Chapitre 26 : Vie familiale mouvementée
-Bien, merci Paul pour cette présentation sur la reproduction des pandas. Le cours est terminé, vous pouvez aller en récréation. Antoine, veux-tu bien rester un instant, je te prie.
Morgane attendit que tous les élèves aient quitté la classe avant de parler :
-Bon, commença-t-elle, en ce qui concerne hier
-Madame Shem, la coupa immédiatement Antoine dont les joues s’étaient soudainement empourprée, je tenais à m’excuser pour mon comportement d’hier. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais
-Ne t’en fais pas pour ça, mon garçon, sourit Morgane afin de détendre l’atmosphère, c’est déjà oublié. Non, ce que je voulais savoir c’est s’il s’était produit un incident hier après que je sois parti, quelque chose d’anormal ?
-Comme ce qui s’est produit quand vous étiez là ?
-Par exemple, oui, approuva-t-elle.
-Eh bien, non. Ma mère est restée cloîtrée dans sa chambre toute la soirée. Il ne s’est rien passé d’étrange hier soir.
Morgane soupira de soulagement. Elle avait eu peur que l’étrange comportement d’Isabella continu même après qu’elle soit partie. Morgane allait congédier son élève lorsqu’elle se rendit compte de ce que celui-ci venait de dire.
-Comment ça, il ne s’est rien passé hier soir ? Et aujourd’hui ?
Antoine devint subitement rouge et il baissa honteusement la tête.
-Je J’ai essayé de l’empêcher de enfin
Morgane lui intima le silence d’un mouvement impérieux du doigt et soupira de découragement. La situation lui échappait complètement Elle remit ses pensées dans l’ordre et tourna son regard vers Antoine.
-Assied-toi et raconte-moi tout.
Le jeune homme obtempéra.
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Son réveil hurlait depuis maintenant dix bonnes minutes. Antoine tendit difficilement le bras et appuya sur le bouton d’arrêt. Il se leva, les yeux encore embués de sommeil et se dirigea vers la salle de bain. Il ne le remarqua pas mais son caleçon était déformé par une violente érection matinale. Il commença à se brosser les dents, les paupières lourdes et ne fit pas attention à la porte qui s’ouvrait lentement.
C’était Isabella mais elle n’était pas dans son état normal. Pareille à une louve sur la piste d’une proie, elle entra dans la pièce à quatre pattes en tendant le nez en avant comme si elle suivait une délicieuse odeur. Son odorat la mena droit vers l’entrejambe d’un jeune homme dont l’attention était toute entière accaparée par le brossage de ses dents.
Soudain, celui-ci sentit une pression sur sa queue en érection et lorsqu’il baissa la tête, il eut la surprise de croiser le regard affamé de sa mère.
-Que Maman ?! S’écria-t-il.
Il tomba à la renverse et recula le plus loin possible d’Isabella.
-M maman, arrête, je t’en prie. Qu’est-ce que tu fais ? Je ne veux plus que tu m’en veuilles Je arrête.
Isabella lorgnait son fils avec une envie dévorante et progressait vers lui comme une prédatrice. Elle jouait des épaules et ne quittait pas des yeux la bosse qui surélevait le caleçon d’Antoine.
-J’ai faim, sourit-elle lubriquement en dévoilant ses canines luisantes.
Antoine recula comme un lapin apeuré. Sans qu’il ne s’en rende compte, il s’était engouffré dans la douche : toutes les issues étaient maintenant bloquées par des parois en plexiglas. La seule sortie qu’il restait était entravée par une Isabella des plus sauvage.
-Maman, arrête ça ! Qu’est-ce qui te prends, à la fin ?
Antoine tenta de se relever mais il s’accrocha au robinet de la douche et la déclencha. Mère et fils furent immédiatement trempés mais cela n’endigua en rien la soif d’Isabella, bien au contraire. Son pyjama se colla contre son corps menu, augmentant par là même l’excitation du jeune homme.
Isabella huma l’air avec régale et s’avança jusqu’à son fils. Elle ôta le caleçon d’Antoine et il ne fut pas assez fort pour résister. Sa queue se présenta à sa mère comme un appétissant bout de viande. Incapable de résister davantage à sa faim dévorante, Isabella enfourna avec délice le sexe d’Antoine. Ce dernier ne put s’empêcher de gémir tandis que sa mère lui procurait la plus belle pipe de toute sa vie.
La douche ne cessait de couler et l’eau ruisselait sur leur corps tendu à l’extrême.
-Oh, maman ! Non arrête … Ta bouche est si douce
Isabella pompait comme une louve, montant et descendant sur ce pilier de chair et aspirant avec une soif animale. Ces cheveux trempés procuraient de douces caresses aux cuisses d’Antoine. Le jeune homme avait une sublime vue sur la croupe surélevée de sa mère d’autant plus que le fin tissus de son pyjama trempé laissait entrevoir la délicate rondeur de ses fesses. Son érection n’en était que plus violente.
Antoine se rendit compte à quel point sa mère était une experte dans le suçage de queue. Par moment elle pompait avec vigueur pour ensuite caressait par des petits coups de langue taquin le frein de son sexe et pour finir elle aspirait le gland avec régale. Antoine prenait son pied comme jamais.
-Oh, maman ! Tu fais ça comme une reine ! Papa doit être le plus heureux des hommes lorsque tu lui fais ça.
Isabella se retira et vint embrasser son enfant en gémissant.
-Et toi, mon fils, haleta-t-elle entre deux baisers humides, es-tu l’homme le plus heureux du monde quand je te suce ?
-Oh, oui maman ! J’adore ça !
Elle se mit à califourchon sur Antoine et fit des mouvements de bassin pour caresser sa queue à avec sa chatte détrempée. Elle geignait dans la bouche de son fils et dirigea les mains de ce dernier vers son entrejambe bouillant d’envie.
Antoine malaxa le vagin de sa mère au travers du tissu mouillé du pyjama et puis glissa sa main sous celui-ci. Isabella se serra davantage, augmentant le rythme de ses mouvements sur la queue de son fils.
-Mmh Doigte-moi, Antoine ! Plus vite !
Véritable prédatrice affamée de sexe, elle se leva et retira sa culotte de pyjama. Son vagin surmonté d’une légère touffe de fourrure se présenta devant la face d’Antoine. Isabella saisit la tête ébahie de son fils et la colla contre sa con en feulant comme une chatte enragée.
Antoine agrippa les fesses de sa mère et se mit à lécher son trou avec un plaisir évident. L’eau de la douche coulait jusqu’à l’entrejambe d’Isabella et se parait de ses effluves vaginales avant de finir dans la gorge d’Antoine. Celui-ci sirotait avec appétit l’abricot de sa mère tout en pressant les deux fesses fermes et douces.
-Oh oui, Antoine ! Ta langue est trop bonne ! fourre-la dans ta maman, rempli ta maman avec ! Oui ! Oui ! Oh !
Antoine venait d’enfiler un doigt dans le cul d’Isabella et faisait de timides aller-retour, comme pour demander la permission.
-Oh, j’aime ça, mon chéri ! Accélère !
Antoine s’exécuta sur le champ et se retrouva donc la langue ainsi que deux doigts profondément enfouis entre les chairs de sa tendre salope de mère. Cette dernière gémissait bruyamment en frottant sa chatte contre la face de son fils.
-Oh, putain oui ! S’extasia Isabella.
-Maman, et moi ? Demanda le jeune homme en se dégageant brusquement.
Isabella s’agenouilla et embrassa son fils avec passion. Par là même, elle goûta sa mouille via les lèvres de son fils. Elle ôta prestement son haut de pyjama et le lança dédaigneusement dans la douche.
-Tu as raison, mon fils. Prends-moi, vite !
Elle saisit la queue du jeune homme et, affichant un sourire de prédatrice, elle s’y empala en hurlant à la lune son plaisir incestueux. Antoine gémit intensément tandis que sa mère s’embrochait sauvagement sur son membre viril. Elle haletait devant sa face comme une chienne en chaleur et son regard révulsé indiquait un plaisir immense.
-Ta bite est trop bonne ! Geignit-elle en embrassant fougueusement Antoine.
Ce dernier s’était emparé du cul de sa mère et accompagnait ses mouvements tout en titillant son anus entrouvert.
-Oh, maman ! Vas-y ! Qu’est-ce que t’es bonne, putain ! Ton cul est dingue !
Isabella ne cessait de monter et descendre sur la hampe de son fils. Soudain, celui-ci fut comme prit de frénésie. Il se releva en soulevant sa mère par les fesses, la colla contre le mur et la baisa dans cette position. Isabella s’arrimait à lui comme une lionne à sa proie : elle avait ligoté ses bras autour de son cou et ses jambes autour de ses hanches et se faisait violemment perforer.
-Baise-moi, mon cur ! Baise ta salope de mère !
Elle enfonça ses griffes dans le dos de son fils et y traça de brûlants sillons qu’il sentit à peine tant le plaisir était intense.
L’eau ne cessait de cascader sur leur corps nus et, sans qu’ils ne s’en rendent compte, le haut du pyjama d’Isabella bloqua le siphon de la douche. Lentement, le niveau d’eau monta et finit par déborder dans la salle de bain. Ni l’un, ni l’autre n’y prêta attention et ils poursuivirent leur passionnante activité.
-Me amore ! Ta queue est divine ! Gémit Isabella qui était au bord de la jouissance. Attends, prends-moi comme ça.
Elle descendit des bras de son fils, se tourna face au mur et présenta sa croupe. Antoine n’hésita pas une seconde avant de planter sa queue dans le trou d’amour d’Isabella.
-Ouiii ! Cria-t-elle.
Antoine effectuait de vifs allers-retours en ahanant sous l’effort. Il était tout rouge et ses muscles étaient tendus.
-Allez, Antoine ! Tape dans le fond, je suis ta mère tout de même !
Le jeune homme obéit immédiatement. Il s’empara des larges hanches de sa mère et la bourra avec de gros et puissants coups de boutoir.
-Mmh ! Mmh ! Ah, ouiii ! C’est bon ! C’est booooon !
Antoine s’en donnait à cur joie. Ses hanches rebondissaient violemment ses les divines fesses de sa mère qui le suppliait d’accélérer.
-Déchire-moi la chatte, mon chéri ! Je vais jouir !
-Moi aussi, maman, haleta Antoine. Ta chatte est trop chaude, je ne vais pas résister longtemps
-Jouis en moi, mon fils ! Mmh ! Rempli ta maman chérie ! Oh, putain !
-Oh oui, maman.
Antoine pilonna sa mère avec vigueur, sa force décuplée par la venue imminente de son orgasme. Isabella se mit à rugir de plaisir tandis que son con se faisait littéralement exploser par la bite de son fils.
-Oh oui ! Oui ! Oui, Antoine ! Je jouiiiiii !
Le jeune homme en rut se mit à éjaculer dans les tréfonds d’Isabella pendant que cette dernière criait de bonheur. Finalement, elle s’effondra, le vagin plein à ras-bord du sperme de son propre enfant. Elle resta dans le coin de la douche, à moitié consciente.
Antoine tentait de récupérer son souffle lorsque son regard tomba sur le pyjama qui bloquait le siphon de la douche. Il jura et retira vivement ce bouchon de tissu sans oublier de couper l’eau.
-Oh, non, non, non, gémit-il quand il constata l’étendue des dégâts.
Toute la salle de bain était trempée et de l’eau sortait même dans le couloir. Il s’empressa d’essuyer le carrelage de la salle de bain puis referma la porte derrière lui pour laver le couloir. Au bout d’un moment, alors que le sol était presque sec, il entendit l’eau de la douche couler à nouveau. Il songea en souriant lubriquement que sa mère s’était enfin remise de ses émotions. Il prit le seau et la serviette et entra dans la salle de bain :
-Ça va mieux, maman ? Si tu
-Antoine ?! S’exclama-t-elle en couvrant précipitamment sa nudité. Qu’est-ce que tu fais ? Je prends ma douche ! Et pourquoi es-tu tout nu ?
Antoine resta coi pendant une pleine seconde, une incrédulité sans nom se peignant sur ses traits.
-Heu tu
-Veux-tu bien sortir ! Cria-t-elle, au comble de la gêne.
Antoine s’exécuta sans comprendre. Il referma la porte derrière lui et, dans la plus complète confusion, tout ce qu’il trouva à dire fut :
-Hein ?
Il prit son petit-déjeuner avec en tête cette question qui tournait en boucle : Qu’est-ce qui venait de se passer ? Alors que son esprit était toujours hanté par cette épineuse question, Isabella entra dans la cuisine.
-Ah Antoine, j’avais peur que tu sois déjà parti à l’école Voilà, je voulais m’excuser à propos d’hier soir. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’étais pas moi-même Je ne sais pas ce que tu espérais ce matin en entrant tout nu dans la salle de bain, mais sache que ce qui s’est passé hier soir ne se reproduira plus jamais.
Antoine regarda sa mère stupidement, pensant qu’elle rigolait.
-C’est une blague ? Tu ne te rappels
-Non Antoine, je ne rigole pas. Ce qui s’est passé hier a été une erreur que je regrette mais je ne peux malheureusement pas revenir en arrière alors Voilà, j’espère que c’est clair
Evidemment que non, avait envie de lui hurler Antoine mais il acquiesça silencieusement. Il demanda plutôt :
-Tu as pris une bonne douche ce matin ?
-Oui. Pourquoi cette question ?
-Pour rien, pour rien Je dois filer. À ce soir.
Antoine claqua un rapide bisou sur la joue de sa mère avant de s’enfuir pour l’école.
******
-Donc voilà, conclu-t-il. Vous savez tout.
Morgane se tapotait songeusement le menton. Tout ce que venait de lui révéler son élève ne faisait qu’appuyer l’hypothèse de Simon selon laquelle l’esprit d’Isabella était maintenant scindé en deux. L’un pervers et l’autre pas.
-Savez-vous ce qui arrive à ma mère ?
-Ce n’est qu’une crise passagère, expliqua Morgane en s’armant d’un sourire rassurant. Mais si cela devait se reproduire, viens immédiatement m’en parler, c’est compris ?
-Mais je ne devrais pas appeler un médecin ou un psy ?
-Non, surtout pas ! S’exclama Morgane.
Un plan venait de germer dans son esprit mais si elle voulait qu’il fonctionne, elle devait s’attirer la confiance d’Antoine.
-Il ne faut en parler à personne et surtout pas à ton père, poursuivit-elle. Je crois savoir ce qu’il faut faire dans ces conditions, j’ai eu une amie qui a eu le même problème il y a peu de temps
-Ah bon ?
-Oui, oui.
Morgane s’en voulait de mentir de la sorte mais elle n’avait pas le choix. De plus, ce n’était pas vraiment un mensonge étant donné qu’elle vivait maintenant avec trois femmes complètement accroc au sexe
-Mais que dois-je faire, dans ce cas ? Je veux dire si ça se reproduit ?
-Eh bien, Antoine, ce que je vais te dire va sûrement te surprendre mais tu devras faire comme les deux dernière fois Tu devras baiser ta mère jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme.
-Pardon ? Mais
-Et surtout, poursuivit la jeune femme, Une fois qu’elle aura joui, tu devras partir avant qu’elle ne se réveille.
-Mais pourquoi ?
-Antoine, si tu ne fais pas ça, Isabella restera coincé dans l’état dans lequel elle se trouve actuellement.
Antoine déglutit péniblement.
-D d’accord, madame.
-Bien, tu peux y aller.
Antoine s’en alla l’esprit préoccupé. Lorsqu’il eut fermé la porte derrière lui, un sourire satisfait étira les lèvres de Morgane. Elle reprenait le contrôle de la situation