Société Nationale des Contrôleurs Fornicateurs
Le récit que vous allez lire est fictif .. Même si à mon avis ça a du arriver à un moment où à un autre.
Bonjour, je mappelle Sonia, jai 28 ans, je suis une jolie brune bien proportionnée, mariée, mère dune petite fille, et je vais vous relater ce qui mest arrivé lannée dernière.
Je revenais de Paris pour rentrer à Nantes où pour le boulot, je devais faire une présentation de notre agence à la maison mère de lentreprise où je travail. Au départ je ne voulais pas y aller mais on mavait promis une prime ainsi quune promotion si je me portais volontaire. Compte tenu de nos difficultés financières, avec mon mari à ce moment ça n’allait pas fort, je ne pouvais pas refuser.
Ça cest donc passé dans le train, durant le trajet de retour. Sur le quai je cherche les wagons 2ème classe et je traverse la voiture pour tenter de me trouver une place. Je trouve un compartiment inoccupé et je my installe. Etant seul et le train étant sans escale, jen profite pour me lire un bon livre.
Au bout de 20 minutes, la porte souvre et un contrôleur entre. Cétait un homme avec un peu de brioche, joufflu, rouquin (ou blond vénitien suivant les écoles), habillé du traditionnel uniforme de contrôleur : costume gris, cravate et casquette aux couleurs de la SNCF. Quelque part il ressemblait à mon mari mais en plus obèse.
— Bonjour madame, contrôle des billets, veuillez me présenter votre titre de transport, sil vous plait.
— Voila
— Euuhh Excusez moi madame mais cest un billet de 2ème classe que vous avez là.
— Oui. Pourquoi ?
— Vous êtes assise en 1ère.
— Mais je suis entrée par la porte du fond qui était 2ème classe pourtant.
— Oui mais la 1ère commence au milieu du wagon, au début des compartiments.
— Ah Cest pour ça quil y avait personne. Je comprends mieux.
— Malheureusement je vais devoir vous verbaliser.
— Oh non ! Vous y êtes vraiment obligé ? Cest juste une petite erreur de siège.
— Je sais mais cest le règlement.
— Sil vous plait, jai des difficultés financières en ce moment, avec mon mari ça nous pèse. Vous mavez lair dun brave gars, vous ne pouvez pas oublier une fois ?
— Ecoutez ce couplet je lai déjà entendu. Malheureusement cest pour tout le monde pareil. . Toutefois il y a effectivement un moyen de sarranger et de me faire changer davis. Dit-il en me scrutant de haut en bas.
— C’est-à-dire ?
— Et bien. . Il est toujours possible de payer autrement quavec des euros. Dit-il en sasseyant à coté de moi et en me caressant la cuisse.
— Je suis mariée et je ne suis pas une fille facile.
— Très bien. Comme vous voudrez.
— Et puis on pourrait nous surprendre.
— Il suffit de verrouiller le compartiment.
— Oui mais .
— Ecoutez, je vous offre la possibilité de vous en sortir sans rien payer. A vous de choisir. Je fini ma tournée et je repasse vous voir après. Ça vous laisse tout ce temps pour réfléchir.
Il sorti du compartiment, me laissant seule. 20 minutes plus tard il revint me voir.
— Alors madame, vous avez réfléchi ?
— Vous me promettez que ce sera sans suite ? Juste ce soir ? Sans conséquences ?
— Oui. On fait ça ici maintenant et on se quitte comme ça.
— Alors cest daccord.
— Parfait. A vous de me montrer que vous y êtes disposé.
A ce moment là le contrôleur saffale sur la banquette en défaisant sa braguette et sortir sa queue. Je me suis approché et jai commencé à le sucer.
— Cest déjà bien. Déshabille toi et prend ma queue entre tes seins.
Après un strip tease improvisé, je commençais à lui faire une cravate de notaire tout en lui léchant le bout du gland.
— Mmhh bien. Cest ton mari qui doit être content. Tu es très doué. Bon tu mas montré ta motivation maintenant à moi de jouer.
Cest alors quil me plaqua, nue, par terre, sur la moquette du compartiment. Avec sa main il me releva ma jambe et me pénétra violement. Il me besogna avec force et rapidement jusquà jouir et lâcher sa semence dans mes entrailles. Il se reculotta en me remerciant puis sorti du compartiment en me laissant le reçu disant que javais été contrôlé.
En arrivant chez moi je retrouve mon mari qui me demande comment sest passé mon voyage. Bien sur je ne parle pas de lépisode avec le compartiment du train et je lui annonce quavec mon boulot ça ira mieux vu que jaurai une prime et une promotion.. Du coup ce fut des retrouvailles très . Calines.
Neuf mois plus tard, je mettais au monde un petit garçon. Mon mari était aux anges mais javais un doute. Qui en était le père ? Je nai jamais essayé de savoir par un test ADN de peur de provoquer un scandale.
