Nous y sommes, nous sommes le 6 septembre, à minuit cela fera deux mois que je suis le, pardon La secrétaire de Madame.
Jour après jour, jai appris à marcher, à masseoir, à me maquiller, mépiler comme une femme, Martha à développé beaucoup dadresse et de patience pour méduquer.
Madame est satisfaite de moi, Jean vient de plus en plus souvent.
Mon travail est passionnant, Madame dirige une société dimportation de produits du moyen orient, je lassiste dans cette tâche.
Je réponds au téléphone, tape le courrier, vérifie les bordereaux, pointe les relevés de paiement, gère les traites et les virements et surveille les transits de marchandises.
Tous les soirs je lui fais un rapport détaillé de la journée, je lui sers toujours de chauffeur pour ses voitures ou son bateau.
Madame possède à la cité lacustre de Grimaud une maison avec anneau ou son bateau est amarré. Un bateau de dix mètres avec cabine et 300 chevaux de puissance, nous partons de temps en temps en week-end et nous longeons la côte ou nous partons en Corse ou dans un port italien.
Ce soir madame a commandé un buffet au traiteur pour fêter mon embauche. Cela fait déjà quelques jours que je lui aie annoncé que je consentais bien à rester si son avis était favorable.
Cela me valut une nuit de folie, tout en douceur et ou pour une fois je bénéficiais des faveurs de Madame et Martha.
Jean vient darriver avec un grand carton, il le donne à Martha pour quelle le range à la bibliothèque.
Je leur sers un apéritif dans le bureau et cest le moment que choisit Madame pour mannoncer les dispositions quelle comptait prendre à mon encontre.
-« Avec Jean nous avons commandé à notre bijoutier des bijoux qui te seront très intimes, tu me las déjà entendu dire, je compte te faire percer tes pointes de seins pour y mettre des anneaux avec mon blason gravé, jattendrais pour le faire que ta poitrine pousse un peu car à partir de demain tu vas suivre un régime et des piqûres dhormones féminisantes. Ensuite pour remplacer ton string et tavoir nue sous tes vêtements nous te ferons mettre un anneau au bout de ta verge qui relié à deux chaînettes seront attachées à une autre chaîne qui te servira de ceinture, le tout serti pour que tu ne puisses plus lenlever. Dautre part nous allons prendre rendez-vous avec un ami chirurgien qui possède une clinique en Italie pour voir si nous pouvons faire quelques modifications de ta plastique. Bon maintenant à table. »
Il va sans dire que sil ny avait pas eu le champagne je naurais pas profité de la soirée.
Le lendemain matin mon bracelet me tire du sommeil et Madame mordonne de charger les bagages dans la voiture et de lemmener au bateau.
Nous voilà prêts à partir, nous ne sommes que Madame et moi, jattends ses ordres, elle revient de la Capitainerie et me dit : -« En route, nous partons pour lItalie. » Et elle part sinstaller dans le salon.
Cinq heures plus tard jaccoste le bateau et je vois arriver un chauffeur de maître qui prend en charge nos bagages et ils nous emmène dans larrière pays.
« Clinica San Giorgio »
Je ne peux retenir un cri et un sanglot, mes jambes se mettent à trembler, je transpire.
-« Ne crains rien, je ne souhaite pas que tu souffres, tout se passera sous anesthésie et tant que tout ne sera pas cicatrisé, ils te donneront des médicaments pour que tu ne sentes rien. »
Après ces bonnes paroles je suis pris en charge par des infirmières italiennes, heureusement je parle lItalien, je pourrai les comprendre lorsquelles parleront devant moi.
J’ai subi plusieurs opérations, je suis resté un mois et demi dans cette clinique.
Le chirurgien ami très proche de mon employeuse, ma supprimé la glotte, fait un lifting du visage pour me laffiner, a posé mes deux anneaux à ma petite poitrine (90 a, taille souhaitée par Jean ma-t-on appris), posé lanneau à ma verge et à fait disparaître mes testicules.
Je nai plus que ma verge qui dépasse comme un gode sur une ceinture et un vagin, oui un vagin féminin..
Les infirmières mont certifié que je pourrais toujours honorer ma maîtresse mais que je ne pourrais plus avoir denfants. Lanneau de ma verge pourra être retiré au bon vouloir de Madame.
Ma taille est ceinte dune belle chaîne en or, qui servira à attacher ma verge pour remplacer le string.
Aujourdhui pour la première fois je vais pouvoir me voir dans un miroir, cest le jour de ma sortie, les infirmières mont ramené mes vêtements et je vais devoir me maquiller.
Oh ! Je ne me reconnais pas dans la glace, une femme cheveux bruns coupés au carré, un visage plus fin, une poitrine bien ferme avec deux anneaux au bout des tétons.
Il ny a que la verge, mais cela fait drôle de ne plus voir mes testicules et de voir des lèvres à leur place, linfirmière me dit que mon gros clitoris lui fait envie mais quelle na pas le droit.
Madame entre à cet instant, elle me prend par la main me fait tourner et menlace pour un baiser intense. « Je naime que les femmes mais je ne peux pas me passer dune belle queue, je tai façonnée à mes désirs et à ceux de Jean mon mari avec qui jai passé un compromis. Tu nous appartiens à tous deux et tu nous donneras du plaisir à tous deux, nous tautoriserons des escapades avec Martha qui elle aussi t apprécie. »
Après ces retrouvailles, Madame sort de son sac deux chaînettes et me fait revêtir mon nouveau string.
Revêtue dune robe fourreau que Madame ma apportée, on naperçoit que mes chaînes et mes anneaux, je me trouve même belle.
Ma voix est en train de se transformer également, ce ne sera jamais une voix de femme mais très proche.
De retour à la villa Jean a cru quil avait la primeur de mes charmes mais Madame mavait demandé de jeter lancre avant darriver à Port Grimaud .
Dans le bateau jai dû lhonorer de ma plus belle érection, me faire sodomiser et dépuceler mon vagin par sa ceinture, crier sous les étirements de mes tétons ou elle y avait accroché deux poids, répondre à ses baisers passionnés, jen avais la langue ankylosée.
Jean ma gardée toute la nuit, alternant ma nouvelle chatte, sodomie et fellations, il me pétrissait les seins à men faire gémir.
Au petit matin, Jean étant toujours endormi, Martha ma gratifiée dune magnifique pipe avant de moffrir ses trous damour, Jean nous a surpris pendant que nous nous embrassions, il nous a sodomisées alternativement jusquà notre jouissance en nous aspergeant toutes deux de son sperme que nous nous sommes nettoyées à coups de langues mutuellement.
Jai repris mon travail de secrétaire, chauffeur, amant et maîtresse.
Le compromis quils avaient passé, en restant chacun chez soi, petit à petit sest modifié, Jean est resté de plus en plus souvent à la villa et de plus en plus souvent nous faisions lamour à trois. Jai connu ainsi mon premier sandwich, madame empalée sur mon sexe et Jean effectuant des aller retour dans ma chatte et dans mon anus.
De temps en temps lors de réceptions Madame et Jean me font mexhiber pour le plus grand bonheur de leurs amis, avec Martha nous leur faisons un spectacle érotique ou nous nous faisons alternativement lamour.
Un jour cependant envoyée en mission à Marseille, je suis tombée dans un guet-apens tendu par une connaissance de Madame, qui mavait vue en spectacle exhibition à la villa.
Jétais habillée dun tailleur, arrivée au bureau de monsieur C* il seffaça pour me laisser entrer mais une fois la porte fermée il sest rué sur moi et ma arraché la veste, il ny avait quune agrafe pour la fermer. A demi nue devant lui, instinctivement je protège mes seins de mes mains, il brandit sous mon visage un rasoir et me dit : « Tu vas finir de te déshabiller, je te veux nue, tu as intérêt à être obéissante sinon ton visage et tes seins vont goûter à ma lame. »
Que pouvais-je faire sinon quobéir, jai défait ma jupe qui à glissé au sol, il ma fait signe de me tourner, dans mon dos il a défait ma chaînette qui retient ma verge.
-« Je veux avoir accès à ta chatte et ton cul, commence par me sucer ! »
Jai du le sucer longuement, il prenait son temps, il a tout craché dans ma bouche, ma obligé à tout avaler puis à lui redonner de la vigueur, une fois en érection il ma faite relever et appuyér sur son bureau il ma prise sauvagement par mes deux trous.
Après sêtre servi de moi il a appelé par linterphone son chef datelier et lui a demandé de venir avec deux ou trois gars.
Je me suis mise à trembler, que vas-t-il marriver, je men doute un peu mais après ?
Trois hommes impressionnants par leur carrure entrent dans le bureau, ils rigolent me voyant nue à genoux au centre du bureau.
-« Elle est à vous, vous pouvez la prendre par ou vous voulez et même à plusieurs, je veux quelle se souvienne de son voyage à Marseille. »
Jai sacrément dérouillé, ils mont prise par tous les trous et toujours par trois, ils ont joui dans chaque orifice, je dégoulinais de sperme, jen étais couverte, je puais la transpiration et le sperme, jen avais de partout même dans les cheveux. Ils essuyaient leurs queues sur tout mon corps et se la faisaient nettoyer par ma bouche, le tout en étant traitée de pute, salope, travesti, pédè ; mes tétons sauvagement tirés par mes anneaux, tordus pincés.
Ils mont besognée pendant trois heures, cela faisait quatre heures que jétais dans ce bureau qui puait maintenant le fauve.
Mon bracelet sest mis en marche, Madame se demandait ce que je faisais, jaurais déjà dû être rentrée, sa colère sentendait.
Surpris mes violeurs se tournent vers leur patron ; – « Pissez-lui dessus et foutez-la à la porte à poil je garde son tailleur en souvenir et si tu veux le récupérer tauras quà revenir. AH ! AH ! AH ! »
Je me retrouve sous un jet de pisse, je dégouline de partout trois vessies dhommes qui se vident, et dun coup un me force à le prendre en bouche pendant que les deux autres me pénètrent et continuent à se vider. Jen ai des hauts le cur, je vais vomir, quelle honte.
Je suis pris en poids et volume et me jettent sur le parking, nue , puant et dégoulinant de tous mes trous de pisse et de sperme, je nai que mes chaussures et les chaînes de mon string qui pendent.
Heureusement la voiture souvre grâce à mon bracelet, je me réfugie dans la voiture et démarre aussitôt, à bonne distance dans un endroit désert je marrête et jappelle Madame.
Cest en sanglots que je lui relate laprès-midi que jai passé, elle me console comme elle peut et me demande de rentrer au plus vite. Je menroule dans un plaid trouvé dans le coffre de la voiture et je rentre, deux heures de calvaire.
Une fois arrivée je meffondre dans les bras de Madame, elle renvoie Martha et cest elle qui soccupe de moi, me baigne , me soigne et me couche dans son lit.
Le lendemain elle mexplique quil ny a pas moyen de porter plainte, mais quelle se chargera de ces goujats dune autre manière.
Et largent dans tout ça, il saccumule sur mon compte, je le place car quand Madame et Jean ne voudront plus de moi, je ne risque pas de retourner voir mes anciennes connaissances, il faudra bien que je me loge. Il y a bien Martha qui me jure fidélité mais qui a bien vingt ans de moins que moi et je ne sais pas comment je vais vieillir après ces transformations.
Je souhaiterais finir ma vie honorablement et non comme une vieille travestie sur un trottoir pourri.
FIN