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Les démons de Noémie – Chapitre 9

Les démons de Noémie - Chapitre 9



IX

Humiliations

Partie 1

Une semaine sétait écoulée depuis le week-end chez André. Toutes ses récentes découvertes emplissaient lesprit de la belle Noémie. Son compagnon lavait trahie. Depuis combien de temps ? Pourquoi ? Et qui était son mystérieux complice ? De passive, elle était passée à actrice offensive. Elle ne devait surtout pas dévoiler son jeu mais continuer de maintenir Olivier dans lillusion quelle ne soupçonnait rien. De plus, la jeune femme avait un autre problème : Géraldi. Elle était encore sous son contrôle. Et le vieux ne manquait ni dimagination ni de perversité. Les images quelle avait vues tournaient sans cesse dans sa tête. Elle devait découvrir qui était lhomme au téléphone.

En route pour une intervention chez un nouveau client, la jeune philippine roulait depuis une vingtaine de minutes sur une nationale déserte et monotone lorsquelle reçut un message. Géraldi voulait la voir. La belle grimaça mais savait quelle ne pouvait pas refuser. Du moins, tant quelle navait pas trouvé un moyen de se sortir de son emprise. Ses récentes "mésaventures" sexuelles lavaient cependant convaincue de sa propre perversité et, si elle appréhendait les désirs tordus de Géraldi, elle nen était pas moins excitée. La jeune femme était grandement troublée par ce changement en elle. Était-elle ainsi avant tout ça, inconsciemment ? Ou était-ce ce mystérieux "trouble"  qui modifiait sa personnalité ? Plus le temps passait et plus elle avait peur des réponses à ses questions. Elle était sûre dune chose : on la manipulait dans lombre et elle devait découvrir qui et pourquoi afin de reprendre sa liberté. Le client quelle allait voir habitait dans un coin reculé de la campagne. La nuit tombait rapidement et la jeune femme sen agaça. Ses pensées se bousculaient dans sa tête. Le fait davoir obtenu plus dinformations sur son "trouble" et dévoilé une partie de la vérité la confortait dans sa détermination mais leffrayait aussi quant à ce quelle allait encore découvrir. Mais elle nétait plus seule : Cassandre était là, quelque part, avec des morceaux du puzzle.

Soudain, la petite Smart ralentit, toussa et le moteur sarrêta. Noémie essaya de redémarrer mais rien ny fit. Elle était bloquée au beau milieu de nulle part. La jeune femme sénerva et frappa son volant des deux mains. Cette histoire, cette journée, cette panne, tout lagaçait. Elle refusait de perdre le contrôle. Même si ses récentes victoires sur Olivier lui avaient redonné le moral, il nen restait pas moins quelle était sous lemprise dhommes quelle ne pouvait pas encore contrer. Elle chercha un numéro de dépanneurs sur son smartphone et appela les premiers de la liste.

— "Vous êtes où, madame ?", demanda une voix dhomme avec un fort accent du Nord.

— "Attendez un peu…", répondit-elle.

Elle regarda sa localisation et la transmit.

— "Ok, on voit bien où cest, on arrive, madame. Dici un quart dheure."

A peine dix minutes plus tard, la dépanneuse arriva lentement près de la petite voiture noire. Deux hommes descendirent, en bleu de travail. Ils étaient aussi gros lun que lautre. Le plus grand avait des cheveux noirs fins et graisseux, dépaisses lunettes et des yeux marron. Il avait un énorme goitre et une courte moustache. Lautre avait un visage rond et rougeaud, de la couperose et des yeux noirs que dénormes sourcils surplombaient. Ses cheveux blonds étaient tirés en arrière et gominés. Noémie les accueillit, bras et jambes croisés, contre sa voiture. Elle essayait de dissimuler tout ce qui pouvait exciter les deux hommes en commençant par son t-shirt blanc quelle pensait trop moulant. Son jean noir létait déjà bien assez. Ils sapprochèrent en souriant.

— "La petite dame va bien ?", demanda lhomme aux lunettes avec le même accent quelle avait entendu auparavant.

— "Oui, merci et vous ?"

— "Bien, bien. Bon, on va soccuper de vous, alors."

— "Euh, oui…"

— "Moi cest Jacky et lui cest Pierrot.", dit-il, en désignant le blond rougeaud.

— "Noémie."

— "Ah je vois que vous avez déjà pris derrière…"

— "Qu.. Quoi ?"

— "La voiture, elle a une rayure derrière."

— "Ah…"

Jacky fit le tour de la Smart, minutieusement. Pierrot fixa la jeune femme avec un regard vide. Noémie ne savait plus quoi penser. Elle redoutait tellement le moment où tout allait basculer quelle cherchait dans chaque mot des sous-entendus. Et elle commençait à être excitée alors quaucun des deux navait montré dintérêt pour elle. Ses yeux noirs senflammèrent et elle regarda Pierrot avec envie. Celui-ci resta pourtant impassible.

— "On va ouvrir le capot, madame ?", fit Jacky.

— "Oui, bien sûr…", fit-elle dune voix doucereuse.

Elle revint à son volant en se dandinant et une fois le capot ouvert, alla se pencher sur le moteur. en se cambrant fortement, pile dans leur champ de vision.

— "Je ny connais rien, messieurs, vous devriez regarder et mettre vos mains où vous voulez…", dit-elle en retournant sa tête vers les dépanneurs muets.

Intérieurement, Noémie était en plein chaos. Elle prenait maintenant linitiative dexciter les hommes ! Elle le redoutait depuis un moment, mais pensait quelle aurait eu plus de maîtrise. Elle détestait ce quelle était en train de faire et détestait être excitée à ce point. Cependant, les deux types ne réagissaient pas. Ou du moins pas comme elle le pensait.

— "Euh… oui, madame, daccord…", fit Jacky, avec un air perplexe.

Il sapprocha et examina le moteur. Noémie se colla contre lui et le fixa intensément. Un peu gêné, Jacky se décala sur le cöté. Il jeta un regard interrogatif à son collègue derrière lui qui se contenta de hausser les épaules.

— "Tout semble en ordre, cest bizarre, cette histoire."

Il tenta de refaire démarrer la voiture, puis se pencha vers lemplacement des fusibles. Après une manipulation, il remit le contact. La jauge dessence salluma alors et indiqua un niveau extrêmement bas.

— "Panne sèche, madame.", lança lhomme, un peu agacé

— "Quoi ? La jauge ne sest pas allumée et jai fait le plein, il y a deux jours."

— "Ben vous avez plus dessence.", répondit sèchement Jacky.

— "On va vous en mettre un peu, il y a une station à quelques kilomètres dici, vous pourrez y aller pour faire le plein.", ajouta Pierrot.

Noémie, interloquée, nen perdit toutefois pas ce quelle était en train de faire. Ses efforts pour combattre ce nouvel effet du "trouble" nétaient pas suffisants et la belle tenta daguicher les deux hommes.

— "Oui, merci, mettez-moi un peu… Je sais pas comment vous remercier…"

En disant cela, elle sétait planté devant eux, les bras dans le dos, offrant sa poitrine tendue sous son t-shirt à leurs vues. Elle souriait avec un air terriblement provocateur.

— "Euh… On est mariés, madame…"

— "Et alors ? Vos femmes nen sauront rien…", dit-elle tout en se rapprochant.

— "Non, vous ne comprenez pas…. Nous sommes mariés", dit Pierrot, en détachant bien les trois derniers mots.

Soudain, Noémie comprit et devint rouge de honte. Jacky mit un peu dessence dans le réservoir et présenta sa facture.

— "La prochaine fois que vous avez le feu au cul, allez en boîte, ça sera plus simple.", dit-il très en colère.

Noémie, mortifiée, paya et remonta dans la Smart. On avait délibérément saboté sa voiture. Enlever le fusible et vider le réservoir. Mais pourquoi ? Et ce nouvel état… Comment allait-elle pouvoir se battre si elle-même devenait également un problème ?

La station nétait en effet pas très loin. Il y avait deux énormes camions sur le parking à droite. Les deux pompes en face du magasin fermé étaient en libre-service. Plus loin derrière se trouvaient les toilettes, grises et peu avenantes. A gauche, sur une bande de pelouse, une grande table en bois pour pique-nique jouxtait la route. Le tout était éclairé par des réverbères aux lumières blafardes. Elle fit rapidement le plein en espérant ne croiser personne. Quand un peu dessence gicla sur son poignet…

— "Merde… Faut que je me lave les mains maintenant."

Elle se dirigea vers les toilettes, perdue dans ses pensées. Léclairage faible et cru du lieu faisait surgir des ombres sordides sur les murs sales et grisâtres. Elle ne remarqua pas les panneaux, obscurcis par la nuit indiquant le côté "homme" et alla directement au lavabo. A sa gauche, un type urinait. Il interpella la belle philippine qui ne lavait pas vu.

— "Vous vous êtes trompée, miss !"

Surprise, Noémie sursauta et se retourna vers lui. Cétait un gros bonhomme ventripotent, portant un t-shirt noir et un jean bleu clair. Ses chaussures de sécurité noires pataugeaient dans la pisse rance. Il était brun, les cheveux en bataille, et avait des yeux noirs globuleux. Son énorme nez surmontait une bouche aux lèvres épaisses. Il tenait dans sa main son sexe et continuait de pisser devant la belle, sans se formaliser.

— "Les bonnes femmes, cest de lautre côté.", dit-il, goguenard.

Noémie ne répondit pas et fixa le sexe intensément. Lhomme sen amusa et après avoir fini, laissa sa bite à lair.

— "Elle te plait ? Tu devrais venir la voir dun peu plus près…"

Noémie sapprocha de lhomme sans quitter la queue des yeux.

— "Ouais, cest ça, viens la voir… Regarde, elle tapprécie aussi…"

La bite changeait effectivement de taille. Lhomme prit la main droite de Noémie et la posa dessus. La jeune femme commença à le branler.

— "Super…. Elle serait bien dans ta bouche, au chaud…"

Elle saccroupit et regarda le sexe palpitant dans sa main pendant quelques secondes. Il sentait la pisse frâiche. Lendroit puait terriblement, ce qui renforça lexcitation de la belle. Elle lécha le gland où se trouvaient quelques gouttes durine puis enfourna la queue jusquà la garde.

— "Oh putain… Ouais… Génial…".

Elle suçait lentement et profondément. Lhomme posa les deux mains sur sa tête et accentua avec des petits coups de reins. Il la regarda avec un mépris écrasant.

— "Les gonzesses, que des putes… Tes juste bonne à baiser toi…"

Elle le fixa de ses yeux noirs enflammés et accéléra sa pipe comme pour lui donner raison. Elle mouillait abondamment maintenant et ses seins pointaient sous le t-shirt.

— "Putain, jai bien envie de te la mettre dans la chatte…", dit-il en serrant les dents.

Noémie se releva et défit rapidement son jean. Elle fit glisser sa culotte et sappuya sur lurinoir en se cambrant pour offrir sa chatte détrempée à linconnu. Ce dernier ne se fit pas prier et après avoir abaissé son pantalon, lembrocha aussi sec.

— "Sale pute, taimes ça, toi, hein ?", dit-il en criant presque et en la limant fermement.

— "Hmmm, oui…."

— "Baiser dans la pisse, hein ? Salope ! Taimes le foutre, hein ? Taimes la bite et la pisse, salope !"

Le flot dinsultes la rendait folle. Elle saccrochait au rebord de la pissotière et au tuyau tandis que le gros bonhomme la limait bien à fond.

— "Oh merde alors ! Cest une pute ? Elle prend combien ?", entendit-elle soudain.

— "Ah ben putain, tas raison ! Jai même pas demandé !", répondit le gros.

— "Je… Je… Jprends rien…", souffla Noémie entre deux coups de boutoir du bonhomme.

— "Ah putain, tes gratuite mais tu vas prendre cher !", sesclaffa-t-il.

— "Oh ? Cest vrai ? Une salope gratuite ? Ah ben cest super !"

Le deuxième inconnu était tout aussi gros et avait un énorme double-menton. Son visage était bouffi et son nez écrasé et large. Deux yeux noirs le surplombaient. Son crâne était largement dégarni et luisant. Noémie pouvait sentir sa forte odeur de transpiration et de bière. Sous son débardeur gris, on pouvait voir sa graisse faire des vagues à chaque mouvement. Il portait un jean bleu foncé et bandait déjà comme un taureau. A ses pieds, des tennis blancs.

— " Faut que jattende mon tour ou y a moyen de se faire sucer ?", dit-il les yeux brillants et avec de limpatience dans la voix.

Lautre éclata de rire tout en continuant de baiser la belle asiatique de toutes ses forces. Elle sagrippait comme elle pouvait pendant quelle subissait les assauts violents dans sa chatte.

— "Quest-ce qui te fait marrer ?"

— "Avec ce genre de pute, faut pas demander, tu la prends par les cheveux et tu fourres ta bite dans sa petite gueule, cest tout. Cest juste bon à éponger ta queue, ça. Un trou à foutre et à pisse qui aime se faire bourrer comme une chienne."

Lautre avança et attrapa les cheveux de Noémie, la forçant à lâcher lurinoir. Il dirigea sa tête vers son entre-jambe. La belle pivota et son nez senfonça dans la braguette du gros.

— "Sors ma bite et suces, salope.", ordonna-t-il.

Elle sexécuta rapidement. Elle défit la braguette, sortit la queue grossissante et lavala jusquaux couilles. Lhomme la soutenait par les bras tandis que son autre baiseur la défonçait encore plus violemment. La jolie tête brune de Noémie allait et venait rapidement sur la grosse bite du nouveau venu et son nez senfonçait dans ses poils noirs puants. Ses mains effleuraient lémail de lurinoir encore ruisselant de pisse. Toutes ces odeurs se mélangeaient et la surexcitaient encore davantage. Dans la nuit silencieuse retentissaient les bruits de succion et les clapotis que faisait sa chatte à chaque coup de bite de linconnu derrière elle. Elle suçait aussi profondément quelle pouvait, manquant parfois de sétouffer. Les deux hommes, quant à eux, profitaient à fond de laubaine et se mirent à linsulter copieusement.

— "Bouche à foutre, prends bien ça dans ta gueule, petite pute ! Taimes ça les grosses bites bien odorantes, hein ? Tu me la bouffes bien, ma queue, sale chienne ! Tiens, avales bien !"

— "Dans les chiottes, hein ? Et avec des inconnus… Elle ta plu ma pisse, hein ma salope ? Tas aimé la lécher sur ma bite, ma pisse, hein ? Ten voudras peut-être dautre ? Je vais télargir ta fente à fond moi, défoncer ton trou à bites. Sale pute !"

Complètement surexcitée et concentrée sur les deux sexes, Noémie avait cependant une infime gêne, une petite voix intérieure qui lui disait que quelque chose clochait. Lintervention, la panne, cet endroit, ces deux hommes, tout cela sonnait faux. Mais lintensité de la partie de baise balaya les furtives pensées de la belle. Lhomme derrière la défonça de plus en plus fort et ses grosses couilles claquèrent sur ses cuisses. Celui en face avait posé ses mains sur la jolie tête brune et imposa son rythme. Son sexe gonflé déformait les joues de la jeune asiatique et senfonçait dans sa gorge violemment. Cela dura encore quelques minutes lorsquils décidèrent de changer dendroit.

— "On va dans mon bahut ? On sera mieux.", proposa le nouveau.

— "Non, jai une bien meilleure idée. La table dehors."

— "Hein ? Mais on va nous voir de la route…"

— "Mais on sen fout et de toute façon, il y a jamais personne sur cette route. On sera plus à laise pour prendre cette salope comme on veut."

— "Euh.. Je sais pas…"

— "Viens voir cinq minutes."

Ils séloignèrent et laissèrent Noémie pantelante et à moitié nue dans les toilettes et se mirent à parler à voix basse. La jeune femme remonta vite sa culotte et son jean et se faufila pour essayer dentendre.

— "Tu me fais confiance ? Cest quand même moi qui tai appelé et mis sur ce plan cul, non ?", dit le premier inconnu.

— "Oui, oui, cest cool, mais je vois pas trop ce que ça change mon bahut ou là-bas…"

— "Cest comme ça, tinquiètes, ça va bien se passer."

— "Bon ok", fit, un peu dubitatif, le deuxième.

Ils se dirigèrent à nouveau vers les urinoirs. Noémie se remit dans la même tenue et position quavant leur départ. Il y avait quelque chose dextrêmement louche dans toute cette situation. Mais Noémie décida de continuer à jouer le jeu. Sa jeunesse et sa beauté étaient certes des atouts, mais sa grande intelligence en était un autre que beaucoup sous-estimaient. Et elle comptait bien conserver cet avantage dans cette folle histoire. Elle avait senti le traquenard assez rapidement et voulait savoir qui se cachait derrière ça. Plusieurs informations avaient été données involontairement par ses deux baiseurs. La première : tout ceci était une mise en scène, les hommes se connaissaient. La seconde était le fait que cela devait se dérouler dehors, à la vue de tous. Pourquoi ? Le commanditaire serait-il en train despionner depuis la route ? De filmer ? Les deux hommes surgirent devant la belle philippine.

— "Allez, petite salope, on bouge, viens. On va te démonter bien comme il faut."

Elle commença à se rhabiller mais le premier inconnu lui ordonna de tout enlever. Elle les suivit donc entièrement nue jusquà la grande table à peine éclairée par un lampadaire. Sur la route, aucune voiture ne passait. Elle chercha à distinguer une forme humaine au loin, cachée derrière les arbres, mais ne vit rien. Le premier inconnu jeta une vieille couverture rouge et verte sur le bois et la déplia sur toute la surface. Puis il saisit la jeune femme par le bras et la força à sinstaller sur le dos, les fesses au bord. Il déboutonna son jean, saisit les jambes quil cala sur ses épaules et pénétra de toutes ses forces la jeune asiatique. Noémie poussa un cri de plaisir rapidement étouffé par la queue du second qui sétait couché de biais sur la table, les bras en extension comme pour faire des pompes et qui lui baisait littéralement la bouche à grands coups de reins.

— "Ah ouais, ma salope, je men vais te limer les dents !", dit-il, hilare.

— "Quelle chienne, celle-là, putain, jen reviens pas. Et canon en plus…"

Le gros en t-shirt noir la baisait aussi vite et fort quil pouvait tandis que celui en débardeur défonçait sa bouche à grands coups de bite. La belle était de nouveau totalement soumise et excitée par la violence et les insultes de ses deux baiseurs. Elle ne se concentrait plus que sur ça, non sans avoir dans un coin de son esprit une lueur de conscience qui essayait danalyser lensemble de la situation. Les deux hommes changèrent de position : le premier grimpa sur la table et se faufila sous la jeune asiatique qui le chevaucha, offrant son cul doré au second. Lhomme au t-shirt noir introduisit sa queue rapidement dans la chatte dégoulinante de Noémie tandis que le second comprit ce quon attendait de lui et encula dun coup sec la belle jusquà la garde, lui arrachant de grands cris de douleurs et de plaisir mélangés. Le gros dans son cul bougea rapidement et sa graisse flasque fit des bruits ignobles contre la peau dorée de la jeune femme. Il respirait fort et transpirait. Lautre en dessous mordilla les tétons sombres de la belle philippine et lui défonça brutalement la chatte. Noémie ne tint pas longtemps et cria de plaisir. Les deux types redoublèrent defforts et la baisèrent aussi profondément quils le pouvaient. La sueur du type en débardeur dégoulina sur le dos de la belle qui ondulait son bassin en cadence et poussait des gémissements de plus en plus fort.

Soudain, les trois "amants" virent les phares dune voiture se rapprocher de la station. Elle pila en faisant crisser les pneus, ralentit à la hauteur de la table et roula au pas jusquau parking.

— "Putain, je lavais bien dit !"

-"Ta gueule et continues de lenculer !"

— "Quoi ? Tes dingue !"

Lautre le regarda fixement et lui fit un clin dil. Il finit par écouter son ami et senfonça encore plus dans la cul de la belle philippine. Son comparse sacharna sur ses tétons tout en allant au plus profond de la chatte en feu. Des silhouettes visiblement masculines se dessinèrent dans lobscurité. Quatre types, titubant et marchant lentement, les rejoignirent. Ils parlaient très fort et riaient en se tapant sur les cuisses, exagérément. Apparemment ivres, ils les avaient vus depuis la route et avaient décidé de voir ça de plus près.

Noémie les dévisagea rapidement. Trois étaient dans la cinquantaine : un, très mince, brun, les yeux vitreux, portait une chemise blanche avec de nombreuses tâches de vin et un pantacourt beige. Son visage était très ridé et son nez petit et fin. Il arborait une écorme moustache brune qui cachait sa lèvre supérieure. Le deuxième, un rondouillard en débardeur noir et en pantalon blanc tâché également, marchait avec de grandes difficultés. Il portait une moustache fine et de grosses lunettes rondes sur un nez court et large. Sa peau était très rouge. Le troisième, un homme très petit, avec un visage visiblement ravagé et creusé par lalcool était brun et mal rasé. Dans sa bouche ouverte, on distinguait de rares dents jaunes et de nombreux trous. Ses vêtements froissés et sales semblaient trop grand pour lui. Il portait un t-shirt rouge et un jean gris. Quant au dernier, il était beaucoup plus vieux, peut-être entre soixante-cinq et soixante-dix ans. Il portait ue chemise à carreaux rouges et blancs et un pantalon de velours marron. Très gros, il avait des touffes de cheveux blancs en bataille au-dessus de ses oreilles et un crâne très dégarni. Son nez était écrasé et rouge, constellé de crevasses. Ils arrivèrent tant bien que mal jusquau trio.

— "Eh ben les gars, on samuse bien par ici, hein ?", lança le rondouillard après un énorme rot.

— "Bon sang, lest chaude, la pouliche !, fit le plus vieux.

— "Allez venez les gars, cest libre-service !" lança lhomme sous Noémie, tout en continuant de la baiser.

Les quatre types restèrent quelques secondes à larrêt devant le spectacle. Le gros au dessus de la belle enleva son débardeur maculé de sueur et le jeta sur le dos de la jeune philippine. Il lenculait brutalement et extrêmement rapidement, ses couilles frappaient ses cuisses lourdement. Lautre ramonait la jeune chatte de toutes ses forces. Le petit sapprocha enfin et monta sur le banc près de la table. Il sortit sa queue maladroitement et lenfonça directement dans la bouche de la belle asiatique en transe.

— "Ouais, cest ça, mec, direct dans la gueule !", cria linconnu au t-shirt noir.

Les autres se précipitèrent alors et entourèrent la table. Le vieux imita son ami et sinstalla de lautre côté. Il siffla pour attirer lattention de Noémie tout en sastiquant frénétiquement. La belle tourna la tête et enfourna la queue dans sa bouche. Les autres avaient également sorti leurs bites et étaient debout sur les bancs. Ils se branlaient en attendant leur tour. Le gros "enculeur" céda sa place au rondouillard qui senfonça dans le trou directement.

— "Oh putain, y a du monde quest déjà passé là-dedans, dis-donc !" fit il en plantant sa queue dans lorifice dilaté.

— "Jvais chercher des bières dans le bahut, faites comme chez vous, les mecs !", lança celui qui venait de se retirer.

Le type enfourna sa queue profondément dans lanus de Noémie, puis la retira totalement. Et en la guidant de sa main, lenfonça à nouveau de tout son long, brutalement. Lhomme en dessous sarrêta en ricanant pour admirer le spectacle. La belle philippine était en train de sucer alternativement le petit et le vieux. Mais cette intromission très violente lui fit retourner sa jolie tête vers le rondouillard et surtout vers sa bite. Lhomme la fixa en riant et se retira pour recommencer son manège mais en prenant encore plus délan. La belle ouvrit grand la bouche et cria en regardant le membre disparaître entre ses fesses. La douleur et le plaisir étaient intenses et elle fronçait les sourcils en fermant les yeux à chaque pénétration. Puis les ouvrait à nouveau en attendant la prochaine charge. Le rondouillard samusa ainsi encore quatre fois et reprit une sodomie plus "classique". Son complice se remit également à limer la jeune asiatique, prête à avaler de nouveau les queues des deux autres qui avaient eu lair de grandement apprécier cette petite pause.

Ils changèrent de position et la jeune philippine se retrouva jambes écartées, les fesses au bord de la table, côté banc droit. Le vieux avait décidé de la baiser seul. Il fit glisser son pantalon et senfonça dans la chatte béante et inondée. Il la regarda fixement dans les yeux et se mit à la défoncer très rapidement. Le petit homme sallongea près de la jeune femme et engouffra sa langue dans sa bouche pulpeuse. Il puait le mauvais vin et son haleine était atroce. Le vieux commença à suer. Il lui mit une claque sur le sein droit. Noémie se raidit et poussa un gémissement étouffé par la langue de lautre. Le vieux recommença et la baisa aussi brutalement que ses forces lui permettaient.

— "Oh, la petite pute, bon sang de bon sang !", dit-il en balançant un coup sur lautre sein.

— "Cest pas ta bonne femme, la Yvonne, hein, Dédé ? Celle-là, tu peux la prendre par tous les trous, elle dira jamais non !", fit, lautre avant de remettre sa langue dans la bouche de Noémie.

— "Ouais, tas bien raison !", sesclaffa-t-il.

La jeune femme glissa une main jusquà son clitoris et le malaxa rapidement tandis que le vieux la défonçait. Le brun à moustache se rapprocha.

— "Alors, Papy, elle est pas bonne cette soirée ? On a bien fait de te sortir, hein ?"

— "Ah ouais, mon Bruno, cest génial."

— "Et pis, on a bien fait de passer par là, hein, ma salope ?, ajouta-t-il en regardant la jeune femme.

Cétait effectivement une coïncidence troublante. Mais Noémie, à cet instant, ny prêta pas attention et les yeux mi-clos, savourait sa partie de baise. Le dénommé Bruno regarda pendant quelques minutes et prit la suite du vieux, qui alla souvrir une canette de bière. Lautre type roulait toujours des pelles à la belle asiatique tout en caressant ses seins. Il y mettait une petite claque de temps en temps ce qui la faisait frémir et gémir. Lautre homme sacharna fébrilement dans sa chatte à grands coups de reins en agrippant à ses cuisses.

— "Sale petite pute de chinetetoque, taimes ça la bite !", dit-il, les dents serrées.

Le petit releva son buste et enleva son t-shirt. Il puait lalcool et la sueur. Sur son torse étroit, quelques poils épars. Il était maigre mais son ventre était gonflé. Il savança pour mettre sa queue à la hauteur du visage de Noémie. Sur le flanc, il allongea la jambe droite et plia lautre, libérant son sexe qui tomba sur le nez de la  philippine. Elle ouvrit grand la bouche et avala le membre. Le type pencha la tête en arrière avec un rire gras. Elle le suça profondément. Bruno ravageait littéralement la chatte ruisselante avec un air méprisant sur le visage. Il planta ses ongles noirs dans la peau dorée des jambes de la jeune philippine et la laboura sans vergogne. Après quelques minutes, le rondouillard intervint.

— "Allez, fous-toi à quatre pattes, salope, on va tous de défoncer !"

Plus personne navait de pantalon, à part le gros de lurinoir qui lavait attrapée par les cheveux. Noémie obéit et se retrouva très vite avec ce dernier dans sa chatte, le grand brun dans son anus et le premier inconnu dans sa bouche. Ils la limèrent brutalement et extrêmement rapidement. Bruno frappa ses fesses alternativement jusquà les faire rougir. Noémie, étouffée par une bite, hurla sans quaucun son à part un gémissement sourd ne sortit. Ils étaient déchaînés et la ramonèrent comme des forcenés. Autour, les autres riaient et parlaient entre eux, descendaient des canettes de bière. Ils la pilonnèrent ainsi pendant de longues minutes avant de changer de place avec leurs camarades. Le petit passa dessous, le rondouillard prit le cul et le vieux, la bouche. La jeune philippine était en sueur, totalement surexcitée et malgré ses fesses endolories, jouissait comme une folle. Elle avait déjà eu deux orgasmes et le troisième nallait pas tarder à arriver. Le petit malingre la défonça et mordilla ses tétons qui devinrent douloureux à force dêtre ainsi maltraités. Et cela la faisait jouir encore plus fortement. Le rondouillard lenculai de toutes ses forces, et continua de frapper ses fesses rouges tandis que le vieux baisait littéralement sa tête à grands coups de reins, enfouissant le nez de la belle dans ses poils gris et collants. Ses grosses couilles ridées lui frappèrent le menton et la mâchoire de Noémie si sollicitée commença à être elle aussi douloureuse. Les queues entraient et sortaient de ses trous à très grande vitesse et les bides gras tapaient contre sa peau. Ils puaient tous la sueur et le vin rance. Noémie accompagnait chaque mouvement, pour bien ressentir les bites luisantes et humides au plus profond delle. Le rondouillard, après sêtre brièvement retiré, prit un élan monstrueux et enfourna sa bite avec une extrême violence dans lanus largement dilaté de la philippine qui lâcha la bite du vieux pour hurler. Ce dernier ne la laissa pas reprendre son souffle et remit sa queue au fond de sa gorge. Le petit doubla sa vitesse et son intensité dans la chatte distendue et goba le sein en jouant avec sa langue sur les tétons.

— "Putain, ouais ! Mais quelle salope ! Cest qui les bonhommes, hein ? Petite pute !", cria le vieux.

— "On pourrait y foutre une bouteille de pinard dans son cul, tellement on la élargi !", fit, hilare, le rondouillard après un rot.

— "Putain, mais quelle bonne pute, cette chinetoque ! Et elle encaisse, hein ? Une pute de compétition !", sesclaffa le petit sous elle.

Les autres autour riaient tout en buvant encore. Ils se relayèrent une dernière fois et jetèrent toutes leurs forces dans le pilonnage sans merci des orifices dilatés et rougis de la jeune femme. Le gros des urinoirs se filma avec son portable pendant quil baisait le cul de Noémie. Pour la postérité, il sourit devant la caméra, descendit ensuite vers le corps de la belle qui bougeait sous les assauts de sa bite dans son anus, et essaya davoir sa tête. Mais ses longs cheveux noirs dansaient eux aussi et recouvraient le beau visage de lasiatique en feu. Il fit un panoramique et filma tous ses complices dun soir. Puis enfourna son portable dans sa poche avant de redoubler ses coups de boutoir.

Après une dizaine de minutes, tous se retirèrent et le groupe dhommes entoura, debout sur les bancs, la belle Noémie, tremblante, en sueur et exténuée. Elle se mit sur le dos. Les premiers jets de sperme ne tardèrent pas à jaillir, suivis de nombreuses autres salves. Les giclées atteignirent le visage, les seins, le ventre et les jambes. Cétait un flot ininterrompu de foutre qui se déversait sur le corps encore brûlant de la jeune philippine. Elle en avait absolument partout.

— "Eh ben, on l’a repeinte en blanc, la chinetoque !", sexclama le vieux en riant très fort.

Noémie se ressaisit et voulut se laver au lavabo. Le premier inconnu lui donna une serviette et de quoi se nettoyer. En partant, la jeune asiatique fit un grand sourire au gros des urinoirs et ralentit en passant devant lui. Elle se dirigea vers les toilettes, lentement, en se dandinant. Le gros la regarda séloigner, puis lui emboîta le pas. Arrivé aux pissotières, il lobserva en train denlever le sperme sur elle. Il bandait à nouveau. La jeune femme enfila sa culotte et son jean, lentement. Le gros la prit soudain par les cheveux et la força à se mettre à genoux. Noémie sourit et dégrafa le pantalon puis avala la queue. Le vêtement tomba au niveau des mollets du bonhomme. La belle suça avec ardeur la bite du gros qui ne tarda pas à cracher son jus dans sa bouche. Elle avala tout en se léchant les lèvres puis se releva, enfila son soutien-gorge et son t-shirt.

— "Faut que je rentre, maintenant…", dit-elle, en souriant.

Le gros sourit aussi et repartit rejoindre ses amis. Noémie regagna rapidement sa voiture et démarra en trombes. Le petit groupe dhommes lui fit de grands signes quand elle passa devant eux.

Sur la route, à peine remise de ses émotions, elle fit le tour de ce quelle avait pu noter : les caméras de surveillances de la boutique donnaient sur la table, ce qui expliquait la volonté du type de la baiser à cet endroit précis. Elle devait donc récupérer les enregistrements avant le commanditaire de ce traquenard quelle soupçonnait être Géraldi. Elle sortit ensuite le portable quelle avait dérobé au gros. Un smartphone avec un compte Facebook actif. Elle avait son nom et ses contacts. Très utiles pour la suite des évènements. Elle en oublia son client quelle supposait factice et retourna vers la ville. Sur la route, son corps entier douloureux réclamait encore du sexe. Elle était toujours très excitée. Elle voulut même sarrêter pour se masturber mais lutta pour garder son contrôle et rentrer dune seule traite chez elle. Elle devait se lever très tôt demain.

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