Cette histoire n’est pas de moi mais quand je l’ai lu, j’ai été excité car moi aussi je suis vierge et je fantasme sur ma première fois que j’espère arrivera bientôt…
Salut à tous et toutes!
Le récit qui suit raconte un évènement qui est encore très récent, puisqu’il date de la semaine dernière. Je sais à présent que quoi qu’il arrive dans ma vie sexuelle à l’avenir, jamais je n’oublierai ce jour particulier où j’ai fait l’amour pour la toute première fois. Mais avant de commencer je vais me présenter un peu et remettre les choses dans leur contexte.
J’ai 19 ans et jusqu’à la semaine dernière, j’étais encore vierge. Vierge parce que selon moi, l’âge du premier rapport sexuel n’a pas vraiment d’importance, il suffit d’attendre que les circonstances soit idéales. J’ai toujours été un peu fleur bleu et j’imaginais ma vie sexuelle comme une part du grand conte de fée que je vivrai avec mon âme soeur. J’avais imaginé cette première fois avec un homme que je connaîtrai depuis un moments et SURTOUT pour lequel j’avais des sentiments.
Il m’est arrivé de sortir avec des garçons et de flirter, mais j’avais toujours cette impression que les hommes en général ne cherchaient pas à me connaître mais à passer au stade supérieur. Du sexe sans amour? Pas question pour moi. Je crois que je n’avais pas confiance en la gente masculine. Aussi je dois avouer que le sexe est un sujet tabou dans ma famille.
Bref, tout ça pour dire que je ne vivais pas dans un univers très propice au vice et à la luxure. Bien sûre comme toutes les fille de mon âge il m’est arrivée (et il m’arrive encore) de fantasmer sur les beaux gosses qu’on voit à la télé et de passer des heures à me caresser dans mon lit en solitaire. Je n’avais tout de même pas renoncé à la magie romantique du premier amour. Et puis la semaine dernière…
Je suis allée dans un centre commercial pour aller faire du shopping avec une amie. On y a passer plus de deux heures à faire toutes les boutiques. En cour de chemin, on a rencontré un copain qui soit disant ne savait pas qu’elle était là. À mon avis, elle le lui avait glissé dans une conversation précédente.
Bref, on a continuer à faire les boutiques jusqu’au moment ou n’y tenant plus à force de se bécoter mon amie m’a demander si ça me dérangeait qu’il me laisse finir seule. Que pouvais-je répondre? Je ne pouvais pas comprendre l’urgence de ce genre de besoin moi qui n’en avait jamais éprouvé. Je leur ai assuré qu’ils pouvaient y aller. D’un côté, j’étais super énervée car ce moment était censé être un après-midi entre filles. J’étais aussi jalouse que tout allait bien pour elle et qu’elle ait un copain. Mais de l’autre, les voir se toucher et s’embrasser sans retenu m’avais excitée.
Je l’ai laissé et me suis dirigée vers mon magasin de fringue préféré: H&M. Il y a trois étages et des tonnes de recoins. J’ai fait le tour de la boutique m’arrêtant de-ci et de-là pour zieuter les nouveautés et les accessoires. Puis je suis arrivée dans un rayon de lingerie et il faut dire qu’ils sont vraiment bien garnis. Je n’avais besoin de rien mais de voir toute cette lingerie m’a donner l’envie de m’exciter un peu et d’en essayer une ou deux. C’est quelque chose que je ne pouvais faire avec ma mère: trop gênant, et que je n’aurai jamais osée avec ma meilleure amie. Pour une fois que j’étais seule: personne pour me juger.
J’ai pris deux des ensemble les plus sexy, limite vulgaire du magasin et me suis diriger vers la cabine d’essayage. J’ai passer la première et j’étais satisfaite du résultat. Je n’avais jamais vu mon corps aussi sexy, aussi provocante et aussi désirable. Je n’étais pas une de ces star de magasine mais j’étais assez hot, je pense. Le tenue était constituée d’un string en dentelle noire et d’un soutif transparent assorti (on voyais mes mamelons rouges foncé au travers). J’étais contente de m’être épilé entièrement pour la première fois la veille car ainsi ma chatte me paraissait désirable.
Dans la cabine d’essayage, il y avait d’un côté une glace qui faisait toute la longueur et de l’autre un tabouret. J’ai voulu profiter de cette tenue pour prendre la pose devant le miroir en secouant mes cheveux pour les rendre plus sauvage. J’aurais aimé avoir un appareil photo pour mémoriser ce moment de féminité absolue. Il n’y avait pas grand monde dans le magasin donc personne pour me presser de sortir.
J’ai voulu me montrer imprudente et téméraire et j’ai commencé à me caresser. D’abord, simplement en passant ma main délicatement sur le tissu qui recouvrait mon entrejambe écarté. Déjà je sentais mes petites lèvres hyper sensible et je n’avais qu’une envie: me faire du bien. J’ai rentrer ma main dans le string en me regardant faire "pour la première fois" devant le miroir. Et j’ai commencé à effeuiller mon vagin jusqu’à trouver mon clitoris rouge, sur lequel j’ai commencé à exercer de petites pressions. Je me suis masturber ainsi pendant plus de dix minutes. À la fin, je haletais tellement que j’essayais de me contenir pour ne pas éveiller les soupçons.
Cela n’a pas empêcher un homme de se montrer téméraire pour voir ce que je faisais, puis à un moment alors que j’avais toujours les jambes écartées, j’ai vu dans le miroir qu’une main dépassait sur le sol entre les deux cabines. Quelqu’un était agenouillé par terre. J’ai eu tellement peur, que j’ai refermer mes jambes et me suis arrêtée. Puis au moment ou je me suis levée, je me suis dit que c’était la première fois qu’on jouait les voyeurs avec moi et la première fois que j’avais l’opportunité de procurer un désir sexuel chez quelqu’un d’autre que moi.
Je me suis rassise, et ai écarté les jambes encore plus, avant de glisser rapidement un doigt dans mon trou déjà humide. J’ai fait des va et vient pendant quelques secondes, parcourue de soubresauts, puis en ai inséré un deuxième. En même temps que je gémissais, je voyais un visage tourné à l’horizontal, en train de regarder sous le mur, la bouche légèrement ouverte. Et ça a dû être sous l’effet de l’excitation et du désir qu j’ai fait ça car je ne l’aurai jamais fait sinon mais j’ai arrêté, je me suis levée et j’ai ouvert le loquet de mur et je me suis rassise avant de murmurer: ’tu peux venir voir de plus près si tu veux’. J’étais complètement en-dehors de la raison qui m’habite d’ordinaire. Je prenais des risques et je n’était même pas sure de la réaction de mon voisin de cabine. En une fraction de seconde, j’ai vu la main disparaître de sous le mur , et j’ai entendu le grincement de sa porte qui s’ouvrait. Pendant une autre fraction de seconde, j’ai paniqué. Qu’est-ce que j’étais en train de faire? J’étais prise au piège…
Puis quand il est entré dans ma cabine, le doute s’est envolé. Non seulement il était canon, d’environ la trentaine avec les cheveux en l’air et mal rasé, mais il avait un torse svelte et des yeux brun rassurant et surtout très excité. Il portait un short et dès qu’il m’est apparu, j’ai vu une bosse en dessous, et je me suis senti flattée!
J’ai reculé, et lui s’est retourné pour fermer la porte. J’étais maintenant dos au mur, le string baissé jusqu’au genoux, le sexe à l’air. Il m’a dévisagé en arquant les sourcils puis s’est agenouillé si rapidement que je n’ai pas réaliser ce qu’il faisait. Nous n’avions pas prononcé un mot et nous avions à peine pris le temps de croiser nos regards. Pendant que j’avais cette pensée en tête, j’ai senti ses lèvres humides se poser sur le morceau de chair de mon minou, et le happer, sa langue se baladant de chaque côté. J’ai sursauté (et fait un peu de bruit avant de me ressaisir) et j’ai commencé à respirer fort, à moitié parce qu’il me faisait un bien que je n’avais jamais ressenti avant, mais aussi et surtout parce que j’avais la trouille. J’étais en train de me faire faire un cunni dans une cabine d’essayage alors que j’étais vierge et on risquait de nous entendre. Mais le plaisir de sentir sa langue bouger jusque sur mon clito, le caresser, et le faire s’agrandir de plaisir était plus fort que ça, et je n’ai pas mis longtemps à écartée les jambes. Il s’est fait plus pressant, me léchant partout, dans tout les recoins, me faisant mouiller comme je n’avais jamais senti mouillée seule. Puis soudain, je l’ai senti s’introduire avec sa langue dans mon trou et entrer profond avant de la faire tournoyer pour se frotter au parois! Mon dieu…! Quel sensation! En plus des sensations, j’entendais le bruit de ma cyprine qui frottait à ses lèvres et ça m’excitais. À un moment donné, j’ai senti mon trou se décontracter et une vague de plaisir me faire frissonner toute entière. Cela devait être l’orgasme. Mes jambes étaient flageolante et tremblait Il l’a senti lui aussi et s’est redressé pour venir m’embrasser.
Je pense qu’il a voulu m’envoyer un message parce qu’il s’est collé à moi et j’ai senti quelque chose de trèèèèèèèès dure contre mes cuisses. Instinctivement, j’ai baissé son short et son boxer, et là… sa bite à jaillit, en allant immédiatement se mettre à la verticale contre mon ventre. Elle était énorme, dure comme du bois, rouge au bout. Il a pris ma main et l’a posé dessus, et là parce que j’avais vu des films pornos, j’ai commencé à le branler d’abord doucement, puis de plus en plus rapidement.
Je devais faire ça bien parce qu’il fermait les yeux et soufflait fort, la bouche ouverte. Le peau de sa queue suivait mes mouvements. Tantôt je le décalottais à fond, apercevant son gland humide et rouge, limite violet, tantôt je le remettais en place. Au bout de dix autres minutes, sa main s’est agrippée à mon bras et j’ai su qu’il allait éjaculer. Je ne savais pas quoi faire.
Il m’a pousser contre le mur, m’a relever et… il a du croire que ce n’était pas la première fois, alors il a enfoncé sa bite dans mon vagin, très fort. J’en ai eu les larmes aux yeux, mais mon vagin était tellement lubrifié à cause de ma mouille, que son pénis est rentré sans encombre. Il y est allé très vite et l’a enfoncé très loin, et j’ai fermer les yeux attendant la souffrance… Mais il a commencé les va et vient très rapidement et j’ai ressenti le plaisir dominant de loin ma masturbation. Il m’a ainsi pénétré, entrant de plus en plus loin et ressortant pendant trois minutes environs, puis a laissé un flot énorme et rapide de sperme de déverser dans mon vagin. J’en sentais la force à l’intérieur de moi. Ma chatte s’est à nouveau contractée et là… j’ai senti un vrai orgasme. Ça ma secoué! Après quelques autres va et vient, il s’est retiré. Sa bite est redescendue progressivement jusqu’à redevenir toute molle et beaucoup moins impressionnante. Mon minou était en feu et inondé de nos deux mouilles. Il m’a regardée et sans un mot a remis son short avant de sortir comme si de rien n’était.
Je n’en revenait pas. J’ai sorti un mouchoir de mon sac, me suis essuyer le sexe, avant de remettre mes propres sous-vêtements et d’essuyer le sol. Puis je me suis assise sur le tabouret et ai commencé à pleurer. C’est bête je le sais, mais… je venais de me faire dépuceler de façon sauvage et c’était loin de ce que j’avais imaginé. EN sensation, c’était mieux mais adieu le comte de fée et la virginité offerte à mon prince charmant le jour de mon mariage. Je suis rentrée chez moi assez lentement car mon entrejambe me brûlait et quand je suis arrivée j’ai pris une longue douche. Depuis, toute la semaine je me suis masturbée en pensant à ce moment.