Cette histoire se déroule il y a 15 ans maintenant.
C’était lors de l’un de nos anniversaires de mariage en Provence.
Nous avions laissé les enfants encore très jeunes à nos parents et étions partis dans l’arrière pays pour une soirée resto sans plus. Enfin nous le pensions.
Anne, mon épouse avait une petite trentaine à ce moment, blonde, grande, bouclée avec des yeux clairs et un hâle de début d’été passé en bord de mer.
Elle avait revêtu pour l’occasion une jupette provençale à volants, très courte, un bustier rose. C’était un vêtement qui tenait uniquement autour de la poitrine et jusqu’au nombril, très serré. Cela lui dégageait le haut des seins qui ainsi ressortaient de belle manière et lui laissait les épaules nues. Il faut préciser qu’elle a un beau 95c.
Nous avions réservé dans un restaurant recommandé. dès son entrée, Anne suscita le regard de certains messieurs autour de nous, surtout lorsqu’elle enleva sa veste blanche et que ses cheveux tombèrent sur ses épaules dénudées et dorées. Ses seins étaient à peine cachés par le bustier qu’elle devait remonter régulièrement pour que les aréoles n’apparaissent pas.
Le serveur était aux petits soins pour nous, dardant son regard à la dérobée sur la poitrine d’Anne. Les épouses en revanche, avaient un regard réprobateur. Tant pis pour elles.
L’addition étant payée, nous sortîmes pour faire un tour dans le village et laisser passer les vapeurs d’alcool peu compatibles avec le fait de conduire au moins 70 km pour revenir à notre domicile. Les rues étaient silencieuses et les murs restituaient la chaleur accumulée le jour.
Anne à mon bras s’abstenait à présent de remonter son bustier et en faisant attention, je pouvais voir le haut de ses aréoles.
Elle regardait parfois aussi et s’amusait de mon regard sur sa poitrine.
Nous arrivâmes sur une petite place au bord de laquelle une petite fontaine faisait entendre son chuintement rompant avec le silence alentours.
Anne avait soif. Elle se pencha très en avant et prit l’eau avec sa main. Ce faisant sa robe très courte me laissa voir sa culotte qu’elle avait choisie très couvrante "pour le cas ou il y aurait du vent". J’avançai ma main pour caresser ses cuisses un peu hésitant. Selon son humeur elle pouvait soit me rabrouer soit me laisser faire. Elle ne réagit pas lorsque je commençai à lui caresser les fesses toute occupée à boire semble-t-il.Nous étions seuls, aucun bruit. Je continuais à lui mettre la main et passais entre ses cuisses: aucune réaction de rejet; sa culotte blanche contrastait avec le hâle de ses jambes.
Enhardi par le manque de réaction, je décidai de tenter ma chance et de lui baisser la culotte. Il lui arrivait selon les circonstances de se laisser faire. Cela dépendait de ses dispositions et j’avais l’impression qu’elle ne dirait pas non aujourd’hui. Le regard des mâles au restaurant devait y être pour quelque chose.
Je lui baissais la culotte jusqu’aux genoux et repris mes caresses. Elle se retourna et me dit:
-"Enlève la maintenant que tu l’as baissée, j’ai l’air de quoi avec mon slip sur les genoux?"
Je m’exécutais.
-"je te préviens, à présent tu l’auras voulu, au moindre souffle de vent, on me verra tout, cette jupe se soulève complètement très vite".
Sans mot dire, je repris Anne par la taille et nous continuâmes notre promenade nocturne. Je ne pus m’empêcher de lui mettre la main aux fesses. De temps à autres, elle se retournait pour voir si personne ne nous voyait. Mais tout était calme.
A un moment ,elle voulut remonter son bustier qui était beaucoup descendu; Je l’en empêchais.
-"Arrête, si je ne me rajuste pas on va me voir la poitrine".
Je chuchotai à son oreille :
-"Tant pis j’ai envie!".
Et je tirais vers le bas son vêtement. Les deux coques qui cachaient les bouts descendirent et Anne se retrouva seins nus. Les tétines étaient érigées.
Anne regardait ses nénés et la rue: inquiète.
-"Et si quelqu’un vient?".
-"Tu n’auras qu’à rabattre les pans de ta veste. Elle cachera tout".
-"Tu es vraiment vicieux de me montrer ainsi en promenade dit-elle. Mais je sentais qu’au fond elle n’était pas vraiment contre, au contraire.
Son bustier, en marchant était en train de tomber car il n’était plus tenu par le torse et la poitrine.
-"Il faut le remonter j’ai l’air de quoi comme çà?. Il faut le dégrafer et le remettre à sa place".
je fis semblant de m’exécuter, je dégrafai la fermeture à glissière et rapidement, j’enlevai le vêtement.
Je pris le bustier à la main et me remis à marcher . Anne était les seins à l’air en pleine rue!.
-"Tu es fou, je suis presque à poil à présent!".
-"Marche et ferme ta veste si on voit quelqu’un".
Anne avait l’air fâchée mais sa défense molle m’indiquait qu’elle laissait faire.
Nous marchâmes ainsi jusqu’à la voiture. Devant la portière, je la pris par la taille et l’embrassais. Elle me chuchota qu’elle aussi avait envie de moi. Je lui mis la main aux fesses puis caressai son sexe. Effectivement elle était très humide.
Sans lui demander son avis, je tirais sur sa jupe qui tenait par un petit élastique sur ses hanches.
Anne était affolée, elle était nue dans le parking. Je lui enlevais la jupe. Elle était belle entièrement dénudée.
-"Entre dans la voiture".
-Elle s’exécuta et me demanda si je comptais la faire voyager à poil. D’un signe, je lui montrais que oui.
Elle mit sa ceinture de sécurité et essaya de se couvrir de sa veste au mieux.
Sur la voie rapide, je me mis à la caresser, d’abord les seins toujours tendus puis le sexe. Elle se laissait faire mais observait les véhicules qui nous dépassaient.
La position étant inconfortable, je lui demandai de mettre ses pieds sur le tableau de bord pour avoir un meilleur accès à sa chatte.
-"S’il te plaît, pas çà, on va tout me voir ".
-"mais non, il fait nuit et puis on ne voit rien dans les voitures, regarde. Je lui montrai les véhicules qui doublaient. personne ne faisait attention à nous.
Rassurée, elle mit ses pieds sur le tableau de bord et je lui fis écarter les cuisses. Je pus ainsi avoir un accès plus facile à son clitoris que je me mis à caresser, puis son vagin.
Anne fermait les yeux et se laissait faire. Elle avait renoncé à couvrir ses seins qui maintenant apparaissaient complètement nus et dressés. Elle se mit à remuer son basin et à aller sur ma main. Je lui pris l’une des siennes et la dirigeai vers ses bouts.
-"Tu veux que je me caresse?".
-"Oui, aide-moi, je dois conduire aussi.
-"Il faudrait t’arrêter, j’ai envie de ton sexe dans mon ventre".
A ces mots, je commençai à chercher un moyen de m’arrêter pour prendre Anne au plus vite.
Je sortis de la voie rapide pour aller sur une aire de repos. Celle-ci était calme personne en vue. Je m’arrêtai près d’une table de pique-nique et sortis. Je pris Anne par la main, lui enlevais sa veste. Elle était totalement nue. Elle ne portait plus que ses chaussures à talons aiguilles.
Je l’entraînais sur la table proche et sans préliminaires, je la pénétrais.
-"On est fous, si quelqu’un nous voit" dit-elle.
-"Et bien on t’auras vue en train de te faire sauter sur une aire d’autoroute, c’est tout!".
Anne sous mes coups se mit à souffler:
-"Allez, vite va s’y, j’ai envie, vite! ouiiiiii!!!!.
Elle se cambra et dans un même élan nous jouîmes ensemble.
Elle reprit ses esprit et très vite, sa préoccupation fut de retrouver une apparence décente qui, selon elle commençait par éponger son sexe que je venais de remplir de sperme.
Je lui suggérai d’aller se laver la chatte au robinet des wc tout proches. Elle hésita puis me dit que c’était encore le mieux si il n’y avait personne.
Elle voulut se rhabiller
Bjr avec cette belle histoire d’amour avec Anne me donne l’envie de vivres cette belle moments et période en plein l’air avec mon homme c’est vraiment mon fantasme.