Jai épousé Clarisse il y a trois ans mais je vis avec elle depuis 2011. C’est un second mariage pour elle comme pour moi alors même si nous nous aimons, nous sommes un peu désenchantés. Nous croyons plus aux compromis raisonnables et aux choix réfléchis qu’au grand frisson et à lamour inconditionnel.
Il y a des bons côtés et des moins bons dans ma nouvelle vie. Je classe plutôt les innombrables et interminables repas dans la famille de Clarisse dans la seconde catégorie.
Nous passons beaucoup de dimanches avec les parents et la sur de ma femme… Et quand je dis "sa sur" il faut comprendre la sur en question, son mari, leurs quatre enfants, une fille et trois garçons ainsi que les petites amies des deux plus vieux. Quand ma femme dit "Ma sur vient déjeuner", il faut prévoir huit couverts.
Je m’entends plutôt bien avec tout ce petit monde, il faut dire que je fais les efforts nécessaires pour cela. En fait il n’y a qu’une seule chose qui soit problématique: l’attitude de la nièce de mon épouse, Mélanie.
Elle m’a toujours "bien aimé", comme on dit, mais très vite j’ai compris que dans son esprit de jeune fille en fleur, cela allait bien plus loin que de la simple affection. N’ayant aucune envie d’aller en prison ni de divorcer de nouveau, j’ai toujours évité au maximum les contacts avec cette gamine qui m’envoie sourires et regards pleins de sous-entendus depuis que je la connais.
Aujourdhui elle est majeure, elle a 19 ans ce qui résout l’aspect judiciaire du problème mais pas le reste.
Le mois dernier, la famille célébrait les 25 ans de son frère aîné et une salle avait été louée pour l’occasion. Il y avait un monde fou, famille éloignée, copain de facs ou de lycée des quatre enfants, amis, voisins et d’autres personnes dont je n’aurais pas su dire le lien quelles avaient avec ma belle-famille.
Pour couronner cela, ma femme m’avait saoulé toute la journée en me reprochant de ne pas avoir fini de repeindre l’entrée de la maison. J’avais tenté de lui expliquer dix fois qu’il nous manquait une partie de la peinture nécessaire et que je ne la recevrais que le jeudi suivant, rien n’y avait fait. Elle avait absolument tenu à gueuler pendant près de deux heures. Cela m’avait mis d’une humeur massacrante, d’autant plus à quelques heures d’une énième festivité familiale.
Dès l’entrée dans la salle des fêtes, je laissais donc ma femme avec ses parents et j’allais en direction du bar improvisé pour affoner* un demi de bière (*petit clin d’il à mes amis belges).
J’avais à peine reposé mon verre que Mélanie, la nièce déjantée de mon épouse, s’était déjà glissée a côté de moi. Elle s’était faite belle: coiffure réalisée par un professionnel, chaussures à talons, robe courte à fines bretelles qui mettait ses cuisses de sportive et ses seins volumineux en valeur.
— "Bonjour Tonton, tu me fais un câlin ?"
Elle se serra contre moi avant que je ne réponde et elle resta accrochée à mon torse en continuant à discuter.
— "Qu’est-ce que tu veux à la fin Mélanie ?"
— "Je pense que ça a toujours été clair Non ?"
— "J’ai 41 ans, tu en as 19 et je suis marié avec ta tante. C’est n’importe quoi"
— "T’aurais dû me sauter il y a deux ans, t’aurais eu moins de quarante ans… si c’est ça qui te gêne"
Elle rigola et j’avais envie d’en faire autant. Elle avait de la repartie, on ne pouvait pas lui enlever cela.
— "Tu ne seras pas déçu. Tu pourrais me faire tout ce que tu veux. Comme dans les films de cul".
Je regardais autour de moi puis je profitais de la promiscuité et du fait que Mélanie soit toujours blottie contre moi pour glisser une main sous sa jupe et empoigner ses fesses.
Elle me fixa sans se dégager alors je poussais plus loin le défi en glissant ma main sous la dentelle de sa culotte. Le bout de mes doigts progressa sur sa chaire délicate jusqu’à s’insinuer dans le sillon fessier de l’ingénue.
— "Alors ? Tu fais moins la maline maintenant."
Prise à son propre jeu, je m’attendais à ce qu’elle se dégage ou qu’elle panique mais sa réponse n’alla pas dans le sens où je l’imaginais.
— "Viens me baiser. Tu ne regretteras pas."
Ce n’était pas ce que j’avais voulu mais je sentais la peau douce se son cul contre mes doigts, elle m’offrait une vue plongeante sur ses seins rebondis, elle me promettait de se plier à toutes envies… et je n’étais qu’un homme, pas réellement satisfait sexuellement par son épouse qui plus est. Alors quand elle sentit ma volonté flancher et qu’elle me tira par la main pour m’emmener à l’autre bout de la grande salle, je la laissais faire.
Nous franchîmes une porte puis montâmes un escalier avant de rentrer dans une sorte de bureau. Mélanie me montra la serrure et la clé qu’elle avait ramassée puis elle nous enferma.
Elle ne voulait sans doute pas me laisser le temps de changer d’avis alors elle fit très vite tomber les bretelles de se robe et jaillir ses seins de leur écrin. Elle vint coller son dos contre mon torse et elle se frotta à moi tout en amenant mes mains sur sa poitrine dénudée.
— "Regarde Tonton, ils sont ronds et fermes presque comme si c’était des faux".
Elle en faisait trop mais ce nétait pas pour me déplaire. Je serrais mes doigts pour la peloter comme on pétrirait des miches de pain mais elle ne protesta pas. Au contraire, elle soufflait et ondulait contre moi pour m’encourager à me faire plaisir. Et pour être honnête, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas touché une femme aussi bien faite. Je fermais les yeux et j’oubliais tout, mon mariage, son âge et nos liens familiaux même sils nétaient que "par alliance". Je ne ressentais plus que le contact de sa poitrine sous me doigts et de ses tétons qui se laissaient pincer lorsque je ne soupesais pas les formes généreuses de la jeune femme.
Je me rendis compte de ce que j’étais en train de faire une minute plus tard mais il était déjà trop tard. Et dans mon esprit enivré par l’odeur délicate de Mélanie je concluais que quitte à fauter, le mieux était sans doute de consommer totalement cet adultère.
— "A genoux"
Mélanie s’exécuta, trop heureuse que je me prenne au jeu et elle accepta également tous les ordres suivants.
— "Ouvre la bouche"
…
— "Tire un peu la langue"
…
-"Lèche le bout de ma queue pendant que je me branle devant toi"
…
— "Ne me touche pas avec tes mains. Serre-ten pour caresser tes seins.
Je m’amusais ainsi plusieurs minutes puis, après avoir ordonné à ma nièce par alliance de serrer elle-même ses tétons avec ses doigts, je plaçais mes mains derrière sa tête pour lui infliger une fellation brutale.
La brunette me regarda avec amour.
— "Je t’ai dit que tu pouvais me baiser comme dans les vidéos pornos. Je le pensais"
Elle ouvrit la bouche, ferma les yeux et je ne me retins à aucun moment. Au tout début, je la fis patienter quelques secondes en ne plaçant que mon gland dans sa bouche puis je tirais brutalement son visage jusqu’à faire cogner ses lèvres contre mon ventre.
Elle poussa des gémissements et manqua de s’étouffer mais je ne lui laissais pas de répit et je baisais ses lèvres sans lui laisser le temps de s’habituer. Mélanie mettait toute la bonne volonté possible mais elle avait du mal à s’en sortir. Je n’avais jamais traité une femme ainsi et je dois avouer que c’était un plaisir phénoménal de pousser la jeune femme dans ses retranchements et de la voir prendre sur elle pour me satisfaire.
Je finis par ralentir le rythme puis ressortir ma verge de sa bouche mais je l’y renfonçais en voyant Mélanie s’apprêter à parler.
Cette fois je maintins sa tête immobile au lieu de la faire aller et venir et je baisais ses lèvres aussi profondément que précédemment en lui infligeant des coups de reins brutaux. Elle tentait parfois d’ouvrir les yeux pour me regarder mais la plupart du temps elle les fermait et fronçait les sourcils.
C’était de loin la meilleure fellation de ma vie mais j’en voulais plus. J’aidais ma partenaire à se relever et enlever définitivement ses vêtements et je la courbais face en avant sur un des bureaux de la pièce.
Je plongeais ma queue jusquà la garde dans sa chatte brûlante et je la tringlais comme une brute sans le moindre ménagement. Je la besognais longtemps jusquau moment où je sentis le bout des doigts de la jeune femme effleurer mes testicules. Je compris qu’elle caressait son clitoris en même temps que je la sautais.
— "Ça te plait petite branleuse ? C’est comme tu l’avais imaginé ?"
— "C’est encore mieux. Baise-moi encore".
Je la pris jusqu’aux couilles mais plus lentement cette fois et je la sentis jouir de la double sensation dans son ventre et sur son bourgeon.
Elle m’avait dit être prête a tout et je n’avais pas encore joui alors je me laissais aller à mes pires instincts. Je quittais ses lèvres intimes, je crachais sur mes doigts et je les amenais à la rencontre de l’illet de Mélanie. Je la caressais doucement, elle ne se dégagea pas alors je me lâchais à mon tour:
— "J’ai envie de t’enculer"
Ma nièce ne répondit pas mais, toujours cassée en deux sur la table, elle posa une main sur chacune de ses fesses et elle les écarta.
Je pris mon temps pour la caresser puis je glissais mon index entre ses lèvres vaginales pour le lubrifier avant de forcer l’entrée de son joli petit cul.
Elle souffla mais elle ne se débina pas et elle se laissa faire également lorsque jenfonçais un second doigt en elle.
Elle n’était sans doute pas vierge de ce côté non plus mais son expérience était visiblement très limitée. Je fis attention de ne pas la brusquer et j’attendis de la sentir prête pour pousser simultanément mon majeur et mon index entièrement en elle.
Je crachais ensuite dans mon autre main et badigeonnais ma verge de salive.
Mélanie écartait toujours ses fesses à pleine mains lorsque je présentais mon gland contre sa corolle. J’aurais voulu immortaliser cette image tant c’était à la fois trash et sexy.
Je poussais doucement pour la pénétrer mais elle grogna tout de même sa gêne et son inconfort. Je caressais son dos et je ne m’aventurais pas trop loin pour lui permettre de s’habituer mais je dus prendre tout mon temps.
Son cul était tout serré autour de ma queue, c’était divin mais j’étais dans un bon jour et je parvenais parfaitement à freiner l’évolution de mon plaisir. Je pu la sodomiser longuement mais doucement et sans m’enfoncer de plus d’une dizaine de centimètres.
Mélanie finit par parvenir à se décontracter et elle commença même à balancer elle-même son fessier d’avant en arrière sur ma hampe. Je trouvais cela totalement excitant et ce fut pire lorsquelle lança une nouvelle cochonnerie pour mallumer:
— "Tonton, j’aime trop comme tu m’encules. Il faudra qu’on le refasse"
Elle était marrante et sexy mais j’avais envie de donner une leçon à cette gamine alors je décidais de conclure nos ébats avec la même brutalité que nous les avions débutés. Je me cramponnais aux hanches de ma nièce et je pense qu’elle comprit ce que j’avais en tête. Elle se cambra et me tendis ses fesses autant qu’elle pouvait.
Je me projetais en elle de toute mes forces et je fis résonner le claquement de nos peaux dans toute la pièce puis je reculais pour de nouveau cogner contre elle aussi violemment que je le pouvais.
Elle hurla mais garda la position, je perdis les pédales et je baisais son cul comme un damné en beuglant à chaque mouvement rageur.
— "Haaaa. Putain Tonton, tu me défonces"
Je ne pouvais pas répondre, j’aimais trop cela et je n’étais concentré que sur mon plaisir.
— "Haii ! Je suis ta pute, casse-moi le cul"
Je m’étais cru un type bien pendant 40 ans mais j’adorais entende cette gamine parler ainsi et plus que tout j’aimais qu’elle me laisse la traiter comme jétais en train de le faire.
Je sentis mes couilles tressaillir, je me plantais aussi loin que je pu dans le rectum de la pauvre Mélanie et je profitais du plaisir divin de sentir mon sexe cracher au fonds d’elle. Je respirais fort et elle soufflait comme une athlète en plein effort, nous entonnions un surprenant concert qui célébrait le bouquet final de nos ébats.
J’eus l’impression d’éjaculer plus et plus longtemps que d’habitude mais mes perceptions étaient sans doute déformées à cet instant.
Malgré ce moment exceptionnel, je ne voulais pas que Mélanie s’imagine quoi que ce soit. Je voulais qu’elle ne voie aucun avenir ni aucun romantisme dans notre relation alors je la libérais de ma virilité, me rhabillait et quittait la pièce sans lui dire un mot.
Je l’abandonnais affalée au milieu du bureau, débrayée et mon sperme dégoulinant de son cul.
Je trouvais des WC et un lavabo en rejoignant la salle des fêtes et jen profitais pour tenter de me nettoyer et me recoiffer puis je retournais au milieu des convives en essayant que personne ne comprenne pourquoi et avec qui je métais éclipsé.
Au bout d’un moment je sentis ma femme m’agripper par le bras.
— "Ça fait une heure que je te cherche partout !"
— "Moi aussi. Il y a un monde fou. Je suis allé dans le jardin derrière la salle".
Je ne revis pas Mélanie pendant près de deux heures mais au moment du repas elle vint sasseoir en face de mon épouse et moi.
— "Tata, tu pourras me prêter Tonton la semaine prochaine. On a des cours sur l’utilisation dExcel à la fac. Je comprends rien."
— "Oui ma puce. Bien sûr"
— "Merci Tata. Toute à l’heure il m’a expliqué quelques trucs. C’est vraiment un super prof".
…
— "Tonton, ça te va Mardi soir ?"
— "Je… heu…. Oui".
Elle repartit comme elle était venue et ma femme se tourna vers moi.
— "Je suis désolée, ça ne tembête pas trop ?"
— "Non ça va. C’est une gamine qui a du potentiel, je suis content de l’aider à le développer".