La première fois avec un homme
J’ai 50 ans, j’ai toujours été hétéro et j’adore les femmes. Sauf que
Au début de lâge adulte, n’ayant eu que quelques petites aventures féminines consistant à toucher les petits seins en émergence de filles trop saintes nitouches pour allez plus loin, je profitais de toutes les occasions pour découvrir les joies de la sexualité et me masturbais donc fréquemment.
C’est ainsi quà cette période, je remarquais qu’un garçon avec lequel je partageais quelques cours ne me regardait pas comme les autres. Je le surprenais parfois à mater discrètement mon sexe lorsque nous nous douchions tous ensemble après une activité sportive, mais sans plus. Nous sommes rapidement devenus amis. Nous pouvions déjà tout nous dire même si nous ne nous connaissions que depuis peu. Cest ainsi quun jour il me demanda si jétais attiré par les garçons, car avait-t-il ajouté, «jai vu que tu bandais sous la douche lautre jour quand je te regardais !». Je lui ai répondu, que non, que jétais hétéro et que jadorais regarder les beaux petits culs de fille ! Et leurs tétons !
Il mavoua alors tout naturellement, que «moi aussi jaime bien regarder les filles, mais parfois aussi les garçons!» Bien que cette confidence mait étonnée, je mentirais si je disais quelle mait surpris outre mesure étant donné les coups dil quil portait à ma verge. Nous nen avons pas reparlé. Nous étions bon amis et le sommes restés.
Pendant ce temps lannée scolaire avançait et en juin, quelque temps avant les grandes vacances, mon ami minvita à passer le weekend suivant au chalet familial. Jacceptais volontiers et mes parents ny virent aucun inconvénient. Jamais je naurais pu imaginer un seul instant ce qui sy passerait!
Il avait été décidé que les parents de mon copain nous attendraient devant lécole dès la fin des classes le vendredi. Le jour «J», bien installés à larrière de la voiture, nous discutons mon ami et moi de tout et de rien. Ses parents, très gentils nous apprennent que nous seront seuls le soir venu puisquils sont invités chez des voisins. Ils ne rentreraient probablement quaux petites heures du matin.
Nous arrivons! Se dresse devant nous un adorable petit chalet, au bord dun lac lui-même entouré de plusieurs autres chalets mais tous à bonne distance les uns des autres. Un très bel endroit, respirant le calme et la tranquillité!
Les bagages sortis de la voiture, jai la surprise de voir quil ny a que deux chambres et que, oups, je devrais non seulement partager la chambre de mon copain mais le même lit de surcroît! Mais le lit est grand et mon ami a toujours été respectueux envers moi et mon orientation sexuelle. Et puis, je lavais vu embrasser une fille. Je ne minquiétais donc pas trop.
— Ça ne te dérange pas? Me demanda-t-il.
-« Non, pas du tout. Je nai jamais couché avec une fille ni avec un garçon», je lui réponds en plaisantant !!!
-«Alors tu es vierge ?!?»
Ce à quoi je répliquais aussitôt que javais eu plusieurs occasions dexplorer des corps de fille et également que la masturbation faisait parti de mon quotidien !
«Jaimerais bien voir ça» dit-il en riant.
«Désolé, tes boules ne sont pas à la bonne place».
Il faisait encore soleil et assez chaud. La maman de mon copain suggéra que nous allions dehors pendant quelle préparerait à manger. Nous sortîmes donc explorer la nature, le lac, les environs. Au chalet voisin, un peu en retrait du lac, une femme saffairait à étendre du linge sur la corde. Se croyant seule et à labri des regards, elle navait revêtu quun slip et un débardeur très ajusté. Sans soutien-gorge, les seins remuaient au rythme de ses mouvements. Nous nous cachons pour la mater quelque temps. Je ne me souviens pas si jai réellement vu le renflement des mamelons à travers le tissu ou si je les ai seulement imaginés, mais quoiquil en soit, mon jeune âge et la vue de cette paire de seins furent à lorigine dune formidable érection. Fort heureusement pour moi, les strings nétaient pas encore à la mode auquel cas, jaurais certainement éjaculé dans mon slip. Mon ami, très à laffût des entrejambes -tant féminins que masculins- ne pouvait évidemment pas passer cet événement sous silence :
— Hey ! Tu bandes! Regarde, moi aussi!
Un peu intimidé je regarde et vois quil a sorti sa queue et se branle lentement tout en matant la femme aux seins ballottant. Pris dune gêne soudaine, je détale en disant : «Le dernier arrivé au chalet est une poule mouillée!».
Après nous être bien restaurés, les parents de mon copains sont partis et nous sommes donc demeurés en tête à tête mais sans reparler de lépisode de la dame. Nous avons bien rigolé en jouant à quelques jeux de sociétés devant un bon feu de cheminée, tout en faisant griller des tranches de pain.
-Il est minuit, on va se coucher? Me demande t-il?
Nous étions crevés! Chacun notre tour nous nous sommes douchés et brossés les dents. Comme il faisait chaud, je décidais de ne dormir quavec mon slip. Me glissant sous le drap, je remarquais au moment où il sy glissait à son tour, quil était complètement nu.
— Hey, tu ne dors pas avec ton slip ?
— Non, jamais. Ça te dérange ?
— Non, non, répondis-je pendant quil éteignait la lampe.
Habituellement je dors aussi sans slip mais il me semblait que la situation présente exigeait une certaine retenue. Je repensais à cette femme et à ses saillants mamelons. À mon copain. À nos érections. Ça y est, je me remettais à bander. Enfermée dans mon slip, ma queue revendiquant une plus grande liberté de mouvement, me faisait presque mal. Il allait falloir que jachète des slips un peu plus à sa taille, puisquelle avait pris de lampleur dernièrement. Lurgence du moment exigeait que je la libère au plus vite. Cétait trop inconfortable.
— Je vais aussi coucher nu alors.
— Te gêne pas pour moi ! dit-il.
Toutes lumières éteintes, guidé par les rayons de lune qui éclairaient la chambre, je me débarrassais de ce slip trop étroit. Alors que je me recouchais, je notais que mon ami fixait ma queue si fièrement dressée.
— Tu bandes encore! Cest moi qui te fais cet effet là ?
— Ben non, je repensais aux beaux seins de cette femme. Et toi qui avais sorti ta queue, je tai vue. Tu te masturbes souvent?
— Oui, tous les jours, parfois même plus dune fois. Pis là, je suis bandé aussi. Comme toi!
Il se tournait vers moi tout en continuant de parler. Je sentis son bras frôler le mien. Jétais électrisé! Sans avertissement, il enleva les couvertures, en riant. Malgré la pénombre, les rayons de lune nous trouvèrent nus et bien bandés.
— Wow, elle est grosse. Bien plus grosse que la mienne! Je peux toucher ?
Un peu sous le choc, je ne dis rien. «Qui ne dit mot consent!» dit-on. Il sen empare avec un mouvement de va et vient tout en avançant le bassin jusquà ce que sa queue soit à la portée de ma main. Sans plus réfléchir, je memparais de la sienne et commençais moi aussi ce lent va et vient.
Son pénis est plus long et plus mince que le mien. Jai appris plus tard quil faisait 19 centimètres alors que le mien en fait 16, mais avec une plus grande circonférence. Nous nous masturbions mutuellement. De nos pénis coulaient un abondant «précum».
Passant le pouce sur le bout de ma queue pour y recueillir le liquide, il me demanda si jy ai déjà goûté.
-Oui bien sur, le mien.
Il mit son pouce dans sa bouche pour lécher mon liquide.
-Tu goûtes bon.
Il me demanda si je métais déjà fais sucer par une fille. Répondant par la négative, je précisais toutefois que javais bien hâte. Son membre en érection toujours dans ma main je le branlais toujours, mais cette fois accélérant la cadence. Je le senti frémir et il me dit:
-Je peux te le faire si tu veux !
Surpris par cette proposition, je ne savais que répondre. Il prit encore cela comme un acquiescement, se retourna et prenant la position 69, il menglouti aussitôt. Je sursautais, mais je trouvais fantastique cette chaleur, cette douceur. Je me laissais envahir par ces nouvelles sensations. Pour la première fois quelquun, homme ou femme, allait me faire jouir avec sa bouche!
Sa queue près de ma figure, je la saisissais de nouveau et me trouvant maintenant dans un autre monde, je lengloutissais aussi. Je ne parvenais plus à penser, je ne faisais que jouir de la situation. Je goûtais son «précum», légèrement salé comme le mien. Je me surprenais à apprécier ce que je faisais et surtout, ce que lon me faisait ! Je ne mis pas longtemps à sentir monter la jouissance et je len avertis entre deux succions ! Il me répondit : «Va sy, viens dans ma bouche, je veux te goûter». Ça nen prenait pas plus pour que je jouisse et éjacule avec force et, pour la première fois dans une bouche, de grosses giclées de sperme comme jamais auparavant, que mon ami pompaient et avalaient goulûment.
Les derniers spasmes de jouissance calmés, je continuais de le sucer et il ne mit pas longtemps à mavertir quil allait jouir lui aussi. Pris dune soudaine réticence, je ne pouvais me résoudre à le laisser éjaculer dans ma bouche et encore moins à avaler son sperme. Continuant à le branler hors de ma bouche, il éjacula une montagne de foutre sur mon torse, mon cou, les draps et jen eu même à la commissure des lèvres, que je goûtais à labri de son regard. Cétait acre et chaud.
Plusieurs kleenex furent nécessaires pour tout nettoyer. Kleenex que nous nous sommes empressés de jeter au feu. Nous avons ris quand nous avons entendu le crépitement et une drôle de fumée qui s’en échappait!
Reprenant chacun notre place dans le lit, il me remercia en disant quil avait adoré ! Encore une fois, je ne pu rien répondre, encore abasourdi par cet orgasme fulgurant et réalisant que javais bel et bien baisé avec un homme !
La suite si vous aimez…