Histoires de sexe français Histoires de sexe hétéro Premières histoires de sexe

Mon Histoire : Coralie – Chapitre 1

Mon Histoire : Coralie - Chapitre 1



Je m’appelle Coralie et j’ai 26 ans. Je ne suis pas un top modèle mais je me sens assez chanceuse du physique dont j’ai hérité. Je ne le travaille pas spécialement et pourtant mes formes et ma tonicité sont toujours les mêmes qu’à mes 16-17-18 ans.

Je suis brune, aux yeux verts. J’ai une plutôt belle poitrine, un beau 90c ferme, comme sur les pubs de La Redoute. J’ai de belles hanches assez marqués et un petit cul, bien que pas assez bombé à mon gout, qui n’a jamais repoussé personne, bien au contraire.

Bref, je suis une femme normale, traversant sa vie comme toutes les autres. Avec ses joies et ses peines, ses réussites et ses défaites.

Bien qu’en ce moment, les défaites soient un brin plus nombreuse que les victoires. La faute à des mauvais choix de carrières, de job, de petit(e)s ami(e)s.

Vous l’aurez compris, je suis donc bisexuelle. J’ai été en couple avec les deux sexes au cours de mon quart de siècle. Et depuis quelques années, je ne me vois plus vraiment vivre avec un homme. Non pas car la cohabitation est délicate, mais simplement car l’attirance n’est plus vraiment là avec le sexe opposé.

Pourquoi je vous raconterai tout ça ? Car c’est maintenant que tout devient intéressant. Tout ce qui est au dessus est vrai, tout le reste ne l’est peut-être pas totalement, mais peut-être que…

Un matin difficile

Ce foutu réveil sonne, encore une fois. Il est 6h55, sauf qu’aujourd’hui je n’ai pas à me lever. La f***e de l’habitude m’a fait oublié de couper cette sonnerie.

Hier j’ai été remercier de mon job de secrétaire comptable dans un assez gros cabinet de ma ville. Réduction d’effectif. La faute à la nouvelle gérance. Le fils du fondateur, qui ne connait pas grand chose à son métier et qui fait plonger l’affaire de son regretté papa.

Ma situation n’est pas catastrophique, je suis repartie avec de jolies indemnités mais le fait de ne plus avoir de travail me rend terriblement triste. Etant de nature assez angoissée, j’ai du mal à m’imaginer sur le long terme. Il y a toujours cette petite voix qui me dit "mais si tu ne retrouves pas de travail ? Tu vas finir chez tes parents, comme une looseuse"

Mon pire cauchemar. Mais bon, il ne tient qu’à moi de trouver un autre job.

Tout irait mieux si ma petite amie ne m’avait pas quitté, deux semaines avant. Prétextant que je ne la comblais pas, dans et en dehors du "lit conjugal" d’ailleurs. Si encore je la savais aussi triste que moi, mais non. Madame s’envoie déjà en l’air avec son ex. Une amie commune qui me l’a révélée.

Le réveil sonnera encore et encore, tout cette semaine, tout ce mois…

Deux mois sans travail.

J’arrive au bout de mes économies et je n’ai eu qu’un seul entretien d’embauche jusqu’à maintenant. Je ne suis même pas sûr de réussir à payer mon loyer le mois prochain et aucune aide ne semble tomber du ciel. Aucune chose ne semble vouloir arriver pour me sortir de ces problèmes.

Heureusement, ce soir, je suis de sortie, je vais pouvoir me changer les idées.

Je suis invitée à une soirée organisé par une ancienne amie de lycée. ça remonte.

J’entreprend de me faire belle, de ne pas laisser apparaître mes soucis. J’enfile une jolie robe noire, moulante comme il le faut et disposant d’un joli décolleté. Ni trop ni pas assez. Mes seins sont bien mit en valeur mais ne sont pas visible pour autant. On les devine à peine et c’est l’effet que je recherche. Mes hanches sont bien moulés et on peut deviner mon corps là aussi. Sans pour autant tomber dans la vulgarité.

Je me coiffe avec une queue de cheval sur le côté pour laisser un de mes profils libre et aéré. Selon mes amis, cela mets mon visage en valeur.

La fête

Après 3 bonnes heures au milieu de tout un tas de personnes que je ne connais pas. Je réussis à m’isoler avec mon amie, Cathy. Elle me raconte sa vie et je lui raconte un peu la mienne. L’alcool aidant, je me retrouve à lui parler de mes problèmes. Elle a l’air attendrie et m’écoute vraiment. Je lui confie mes soucis d’argent et mes inquiétudes…

Puis la fête se calme, on a tous entre 25 et 35 ans. L’âge auquel les fêtes finissent à pas d’heure est terminé et la plupart des gens commencent à rentrer chez eux.

Au moment où j’allais m’en aller, Cathy me ratt**** et me demande de rester boire un verre avec elle et son mari.

N’ayant pas envie de me retrouver seule, j’accepte volontiers.

Elle me fait m’asseoir dans son salon. Elle me montre le canapé de la main et passe sa main dans mon dos pour me guider.

— Assieds toi chérie. Tu veux boire quoi ?

— Hum, plus d’alcool, j’en ai déjà assez dans le sang !

— Ahah, tu en es sûre ? Allé, va pour un Coca alors, c’est tout ce qu’il reste de non alcoolisé ici.

— Merci beaucoup Cathy.

Elle m’apporte mon verre et s’assoit près de moi en posant sa main sur ma cuisse.

— Tu sais, ça m’a fait beaucoup réfléchir tout ce que tu m’as raconté, sur tes soucis. Je suis aussi passé par là en sortant du lycée et avant de rencontrer Pat’ (son mari). Et je veux que tu saches que je suis prête à t’aider… Sa main se fait très pressante sur ma cuisse et ça me mets assez mal à l’aise.

— Ah non Cathy, je suis pas du tout venue ici pour quémander de l’argent ou quoi que ce soit

Elle me coupe :

— Je pense que tu ne m’as pas comprise. Pat’ et moi on a beaucoup d’argent et on aime bien s’amuser si tu vois ce que je veux dire.

Sa main remonte le long de mon aine quand je la stop

— Je crois que je vais y aller Cathy

— Reste là, détends toi. Tu sais, je t’ai toujours trouvé super attirante mais la vie n’a jamais voulu que nos envies se croisent, c’est peut-être le moment

J’ai envie de partir mais son discours m’interpelle et je veux en savoir plus. De plus, son discours me rend toute chose et je n’arrive pas à rés****r.

— Que veux-tu dire par là Cathy ?

— Je vais être direct avec toi Coco. Tes problèmes d’argent se sont les miens si tu acceptes de faire certaines choses pour moi et Pat’.

— Je ne comprends pas, quel genre de chose ?

— Dis moi de combien tu as besoin et je te dirais ce que je veux en échange de cette somme.

— Je peux pas Cathy, je peux pas accepter ça.

— Ton loyer est de combien ?

— 700

— Alors si je te dis que pour 700 je veux te faire l’amour ?

— Quoi ?

Je suis choquée de cette proposition même si tout ça était prévisible au vu du déroulement de la discussion.

— Mais tu m’as pris pour une pute, un jouet ?

— Hey, calme toi, si je te propose ça c’est que je sais que tu n’es pas ce genre de fille. Mais tu y trouverai ton compte et nous aussi…

— Je vais y aller Cathy. Merci pour la soirée.

Je ramasse mes affaires, mon manteau et mon sac et m’en vais le plus vite possible de cette maison. Sur le pas de la porte, Cathy m’att**** par le bras et me dit

— Tu as mon numéro chérie, tu repenses à ma proposition et si ça t’intéresse, tu me rappelles…

Une semaine plus tard.

Toujours pas de travail. Et ce réveil qui continu à sonner pour rien.

Mon loyer vient de tomber. Je suis officiellement dans le rouge. Ma banque me harcèle et je n’ose même plus sortir de mon lit le matin.

Cela fait deux jours que je ne fais que penser à la discussion que j’ai eu avec Cathy. Et si c’était ma seule solution pour avoir une rentrée d’argent, je pourrais faire ça pour une petite somme pour commencer, une centaine d’euros. Et on verra bien ce qu’elle me demande.

Je saisi mon téléphone et lui envoie un texto qui dit ceci

— Cathy, j’ai bien repensé à notre conversation de l’autre soir et je pense m’être un peu emporté. J’ai toujours regretté moi aussi que nos chemins ne se soient jamais croisées. Il serait peut-être possible que j’accepte certaines de tes demandes si en retour tu m’aides un peu. Bisous, Coco.

En cliquant sur envoyer, je me sens un peu sale et soumise d’avoir pu écrire une chose pareille. J’entame l’écriture d’un sms pour m’excuser et lui dire que je n’aurais pas dû, que je ne peux pas, que c’est une mauvaise idée mais elle me répond avant que je puisse l’envoyer.

— Et bien, je ne croyais pas que tu me répondrais. Mon offre tient toujours, si tu peux venir cet après midi, on pourra en discuter…

N’ayant pas envie d’attendre, je lui demande si je peux passer la voir tout de suite.

— Bien sûr chérie, je t’attends.

Je me rends chez elle et le stress m’envahit. Au moment de sonner je ne sais plus quoi faire. Dois-je vraiment accepter… Mon cerveau dit non mais mon porte monnaie lui, sonne à la porte.

Cathy m’ouvre. Elle est en nuisette courte, noire, assez transparente. Laissant deviner ses tétons roses et parfaitement ronds. Ses cuisses apparentes laisse deviner un corps aussi bien conservé que le mien.

— Entre chérie.

Elle referme la porte et me prends par le bras. Elle m’emmène dans son salon et me dit

— Alors, tu veux combien ?

— Je suis gênée, c’est un peu direct et j’ai pas l’habitude…

— Je vais te faciliter la tâche. Pour 100, je veux que tu te déshabille là devant moi…

— Là tout de suite ? Lui répondit-je d’un air timide et gêné.

— On va procéder comme ça, je te propose une somme d’argent avec la chose que je désire. Tu es libre de dire oui ou non. Si tu dis non, le jeu s’arrête et on se donne un autre rendez-vous. Si tu dis oui, tu fais ce que je te demande et je te donne l’argent.

— Et une fois que j’ai fais ça et que j’ai l’argent ?

— Je te donne une nouvelle somme et une nouvelle mission ou j’arrête tout.

— C’est d’accord Cathy…

Je réponds rapidement et sans réfléchir car j’ai besoin de cet argent et si je me mets à réfléchir, je ne le ferais jamais…

— Alors pour 100, tu te mettrais nue devant moi ?

Elle me tends 5 billets de 20, qu’elle pose un par un sur la table basse en verre. 1,2,3,4,5. 100. A toi…

Elle s’enfonce dans son canapé et croise les jambes. Elle me fait comprendre qu’elle en veut pour son argent

Je commence à me déshabiller. J’enlève ma veste de blazer, dévoilant ma chemise noire, ouverte sur 3 boutons et laissant deviner mes seins..

— Bouges un peu, si tu peux, ce sera plus joli chérie

Je m’exécute et bouge mes hanches en déboutonnant ma chemise… Je la retire en lui tournant le dos puis l’enlève en la regardant par dessus mon épaule. Elle a l’air d’apprécier car je la vois se mordre les lèvres.

Mes mains se balade sur mon corps puis dézipe la fermeture de mon tailleur… Je sers les jambes, le pousse un peu de mes hanches et le laisse glisser le long de mes jambes. Je me penche en avant pour le ramasser et pour lui montrer mes fesses, parfaitement mises en valeur par mon string en dentelle noire.

Je me retourne face à elle, et me sens tout à coup honteuse. Un de mes bras vient cacher ma poitrine encore dans son sous-tif et une de mes mains vient s’apposer devant mon minou encore cacher par mon string.

— Voyons chérie, ne soit pas timide, c’est parfait jusqu’à maintenant. Depuis le temps que j’en rêve, ne t’en fais pas continue…

Après quelques secondes, je dégrafe mon soutien-gorge, retire les bretelles et laisse les bonnets tenir quelques secondes sur mes seins…

— Waw, quel spectable… Enlève le.

Encore une fois, je m’exécute et l’enlève totalement. Mes seins fermes sont maintenant offerts à sa vue et elle a l’air d’apprécier ce qu’elle voit.

Pour ne pas me sentir observé de trop, je m’occupe d’enlever mon string et lui laisse voir mon minou, finement épilé à la cire et parfaitement dessiner…

Quand une voix d’homme se fait entendre derrière moi…

— Et bien je vois qu’on passe un bon moment..

Mon premier réflexe et de sauter sur mes affaire pour cacher mes parties intimes et de me retourner. C’est Pat’, le mari de Cathy qui vient d’arriver..

— Ne t’inquiète pas chérie, me dit Cathy. J’ai une autre proposition à te faire. Pour 100 autres euros, voudrais-tu sucer mon mari devant moi ?

Le temps se fige. Je ne sais pas quoi faire ou dire, je ne suis même pas sûre d’avoir bien entendue tellement la proposition me semble incroyable…

Dois-je accepter ? Je suis là, nue, dans le salon d’une de mes amis, son mari déboutonne sa braguette et elle, elle m’observe avec un air vicieux et plein d’envie…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire