Nous fêtons aujourdhui nos anniversaires, ma sur et moi. Les parents, que nous adorons, nous ont préparé une petite fête en tout petit comité, cest-à-dire que tous les quatre.
Ma sur et moi sommes de vrais jumeaux monozygotes. On est blondes toutes les deux, de grands yeux verts et tout ce quil faut là où il faut. Mais Dame Nature a décidé que si lune devait avoir un sexe féminin, lautre recevrait une paire de couilles et un pénis hors norme. Eh oui, je suis une véritable Sissy. Je nai pas à envier la poitrine de ma sur : on a exactement la même. On est exactement identiques, mis à part cette bite monstrueuse que jai peine à dissimuler.
Lobstétricien qui nous a mises au monde avait déjà entendu parler de ce type de malformation mais il était étonné de voir deux petites filles aussi ressemblantes. Mes parents, à notre naissance, nont pas eu dautre choix que daccepter la fatalité davoir une… transsexuelle à la maison. Bien que je naime pas ce mot, il fallait que je laccepte. Je nétais pas une trans mais une fille avec un zizi. Une bistouquette, comme laimait à dire mon papa adoré.
Ma mère a décidé de mélever comme ma sur. Pas de différence physique, pas de différence sur notre éducation, avait-elle décrété. Nous avons suivi le même cursus scolaire, les mêmes cours de fitness, les mêmes flirts. Mais je nosais pas me montrer nue devant un garçon, surtout quand il devenait trop entreprenant. Je fuyais. Cest déjà dur de se montrer dans son plus simple appareil, alors avec une queue immense, pensez donc. Je métais reconvertie dans les fellations, ce qui mallait bien. Un peu laborieuse au début, je peux dire que je suis passée experte en la matière. Jai même initié ma surette sur mon membre. Elle naime pas avaler, tout le contraire de moi.
Mais à 18 ans, il y a belle lurette que ma sur avait perdu sa virginité. Cétait avec un copain de collège. Et moi toujours vierge de mon séant.
Pour nos 18 ans, nos parents ont mis les petits plats dans les grands. Nous avons fait un effort vestimentaire pour honorer ce repas. On mange, pas plus que de raison, nous faisons attention à notre ligne. De vrai femmes, quoi.
Après le gâteau, nos parents sen vont deux jours chez la mère de maman, notre grand-mère. Une vieille dame acariâtre à qui je ne parle plus. Elle ma vue une fois nue.
Tu es lenfant du diable…
Et cest toi le diable.
Vous comprendrez aisément que cela a jeté un froid dans nos relations. Mon père y va par nécessité, ma mère nayant pas le permis.
Ils partent après le café. Ils sen vont, non sans avoir reçu les dernières consignes maternelles. Mon père monte dans sa voiture en rigolant et en nous faisant un clin dil.
Une fois seules dans la demeure, on court dans la salle de bain et on prend nos serviettes de bain. On se fout à poil et on se dirige vers notre grande piscine. Mon gentil papa la construite pour que je puisse me baigner en toute tranquillité. Ah, oui, nous sommes naturistes. Décrété par mon "father", ma mère a été réticente au début mais a fini par laccepter. Elle sest même fait épiler, comme nous ; sans poil quand on est à poil. Mon père a gardé son poil, disant que ça fait plus viril.
On joue à des jeux pas si innocents que cela. On se palpe les seins, que lon a sensibles toutes les deux. Bientôt nos tétines sont sorties de leurs cachettes et dardent fièrement. Ma sur a décidé de sen occuper, elle me les tète. Je caresse sa petite chatte, que je sais accueillante. On sort de leau et on sallonge sur la pelouse. Le jardin de notre villa isolée loin de la ville de Palavas-les-Flots permet de nous adonner aux plaisirs de la chair sans risquer dêtre vues.
Tu nas pas encore trouvé de mec pour te déflorer ?
Non, mais il y a toi…
Hors de question. Il te faut une vraie bite pour ta première fois, une qui palpite, qui vit et qui téjacule au plus profond.
Ses mots me touchent. Elle a raison. Il faut que je trouve un beau mandrin pour ma première fois.
Le soir, je compulse mes mails. On partage tout, mais mes vieux ont décidé que lon aurait chacune notre chambre. Cest lordi portable sur mes genoux que je lis mes mails et message de mes ami(e)s. Je ne leur réponds pas, pas envie. Mes doigts commencent, comme à leur habitude, à taper le nom dun site de rencontres X. Ça ma coûté une blinde, mais au moins je me sens moins seule.
Toujours les même relous que jai rembarrés plus dune fois, mais ils insistent. Je ne my intéresse pas. Une annonce me fait arrêter le défilement. Elle dit : « Homme la cinquantaine, bisexuel, cherche jeune vierge ou pas à initier aux plaisirs de la soumission. Jaime les grandes blondes imberbes (un bon point pour lui) qui aiment se livrer totalement, sans retenue. Tu seras accueillie dans une charmante villa à Carnon. Je vis nu et fréquente assidûment les plages naturistes (aïe !) de la région. Si tu es excitée, contacte-moi. »
Il y a une photo de lui, en pied, nu, le sexe glabre et arborant une verge en demi-érection de taille plus que respectable. Jhésite à répondre à son annonce. Je referme mon ordi. Et puis merde, je me lance. Je rouvre mon ordi, et par chance il est resté sur le site. Je recherche le message qui mintéresse tant. Ah, le voilà. Je me lance : « Bonsoir, Monsieur. Je suis intéressée par votre annonce. Je mappelle Gabrielle (merci papa), jai eu 18 ans aujourdhui. Je suis vierge mais pas comme vous le pensez. Plus de détails dans notre prochaine discussion. »
Je lui joins une photo de moi, seins nus, juste le buste. Jappuie sur "enter". Jattends sa réponse qui ne viendra pas. Cest frustrée que je mendors.
Le lendemain est triste ; effectivement, ma grand-mère est décédée durant la nuit. Malgré toute lanimosité que je lui portais, je fonds en larmes. Nos parents seront absents trois semaines. Ma sur et moi nous nous enfermons dans nos chambres respectives.
Il est 10 heures quand je me décide à ouvrir mon portable. Jai plusieurs messages, mais le seul qui attire mon attention est celui du site coquin.
Vous avez un nouveau message de Maître Charles.
Je louvre vite.
« Bonjour, ma belle Gabrielle. Je te trouve tout à fait à mon goût et il serait dommage que lon en reste là. Tu ne crois pas ? Dis-moi tout de toi. Tes envies, tes attentes. »
Sans attendre, je lui réponds. Jouvre mon livre intime sans aucune retenue, lui avouant ma particularité physique en lui précisant que cest naturel. Pas dopération plastique : je suis une fille, mais avec une bite entre les jambes. Lexistence de ma sur jumelle et notre relation intime.
Il me demande de le rejoindre dans un salon de chat ; jy vais et on sisole.
« Quattends-tu de moi ? Un Maître ? »
Merde, il me prend de court. Je ne sais que lui répondre, lui dire.
« Je ne sais pas ; peut-être. »
« Et ta sur, elle participera ? »
« Je ne sais pas. »
« Va le lui demander, jattends. »
Je me lève à contrecur et vais frapper à la porte de ma jumelle.
Entre, Gaby.
Ça va mieux ?
Elle est belle, ma sur Genny ; elle est allongée sur le ventre. Ma main dérive sur ses fesses que jaime tant.
Genny, tu peux venir dans ma chambre ? Jai quelque chose à te dire.
On se retrouve toutes les deux allongées sur mon lit. Je lui fais lire mes échanges avec Maître Charles. Elle reste interdite.
Putain, tu as osé ce site ?
Oui.
Tes en manque ou quoi ?
Oui. Je lui réponds quoi ?
Elle prend mon clavier.
« Bonjour, je mappelle Genny. »
« Bonjour, Genny. Alors, ta décision ? Soit tu laisses ta sur venir me voir seule, ou tu viens avec elle ? »
« Jamais je ne la laisserai seule. Je viens. »
« Sage décision. Pourriez-vous menvoyer une photo chacune ? Je veux voir votre cul et la bite pendante de Gaby. »
Je lui réponds que cela va prendre un peu de temps. Il me répond quil a tout son temps. Cest ainsi que je me retrouve à quatre pattes sur la moquette de ma chambre. Genny prend la photo, puis on inverse les rôles : je prends la photo de Genny. On poste les deux images ; il est satisfait. Il nous envoie en retour une photo de lui entièrement nu et bandant comme un fou. Rendez-vous est pris pour cet après-midi à 14 heures dans un bar très sélect de Palavas.
On se lave et ma sur minsère une canule dans mon fondement ; cest nouveau pour moi, alors jinterroge du regard ma jumelle.
Il faut que tu sois propre de partout. Tu ne voudrais pas que ton Maître sois déçu ?
Jaccepte, sans broncher.
On est dans le bus ; on se tient par la main comme deux lesbiennes, ce qui fait rire ma sur. On sest habillées pour loccasion : jupes noires moulantes et chemisiers blancs. La jupe de ma sur est ras la moule, un peu plus longue pour moi (pour des raisons que vous comprenez). On arrive au bar et on sinstalle en terrasse. Un homme charmant, cheveux grisonnants, le visage fin et des yeux bleus intenses. Il est habillé cool, un pantalon écru et une chemise bleu nuit.
Gaby et Genny. Je me trompe ?
Non, cest ça.
« Monsieur » : vous finirez vos phrases ainsi.
Il commande trois cafés et nous questionne sur nos envies, bien quil sache déjà tout de nous. Il nous précise tout de même quà lissue de notre formation, qui devrait durer trois ou quatre jours, on deviendra ses muses, offertes à ses amis et amies, et dautres. Je regarde ma sur qui se pince les lèvres.
Gaby, toi tu es pucelle du cul ? Cest ça ?
Oui, Monsieur.
Il me sourit et me dit que ce soir je serais une Sissy ouverte et soumise.
Tu suces ?
Oui, Monsieur ; et javale.
Très bien. Et toi, Genny ?
Moins bien quelle, et je navale pas.
Monsieur ! dit-il sans hausser la voix.
Monsieur.
Buvez votre café. Je vous prends à lessai.
Il règle et nous invite à le suivre ; enfin, à le précéder. Il nous demande de lui montrer nos culs. Il nous dit que lon est de vraies jumelles. Il ouvre les portières dune superbe Audi Q7 aux vitres teintées. On monte toutes les deux à larrière. Une fois le moteur lancé il nous demande de nous mettre à poil. Après nous avoir inspectées, il semble déçu.
Pas un poil. Je ne veux plus voir un poil.
On ne pipe mot. Une fois arrivés chez lui, une grande villa avec une immense piscine, il nous laisse comme deux ronds de flan au milieu du patio. On se regarde.
Il ne tavait pas parlé de ça ? me questionne Genny.
Euh, non, je ne sais plus…
Il revient entièrement nu. Ma sur regarde son sexe avec envie. Moi, avec stupeur. Je vais souffrir sil ne me prépare pas. Il est énorme. Il nous dit dentrer et dattendre Mademoiselle Justine. On attend, debout. Elle arrive, elle est nue. Je commence à comprendre quil nous ait choisies : elle est blonde avec des cheveux longs.
Par qui je commence ?
Genny savance, et cest debout, jambes écartées quelle officie sur ma sur. Ma sur grimace en se pinçant les lèvres. Une fois le sexe et la raie de ma sur parfaitement glabres, elle se dirige vers moi. Je bande.
Très beau spécimen, dit-elle en passant de la cire chaude sur mon pubis.
Elle tire la première bandelette ; je crie. Ma sur et Mademoiselle Justine sont mortes de rire. Elle continue son uvre, et au bout dun quart dheure, son travail terminé, elle sen va en disant :
Léchez-lui son trou du cul ; il adore ça.
Je touche mon sexe. Cela me fait bizarre dêtre épilée, mais la sensation est bonne ; délicieuse, même. Genny touche le sien ; je sais que ça lui plaît. On se dirige vers la piscine. Maître Charles est allongé sur un transat, sexe tendu. Il me regarde, puis ma sur.
Première leçon : votre position dattente.
Il nous fait mettre à quatre pattes sur des transats, bien cambrées, la tête redressée et, évidemment, les jambes écartées. Nous sommes offertes. Il appuie sur mes reins pour accentuer ma cambrure.
Je bande, et il men félicite. Mes couilles pendent ; il me les caresse délicatement.
Que vous êtes belles, toutes les deux ! Vous êtes si proches de la perfection Je vais faire de vous une attraction dont tous auront envie et convoiteront. Suce-moi pour confirmer ton aptitude. Genny, va lui lécher sa petite rondelle. Prépare-la : ce soir, elle ne sera plus vierge.
Ma sur sagenouille entre mes cuisses et tire sur mes fesses. Le contact de sa langue sur mon anus mélectrise. Mais pas le temps den profiter ; Maître Charles introduit sa bite au plus profond de ma bouche. Je mapplique, je bave, je pleure, mais jaccepte sa verge en entier. Putain, quelle est bonne ! La langue vicieuse de Genny a pénétré. Je sens comme une petite bite me pénétrer. Je jouis du cul. Je me sens salope et jaime ça.
Il se retire et éjecte ma sur en lui disant daller membrasser. Il se positionne derrière moi à califourchon. Ma sur me mange le museau comme elle sait si bien le faire. Je sens quil pousse pour pénétrer mon anus, sans violence, progressivement. Je néprouve pas la douleur tant redoutée. Son gland est absorbé par mon sphincter. Il arrête sa progression.
Ça va ? me questionne-t-il.
Hum, oui. Je désire vous sentir en moi.
Il pousse un peu plus.
Tu la sens, ma grosse bite ?
Oui, je la sens bien. Elle est bonne, grosse… Jaime !
Il va à fond jusquà ce que son pubis soit arrêté par mes fesses, puis il se retire en laissant son gland bien au chaud. Il me donne un coup bestial en ahanant. Jai le souffle coupé. Ma sur en rigole.
Va la sucer, et avale la semence quelle va toffrir en cadeau. Ne gâche pas.
Je suis là, prise par le cul et ma sur, folle dexcitation, me prend en gorge profonde. Il me ramone le derche comme un beau diable pendant quelle me suce comme jamais elle ne me la fait. Je pars dans une jouissance inouïe. Je jouis à grands jets dans la bouche de Genny tandis quil éjacule au plus profond de moi. Il se retire, et entre deux eaux, je me retourne et le suce.
Braves petites ! Jai deux spécimens que mes amis vont sarracher