J’ouvris un oeil en resserrant la couverture contre moi. Je devais mêtre reposé plusieurs heures car le soleil se couchait a mon réveil. La maison baignait dans un énorme silence. Les filles étaient parties en catimini, laissant les couvertures au sol. Le souvenir de cette après-midi me resterait en tête. En me levant, je remarquais un papier sur la table avec le nom HBIBA.
Je le dépliais et vis un numéro de téléphone, avec écrit en dessous: Appelle moi coquin <3
Je me rassasiais en regardant la feuille, un sourire en lèvre, puis lappela. Après quelques minutes, on conclut de se revoir pour plusieurs parties de jambes en l’air, mais pas de couple. Juste du sexe.
Avec Anne, cétait la deuxième qui veut revenir sans que j’use de mon don. Je raccrochais, rêveur, et préparait ma soirée, même si cette fois, cétait sans fille.
Le lendemain, au réveil, j’eus envie décumer les rues pour me retrouver une fille … ou des filles. Mais j’avais un travail a faire pour les cours. Donc direction la bibliothèque. Je préparais mon sac et pris la route. Depuis que j’avais ce don, j’avais facilement envie, et lorsque je crois une ou des filles bien foutues, j’avais envie de faire demi tour. Mais comme mon don n’allait disparaître, je reportais le sexe a plus tard. A mon arrivée, je m’installais a une table et me mit au travail.
Deux heures plus tard, concentré dans la conclusion, je sentis une main sur mes épaules. Je me retournais et fis face a Laury. Laury était une ancienne camarade d’un club. Elle était de petite taille, tout fine, avec un piercing a la lèvre, des cheveux noirs en queue de cheval. Elle portait un pantalon noir, un chemisier blanc ouvert en décolleté, même si elle n’avait pas une poitrine développée. Je la connaissais coquine de nature, en plus d’être libertine (elle et son copain vivait loin a cause du travail, donc il avait conclu un accord tacite).
Elle s’installa a coté de moi, et on bavarda, ce qui me fit une bonne pause. Bien que je me suis dit que je ne voulais pas me distraire, je ne pouvais détacher mes yeux de son corps, et l’envie de tarauda a tel point que je fus surpris qu’elle naperçut pas mon érection.
Je me levais pour aller chercher un livre au bout de la bibliothèque, l’incitant a se lever aussi pour parler, et lorsque nous fumes hors de vu, je la laissais me passer devant, pour qu’elle se tienne involontairement entre moi et la bibliothèque et lui mis ma main aux fesses. Il n’y eu pas de sursaut mais Laury ne bougea pas , elle se contenta de reculer son fessier pour le plaquer contre moi. Invitation reçue.
Je me penchais vers elle, et lui glissa a l’oreille.
-Les toilettes handicapées pour homme, dans 5 minutes.
Je pris un livre et l’amena sur ma table. Puis Je partis aux toilettes et j’attendis. Je n’eus pas a longtemps a attendre. La porte s’ouvrit violemment, Laury entra, ferma le verrou, me sauta dessus, et m’embrassa fougueusement. Mes mains sur ses fesses, je la soulevais et la rabaissais, pour frotter nos entrejambes. Je déboutais son chemisier en la posant a terre, libérant ses petits seins. (elle n’aimait pas ses soutiens gorge) et je vis ses petits seins pointus que je m’empressais de sucer, tandis qu’elle déboutonnait son pantalon, abaissait sa culotte et posa ma main sur sa chatte. Je la caressais doucement, pinçant ses lèvres et son bouton, elle mordillait sa lèvre inférieur. Sous le coups, elle déboutonna mon pantalon, sortis ma verge, et me poussa d’un coups contre le mur. Elle s’agenouilla et me suça avec désir, léchant mes couilles, ma verge, aspirant mon gland. Je gémissais tant cétait bon, elle levait les yeux, me jetant un regard des plus coquin, tout en se caressant le sexe.
Nous fumes interrompus pas la poignée qui s’agitait, on attendit de voir si la personne insistait, mais elle rebroussa chemin. Pour ne pas risquer plus, Laury se releva, leva une de ses fines jambes que je saisis, et introduit mon sexe en elle. Je ne fus pas surpris de la faciliter avec laquelle son sexe avala le mien, elle avait l’habitude de baiser avec des amants, je ne devais pas être le plus gros sexe qu’elle ai vu, mais je sentais bien la chaleur de son intimité. Je saisis son autre jambe, pour bien la prendre, et jenfonçais ma bite au fond d’elle. Elle me roula une pelle pendant toute la durée de la pénétration, nhésitant pas a bien secouer ses hanches. Je la soulevais de plus en plus haut, pour ne laisser que mon gland en elle, et la fit chuter sur toute la longueur de mon sexe. Ses mains griffaient mon dos. Au bout d’un moment, je ne pus me retenir et je voulus la déposer pour jouir. mais elle resta accrocher par les jambes et me glissa a l’oreille:
-Remplis moi, ne tinquiète pas mais jouis en moi.
Et je me lâchais, éjectant tout mon désir en elle en un dernier grand coups de bassins. Nous fumes pris de frissons. et nous nous allongeâmes sur le sol pour souffler.
c’est la que je découvris la main d’une personne au dessus de l’habitacle, avec un portable en mode filmer.