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Vic et Cyril en Normandie (partie 1) – Chapitre 1

Vic et Cyril en Normandie (partie 1) - Chapitre 1



Cela faisait quelques temps déjà que Cyril et moi nous nous tournions autour. Il me faisait des clins d’oeil, je lui répondais par mes sourires les plus ravageurs et une grande complicité c’était établie entre nous. Nous avions beaucoup d’amis en commun et on passait donc beaucoup de temps ensemble, même si nous n’étions jamais seuls à seuls. Quand j’étais près de lui, l’atmosphère était plus lourde, j’avais des papillons dans l’estomac, des désirs les plus sauvages me traversaient l’esprit. 

Il était dans ma classe et souvent, je le surprenais en train de me regarder, discrètement. 

Cyril est métis, plutôt grand avec des beaux yeux verts. 

Il a une belle carrure et ayant déjà aperçu ses abdominaux à la piscine, il n’a pas à se plaindre de ce coté-là. 

De mon côté je suis blonde aux yeux bleus, plutôt grande avec quelques formes, mais disons que j’ai tout ce qu’il faut là où il faut… 

Le départ du voyage en Normandie approchait et j’étais de plus en plus excitée, excitée aussi des peut être quelques moments que j’allais pouvoir passer avec Cyril. 

Maintenant, c’est le matin de départ, on est en file devant le car, on attends de rentrer. Je sens que quelqu’un effleure mon épaule, j’ai des frissons, pas besoin de me retourner, je sais que c’est lui. Il me glisse à l’oreille:

— Salut Vic ça te dis de t’asseoir à côté de moi pour le voyage? J’aimerais bien passer un peu de temps avec toi…

— Mmm je ne sais pas si ça va être envisageable, je lui réponds. 

Je me retourne et lui fais le sourire qu’il aime tant. On rentre et il d’assied à côté de moi, mon coeur bat à tout rompre. 

Nous parlons beaucoup, il me fait rire et il me plait tellement que je rigole peut être un peu trop, mais je ne pense pas qu’il s’en rend compte. 

— Je crois que tu as perdu une boucle d’oreille… Il passe sa main dans mes cheveux, remet quelques mèches derrière mon oreille, et continue son chemin en laissant glisser ses doigts dans mon cou.  Je crois que je vais m’évanouir. Je lui réponds avec une toute petite voix, que vu le prix qu’elles m’ont coûté, ça n’est pas un drame. Je me surprends à me dire que je suis bien contente de l’avoir égarée, rien que pour ce geste furtif. 

Même si sa compagnie m’est très agréable, après la pause déjeuner sur une aire d’autoroute, je m’assoupis. J’ai dormi chez une amie la veille et nous sommes partis tôt, ce qui fait que je suis exténuée. 

Que j’entrouvre les yeux plus tard, je me rends compte que ma tête est posée sur l’épaule de Cyril et qu’il dort aussi. Sa main est posée sur ma cuisse, comme protectrice. Il n’a sans doute pas dû faire exprès, comme moi, mais je souris jusqu’aux oreilles. 

Il me caresse doucement la joue, il veut me réveiller, nous sommes arrivés. Quand j’ouvre les yeux, il me sourit. 

— Tu as bien dormi? Regarde c’est notre auberge, il y’a même un accès à la plage! On ira faire un tour tout à l’heure si tu veux! 

— Bonne idée, on se retrouve tout à l’heure, après s’être installés. 

Je rejoins Mathilde qui ne manque pas de me faire remarquer que Cyril et moi étions très mignons, quand on s’était endormis enlacés. 

— On était pas enlacés. Passe moi plutôt mon sac s’il te plait. 

Mais elle voit très bien que je souris. 

— Si vous voulez passer du temps ensemble dans la chambre ce soir je vous la laisse si tu veux! J’irai chez Nat’…

— Est-ce que tu vas finir par te taire? Et passe moi mon sac je te dis! 

J’essaye de chasser ces plans de mon esprit, mais déjà des images se dessinent dans ma tête…

Nous allons diner tous ensemble et Cyril vient s’asseoir à côté de moi, nos jambes se frôlent, nos mains s’effleurent, je sens son odeur que j’aime tant. Je ne mange presque rien et je passe un repas très agréable en sa compagnie. 

Après le repas, les projets de tout le monde se dessinent peu à peu. Les profs nous donnent quartier libre, tant qu’on est rentré à minuit. 

Un bar sympa nous est conseillé à la réception, il est de l’autre côté de la rue, à trois pâtés de maisons de l’hôtel. Nous nous dirigeons donc vers le café, nous sommes une petite dizaine, tous amis, avec une belle soirée en perspective. 

Cela fait maintenant une heure que nous y sommes, et on passe un moment très agréable, il y a même une petite piste de danse. 

Je sens alors que quelqu’un me prend par la main et m’entraine vers l’extérieur. Cyril me sourit et me fait un clin d’oeil, je le suis. Il est 21h30 et il fait maintenant complètement nuit. 

Sans parler mais d’un commun accord, nous nous dirigeons vers la plage. Il doit faire 18 degrés, il fait bon, il n’y a presque pas de vent et tout est silencieux dans ce petit village normand. 

Nous arrivons et nous nous asseyons dans le sable. Il met sa veste par terre. 

— Si madame veut bien se donner la peine. 

Je ris. 

Il vient alors près de moi et met sa main dans le creux de mon cou, il fait le même geste que tout à l’heure mais avec encore plus de sensualité, de douceur. 

Il approche son visage du mien, mon coeur bat vite, ma respiration est plus rapide, je frissonne. Enfin, ces lèvres effleurent les miennes. Il m’embrasse, ses mains se baladent sur moi; mon visage, mes cheveux, ma nuque,…

C’est un baiser attendu, un baiser d’amour, romantique. 

Mais cependant qui ne manque pas de fougue, il m’allonge brusquement sur le sable, nos langues commencent à s’entre-mêler, à se titiller l’une l’autre. Pendant ce temps-là ses mains caressent mes cuisses, mes hanches et commencent à déboutonner mon chemisier. Il m’embrasse, me lèche, me mordille doucement le cou, c’est juste parfait. 

Je suis maintenant en soutient-gorge et sa bouche descend vers ma poitrine à qui il octroie le même traitement. Il dégrafe, rapidement le sous- vêtement et je me retrouve, torse-nue, vulnérable, sa bouche me manque déjà. 

Il se re-penche alors vers moi et reprends de plus belle, mais avant cela, il dépose un rapide baiser sur ma bouche, qui me donne l’effet d’un choc électrique. Mes tétons sont durs sous l’effet de l’excitation, ce qui les rend plus beaux, plus féminins, et ce qui a l’air de plaire à Cyril qui est très appliqué dans sa tâche. Je me tortille sous ses manipulations expertes. 

Je passe alors deux mains sous son t-shirt, elles glissent sur son dos parfaitement musclé avant d’arriver sur son torse, ses beaux abdominaux et ses splendides pectoraux. Il doit s’interrompre quelques secondes car je lui enlève son t-shirt. Je me relève, je l’enlace, nous nous embrassons à nouveau, et je le fais basculer de l’autre côté, je suis au dessus de lui et c’est maintenant moi qui mène la danse. Il a droit à la même chose qu’à moi sauf que je suis couchée sur lui. Je sens sa peau nue contre la mienne je me frotte à lui et il a ses mains délicatement posées sur mes fesses, qu’il malaxe doucement. 

Malheureusement il est bientôt minuit et nous ralentissons le rythme pour finalement passer les quelques minutes qu’il nous reste, enlacés, regardant les étoiles. Mon coeur a ralenti le rythme, mon souffle est plus régulier. Dans ses bras je me sens tellement en sécurité, toute la tension est retombée et je pourrais rester comme ça éternellement. 

Nous finissons par nous lever et nous rentrons à l’auberge. On se fait copieusement engueuler par les autres, parce qu’on a disparu du bar sans prévenir personne, mais je ne peux pas m’empêcher de sourire tellement je suis heureuse, ce qui a le don de les agacer encore plus. On s’excuse platement et ils commencent un peu à se calmer. Nous montons vers nos chambres, je jette un dernier regard vers Cyril et je rejoins Mathilde pour dormir. 

Quand on est toutes seules, elle me foudroie de questions, mais je reste silencieuse, elle finit par se lasser et nous parlons d’autres choses avant de nous endormir. 

Quand je me réveille, j’ai du mal à savoir si ce qu’il s’est passé hier est réel ou pas. Mais ce doute est vite évanoui, vu Mathilde qui a recommencé avec ses questions. Quand elle est prête, elle sort et me lance qu’elle va au petit déjeuner. 

Je me retrouve seule dans la chambre quelques secondes, quand Cyril rentre en coup de vent. Il ferme la porte derrière lui et se dirige rapidement vers le fond de la chambre, il place ses mains dans ma nuque et me plaque doucement au mur derrière moi. Nos lèvres se rejoignent à nouveau, elles s’étaient manquées cette nuit.

Nous nous embrassons fougueusement, de toute notre énergie. Je me décale vers la gauche et c’est maintenant moi qui le plaque contre le mur. Il a l’air surpris mais il apprécie mes petits gestes entreprenants. Mes mains sont dans ses cheveux, dans le haut de sa nuque, et les siennes voyagent entre mes cuisses, mes fesses et mes hanches. J’ai l’impression qu’on a déjà fait ça plein de fois, tellement la complicité est grande entre nous. 

Mais de nouveau, un rendez-vous nous attend, et nous devons nous arrêter. On passe chercher ses affaires dans sa chambre, où il m’embrasse rapidement aussi. 

Dès qu’on est seuls, dans le couloir, sur le palier, dans l’ascenseur, on s’embrasse, furtivement, c’est comme un jeu. On a l’impression d’être des délinquants. On décide de rentrer séparément dans le réfectoire pour faire taire les mauvaise langues mais on d’assied l’un en face de l’autre à la même table. 

J’ai mis une jupe aujourd’hui, et mes jambes sont nues. Cyril me regarde fixement, je sens qu’il me fait du pied, je suis surprise alors je sursaute. Puis je lui souris. Il est en chaussettes, et son pied caresse doucement ma jambe. Quand on se lève de table, j’ai de nouveau un manque. 

Nous nous asseyons côte à côte dans le bus. Je prends discrètement sa main. Il me chuchote alors à l’oreille:

— Tu sais Vic, ça fait tellement longtemps que je amoureux de toi. 

— Moi aussi tu sais. Et on est quoi là en fait? 

— On est ensemble il me semble. C’est ce que tu veux? 

Je lui réponds que oui dans un murmure, et je viens déposer un petit baiser sur sa bouche. Je m’en fiche que l’es autres aient pu nous voir mais apparemment, ça n’est pas le cas, ils sont trop absorbés par le film stupide que les profs font passer. Je m’en permet alors encore un petit "pour la route". Et je m’endors de nouveau dans ses bras, le visage enfoui dans son cou. 

J’ai les jambes repliées sur mon siège et il glisse discrètement sa main entre mes cuisses. C’est très agréable cette présence, comme si elle avait toujours été là. 

Quand on descend du car au Mont Saint-Michel, je pense que tout le monde a compris qu’on était ensemble, vu les petites allusions et les sourires en coin de tout le monde. Cependant, pendant toute la journée on reste séparés, mais toujours avec le même groupe de gens. 

Je me retiens de lui sauter dessus à chaque instant.

À midi quand on déjeune, on fait bien comprendre aux autres que malgré cette nouvelle situation on ne va pas les lâcher tout le temps mais qu’on a quand même besoin de moments pour nous tout seuls. Ils ne le prennent pas du tout mal, et ils nous remercient déjà pour le bel effort que l’on fait aujourd’hui. 

La seule fois où on s’embrasse c’est quand Natacha insiste pendant 5 minutes pour qu’on fasse une photo avec la vue de Mont, parce que c’est "tellement romantique". C’est la première fois que nos amis nous voient s’embraser et ça a quand même l’air d’un peu les perturber, mais ils s’en remettront. 

On retourne dans le car en fin d’après-midi, pour une heure et demie de route. Le chauffeur a eu le brillante idée de laisser la clim dans le bus toute la journée, et quand on rentre il fait un froid de canard. Heureusement Cyril a une petite couverture de voyage qu’il avait laissée dans son sac à dos. 

Il la dispose sur nous, j’ai la tête sur son épaule et il a passé son bras derrière moi, les profs lancent un film, tout le monde a les Yeux rivés sur les écrans. Je sens sa main passer sous mon t-shirt. Elle passe sur mon ventre avant de monter vers mes seins, prisonniers de mon soutient-gorge. Je lui fait un petit sourire , il a bien compris ce que je voulais dire. Mes mains se glissent dans mon dos et le dégrafent. Après quelques mouvements experts dont seules les femmes ont le secret, je me retrouve sans rien sous mon t-shirt large. Tout est caché sous la couverture. Cyril repasse une main sous mon t-shirt et attrape mon sein gauche. Il le malaxe, pince doucement mon téton. Il parcourt ma poitrine, passe de l’un à l’autre. J’accompagne ses gestes avec mes mains, placées derrière le siennes. Puis j’en retire une, la gauche, je la passe dans sa nuque et l’embrasse fougueusement, comme j’en ai rêvé toute la journée. Nous sommes à la vue de tout le monde, mais de nouveau je m’en fiche. Quand je m’arrête, ma main retourne sous la couverture quand je heurte une bosse au niveau de son bas ventre. Apparemment il est tout émoustillé. Je lui souris, il a l’air un peu gêné mais je lui dis que c’est normal. Je garde mes doigts sur la bosse, je la caresse à travers son pantalon, il respire plus fort, je vois que ça lui fait de l’effet. Il me dit en murmurant:

— Je… Continue…

Je lui souris et à l’aide de mon autre main, je défais sa braguette. 

— Vic, tu es folle!

— Je ne suis pas folle j’ai juste envie de te faire du bien, c’est tout. Détends toi…

Il ne me répond pas mais c’est ce qu’il fait. Je passe alors ma main dans son caleçon, et j’attrape sa verge qui est en pleine forme. Je ne la vois pas mais je la sens, et elle a l’air énorme. 

Je commence des mouvements de vas et viens, et visiblement il n’en n’a plus pour très longtemps. Je prends un mouchoir dans ma poche, et je continue à la branler jusqu’à ce qu’il jouisse dans un soupir libérateur. 

Je garde son sexe en main jusqu’à ce qu’il débande un peu, avant de le rhabiller. 

Une fois calmé, il se penche vers moi:

— Merci c’était sensationnel.  

— Mais avec plaisir. 

Il m’embrasse longuement, plus doucement que d’habitude. 

C’est l’heure de la douche, je me savonne longuement, re pensant à tout à l’heure. Je n’arrive pas à croire que j’ai fait ça, je ne me reconnais pas. Comment est-ce que j’ai pu oser faire ça dans le car? Avec des gens partout autour de nous? Il n’empêche que c’en était encore plus excitant…

Après m’être séchée, je choisis mes plus beaux sous-vêtements et je met une robe. Il est l’heure d’aller manger. 

Quand je rentre dans le réfectoire, beaucoup de garçons se retournent pour me regarder. J’ai des belles jambes, on me le dit souvent, et en plus cette robe pourtant très simple fait beaucoup ressortir ma poitrine.  

Je ne peux pas m’empêcher de rougir, et je cherche Cyril des yeux. Je croise son regard, il me fixe, un sourire aux lèvres, il a l’air fier. 

Je veux m’asseoir à côté de lui mais il m’attire sur ses genoux. Il me glisse à l’oreille:

— Tu es sublime, je me retiens de te sauter dessus. Tu es la plus belle femme du monde. 

— Arrête de dire des bêtises, c’est un petit peu exagéré, je dis en riant. 

— À mes yeux tu l’es, et vu les regards hargneux de tous les autres mecs de la sale qui me fixent, je pense que je ne suis pas le seul à penser ça… 

Je l’embrasse furtivement. 

— Merci, ça me flatte tu sais. 

— Je ne connais pas assez ma chance de t’avoir. Je suis celui qui peux te faire t’avoir sur ses genoux, celui qui peut te faire ça…

Il m’embrasse fougueusement dans le cou en riant.

Les serveurs commencent à amener les plats, je me lève pour aller m’asseoir sur la chaise. Cyril en a profité pour discrètement passer sa main sous ma robe et me caresser les fesses, pendant 2 secondes. J’aime tellement quand il fait ça… On pourrait penser penser qu’il a une attitude macho, mais pas du tout. Ces gestes sont si doux, cela me donne du plaisir à chaque fois. 

On mange l’entrée, très mauvaise mais dégustée en si bonne compagnie, nous parlons, nous rions, les yeux dans les yeux. 

Un serveur passe derrière moi et dans un geste brusque, renverse une bonne couche de sauce tomate sur mon bras. Entendant le petit cri que j’ai poussé, il se retourne et cette foi-ci j’en récolte sur le visage et dans le cou. 

Je suis tellement de bonne humeur que je ne m’énerve pas. Il s’excuse mille fois, je lui répète que ça n’est pas grave. Il se fait plus engueuler par Cyril que par moi. Une fois que l’empoté est parti, je dis que je monte prendre une douche, parce que je ne vais pas pouvoir passer le reste de la soirée dans cet état là. 

Je me lève et je pars en direction de la chambre. Pendant que je met la clef dans la serrure de la porte, Cyril arrive en courant. Il me dit avec un petit sourire coquin qu’il est là si j’ai besoin de son aide.  Je ris et nous rentrons dans la chambre. Il ferme la porte derrière moi. Je vais dans la salle de bain, et au lavabo, j’arrive à enlever la totalité de la sauce qu’il y’a sur mon bras et sur mon visage. 

Cyril rentre dans la salle de bain et se glisse derrière moi.  

— Je t’ai dis que j’adorais la sauce tomate? 

Je sens alors le bout de sa langue dans mon cou, se baladant dans chaque recoin possible, j’ai des frissons, je penche ma tête en arrière, je me cambre. 

— Le cou c’est ce qui marche le mieux avec toi hein… 

Je n’ai pas besoin d’acquiescer, il continue de plus belle, léchant, mordillant, embrassant cette zone qui est si érogène chez moi. 

Après quelques minutes, je n’ai plus un gramme de sauve sur ma peau. 

— Vic, tu as des taches sur ta robe à l’arrière. Tu devrais les nettoyer avant qu’elles ne sèchent. 

— Merde! J’avais pas vu, je me disais bien que c’était un miracle que je n’en n’ai pas! 

En disant cela, je défais les boutons de ma robe, qui tombe à mes pieds. 

Cyril ne perd pas une miette du spectacle. Je la ramasse et je l’inspecte, mais je n’y vois toujours aucune tache.  Je comprends alors. 

— Petit menteur, tu sais il suffisait de me demander de la retirer hein! Je dis en riant. 

— C’était plus drôle comme ça! 

Je suis dans mon plus bel ensemble string et soutient-gorge en dentelle rouge, toujours perchée sur mes escarpins

Il me regarde, plein de désir dans les yeux. 

— Je me corrige, tu n’es pas la plus belle femme du monde. Tu es la femme la plus belle et la plus sexy au monde! 

Je rougis, il m’attire vers lui, me prend par la taille et m’embrasse fougueusement. J’ai chaud, très chaud, il me plaque contre le mur en carrelage qui est froid. Ce contraste de chaleur me donne encore plus de frissons. 

Je lui retire son t-shirt, j’aime tellement passer mes mains dans son dos si musclé et sentir que mes seins touchent son torse. Je le presse contre moi. 

Sa bouche commence alors à descendre vers ma poitrine en passant par mon cou. Il me glisse alors à l’oreille:

— Si tout à l’heure je t’ai rattrapée, c’est parce que je suis vite allé demander à Mathilde si elle pouvait nous laisser la chambre. Elle passe la soirée chez Natacha et elle peut rester dormir aussi si il faut.

Je souris. Il rajoute: 

— Si on allait se poser dans un endroit un peu plus confortable? 

Avant que je ne puisse répondre, il me soulève, sors de la salle de bain, et me pose sur le double lit. 

Il est toujours debout et je suis allongée, je le regarde et je lui susurre de ma voix la plus sexy, tout en enlevant mon soutient-gorge:

— Viens, j’ai envie de sentir ta peau contre la mienne… 

Il ne demande pas mieux, il se précipite sur moi et je n’attends que ça…

Il me sert fort contre lui, m’embrasse partout, et je m’abandonne dans ses bars. 

— Cyril, je suis complètement folle de toi. 

— C’est toi qui me fait perdre la tête, Vic.  

J’enfuis mon visage dans son cou. Il relève la tête et on se regarde amoureusement. Il plonge son visage entre mes seins, je pousse un petit cri de surprise qui nous fait rire tous les deux. Il reprend alors comme hier soir, il les lèche, les suçote, les embrasse et il mordille mes tétons. Je pousse des petits cris tellement c’est bon, ma respiration est haletante. 

Il poursuit encore un moment, puis il descend vers mon ventre, il y reste quelques instants puis il continue vers le bas, jusqu’à la limite de mon string. 

Il commence alors à le baisser, doucement, il découvre que je suis épilée, ce qui a l’air de lui faire plaisir. Il embrasse chaque centimètre carré de mon corps qu’il découvre de tissus, et finit par le retirer complètement. 

Je me sens tellement vulnérable, impudique, mais ces impressions sont vite chassées de mon esprit. Cyril se couche au dessus de moi m’embrasse longuement, puis me glisse à l’oreille:

— Mon amour, tu m’as bien fait jouir dans le car tout à l’heure, est-ce que je peux te rendre la pareille?

Je lui réponds que oui dans un murmure, il me glisse en dernier baiser dans le cou. 

Il descend alors vers mon entre-jambe, il écarte délicatement mes cuisses et je sens son visage approcher, son souffle est proche de moi. 

Lentement, il sort sa langue et il effleure mon clitoris. Je sursaute, c’est tellement nouveau comme sensation. Il y revient alors, le lèche plus longuement, ensuite il parcourt mon vagin dans toute sa longueur, il monte de bas en haut. Me pénètre doucement avec sa langue, il revient sur mon clitoris, le suçote, l’aspire, le met complètement en bouche, le mordille. Je suis au paradis, au septième ciel et je m’abandonne complètement dans mon plaisir, je me tortille dans tous les sens, je crie. Cyril est appliqué, fait attention à mes moindres réactions, il sait accélérer, accentuer, freiner ou se radoucir quand il le faut. Après quelques minutes de ce traitement, je sens l’orgasme arriver, Il le voit et accélère encore la cadence, je finis par jouir, exténuée, soulagée, essayant de reprendre mon souffle.

Cyril vient s’allonger à côté de moi, il me regarde en souriant. Je suis pleine de sueur et je suis toujours nue, allongée sur le drap. Une fois remise de ces émotions, je me tourne vers lui:

— Mon amour, c’était incroyable merci beaucoup. Ma petite branlette dans le car c’était rien à côté de ça! 

— C’était différent mais tout aussi bien. Et ça m’a fait plaisir de te faire plaisir tu sais. 

Il prend mon visage entre ses mains et m’embrasse. 

— J’ai envie de dormir avec toi. Tu peux rester? 

— Oui, moi aussi j’ai envie de rester. 

Il retire son pantalon et ses chaussettes et se glisse en caleçon sous la couette à côté de moi. Je lui lance d’un air coquin:

— Je suppose que cela ne te dérange pas si je dors dans cette tenue?…

Il rit, me prend dans ses bras, mon corps est encore tout chaud, il a un peu froid. Peu à peu, nous températures se régulent et nous  atteignons la même chaleur. 

Nous nous endormons, enlacés. 

Je me réveille le lendemain très tôt, j’ouvre les yeux alors qu’il n’est qu’à peine 6h30. Le soleil commence à se lever et quelques rayons filtrent déjà à l’intérieur de la pièce. Ma tête est posée sur le torse de Cyril et son bras m’entoure et me sert contre lui. Je suis d’humeur coquine, j’ai fait des rêves érotiques toute la nuit. J’essaye de me dégager de son étreinte le plus doucement possible. Il grogne un petit peu mais reste endormi, et moi je suis libre de mes mouvements. 

Je me glisse sous le drap et j’aperçois ce que j’attendais, une splendide érection matinale.

Je tire délicatement sur son boxer et sa bite surgit. Je regarde alors ce que j’avais à présent juste caressé mais pas encore vu. 

Je suis à la fois impressionnée et apeurée devant ce spectacle. 

Doucement, je passe mes doigts sur la verge. Je commence des mouvements de vas et viens, Cyril est toujours endormi mais cela n’empêche pas le fait que mes manipulations lui font de l’effet et que son sexe durcit encore plus et prend d’avantage de vigueur. 

J’approche mon visage de son gland et je sors ma langue. 

Je l’effleure, il a un spasme. Je pense que ça l’a tiré de son sommeil. Je prend alors tout son gland en bouche et je continue les mouvements avec ma main. 

Cyril soulève brusquement le drap, il vient de comprendre ce qui lui arrive. 

Il me regarde avec un air étonné. Je m’arrête, m’approche de lui et je lui dis l’air de rien, avant de l’embrasser:

— Bonjour mon amour, tu as bien dormi? 

— Oui mais ce que j’ai préféré c’est mon réveil…

— Je m’y remets tout de suite alors. 

Je me redirige vers sa bite et reprends là où j’en étais. 

Avec l’aide de ma main qui  branle son engin, ma langue le lèche dans toute sa longueur, avant de le prendre en bouche et de le sucer vigoureusement. Je suis très appliquée et ses gémissements me confirment que j’ai l’air de faire ça convenablement. Il me mate en même temps car je suis toujours aussi nue qu’hier soir. Il arrive à murmurer difficilement, tant son souffle est saccadé:

— Vic je vais jouir…

Je ne me retire pas et dans un long râle, il envoie sa semence dans ma bouche. C’est chaud, moins mauvais que je l’avais imaginé. Cyril me sourit,

— Viens là que je t’embrasse ma déesse. 

Il pose tendrement ses lèvres sur les miennes, qui gouttent encore un peu lui. Dans un soupir j’entends un petit merci. 

Ses mains sont posées sur mon corps et se baladent gentiment. 

Mais il doit retourner dans sa chambre pour se préparer, il me donne un dernier baiser et ferme la porte. 

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