Nous arrivons devant la loge du gardien et nous entrons. José, le gardien, vient aussitôt vers nous. Il a une quarantaine dannée, un ventre de buveur de bière et une allure négligé. Ma mère ne laime pas. Elle le soupçonne de mater les femmes et jeunes filles de limmeuble. Son fils, Bruno, la vingtaine, surgit à son tour. Ils dévisagent maman avidement avec un regard pervers. Ils matent ses seins sans vergogne.
« Mme B, lança José goguenard, je ne vous croyais pas si salope !
‒ Une vraie chienne, renchérit aussitôt Momo, on vient de la baiser ! »
José sapprocha de maman et lui palpa les seins, les soupesant et les relâchant. Lui tordant les pointes.
« Depuis le temps que tu mexcites avec tes airs de bourgeoise coincée, je vais enfin pouvoir te défoncer. Attends un peu ! »
Il alla chercher un sac et son fils rigola
« Papa ramène son matériel, lança-t-il à lattention des autres. Il a tout ce quil faut, Mme B ne fait pas parti de ses « clientes », mais il en a deux de limmeuble quil baise régulièrement.
‒ Jadore humilier les bourgeoises dans son genre, je les fais gueuler avec mes outils ! »
José sourit et expliqua qu’il exerçait un chantage sur la fille du médecin.
Je sursautai. Je voyais bien de qui il sagissait, cétait Aurore, qui avait 19 ans, comme moi. Une jolie blonde.
« Et je me tape la comtesse ! »
Momo regarda José incrédule.
« Une vraie comtesse ? »
José haussa les épaules.
« Daprès elle, oui. Elle a 76 ans mais elle est encore bien gaulée. Elle est veuve ! »
Il sortit de son sac, une paire de menottes, un gode aux dimensions monstrueuses, un collier en cuir et une laisse, ainsi quun bâillon. Il sapprocha de maman qui, terrorisée, voulu fuir. Elle courut maladroitement sur ses talons aiguilles, mais fut vite rattrapée par Momo et ses sbires. Le concierge ramena ses bras dans le dos et la menotta. Il lui enfonça le bâillon qui était composé dune boule en latex que lon attachait derrière la tête avec une lanière. La mâchoire de ma mère était complètement déformée et ses cris se transformaient en gargouillements. Il attacha le collier autour du cou et y fixa la laisse.
« Allez ! À genoux, chienne ! »
Tirant sur la laisse, il contraignit maman à se mettre à quatre pattes et lui fit faire le tour de son appartement sous les rires des autres. Le fiston alla fouiller dans le sac et tendit une cravache à son père. José asséna quelques coups de cravache sur les fesses de maman qui rougirent aussitôt. Jentendis les gémissements étouffés de ma pauvre mère. Il dirigea maman vers son canapé et la força à se coucher sur laccoudoir du canapé, exhibant ainsi son cul à tous les autres. De nouveau, il lui fouetta le cul. Sylviane criait sous son bâillon. Puis, il plongea ses doigts dans la fente de maman.
« Viens-voir, fiston, elle est trempée ! »
Bruno se précipita et remplaça son père, fouillant la chatte de ma mère sans ménagement. Il me regarda tout en branlant ma mère.
« Tas déjà gouté a ta chienne de mère, y parait ?
‒ Il la même enculée, tout à lheure ! », renchérit Farida.
José prit le gode et lenfonça dans la chatte de maman qui poussa un gémissement. Il était vraiment énorme. Il le fit coulisser rapidement. Les yeux exorbités, Maman grognait dans son bâillon. De la bave coulait sur la boule. Pendant ce temps-là, Bruno malaxait les seins de ma mère. Le concierge releva ma mère en la tirant par les cheveux.
« On va lamener à la cave ! »
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Nous sommes sortis dans le hall, maman toujours bâillonnée et menottée. Les seins à lair. Elle fut trainée vers les caves de limmeuble. Elle descendit les escaliers tenus en laisse par le gardien. Nous arrivons dans un couloir sombre et il se dirige vers sa cave. Il ouvre la porte et nous rentrons. Sa cave est assez grande et elle est surtout aménagée pour des séances BDSM. Il ya des chaînes, des lanières, une croix de Saint-André et un anneau fixé au plafond.
« Cest la que jamène la comtesse, comme ca on nentend pas ses cris !
‒ Faudra que tu nous la présente celle-la !, demanda Momo.
‒ Oui et la jeune aussi ! », lança Farida.
Jimaginais bien ce quelle pensait déjà lui faire subir.
José détacha maman et fixa les menottes à lanneau du plafond. Elle se retrouva les bras relevés, en équilibre sur la pointe de ses talons aiguilles. José se présenta derrière elle et il la pénétra sauvagement la tenant aux hanches. Son fils se mit devant et il lui suça les seins. José pilonnait ma mère qui couinait derrière son bâillon. Elle est en sueur, les cheveux défaits, le visage ravagé.
Ce fut une véritable orgie. José défonçait maman comme une brute. Il se retira et lencula brutalement. Bruno en profita pour introduire sa bite dans la fente de ma mère. Ma pauvre maman était défoncée par le père et le fils qui alternaient leurs coups de reins. Ils ne tardèrent pas à jouir éclaboussant de leurs spermes le cul de maman.
Le concierge se retira encore raide et lança la cantonade :
« Quelquun en veut encore de la bourgeoise ? »
Ce fut la curée
On se précipita sur maman totalement impuissante. Livrée à ces pervers. On lui palpa les seins, des doigts sintroduisirent dans sa chatte. On lui titilla le clitoris de longues minutes jusqu’à ce quelle jouisse en grognant. On lui enfonça index et majeur dans son anus. On la pénétra par tous les orifices, elle dut subir des doubles pénétrations voire des triples. Son corps est secoué comme un prunier par les coups de reins de ses tourmenteurs. On la défonçait avec vigueur. On lui fouettait le cul et les seins. José la détacha et maman saffala sur le sol. Ses bas étaient en lambeaux.
Ils se réunirent tous autour delle et ils se masturbèrent. Certains éjaculèrent sur elle, laspergeant de foutre. Elle en eut sur les fesses, les seins, les cheveux. Dautres lui urinèrent sur le visage malgré mes protestations et les supplications de ma mère. Lurine coula sur ses lèvres et son menton. On lobligea même à ouvrir la bouche et Momo lui pissa dedans, la traitant de « pissotière ». Ma pauvre maman était anéantie sur le sol, recouverte de sperme et durine.
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Nous sommes remontés de la cave et Momo et ses complices nous ordonnèrent de remonter chez nous. Il nous rappela, néanmoins, que demain, pendant que je serai au lycée, ils viendraient chercher Sylviane pour lemmener dans le sex-shop. Il fut aussi convenu avec le gardien et son fils que très bientôt une « fête » serait organisé avec Sylviane, Aurore et « la comtesse » Momo a assuré quil viendrait avec du renfort. Cela ferait un super film et cela ne lui déplaisait pas de penser que grâce au gardien, il allait avoir de nouveaux esclaves sexuels.