mains faisaient des merveilles. J’en avais bien besoin après tous ces mois de révisions et de stress.
Je sentais quelque chose d’humide sur ma cuisse. C’était sa culotte. Ma petite soeur mouillait, et pas qu’un peu. Était-ce mon massage qui l’avait excitée ou celui qu’elle me prodiguait ? À l’abri des regards, mon sexe se déployait comme il pouvait, grossi par l’excitation que je ressentais. Ses mouvements de bassin liés au massage se confondaient parfois avec des va-et-viens autrement plus érotiques. Elle gémissait encore alors que c’est elle qui massait ! J’avais l’impression qu’elle se masturbait sur mon cul. Je sentais parfois son sexe humide au contact de ma peau. Par moments je jetais des coups d’oeil sur ses seins qui pendaient dans le vide, en toute liberté, gonflés d’excitation. Ils étaient magnifiques. Ses tétons, d’un rose tendre, pointaient. Je la voyais rejeter sa tête en arrière en fermant les yeux et se mordant les lèvres. Elle a même un instant arrêté de me masser.
— Tu peux te retourner, m’a-t-elle dit après un long silence.
Je ne me fis pas prier. Tant pis pour mon érection, j’avais trop envie de jouir du spectacle de sa propre jouissance.
— Je te fait de l’effet dis-donc grand frère !
— Faut dire que t’es très belle Laura… Moi aussi je ne te laisse pas indifférente visiblement…
Elle rougit et baissa les yeux.
Elle reprit de l’huile et m’en étala sur le torse. Je pouvais désormais contempler le haut de son corps, son joli visage d’ange, son cou si fin, ses petites épaules douces, et surtout ses seins d’une beauté incomparable. Ils étaient en forme de poires, des poires bien pleines, bien rondes. Ses mamelons alternaient entre le rose et l’orange, on avait envie de les lécher, de les prendre à pleine bouche.
— T’aimes mes seins ? a-t-elle demandé.
— Oui oui je les trouve parfaits, j’ai bredouillé.
— T’es mignon…
Ses mains passaient sur mes épaules, mes pectoraux et mes abdos. Plus ça allait et plus elles descendaient vers mon bas-ventre. Je bandais comme jamais sous mon caleçon. Au point que ses poignets frôlaient le bout de mon gland turgescent. Je ne cachais rien de mon excitation à ma soeur, ce qui m’excitait encore plus…
Sans un mot, elle retira d’un seul coup mon boxer. Mon sexe, raide comme un bâton, se trouva à l’air libre.
— Il est gros… dit-elle en le regardant avec envie.
Mille sentiments contraires agitaient mon âme. Devais-je interrompre ce moment de grâce au nom de la morale ? Ou devais-je au contraire me laissait bercer sans savoir jusqu’où cela nous mènerait ? Il s’agissait de Laura, ma petite soeur, que j’aimais plus que tout !
Elle, paraissait moins gênée. Elle prit mon sexe dans ses petites mains et commença à le branler, tout doucement. Je n’aurais pas espéré mieux. Du liquide séminal perlait de mon gland et mouillait ses doigts. Je sentais sa culotte trempée sur ma cuisse. Elle caressait en même temps mes grosses couilles remplies de sperme prêt à jaillir.
Elle s’est penchée et posa des petits baisers sur ma verge palpitante de plaisir. Aux baisers se succédèrent des coups de langue, de plus en plus sensuels, tout le long de ma queue, à la base de mon gland, j’en pouvais plus…
Puis elle ouvrit sa bouche et goba mon sexe. Qu’elle était jouissive sa bouche, chaude et humide, parfaite pour mon gland… Je caressais ses cheveux, subjugué. Ma soeur était en train de me sucer ! Et en plus elle le faisait divinement ! Mieux que tout ce que j’avais connu jusqu’à présent…
Elle suçait comme une pro, en s’aidant de ses mains, alternant succions, coups de langue et gorges profondes. Je prenais mon pied. C’était tellement excitant que j’ai joui sans m’en rendre compte. Elle s’est retirée, surprise, quand elle a senti les premières giclées de mon sperme dans sa gorge. Mais loin d’être dégoûtée, elle tendit sa langue et recueillit les dernières gouttes.
— Mmmm ton sperme est trop bon Paul… dit-elle en se léchant les lèvres.
Soudain la porte de ma chambre s’ouvrit. Ma mère se tenait dans l’embrasure.
— Les enfants ! Qu’est-ce que vous faites ??