Dernier jour avant les vacances. C’est le temps du midi, ils sont venus me chercher après la cantine. Je suis dans la salle des profs. Je suis entourée par le prof de chimie-physique, le prof de math, le prof d’anglais, et le prof d’histoire géo. S’est invité aussi le surveillant général. Je suis intimidée, stressée, ils sont entrain de juger si ma tenue est assez sexy ou non.
A la vue des commentaires de chacun, ça ne leur convient pas. Mais là, je m’inquiète pour la note de l’exposé que j’ai fait avec Paul. J’ai peur qu’elle soit mauvaise à cause de moi. C’est n’est pas juste pour Paul.
J’ai mis un legging moulant et que des hauts courts pour laisser mes fesses visibles. Mais, ce qui ne va pas, c’est qu’on voit la marque du string. Ils auraient préféré sans rien dessous. J’ai également mis un pull échancré, laissant visible un débardeur léger et moulant mettant en valeur ma poitrine rehaussée par un soutien-gorge push-up. Ca ne leur convient pas non plus.
Ils tournent autour de moi à m’observer. J’ai une pression énorme. Et on me demande de retirer le pull. Je le fais, ils m’observent à nouveau. Maintenant, c’est le débardeur qui doit partir, suivi presque aussitôt par le soutien-gorge. Je dois remettre le débardeur, puis l’enlever à nouveau et mettre le pull directement sur mon corps. Ils semblent apprécier ainsi. Le décolleté et ma poitrine nue dessous leur plaisent.
Le prof d’anglais attrape une paire de ciseaux en disant "Bon, on ne va pas tergiverser pendant des heures pour le bas, on sait ce quil ne va pas". Il fait sortir mon string et coupe sur les côtés. J’enlève ce qui en reste. Il finira à la poubelle. Le prof d’histoire géo touche mon legging en disant "le tissu est vraiment trop épais, c’est dommage". Mais, un autre excuse mon choix par rapport à la météo du moment.
Le prof d’anglais tire le tissu au niveau de mon entre-jambes et j’entends un nouveau coup de ciseaux. Je sens un doigt rentrer par le trou créé, toucher mon minou et dire aux autres "Elle ne va avoir froid par là, elle est bien chaude et trempée". C’est vrai que j’étais excitée. Mais, il n’avait pas besoin de faire ça pour le vérifier, vu comme mes tétons pointaient.
Ils me demandent de m’allonger sur une table et décarter mes cuisses pour voir ce que rend ce trou. A chaque fois que je m’exhibe, j’ai honte, je me sens humiliée et en même temps, ça accentue mon excitation. Et j’ai l’impression que se phénomène s’amplifie… Ils sont nombreux aussi.
Ce n’est pas suffisant. Pauline, à toi de jouer.
De quoi ? Je dois faire quoi ?
Ben, l’agrandir.
Je les hais, je leur en veux de m’obliger à me rendre actrice de cette exhibition. Et en même temps, j’en ai envie. Je passe mes mains entre mes cuisses, mes doigts trouvent le trou, l’écartent, le tissu craque. Je vois dans leurs yeux lubriques tout le plaisir qu’ils ont à me regarder faire.
Je continue à tirer, à déchirer mon legging, je n’ose arrêter. Je leur demande "Dites-moi lorsque c’est bon". Mais, j’ai pour réponse "A toi de juger". Je ne sais pas, je n’ai aucune idée de la taille du trou maintenant. Alors, je continue encore. De ma position, je commence à voir mes lèvres intimes. Et je me mets à penser à Paul et à l’exposé. Je pense que la note va dépendre de mon côté salope. Je tire plus fort, le trou devient une fente qui montre tout mon minou, mon pubis et remonte jusqu’à l’élastique au niveau de la taille. Je me retourne, et fait de même pour libérer mes fesses.
Je me redresse, me mets à quatre pattes en me cambrant et leur demande, ne reconnaissant presque pas ma voix, la trouvant tellement provocante :
Ca va comme ça ?
Ca semble convenable… Nous avons un petit cadeau pour toi, un peu avant l’heure par rapport à Noël, mais, tu le mérites.
Je m’assois sur le bord de la table alors que le prof de math m’apporte une boite. Je l’ouvre et y découvre un gode en forme de verge. Je suis stupéfaite. Je ne me suis jamais enfoncé autre chose que mes doigts ou un vrai sexe dans mon minou.
Ca te fait plaisir ?
Oui. Merci beaucoup.
Et bien, prouve-le, essaye-le.
Je m’allonge à nouveau en le prenant. Ils sortent tous leur téléphone, je sais ce qu’ils vont en faire. Je pénètre doucement le gode dans mon vagin. Il entre, il n’y a pas besoin de lubrifiant supplémentaire. Je commence à le faire bouger, à jouer avec. C’est plutôt agréable, très même. Mes gémissements doivent leur prouver que le cadeau est apprécié.
On me caresse les cheveux, j’ouvre les yeux et découvre une verge bien dure. C’est celle du prof d’histoire géo. Je change un peu de position afin de la prendre et la sucer tout en continuant ma masturbation.
J’ai joui avec une bite dans la bouche. Ce n’était pas la fin, chacun a voulu que ma bouche les satisfasse. Alors, j’ai sucé, encore et encore, continuant ma masturbation et m’offrant deux orgasmes supplémentaires durant tout ce moment.
Chacun eut sa préférence, libérant sa semence au choix dans ma bouche pour me voir avaler, sur mon visage, mes habits, mon minou. Ils sont tous passé, je reste allongée essoufflée, tenant le gode en moi sans le bouger et jouant avec mon périnée. Je me sens dans un état second, droguée de sexe.
Le cours de chimie de l’après midi ne fut que théorique. Pas besoin de me mettre nue sous une blouse, je suis restée habillée tel quel, mon pull, mon legging déchiré, recouverte de sperme. Toujours dans mon état second, ne réalisant pas où j’étais ou ce que je faisais, presque comme dans un demi-sommeil, et enivrée par l’odeur de sperme qui émanait de mon corps, je me suis masturbée en plein court, alertant tout le monde par mes gémissements.