Bonjour, cest Antoine.
Après ces émotions, avec mes parents, nous avons pu reprendre une vie normale. Enfin presque normale, car il sest passé des choses tout de même. Des choses qui laisseront des traces indélébiles.
Je suis avec ma mère dans le jardin lorsquelle reçoit cet appel de Michel qui linforme que le voyage à Miami se profile, la semaine prochaine plus précisément. Il lui dit quelle et moi serons de la partie. Il ajoute que nous serons dans un super hôtel et que nous pourrons profiter au maximum de ce voyage. Nous sommes super heureux. Il lui en a dit peu sur le tournage quelle devra faire sur place.
Ma mère dit à mon père que nous partons en vacances tous les deux, pour nous ressourcer. Mon père ne pose pas plus de questions.
La veille du départ, ma mère prépare sa valise, elle est toute joyeuse. Maillots de bains, crème solaire, petites robes et autres vêtements dété remplissent sa valise.
Le jour du départ, elle porte une robe légère de couleur crème arrivant au dessus du genou et des escarpins crème également.
Dans lavion, ma mère se détend. Jobserve ses genoux et le début de ses cuisses. Elle feuillette des magasines féminins.
Je vois deux hommes dans la rangée dà côté qui lorgne sur ma mère. Ils discutent entre-eux à voix basse et regardent successivement les jambes et les seins de Monique. Ils narrêtent pas de la reluquer. Ça en devient gênant, cest comme si je nexistais pas !
Ma mère se lève pour aller chercher une boisson au fond de lavion et je vois lun des hommes se lever et emboîter le pas de ma mère.
Je les observe de loin. Je vois cet homme adresser la parole à ma mère et je la vois qui répond. Je ne peux pas entendre ce qui se dit mais je la vois rire maintenant. Ils boivent un verre ensemble, tout en discutant. A un moment lhomme lui donne ce qui semble être une carte de visite. Lautre gars me voit les observer et esquisse un sourire narquois. Au bout dun quart dheure, ma mère revient sasseoir, suivie de son Don Juan.
Je demande à ma mère ce que ce type voulait. Elle sourit en me disant quil voulait juste discuter. Elle sait que je nen crois pas un mot. Et je sais quelle nen croit pas un mot
Arrivés à laéroport et après avoir récupéré nos bagages, nous sortons de laérogare, non sans que ma mère ait fait lobjet une nouvelle fois de regards salaces de la part des deux hommes de lavion.
Michel vient nous chercher à bord dune belle limousine noire avec chauffeur. Ce dernier met nos valises dans le coffre et nous ouvre les portières. Nous nous installons confortablement. Michel est en face de nous. Il sort une bouteille de champagne et des coupes pendant que la voiture démarre.
Nous trinquons tous les trois dans une ambiance très détendue.
Michel parle du très bel hôtel quil a réservé pour nous, de ce que nous pourrons visiter, des restaurants que nous pourrons fréquenter..
Michel aborde aussi ce qui nous attend. Il nous dit que le tournage commencera après demain, quand nous serons bien reposés.
Pourquoi dit-il « nous » ? Je vais vite le savoir
En fait, il nous explique que le scénario est simple. Un fils et sa mère, français, passent leurs vacances à Miami. Le fils, joueur invétéré, additionne une telle dette de jeu quil ne peut pas rembourser. Les agents de recouvrement, trois blacks baraqués, débarquent dans la chambre dhôtel pour récupérer largent. Mais de largent, il ny en a pas. Cétait à nous dimaginer la suite…
Michel nous dit que pour linstant il fallait que lon profite de notre séjour et que lon pourrait parler de cela plus tard.
Ma mère semblait dubitative, et moi aussi dailleurs. Ma mère ose une question :
« Mais qui jouera le rôle de mon fils ? »
« Mais qui est le mieux placé pour le jouer ? » répond Michel
« Ton fils bien sûr ! En plus le cachet sera encore plus important »
« Oui mais quand même.. » chuchote ma mère.
« Oh Monique, ce nest pas comme si ton fils ne tavait jamais vue te faire baiser ! » renchérit Michel.
« Allez Monique.. Tiens, je suis sûr que ça ne dérange pas Antoine, et quil est même content dêtre aux côtés de sa maman pour cette épreuve, nest ce pas Antoine ? »
« Oui cest vrai maman, je pourrai te soutenir comme ça »
« Tu vois !! Allez écarte un peu les cuisses, laisse moi voir Monique.. »
Et Michel accompagne le geste à la parole en écartant le genou gauche de ma mère.
« Oh tu as une belle culotte à dentelle blanche »
Michel saffale sur son siège et commence à dégrafer son pantalon.
« Allez Monique tu vas me pomper avant darriver à lhôtel, allez viens.. »
Ma mère descend de sa banquette, lascivement, se met à quatre pattes et savance vers le sexe de Michel déjà dressé. Je vois maintenant ma mère à quatre pattes, de derrière. Elle gobe littéralement la bite de Michel qui émet un râle de plaisir soudain.
« Oh oui cest bon !!!! Oh putain, quest ce quelle suce bien ta mère !! »
Je vois ma mère qui branle Michel en même temps que quelle le suce. Il lui prend maintenant la tête et lenfonce complètement sur sa queue. Je vois ma mère qui a du mal à respirer. Il lui prend les cheveux et lui soulève la tête. Ma mère en profite pour retrouver sa respiration.
« Putain, je suis excité Monique, tu vas me faire cracher.. »
Michel met la tête de ma mère sur le haut de sa cuisse et sastique avec vigueur. Quelques secondes plus tard, un flot épais de sperme vient sécraser sur la joue gauche de ma mère, son front et ses cheveux.
« Ah ça fait du bien ! Content que vous soyez là ! » dit Michel en se reboutonnant le pantalon.
Ma mère se rasseoid sur sa banquette en cherchant dans son sac à main un mouchoir. Elle sessuie le visage comme elle peut. Ma mère ne semble même plus gênée de ma présence. Je dois dire que moi aussi, je ne suis plus choquée de la voir ainsi se comporter, la voir ainsi traitée…
Arrivés à lhôtel, au moment de descendre, Michel nous dit :
« Bon profitez bien. Je viendrai vous chercher ici après demain à 10 h 00. Repose toi bien Monique.. » Michel dit ça en riant..
Nous regardons la limousine séloigner et nous rentrons dans lhôtel. La journée se passe bien. Nous nous installons confortablement dans la très belle chambre avec vue sur la mer. Nous descendons profiter de la piscine. Le lendemain, nous faisons du shopping, allons à la plage, au restaurant. Il fait super beau.
Le soir arrive, je pense à ce quil va arriver le lendemain. Ça na pas lair dinquiéter ma mère plus que ça.
Dans la chambre, on regarde un film, on ne parle pas. On finit par éteindre. Jai du mal à trouver le sommeil..
Nous descendons prendre le petit déj, face à la mer. Nous remontons dans la chambre. Ma mère prend sa douche, se prépare, se maquille. Je me prépare également. Ma mère met une robe rose avec de fines bretelles, des escarpins roses également. Lheure approche. Nous descendons dans le hall.
La limousine arrive. Michel ouvre la portière et nous fait rentrer. La voiture repart.
« Bon je vais vous expliquer. On va arriver, je vais vous présenter les acteurs, ensuite vous allez aller voir lhabilleuse et ensuite au maquillage. »
Nous arrivons dans les studios. Cest grandiose, il y a des hangars énormes. Nous entrons dans lun deux. Il y a plein de décors différents. Nous arrivons dans une espèce de salon où trois blacks sont assis dans des canapés. En nous voyant arriver, les trois bestiasses se lèvent. Michel nous présente, en anglais. Ma mère parle bien anglais et moi aussi. Ils embrassent ma mère, ils me serrent la main. Ils font tourner Monique sur elle-même pour ladmirer. Ils disent quelle est belle. Ma mère a lair de prendre du plaisir à être ainsi admirée.
Michel nous dit quil faut maintenant aller nous habiller. On nous conduit dans une autre pièce où une femme dune trentaine dannées nous attend, au milieu de nombreux portants de fringues. Elle regarde ma mère, lui demande sa taille et sa pointure, va dans les rayons et lui rapporte des vêtements, chaussures et accessoires. Pour ma part, elle me dit que cest bon. Ma mère part shabiller. Elle revient en jupe noire moulante, des bas noirs, un chemisier blanc laissant bien voir son opulente poitrine et des escarpins noirs. Ensuite le maquillage.
Moi aussi on me maquille, je nai pas lhabitude.
Nous retournons ensuite dans le hangar dédié au tournage. Jentre dans une grande pièce où il y a des machines à sous. Il y a également des caméras, des perches, des techniciens qui sactivent. On me dit de me positionner devant une machine et de jouer. Les techniciens se positionnent autour de moi avec leur équipement. Jai pour instructions de jouer et de faire mine de perdre. Ma mère suit la scène de derrière les caméras.
Je fais donc mine de perdre à chaque coup, en faisant semblant de taper sur la machine dénervement.
Au bout de 10 minutes, le réalisateur indique « coupez ». La première scène est terminée.
Nous traversons maintenant le hangar pour arriver dans une grande pièce aménagée en grande chambre dhôtel.
On nous donne à ma mère et moi des instructions sommaires et nous disant de nous laisser guider par nos « partenaires ».
Là encore, les techniciens se mettent en place. On dit à ma mère de sasseoir sur le canapé, proche du lit, avec un magasine. Quant à moi, on me demande de regarder la télé allongé sur le lit.
Une fois en place, le réalisateur annonce « moteur ». On frappe à la porte. Ma mère me dit daller ouvrir. Jouvre la porte et là les trois colosses blacks à casquettes entrent en me poussant violemment à lintérieur de la chambre. Ma mère émet un cri de terreur en se levant. Lun deux se dirige vers ma mère et dun geste brusque la repousse vers le canapé. Les deux autres me prennent par le bras et me font asseoir à côté delle.
Lun deux dit à ma mère que je dois beaucoup dargent au casino et quil faut rembourser. Cest quand même lironie du sort ce scénario…
Ma mère leur dit que lon na pas dargent. Un colosse dit quil va falloir trouver un terrain darrangement. En disant cela, il prend place à côté de ma mère sur le canapé, suivi de son collègue, qui dans le même temps me dit de dégager sur le fauteuil den face.. Ma mère se retrouve ainsi assise entre les deux. Le troisième se positionne sur laccoudoir de mon fauteuil. Les deux en face de moi lorgnent sur les atouts de ma mère.
« Bon alors il est temps de passer à la caisse la bourgeoise.. » dit lun des deux.
Ils commencent à caresser ses seins au travers du chemisier, dégrafent les boutons, écartent les pans pour dévoiler ses gros seins enserrés dans un soutien gorge à dentelles blanc. On dirige les mains de maman vers le sexe des deux vicieux, quelle commence à caresser à travers leurs jeans.
Ils écartent un peu les deux bonnets et se mettent en position pour lui lécher les tétons. Dans le même temps, ils lui écartent les jambes, ce qui nous donne, à mon voisin et moi, une belle vue sur la couture des bas et la culotte blanche à dentelles. Ils caressent ses cuisses à travers ses bas, tout en continuant de lui bouffer les nibards. Lun deux monte maintenant vers la bouche de maman quil lèche également. Ma mère sort sa langue aussi. Je vois ces deux langues se mélanger. Je vois les mains de ces deux balèzes remonter doucement vers le triangle de ma mère. Ils lui écartent encore un peu plus les jambes et commencent maintenant à lui caresser la chatte à travers la dentelle. Ma mère continue de les caresser tout en se faisant bouffer la bouche successivement par lun et lautre. Ils écartent le tissu et la caresse directement à même la peau. Leurs mains se baladent partout, ses jambes, sa chatte, ils la doigtent maintenant.. Ma mère commence à gémir. Je vois celui à côté de moi qui commence à descendre son pantalon, sortir sa queue et commencer à se branler en regardant cette scène. Mon dieu, il a une bite énorme !!!
Je vois également les autres commencer à défaire leurs pantalons et sortir… leur engin.. wouaaa !!! Ce nest pas possible, ma mère ne va pas se manger ça…
Ma mère continue de gémir en fermant les yeux et en renversant sa tête en arrière.
Lun deux prend la tête de ma mère et la fait descendre vers sa queue. Ma mère, en se sentant guider, ouvre les yeux et alors quelle est à quelques centimètre du chibre énorme, ouvre grand les yeux et semble terrifiée. Elle essaie de relever la tête mais le lascar lui baisse énergiquement la tête vers sa bite. Ma mère a la bouche complètement déformée par cette bite énorme. Le loustic me regarde en souriant, ça doit lexciter que je le regarde en train de se faire sucer par ma mère. Le deuxième se place derrière ma mère et lui retrousse sa jupe. Lui aussi est super bien membré. Mon dieu, quest ce quelle va prendre ! Il bande déjà. Il ajuste ma mère qui est allongée en train de sucer, se place allongé derrière elle et lenfile en lui agrippant larrière du genou pour lui maintenir la jambe en lair. Ma mère émet un cri en prenant ce gourdin dans son sexe. Il fait des vas et vient dans sa chatte, ça coulisse bien finalement.. Elle a la bouche remplie. Celui à côté de moi est toujours en train de se branler en jetant un regard de fou vers ce trio.. Celui qui se fait sucer lui relève la tête de ma mère et lui indique de venir sur sa bite, il dit à son pote darrêter. Lautre retire sa queue de sa chatte, ma mère se lève et vient chevaucher le premier, avec toujours sa jupe retroussée. Je vois les fesses de ma mère descendre et remonter sur le membre bien dur. Le deuxième se met debout sur le canapé et approche sa queue de la bouche de mère, quelle gobe comme elle peut.. ça va de plus en plus vite, le deuxième lui baise la bouche en la prenant par les cheveux. Celui qui est à côté de moi, bouche ouverte, continue de se branler énergiquement en ayant les yeux exhorbités dirigés vers ma mère. Il se lève, toujours en se branlant, et se dirige vers le trio. Il prend ma mère par les cheveux et la tire vers lui. Les deux autres maugréent quelques mots de mécontentement mais le laisse faire. Ma mère se retrouve debout. Il la fait mettre à quatre pattes, les deux autres regardent. Lui est debout derrière, toujours en train de se branler. Il lèche ses doigt, longuement, et les passe ensuite sur le petit trou de Monique. Il va donc lenculer maintenant, avec son gros manche… Il saccroupit derrière le cul de ma mère et présente son gland. Je vois sa queue entrer, centimètre après centimètre, doucement. Ma mère commence à gueuler, je la comprends… ça y est maintenant il a pris son rythme de croisière. Il la défonce. Ma mère gueule, en secouant la tête de droite à gauche. Le black qui la prenait sur le canapé sallonge sur le sol, sur le dos, en se masturbant. Celui qui encule ma mère se retire, la prend par les cheveux et la dirige vers celui qui est allongé. Elle le chevauche et se prend le chibre dans sa chatte. Celui qui lenculait se place encore derrière elle. Ils vont la prendre en double !! Ma mère tourne la tête, comprend. Elle dit non.
« Ta gueule salope ! » sera la seule réponse, et également cette deuxième bite qui va lui défoncer le cul. Le troisième sinvite dans sa bouche.
Voilà, tous ses orifices sont comblés. Ma mère ne peut même plus gueuler. Au bout de cinq minutes, et sur instructions du réalisateur, les trois blacks se retirent et mettent ma mère sur les genoux. Elle nen peut plus. Ils se positionnent tous les trois autour delle, et se masturbent énergiquement.
Ils finissent tous trois à exploser sur le visage de Monique. Putain, ils navaient pas dû éjaculer depuis des semaines les salauds !! Les giclées quelle se prend !! Son visage est couvert de foutre !! Elle en a dans les cheveux, ça coule sur ses seins….
Les gars sont fiers deux, ils checkent, rigolent, se rhabillent et sen vont en se foutant de ma gueule. Je vais vers ma mère pour la soutenir. Et jentends « coupez ». Voilà, cest fini. Tous les techniciens remballent. On demande où se trouve le point deau. On nous indique un lieu assez loin. Ma mère traverse tout le hangar à moitié à poil le visage plein de sperme. Je la prends par la main pour ne pas quelle soit seule dans cette épreuve.
Au lavabo, elle se nettoie le visage et se rhabille. On rejoint Michel qui dit que cétait génial et que lon méritait nos 50.000 dollars. Ah oui quand même !!
Ma mère est comme très éprouvé de ce tournage. On rentre à lhôtel, on se repose encore deux jours avant de repartir. Deux jours de soleil à la piscine ou à la plage pour décompresser avant de reprendre lavion.
