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Julie 1 – Ma meilleure amie est une salope – à quatre, sinon rien – Chapitre 1

Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien - Chapitre 1



Cette année-là, j’étais parti en vacance d’été avec un groupe d’amis. C’était la première fois que je partais sans mes parents. Nous étions une petite vingtaine, tous de la même université, avec une moyenne d’âge d’environ vingt ans, et avions choisi une destination ensoleillée près de la mer. Nous passions nos journées à la plage et nos nuits à faire la bringue.

  Un soir, ou plutôt un matin vu comment le soleil commençait déjà à se lever, je quittai notre groupe après une fête un peu trop arrosée pour prendre la direction de l’appart. Trois de mes amis, dans le même état, m’accompagnèrent. Parmi eux, il y avait Julie, mon amie d’enfance. Je devais la connaître depuis au moins dix ans. On se connaissait très bien tous les quatre. On formait d’ailleurs généralement une bande à part. Julie était le cliché de la fille parfaite. Elle avait un beau corps avec de jolies courbes, ni trop maigre, ni trop grosse, de long cheveux auburn, et une poitrine qui faisait rêver. Évidemment, tous les garçons avaient déjà tenté leur chance avec elle, sans succès. Je ne fis pas exception. J’avais moi aussi eu un faible pour elle, mais je pense que mon cas fut pire que les autres : ce n’était pas tant qu’elle ne voulait pas de moi, mais plutôt qu’elle avait peur de perdre notre amitié si notre relation venait à se gâter. Classique… J’ai souvent maudit cette "friend zone" qu’elle nous imposait. Il n’était pas facile de voir ses petits copains défiler, de savoir que tous avaient profité de son fabuleux corps, tandis que moi je n’aurais jamais cette chance juste car je l’ai connu un peu trop tôt. Si seulement je l’avais rencontrée quelques années plus tard… Parfois, cela se joue vraiment à peu de chose.

  Cela ne l’empêchait pas d’être joueuse et de nous enquiquiner. Elle savait qu’elle était belle, et n’avait pas peur de s’en cacher pour nous allumer. Amicalement bien sûr. Bien que je dois avouer que, maintenant qu’on était en vacance, la voir tous les jours dans son bikini était particulièrement difficile. Elle ne ratait jamais une occasion de se moquer quand mon maillot trahissait une érection.

  Pour rentrer chez nous, nous devions passer par un parc. À cette heure-là, il était désert, même si les premiers lève-tôt n’allaient sans doute pas tarder à arriver.

  Julie, à moitié bourrée, nous narguait encore. Elle était toujours dans sa tenue de plage qui mettait ses seins et ses fesses particulièrement en valeur, et certains d’entre nous n’ont pas pu s’empêcher d’avoir les yeux un peu voyeurs. Évidemment, elle l’a bien remarqué.

Rincez-vous bien les yeux les garçons, taquina-t-elle en soupesant sa propre poitrine. À la fin des vacances, ce sera fini, et vous n’aurez plus qu’eux et vos souvenirs pour pleurer.

Tu n’es vraiment qu’une connasse de jouer avec nous ! s’offusqua Jean, un de mes amis.

Mes pauvres chéris, vous avez l’air tellement d’être des chiens en manque. Ce n’est pourtant pas les jolies filles qui manquent sur la plage. Vous n’avez que l’embarra du choix pour tirer un coup.

  Julie avait toujours un franc parlé en ce qui s’agit de sexe. Elle n’avait aucun complexe. Cela ne la rendait que plus désirable.

Steve a bien essayé, mais il s’est pris encore deux râteaux aujourd’hui, fis-je remarquer sur le ton de la plaisanterie.

  L’intéressé grommela dans son coin. Il était réputé pour être le plus beau mec de notre groupe. Du moins, c’était celui qui avait généralement le plus de succès auprès des filles. Je crois qu’il vivait assez mal son célibat, et surtout, de devoir se serrer la ceinture pendant des vacances où il est entouré de jeunes filles aux corps sublimes.

Aaah, mes pauvres chéris, je ne peux rien faire pour vous.

Tu pourrais peut-être arrêter de nous aguicher, rétorqua Jean. Ca serait un bon début.

Ooooh, allez, vous adorez mater mes seins, nous chauffa-t-elle en se les caressant une nouvelle fois. Vous n’allez pas vous en plaindre.

  Je pense qu’elle avait eu raison un peu plus tôt : nous devions tous les trois être très en manque. L’alcool aidant, nous avions vraiment beaucoup de mal à nous contenir. Nous essayâmes chacun à notre tour de se rapprocher un peu trop près d’elle pour essayer de la toucher et de la ploter. Elle repoussa chacune de nos avances, sans jamais se montrer vexée. Cela n’aida pas à nous calmer.

Bon, les garçons, cela ne peut plus durer ! s’exclama-t-elle à un moment faussement exaspérée.

Au fond, j’étais sûr que cela lui plaisait d’avoir l’attention de trois mecs en même temps. La suite me donna raison :

Il faut faire quelque chose pour vous ! Je veux bien vous aider, mais à une condition : vous ferez aussi quelque chose pour moi !

Nous échangeâmes quelques regards, perplexe. Nous avions peur de mal interpréter ce qu’elle entendait par "nous aider". Nous pensions évidemment tous à la même chose, mais craignons d’être un peu déçu.

Je vous soulagerais si vous m’aider à réaliser un fantasme, poursuivit-elle. Je refuse que vous me preniez un par un. Si vous me voulez, ce sera les trois ensemble, ici, maintenant, ou rien du tout !

  Nous avions du mal à en croire nos oreilles. Elle était sérieuse là ? Elle nous proposait de la baiser à trois ?! Je sais que c’est l’alcool qui parlait, mais quand-même. Je priais pour que les autres ne refusent pas.

Tu es complètement folle ! s’exclama Jean. On va quand-même pas faire ça ici, et à quatre ! On va nous voir !

C’est vous qui décidez. Ou c’est ça, ou c’est soirée branlette pour tout le monde.

Steve regardait Jean de yeux presque implorant. Il était manifestement partant tout comme moi. Jean restait tiraillé entre sa tête et sa queue. Finalement, c’est la seconde qui l’emporta :

Bon, d’accord.

  Julie nous emmena dans un coin plus tranquille du parc, et nous invita à nous sucer en se mettant à genoux devant nous. Nous baissâmes rapidement nos shorts pour en sortir nos sexes, très excités par la situation. Nous étions déjà tous très dur. J’ai eu le plaisir idiot de constater que j’avais la plus longue. Steve, le charmeur, la plus courte. Il y avait tout de même une justice. Nous les présentâmes à Julie qui commença par nous branler à tour de rôle.

Alors, c’est bon les garçons ?

Oui, Julie. Continue, fit Steve.

J’ai hâte que tu nous suces, enchéris-je.

Puisque c’est comme ça, tu seras le dernier, déclara-elle, juste avant d’engloutir le sexe de Jean.

  Putain, j’étais écuré. Moi et ma grande gueule. Je matais avec jalousie le sexe de mon ami entrer et sortir de sa bouche pendant qu’elle nous masturbait. J’avais tellement rêver d’elle et de ce moment que je ne pouvais plus attendre. J’avais même très peur d’être précoce et de me finir trop vite. C’était le genre d’occasion qui n’arrivait qu’une fois dans la vie. Je n’avais pas du tout envie de la gâcher.

  Elle passa sur la bite de Steve en le léchant goulument avant de se l’enfoncer dans le gosier. Steve l’aida en lui pressant la tête pour la forcer à faire quelques gorges profondes. À son air béat, il avait l’air d’adorer ça.

  Moi aussi, j’avoue que j’aimais la regarder. Julie, ma meilleure amie. ; cette fille que j’ai connue avant même la puberté. Je l’ai vue devenir femme ; et souvent, je me la suis imaginée en train de baiser dans de multiples positions érotiques. J’étais affreusement jaloux quand je savais qu’elle était en train de se faire prendre par ses petits-copains. Je fantasmais parfois en m’imaginant être à leur place. Je connaissais sa facette coquine, mais j’avais envie de la voir en pleine action. J’avais envie de découvrir son côté lubrique.

  Je crus que ça allait être mon tour quand je la vis s’éloigner de la bite de Steve, mais cette allumeuse partit repomper Jean. Elle le faisait exprès, j’en étais sûr. Au bout d’un moment, je craquai :

Pitié, Julie. Suce-moi aussi, je n’en peux plus !

Allez, ok. C’est demandé si gentiment !

  Elle quitta la queue de Jean pour s’approcher de moi. Je soupirai de bonheur la première fois que ses lèvres entrèrent en contact avec mon gland. Je ne pus me retenir de la forcer sur ma tige en la tirant par la nuque. Je fis du va-et-vient dans sa bouche pendant qu’elle jouait avec sa langue. Putain, elle savait comment sucer. Cela fit renaitre en moi un élan de jalousie pour ses ex, partiellement apaisé par le fait que de savoir que c’était enfin mon tour. Je la regardai faire avec délectation. Elle était si belle à me pomper le dard. J’en avais toujours rêvé. Ma Julie… Je me sentis particulièrement frustré quand elle me quitta pour s’occuper à nouveau des autres.

Alors, ca vous plait, les pervers ? nous provoqua-t-elle en reprenant son souffle.

Beaucoup, Julie, répondit Jean. Tu suces comme une déesse.

Vous en aviez rêvé hein ?!

Oh oui, m’exclamai-je. Tu n’imagines pas à quel point !

Vous vous êtes déjà branlé en pensant à moi ? En train de vous sucer jusqu’à m’éjaculer au visage ?

Oh oui ! fit Jean.

Si vous prenez bien soin de moi, je vous laisserais faire, tous les trois ensemble.

    Cette perspective nous rendit tous dur comme du marbre. J’avais vraiment envie de la souiller comme une pute et de voir notre foutre dégouliner partout sur son corps.

  Steve passa une main sous son bikini pour lui masser le sein gauche pendant qu’elle le suçait. J’en profitai pour faire de même avec le droit. Putain, les seins de Juju. J’avais trop envie de les voir. Je lui enlevai la bretelle de mon côté pour essayer de lui enlever son vêtement, et Steve m’aida en faisant de même. Les voilà enfin à l’air. Je mourrais d’envie de lui lécher les tétons. Ses délicieux petits tétons. J’espérais en avoir l’occasion.

  Elle nous pompa à tour de rôle pendant de longues minutes. Ce fut vraiment la meilleure fellation de ma vie. Nous n’arrêtions pas de gémir de bonheur. Elle aimait sucer des bites, il n’y avait aucun doute là-dessus vu la façon dont elle s’appliquait. Elle s’occupa très bien de nous. Elle-même avait l’air d’être aux anges entourée ainsi de queues qui avait envie de son corps. Le pire c’est qu’elle savait si prendre avec plusieurs mecs.

Bon, les garçons, dit-elle au bout d’un moment. Il y en a enfin un qui va se décider à me baiser, ou quoi ? J’ai la chatte en feu depuis tout à l’heure, et je ne peux même pas me caresser parce que je dois vous branler.

Preums, déclarai-je soudain.

  Je craignis que mon empressement lui donne encore la mauvaise idée de me jouer un mauvais tour, mais, à mon grand soulagement, il n’en fut rien. Je l’aidai à lui enlever le bas de son maillot puis elle se mit à quatre pattes pour me présenter son cul.

Allez, dépêche-toi de me prendre. Je ne tiens plus ! J’ai trop besoin de me faire bourrer.

Je me mis à genou derrière elle et plaçai mon gland à son entrée avant de me pousser en avant. Elle émit un gémissement bien plus fort que le mien lorsque je la pénétrai jusqu’aux couilles. C’était un bonheur sans nom. Je la tins par ses hanches et la baisa à bon rythme. Enfin ! Ma Juju ! Je baisais ma Juju ! Après toutes ces années à fantasmer sur elle, elle était à quatre pattes, soumise à ma volonté. Les autres restèrent là à se branler en train de nous regarder. Ils devaient avoir hâte de prendre ma place, mais pour le moment, elle était à moi, et j’avais bien l’intention d’en profiter.

Je me penchai sur elle pour jouer avec ses nichons. Putain, elle avait une de ces poitrines. Je regrettais presque qu’elle ne soit pas en missionnaire pour avoir une meilleur vue et en profiter davantage.

  Elle devait vachement aimer ce que je lui faisais, car elle gémissait comme une chienne à chacun de mes coups de reins. Elle avait prétendu faire ça pour nous aider à nous soulager, mais la vérité évidente était qu’elle avait juste envie de se faire prendre comme une salope par plusieurs gars. Un fantasme secret révélé par les bienfaits de l’alcool. Elle n’avait plus aucune inhibition, et nous non plus. Tout ce qu’on voulait tous les quatre, c’était de profiter de notre jeunesse à baiser comme des porcs.

  Julie fixait les queues tendues qui pointaient devant elle, hypnotisée.

Putain, vous allez enfin me donner un truc à sucer ? s’emporta-t-elle contre les deux autres. Ne restez pas planter-là !

Jean s’approcha d’elle et lui présenta son sexe qu’elle avala goulument. Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, elle était maintenant prise des deux côtés et adorait manifestement ça. Elle le branla quelques secondes d’une main tout en le suçant, avant de la reposer à terre de peur de perdre l’équilibre. Elle passa ensuite sur le piston de Steve qui réclamait lui aussi de l’attention. Il l’attrapa par la tête et lui baisa la gorge. Elle eut un haut-le-cur avant qu’il ne la laisse respirer. Elle n’émit aucune plainte. À ma grande surprise, elle était devenue une vraie pute qui ne demandait qu’à se faire utilisée par trois mecs. Cela m’excita encore plus de la voir ainsi. Ma Juju, ma salope. Je ne la verrais plus jamais comme avant.

  Je dus à mon grand regret laisser ma place. Steve s’occupa de sa chatte tandis que je me joignis à Jean pour me faire sucer. Steve était bien plus violent que moi. Ses coups étaient rapides et brutaux. Il la traita comme une trainée, et je pus lire dans la luxure de ses yeux que c’était exactement ce qu’elle voulait. Elle frissonna lorsqu’il lui donna une fessée.

T’aime ça, salope ?! l’insulta-t-il.

Putain ! J’adore ! Baisez-moi, tous les trois ! Je suis votre pute, c’est votre jour de chance ! Profitez-en ! Ramonez-moi jusqu’à ce que vous devez me porter pour rentrer !

  Ce fut ensuite le tour de Jean de la prendre. D’habitude le plus timide de nous trois, l’initiative qu’il prit m’étonna lorsqu’il s’inséra dans le mauvais trou.

Putain, crétin ! s’écria-t-elle. Ca, c’est mon cul !

Et alors ? Tu veux que je stoppe ? demanda-t-il sans vraiment avoir l’intention de s’arrêter de toute manière.

Si tu stoppes, je te tue ! le menaça-t-elle. Tu as commencé, maintenant, défonce-moi le cul !

Nom de… Elle était encore plus cochonne que je ne l’avais cru. Bien sûr, j’avais déjà fantasmé sur elle en me l’imaginant en train d’apprécier le sexe anal, mais ça restait un fantasme. Je ne pensais pas qu’elle pourrait aimer ça en vrai. Je me trompais lourdement, et ce n’était manifestement pas sa première fois. Je regrettais presque de ne pas avoir eu l’idée en premier. J’étais si excité que j’avais envie de lui éjaculer au visage sur le champ pour la salir comme la petite trainée qu’elle était ; mais la perspective de l’enculer me tentait trop pour me finir comme ça. Fallait juste que je patiente encore un peu.

  Jean lui grimpa dessus comme sur une chienne et la lima comme un animal. Il grognait à chacun de ses assauts. Julie était complètement perdue dans son monde de plaisir. Elle avait atteint un tel point qu’elle avait du mal à nous sucer, Steve et moi. Nous dûmes nous servir nous-mêmes en lui baisant la bouche. Elle ne savait plus où elle était.

  Au bout d’un moment, elle poussa un grand cri. J’ai cru que Jean était en train de se vider dans sa raie lorsque je compris qu’elle jouissait.

Aaaah ! Putain ! Mes salauds ! Ouiiiiiiiiiii !

  Putain, je n’arrivais pas à croire que cette salope jouissait par le cul. Ca me donnait encore plus envie de la défourailler. Jean fit quelques derniers va-et-vient, puis nous la laissâmes profiter de son orgasme. Elle s’écroula un instant sur le sol, avant de se redresser :

Qui vous a dit d’arrêter, bordel ?! Allez ! Au suivant !

  C’était mon tour. J’avais vraiment trop hâte de l’enculer, mais pas dans cette position. Je la tirai vers moi et m’allongea sur le sol, la verge tendue vers le ciel. Elle comprit ce que je voulais et se positionna dos à moi pour me chevaucher. Je n’eus pas le temps de le lui demander qu’elle agrippa ma queue pour la pointer vers son petit trou et qu’elle s’empala dessus. Putain, ca y est ! J’étais dans le cul de Julie ! S’il y avait un paradis sur terre, je venais de le trouver ! Je posai mes mains sur ses hanches et lui donna des coups de bassins. Je n’eus aucune douceur. Je voulais lui péter la rondelle. Elle se laissa faire comme une pute soumise en gémissant bruyamment.

Oh oui ! Putain ! Vas-y ! baise-moi le cul avec ta grosse bite ! Putaiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !

Je la pénétrai jusqu’à la garde. Mes couilles claquaient contre sa chatte à chacun de mes allers-retours. Mes couilles trop pleines de jus que j’avais de plus en plus de mal à retenir. Je n’arrivais plus à penser, sauf à me faire du bien dans son anus.

  Je ne pus garder le rythme bien longtemps tellement ce fut intense. C’est elle qui prit le relais quand je commençais à faiblir en rebondissant sur ma queue toute seule. Je ne peux qu’imaginer le spectacle qu’elle devrait offrir aux autres. La superbe Julie, les seins ballottant dans tous les sens, qui me chevauchait en s’empalant frénétiquement sur mon chibre. Cela devait être manifestement intenable pour les autres car j’entendis peu après Steve lui commander :

Suce-nous, salope.

  En lui présentant son sexe devant la bouche.

  Elle l’engloutit par réflexe sans jamais arrêter de s’éclater sur ma queue. Elle les suça chacun à leur tour. Au bout d’un moment, je la tins suffisamment pour qu’elle puisse les masturber en même temps. Elle se régalait du gout de sa propre chatte et de son cul en leur léchant le gland et en les pompant comme une chienne en manque.

  Steve devait sans aucun doute aimer autant que moi ses seins vu qu’il s’installa devant elle et mit sa bite entre ses deux nibards pour se branler avec. Ils les pressaient l’un contre l’autre pour avoir plus de sensation.

Putain, j’en peux plus, se plaignit-il. J’ai trop besoin de te baiser, Julie. Benoit, ce n’est pas juste. Laisse-nous la place ! Chacun son tour, merde !

Oh non, il est trop bien là, objecta Julie. Tu n’as qu’à te servir de ma chatte, elle est libre.

Il eut un moment d’hésitation en craignant comprendre ce qu’elle voulait.

Tu… tu veux qu’on te prenne en double ?

Pourquoi tu crois que je vous voulais tous les trois en même temps ?! Vas-y bordel !

Mais je voulais aussi t’enculer moi !

Tu en auras l’occasion plus tard. Allez !

Tu n’es vraiment qu’une salope !

Oui ! Votre pute ! Alors souillez-moi, mes salauds ! Utilisez-moi pour vous faire du bien !

Elle s’immobilisa pour aider Steve à la pénétrer. Elle cria quand il s’enfonça jusqu’à la garde dans sa chatte dégoulinante de mouille.

Julie, tout va bien ? s’inquiéta-t-il.

Oui. Allez, baise-moi ! Qu’est ce que tu attends !

Je n’arrivais pas à croire qu’elle était aussi chienne et qu’elle rêvait de ce genre de truc. J’allais de surprise en surprise. Steve s’appliquait à lui défoncer le vagin tandis que j’étais toujours dans son cul. On la pilonnait tous les deux. Elle hurlait de plaisir.

Oh ! Putain ! Oui ! C’est ça que je voulais ! Aaaaaaah !

C’est ça que tu voulais depuis le début ?! lui gueula Steve.

Ouiiiii !

Te faire prendre en sandwich comme une grosse pute ?

Ouiii ! Je sens vos bites au fond de moi, c’est terriiiiiiiiiiiiiiiible !

C’est pas ta première fois, hein salope ?!

Siiiiiiiiii ! C’est ma première foiiiiiiiis. J’en ai toujours eu enviiiiiiiiiie. Et j’adoooooooooooooore !

  Elle avait l’air si heureuse de réaliser son fantasme, et nous l’étions tout autant de l’aider. Jean n’en pouvait plus de nous regarder et la força à le prendre dans sa bouche. Elle était maintenant prise par tous les trous, et je jurerais qu’elle n’arrêtait pas de jouir. Si je m’étais souvent imaginé Julie en salope, ce n’était jamais à ce point-là. Mais je dois dire que cela m’excitait beaucoup de savoir que la fille qui refusait toujours qu’on la touche aimer en réalité être ramonée par plusieurs mecs en même temps.

  Jean et Steve échangèrent leur place. Elle avait l’air de prendre très mal le fait de se retrouver ainsi avec un orifice vide même que pour quelques secondes :

Merde ! Venez me remplir vite !

  Elle cria de bonheur quand Jean la pénétra.

Allez-y ! Baisez-moi tous les deux ! Prenez-moi comme votre pute ! Je suis votre sac à foutre ! Je ne veux plus être capable de marcher demain !

Je ne la reconnaissais plus, mais sur le moment, je m’en foutais. Jean lui releva les jambes pour avoir un meilleur angle de pénétration. On exécuta sa volonté et la baisa sans aucune considération pour elle. Elle était notre objet, et elle ne pouvait rien faire. Elle semblait prendre un plaisir monstrueux de la situation, comme si ca l’excitait de faire de nous des animaux qui ne pouvait penser à rien d’autre qu’à la défoncer. J’ai toujours su qu’elle aimait qu’on ait envie d’elle vu comment elle avait l’habitude de nous allumer, mais j’ignorais à quel point cela cachait son envie de limite se faire violer par nous trois. Je n’ai jamais vu une fille autant aimer la bite. Ma meilleur amie était une salope, une vraie.

  Jean et Steve échangèrent leur place plusieurs fois. J’étais heureux d’être celui qui ne devait pas bouger et de pouvoir ainsi profiter pleinement de son cul. Puis ils décidèrent de changer de position. Jean s’allongea, et Julie le chevaucha de face pour qu’on puisse l’enculer chacun à notre tour. Steve fut évidemment le premier, il attendait ça depuis trop longtemps. J’en profitai pour me faire sucer pendant ce temps. Elle était à bout de force. Cela devait bien faire vingt minutes qu’on la baisait. Elle n’avait plus vraiment capable de faire une fellation. Je dus faire moi-même du va-et-vient dans sa bouche comme si c’était sa chatte pour me faire du bien. Elle joua un peu de sa langue pour amplifier mon plaisir.

  Steve n’arrivait plus à décrocher de son cul. Il la lima à un rythme effréné comme s’il cherchait à se décharger dans son cul. J’espérais que ce ne fut pas le cas, car je n’avais pas oublié la promesse de Julie. Quand je sentis qu’il n’était plus très loin, je le forçai à arrêter et pris sa place.

  On échangea ainsi nos rôles à plusieurs reprises en la baisant encore pendant de nombreuses minutes. On avait tous très envie d’en finir et d’éjaculer. Je ne suis pas vraiment sûr de ce qu’on attendait. Je crois que je m’étais jamais autant retenu de toute ma vie. Je ne m’étais pas branler depuis des jours. J’avais les bourses pleines de sperme qui me suppliait de se vider. J’avais mal à la bite à force de la prendre dans tous les sens. J’avais besoin d’une délivrance salvatrice.

  Julie semblait jouir sans arrêt. Les rares fois où elle parlait, c’était pour nous encourager à continuer. Elle était insatiable. Puis finalement, elle nous implora tout de même d’arrêter :

Pitié, stop les garçons. Je n’en peux plus. Ca suffit.

  Ses paroles étaient à peine audible tant elle était essoufflée. J’accueillis sa reddition avec soulagement. Enfin ! Il nous restait plus qu’à éjaculer.

Tu as eu ton compte, petit pute ? l’insulta-t-Steve.

Oui. Vous m’avez détruite. Bande de salauds.

Tu as aimé ça ?!

Oui ! Je n’ai jamais autant joui de ma vie !

C’est bien ! Brave pupute !

On sortit de tous ses orifices et la laissa récupérer un peu. Elle s’écroula au sol sans bouger, en train d’essayer de récupérer son souffle. Je craignis qu’on y soit allé un peu fort au début, quand je vis son regard : elle avait l’air d’être aux anges. Heureuse et repue. Elle voulait une orgie avec trois mecs qui la défonce sans vergogne, elle l’a eu. Mais ce n’était pas encore tout à fait fini.

Julie… réclama Jean.

Oui… Oui… c’est votre tour maintenant. Vous l’avez bien mérité.

Elle se redressa à genou, les bras entre ses jambes écartés, en signe de soumission.

Allez-y les garçons. Jouissez pour moi. Recouvrez-moi de votre foutre !

  Elle avait l’air d’une chienne assoiffée de sperme. Je n’avais jamais rien vu de tel. Elle s’offrait à nous, attendant notre jus comme une offrande. On se masturba tous furieusement pour nous finir. C’était merveilleux, nous n’avions plus à nous retenir, juste à nous laisser jouir. Nous étions comme des masos qui arrêtaient enfin de se torturer.

Allez, les garçons ! Je veux qu’il pleuve du sperme ! J’ai besoin d’une douche de foutre ! Me dites pas que vous n’en avez pas envie !

  Ses mots nous excitèrent un max. On était tous impatient de laisser nos queues éclater comme des arrosoirs.

Vos bourses doivent être gonflées à bloc à force de retenir tout ce jus pendant des jours. Mes pauvres salauds. Donnez-moi tout ! Je veux que vous vous vidiez entièrement jusqu’à vous racler le fond des couilles ! Je veux que mon corps entier devienne tout collant !

  C’en fut trop. Je ne saurais dire lequel d’entre nous vint vraiment en premier, nous éjaculâmes tous plus ou moins en même temps. Je poussai un grognement guttural lorsque je sentis enfin mon foutre sortir de mes couilles pour grimper le long de ma tige. Ma queue explosa en copieux jets de foutre qui atterrit sur Julie. Nous lui donnâmes ce qu’elle voulait. Nous jouîmes abondamment et la recouvrîmes de sperme. Nous cherchâmes à viser pour lui en mettre le plus possible. Elle, elle avait fermé les yeux et sortit la langue pour nous accueillir en bonne petite salope soumise. On lui en mit sur le visage, les cheveux, les épaules et les seins. Je n’avais jamais jouis aussi fort, et surtout autant. Le flot ne s’arrêtait pas, et celui des autres non plus.

Raaah ! Salope ! Prends ! Prends !

Aaah ! Ouiii ! Recouvrez-moi de foutre chaud ! C’est bon ! Donnez-tous à votre vide-couilles !

  Ce que nous fîmes sans ménagement en hurlant notre plaisir.

  Nos sources finirent par tarir. Nous nous efforçâmes de se vider jusqu’à la dernier goutte. Nous continuâmes à nous branler pour s’assurer qu’il ne restait rien. Je laissai mes restes lui tomber sur le front en essorant ma queue.

  Elle continuait de pulser sans plus rien éjaculer. Mes bourses autrefois pleines étaient maintenant complètement vide. Je n’arrivais toujours pas à m’en remettre. C’était la plus bonne baise de toute ma vie, et je ne devais pas être le seul à penser ça. Un regard sur Julie me fit du mal à débander. Elle avait du foutre partout comme si un régiment lui était passé dessus. Quand elle comprit que la douche était finie, elle se nettoya les yeux avec un doigt, puis les rouvrit. Elle constata avec joie le massacre que nous avions fait.

Houlà, mes petits salauds, vous m’avez noyée de sperme. J’adore !

Elle porta son doigt en bouche en faisant un :

Hmm délicieux.

  Nous étions tous les trois en train de l’insulter de sale pute dans nos têtes. Une fois encore, je ne l’imaginais pas comme ça.

  Alors que nous étions repus, elle continua à nous exciter en faisant la salope. Elle joua avec notre sperme pour se l’étaler partout sur le corps. Elle en répandit sur ses seins et le ventre comme s’il s’agissait d’une crème hydratante qui lui faisait du bien. Elle ramassa aussi ce qui trainait sur son visage pour l’avaler, en prenant soin d’ouvrir un maximum la bouche pour nous le faire voir. Putain, si j’en avais été capable, peu importe qu’elle soit gluante ou pas, je l’aurais forcée à se mettre à quatre patte et je l’aurais enculée. Elle n’avait aucune limite.

  Aucun d’entre nous ne rata son petit manège. Lorsqu’elle eut fini, elle nettoya nos sexes mollissant en les suçant goulument.

C’est là qu’on se rendit compte que nous n’avions absolument rien pour l’aider à se nettoyer un peu avant de rentrer. Elle réagit comme si ce n’était pas grave et qu’elle n’en avait rien à faire. Elle remit son bikini tandis que nous nous rhabillâmes également, et elle rentra ainsi à son appartement totalement couverte de sperme.

  Je craignis que le réveil du lendemain soit difficile pour nous tous. Nous ne réalisions pas. Nous étions tous à moitié bourré ; et je me demandais quelle allait être notre réaction une fois dessaoulé ; surtout la sienne.

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