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L'amour dans les cordes – Chapitre 4

L'amour dans les cordes - Chapitre 4



Voilà ! Une nouvelle semaine allait commencer. Comme à chaque fois mon mec était parti en prospection commerciale et me laissant seule toute la semaine. Enfin seule non car j’espérais bien de nouveau avoir de la visite . Et c’est ce qu’il s’est passé. Le lundi soir, rien. Le mardi soir, rien non plus. Ce n’est que le mercredi qu’il est venu. Cette fois-ci je comptais bien découvrir son visage grâce à la caméra qu’on m’avait prêtée. Je l’avais placé dès le lundi au même endroit que la dernière fois sauf que cette fois j’allais essayer de m’arranger pour qu’on fasse nos galipettes dans la chambre au lieu du salon.

C’était la fin du mois d’aout. Quand je suis seule chez moi et qu’il fait chaud comme c’était le cas ce soir-là, j’aimais bien, et j’aime toujours d’ailleurs, me balader complètement nue et laissant des ouvertures pour faire courant d’air (là je parle des fenêtres ouvertes). C’est dans cette tenue que je m’adonnais à un nouveau plaisir en attendant la venue de mon visiteur.

Je n’aurais jamais cru que je le ferais un jour mais je me suis mise à chercher des vidéos de Bondage sur internet. Je me suis bien rendu compte que c’était, à peu de chose près, ce que je vivais à chaque visite de mon mystérieux amant, comme me l’avait dit ma copine. Il y avait du vulgaire comme des fausses scènes de viol. Ces scènes me faisaient rire car elles étaient présentées comme soi-disant réelles. « Oui bien sûr, un viol avec un cameraman qui reste là sans réagir à tourner autour de la scène et qui fait des gros plans .. On voit son ombre sur le sol et son reflet dans les vitres. Une fille qui parfois fixe la caméra sans appeler à l’aide et des prises de vues où tout est fait pour avoir le meilleur angle possible . Bah voyons ». Ce genre de scène ne me plaisait pas. Par contre, je suis tombé sur toute une série de scènes scénarisées d’un homme d’âge mûr qui faisait ça avec des jeunes filles de mon âge. Je n’avais aucun mal à me voir à la place de la « victime ». Cet homme n’était ni brutal ni méchant, il ne faisait que proférer des menaces ou donnait des ordres et les filles obéissaient. Le nom de code de cet homme était visiblement « Teddy bear ». Il n’était pas rare que je me caresse devant ces vidéos. Les scènes étaient soft, sans gros plan, mais réalistes, suffisamment bien montées (comme l’acteur principal d’ailleurs) pour amener à l’excitation et surtout il était écrit, au début que chaque scène était une simulation et que les participants étaient majeurs et consentants. J’oubliais, dans ces scènes, les filles n’en faisaient pas trop, elle n’était pas à faire semblant de pleurer, à crier de manière exagérée comme pour les autres vidéos.

C’est donc devant plusieurs de ces scènes, toute nue, que je me touchais en patientant l’arrivée de mon amant. En fait, ce soir-là, j’étais devant LA SCENE, celle que je préférais car elle me rappelait la première fois qu’il était venu. Le fameux « Teddy bear » y jouait le rôle d’un évadé de prison qui avait besoin de se cacher. Physiquement, cet homme ressemblait à mon amant au niveau de la corpulence mais beaucoup plus poilu. Pendant la nuit, une jeune femme dormait toute nue dans son lit et Teddy l’a réveillé en s’introduisant dans sa chambre par la fenêtre. Il s’est jeté sur elle en lui mettant sa main sur sa bouche avant de commencer les hostilités.

— Doucement ma jolie. Je viens de m’évader de prison et j’ai besoin de me cacher ici un moment. Si tu fais ce que je te demande tout ira bien. T’as pas envie que je te fasse de mal ? Hein ?

— Non répondit-elle par un mouvement de tête, ayant toujours la bouche bloquée par la main de son visiteur.

— Bien, maintenant je vais retirer ma main. Tu ne vas pas crier n’est-ce pas ?

— Non répondit-elle toujours par un mouvement de tête, ayant encore la bouche fermée.

— Voilà. Maintenant pour éviter que tu ne fasses une bêtise, je vais t’attacher les mains dans le dos. Tu vois je ne veux pas te faire de mal. Je reste juste pour la nuit et je m’en vais. Dis-moi tu as un fiancé ? dit-il en l’attachant après avoir découvert son corps de rêve sous son drap.

— Oui. Il revient demain. Répondit-elle alors, pas rassurée de la situation.

— OK, donc pour cette nuit, JE serais ton fiancé.

— Quoi ? Mais comment ça ?

— Ce soir, au lit tu vas faire avec moi tout ce que tu fais avec ton mec : on va baiser.

— Mais non je ne veux pas.

— Ah tu ne veux pas mais tu vas quand même le faire. Après quinze ans de réclusion . Tu comprends . J’ai besoin de me faire du bien.

— Mais .

— Mais rien du tout. De toute façon tu n’as pas le choix. Que tu choisisses de coopérer ou non tu y passeras. Personnellement je préfèrerais que tu te laisses faire. Autant que t’en profites aussi.

Ensuite, Teddy commençait à attacher la jeune femme de manière à ce qu’elle ne puisse plus bouger. Elle faisait semblant de pleurer au passage de ses mains sur son corps mais n’avait aucune larme, preuve pour moi que c’était de la comédie. Il passait ensuite un long moment à lécher son corps tout entier et ensuite il l’a baisée dans plusieurs positions jusqu’à jouir lors d’une profonde sodomie. On peut même dire qu’il l’avait violé même si c’était du chiqué, dans le cas présent. Depuis que j’ai commencé à expérimenter le bondage, c’était le genre de situation que je voulais expérimenter. Je jalousais presque cette fille à l’écran car elle au moins elle voyait son amant mais « Après sa prochaine visite, peut-être que je saurais qui est mon amant après tout » me suis-je dit pensant à la caméra qui allait nous filmer.

C’est alors que je visionnais la fin de cette vidéo que j’ai cru entendre un bruit venant de la chambre. J’y suis retourné sans prendre le temps de mettre quelque chose et, depuis l’ouverture de la porte, j’ai vu que le crochet qui maintenait le volet légèrement entrouvert s’était décroché. Je n’avais pas fait un mètre que j’ai senti une présence dans mon dos et deux mains puissantes m’empoigner les seins.

— Alors ma jolie ? C’est pour moi que tu t’es faite toute belle ?

— Ah c’est toi ? J’ai eu peur un moment.

— Pourquoi tu attendais quelqu’un d’autre ? Tu m’as manqué. Une semaine sans toi c’est long m’a-t-il dit en me plaquant face à lui, dos contre la porte

— C’est long et dur, comme ce que je sens entre tes jambes. Ai-je dit en bombant le torse et en faisant semblant de vouloir me passer les mains dans les cheveux alors que je les approchais de sa cagoule pour essayer de la lui retirer

— Hop là ! Par ici les mimines. T’essaies de faire quoi là ? Hein ? M’a-t-il dit en me bloquant les mains avec les siennes

— . Rien du tout.

— Bah voyons ! Tu le sais, je tiens à garder mon anonymat, c’est mon délire. Tes mains sont très bien attachées dans ton dos. M’a-t-il dit avant de me les attacher avec une cordelette qu’il avait déjà préparée avec un nud qui semblait se serrer tout seul.

— Si tu veux ! Ai-je dit sachant qu’à un moment je verrais son visage s’il retirait sa cagoule.

Il m’a alors bloqué contre la porte, ses mains sur mes seins et m’a galochée comme un affamé. J’étais toute nue et lui habillé. Il frottait son entrejambe contre le mien et a commencé à chuchoter à mon oreille

— Je le sais ce dont t’as envie.

— Prouve-le alors. Sois un vrai mec et baise-moi à visage découvert. Ai-je dit pour le provoquer

— Oh mais je vais le faire, mais après t’avoir mis ceci. M’a-t-il dit en sortant un masque pour les yeux.

Il m’a mis le masque et je l’entendais qui retirait ses vêtements et surement sa cagoule. Puis, avec ses mains puissantes il m’a empoigné pour me jeter sur le lit. Il s’est allongé sur moi et quand il m’a embrassé dans le cou, je sentais la peau de son visage sur ma joue. Il était à visage découvert, enfin. Et compte tenu de notre position sur le lit, la caméra enregistrait toute la scène. Il s’est ensuite mis à genou au-dessus de mon nombril et il m’a saisi la nuque. Il guidait ma bouche vers sa queue que j’ai commencé à sucer avec gourmandise.

— Mmmh . Oui c’est bon . T’es vraiment une pro de la pipe toi.

— Merchi.

— Ne dit rien ou en tout cas pas la bouche pleine . Ah oui c’est bon ..Je me demande comment ton mec fait pour .. Eh mais attend une minute. C’est quoi ça ?

— Quoi donc ? Ai-je dit après qu’il m’ait lâché la tête et qu’il se soit levé.

J’entendais ses pas et j’avais l’impression qu’il se dirigeait vers la caméra. J’avais peur qu’il découvre tout et mes craintes se sont avérées justifiées.

— Je ne le crois pas ça. Une caméra ! Tu peux m’expliquer ?

— Je ne sais pas de quoi tu parles.

— Bah voyons. Tu vas me dire que c’est ton mec qui t’espionne cest ça ?

— Euh . Oui surement .

— Tu me prends pour un con ? . je viens de voir ce qu’elle a enregistré et la première image c’est toi de face en train de la mettre en place.

— T’as voulu me piéger hein ? C’est ça ?

— Mais, mets-toi à ma place. je ne sais rien sur toi. Je ne sais même pas comment t’appeler.

— Tu ne m’appelles pas. C’est moi qui viens.

— Tu sais très bien ce que je veux dire.

— Oui je sais. Et je sais surtout ce que tu voulais faire. Ta caméra, je vais la mettre en morceau et .

— Non ! Sil te plait ne fais pas ça.

— Et pourquoi ? Donne-moi une bonne raison.

— Elle n’est pas à moi. C’est une copine qui me l’a passée.

— Ça ne me suffit pas. Désolé mais .

— J’ai ouvert la sacoche.

— Hein quoi ? Quest-ce que t’as dit ?

— J’ai réussi à trouver la combinaison de la sacoche de mon mec.

— Ah ! Ça c’est intéressant. Alors t’as trouvé quoi ?

— Rien à part deux boites de capotes. Je n’ai pas encore eu le temps de fouiller sans qu’il s’en aperçoive. Si jamais tu casses cette caméra, je ne te donnerai rien.

— Très bien. Je la laisse, mais j’emporte la carte SD.

— Pourquoi ? Tu pourrais juste effacer le film ?

— C’est ça ! Prends-moi pour un con. J’ai vu la boutique d’informatique en bas de ta rue. Le mec, il fait de la récupération de fichier effacé. Tu crois vraiment que je vais te la laisser après avoir effacé la vidéo pour que t’ailles la lui donner et qu’il la récupère ?

— ..

— Tu ne dis plus rien du coup. Et oui je suis prévoyant mais je suis aussi rancunier et tu mérites une punition.

— Qu’est-ce que tu vas me faire ?

— Ça c’est la surprise.

Sans ménagement, il m’a mise sur le ventre. Il a ensuite pris des coussins qu’il m’a mis sous mon bassin tout en maintenant ma tête plaquée contre le matelas. Je me retrouvais donc le cul en l’air, les mains toujours attachées dans le dos et la tête plaquée sur le matelas du lit. Puis, c’est là que j’ai senti quelques gouttes d’un liquide couler sur mon petit trou : il voulait m’enculer. Je n’étais pas fan de l’idée mais il était tellement en colère que je n’ai pas osé protester. Il faut dire qu’il ne m’en a pas laissé le temps non plus car, très vite, j’ai senti son gland à l’entrée de mon petit trou.

— Non pas ça. Ai-je dit un peu paniqué en bougeant mes fesses.

— Ne bouge pas et accepte ta punition.

— Je n’ai pas l’habitude.

— Tant mieux ! A-t-il dit juste avant de replacer son gland sur ma rosette et d’en forcer l’entrée.

C’est comme ça que, d’une main, il m’a immobilisé le bassin et de l’autre, il faisait pression sur mon dos pour m’empêcher de me relever. C’est, ainsi coincée, qu’il m’a enculé. Chacun de ses assauts était douloureux. Ils étaient puissants, longs et sauvages. A chaque fois que son bassin retrouvait mes fesses, je l’entendais pousser un long soupir rauque de satisfaction accompagné parfois d’une phrase salace. Au début de ce traitement, j’avais le souffle coupé. Je subissais les yeux fermés. Et puis soudain, sans savoir pourquoi, jai pensé aux vidéos que je regardais régulièrement. Je me suis vu à la place de ses filles que ce . Youporneur, appelons-le comme ça, faisait subir à ses partenaires dans ses vidéos. Je souriais et commençait à prendre du plaisir, ce qui n’avait pas l’air de plaire à mon visiteur.

— Oui c’est bon ! . Ton petit trou est bien serré .. un vrai régal .. Alors ? Cette punition ? . Tu la prends comment ? M’a-t-il demandé entre deux coups de reins.

— Bah . Dans le cul . Comme tu vois . Ça fait mal .. mais c’est bon aussi. Ai-je dit en subissant ses assauts

— Je ne le crois pas ça .. Je suis en train de . lui démolir le sphincter et .. elle prend son pied. Constata-t-il un peu déçu, pensant me faire mal.

— Tu sais me fait .. apprécier plein de . De choses .. mais j’ai quand même . L’anus en feu.

— Tu commences peut-être à aimer .. mais tu ne vas pas . apprécier la fin.

Et en effet je n’ai pas aimé. Il a continué ses assauts jusqu’à ce que je l’entende jouir. Trop focalisé sur la douleur, ce n’est qu’à la fin que je me suis rendu compte qu’il ne s’était pas recouvert. Jusque-là ça allait mais j’ai fait la tronche quand il m’a présenté sa queue pour que je la lèche. Je savais, rien qu’à l’odeur, ce qu’il avait voulu dire.

— Ouvre la bouche

— Non

— D’habitude tu aimes ça, me pomper le dard ? Pourquoi tu ne veux plus tout d’un coup ?

— Tu oses demander ?

— Pourquoi tu fais la tronche ? C’est l’odeur et le gout qui ne te plaisent pas ? Pourtant, tout ça vient de toi après tout. Aller ouvre moi ça. Ce sera rapide. M’a-t-il ordonné en me pinçant le nez.

Avec le nez bouché, j’ai fini par ouvrir la bouche. Il s’est introduit dedans et . J’ai failli vomir. Il a donné quelques coups de reins et s’est maintenu enfoncé à fond avant de se retirer de lui-même, voyant que j’avais des « haut-le-cur ». Ce n’est que quand il a commencé à se rhabiller que notre conversation a repris.

— Beurk ! c’était dégueu.

— T’avais qu’à avoir le cul propre et ne pas essayer de me la mettre à l’envers avec ta caméra.

— Mais je veux savoir. Au moins ton nom, je ne sais pas moi .

— Ça fait partie du jeu sinon ce n’est pas drôle. Ça ne t’excite plus de te faire prendre par un inconnu ?

— Si mais on est plus vraiment des inconnus maintenant.

— C’est vrai .. Mais moi ça m’excite cet anonymat et je ne te laisserais pas me casser mon délire. Quand à mon nom t’auras qu’à choisir ce que tu veux.

— Ok .. Alors ce sera . nounours.

— Nounours ? Et pourquoi ça ? Je ne suis pas poilu pourtant. C’est parce que j’aime bien te tartiner les seins de miel et les lécher après ?

— Aussi mais c’est surtout que tu me fais penser à un vidéaste amateur sur internet dont le nom de code est « teddy bear », nounours en français. Il fait des vidéos pornos avec des jeunes filles où il les attache et .

— Et ça t’excite ? Ok ! va pour nounours . Bon, bah le gros Nounours il va rentrer dans sa tanière et .

— Tu ne vas pas me laisser comme ça ?

— Si. Ça fera partie de ta punition. Et n’oublie pas les papiers de ton mec. Je veux savoir ce qu’il cache.

— Promis. De toute façon moi aussi je veux savoir.

C’est une fois reparti comme il était venu, c’est-à-dire par la fenêtre que je me suis dit : « Oui, je saurais ce que mon mec est en train de trafiquer. Mais pour que toi tu le saches, tu vas devoir te découvrir si tu veux les avoir ces fameux papiers ». Plus tard quand j’ai appelé ma copine pour qu’elle récupère sa caméra. Je lui aie tout raconté et elle m’a dit qu’elle ne m’en aurait pas voulu s’il l’avait cassé. Maintenant tout était de mon côté, il ne me restait plus qu’à faire en sorte de découvrir ce qu’il se passait entre mon futur ex et mon visiteur.

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