Cétait mon sixième mois de célibataire, à 28 ans cétait très ennuyeux surtout lorsque je disais à ceux qui osaient me draguer, que jétais seule; ils ne me croyaient jamais car jétais du genre hautaine, sportive à fond, fière de mon corps que je maintenais constamment, en permanence même. Cela me donnait des formes musclées mais toujours très féminines, mes reins étaient en béton. Très souple, posées sur mes jambes bien galbées et toniques, mon fessier dont jétais vraiment ravie, était ni petit ni trop gros mais plein, bombé et ferme. Beaucoup dhommes se retournaient sur moi lorsque je mhabillais moulante, ma poitrine de quatre vingt dix B se tenait en poire avec deux aréoles marrons, centrées par mes tétons que je trouvais longs comme les ongles de mes indexs et souvent, je les dissimulais sous mes longs cheveux raides et blonds.
Jallais donc sortir avec un groupe damis en discothèque, habillée de ma jupe courte en Jeans délavé, de longues bottes noires qui montaient au milieu des tibias, javais le ventre nu car un petit débardeur stoppait sous ma poitrine, mes cheveux cachaient mes fameux tétons et ma touche de maquillage ressortait car mes lèvres épaisses et rose claire flashaient énormément sur ma figure. Quand je me souriais dans le miroir avant de sortir de chez moi, mes dents avaient enfin une blancheur parfaite car je pratiquais un traitement.
Je fermais la porte du pavillon, et une voiture sarrêtait en dérapant, de peur, je sursautais en mettant mon bras qui tenait mon tout petit sac à main en cuir devant ma poitrine qui rebondit.
« Oups, ah cest vous, vous mavez foutu la trouille! »
Cétait mes petits frères, Jérémy et Théo, ils sortaient de leur nouvelle voiture en sexclamant
« Salut la grande sur, tu te souviens de la voiture que tu voulais? »
« Heu oui oui, oh mais vous lavez achetée où? »
Je navais pas fait attention à la marque et la forme de la voiture, mais ils étaient là avec un cabriolet dont je rêvais et Théo venait vers moi en tendant les clés
« Elle est pour toi, on a gagné au tiercé »
« Vous êtes sérieux, cest super ça »
Je saisis les clés sans demander dexplications en allant à la place conductrice.
« Vous êtes géniaux les frangins, fêtons ça! » Leur proposais je.
Et Jaccélérais avec Théo derrière accoudé à mon siège et Jérémy à côté de moi. En conduisant, jétais super contente et jen oubliais ma jupe qui remontait jusquà ce que je distingue Théo dans le rétroviseur qui matait mon entrecuisse. En effet, cinq centimètres de plus et ma petite dentelle apparaissait, alors je me rajustais à un feu rouge.
« On va où alors les gagneurs de chevaux? »
Jeremy répliqua aussitôt
« A la discothèque du centre ville »
« Bon daccord, jannule la soirée que javais prévue »
Après un coup de fil à mes amis, et les explications de leurs gains le long de la route, je me garais devant la disco. Jérémy sortait rapidement de la voiture en allant ouvrir ma portière
« Mademoiselle, après vous! »
« Oh merci gentlemen »
En sortant ma jambe gauche, ma jupe remonta presque au maximum car la voiture était très basse et ma fine dentelle blanche qui comprimait mon paquet de poils, se dévoilait devant les yeux admiratifs de Jeremy que je percevais du coin de lil. Sortie de la voiture, je me redescendais la jupe en voyant toujours du coin de lil, Théo et Jérémy hausser les sourcils discrètement. A mon âge, je nétais plus idiote mais je faisais lignorante.
« Allez dépêchez vous, quon aille se défouler! »
A lentrée de la disco, le portier connaissait mes frères et il remontait le pouce vers le haut en me regardant puis Théo dit:
« Hé, cest pas ce que tu crois, cest notre grande sur, cool mec! »
Le portier sexcusait bêtement et moi je rentrais en fronçant les sourcils et en le menaçant du doigt. Par la suite nous allâmes au bar commander du whisky coca et à la fin de nos verres, jattrapais mes frangins et les tirais vers la piste de danse.
« Cest parti les gars, allons fêter ça»
Immédiatement, jondulais mon postérieur en fermant les yeux, mes frères étaient aussi en train de bouger en techno, mes cheveux me gênaient car ils voltigeaient dans les airs en fouettant mes vainqueurs de tiercé. Alors, je les roulais dans un chignon maladroit. Tout en dansant, mes tétons se distinguaient clairement et je prenais en flagrant délit mes deux frères qui lorgnaient dessus (sans quils saperçoivent de quoi que se soit du fait que javais refermé mes yeux). Sachant quil me mâtait, je gesticulais à la limite de lérotisme. Cétait délicieux de savoir que mes petits frères me dévoraient des yeux silencieusement.
Une dizaine de chansons étaient passées et la dernière du rythme techno était extra car il sagissait de Modo (please fuck me)
Mes gagnants devaient devenir fous de me voir aguicher involontairement la disco entière, alors quand je les ai vus chercher à prendre la fuite pendant le début de Modo, je leur attrapais les poignets et me soulevais vers leurs oreilles.
« Oh non, faites-moi danser quand même! »
Ils nont pas eu le temps de répondre que je me suis glissée entre eux tout en continuant à agiter mon postérieur. Je me souviendrais toujours de la barre que jai sentie dans le dos, jétais de dos à Jérémy. Jai cru me frotter à une barre de fer, et dailleurs dès quil a senti mes fesses dessus, il sest emparé de mes hanches pour maccompagner dans la danse. Il fit signe à Théo, le plus jeune dun an, de se coller à moi.
Nous dansions collés serrés, javais deux barres horizontales que je sentais vraiment épaisses. Théo était apparemment aussi bien monté, je les excitais vraiment et moi qui était célibataire depuis six mois, jétais en sandwich entre deux hommes, et même sils étaient mes petits frères, cela ne les ennuyait pas du tout de se frotter à moi jusquà que lon transpire avec le refrain (please fuck me)qui tambourinait dans nos oreilles. A la fin du disque, Jérémy, qui était autant perdu que moi et Théo, me culbuta à vive allure, le derrière couvert de nos habits et je murmurais tour à tour dans leurs oreilles :
« Vaudrait mieux filer dici »
Et en cinq minutes, après que jai démarré la voiture, mes frangins me picotaient le visage de bisous pendant que je leur criais en ricanant :
« Arrêtez, on va se planter, attendez un peu ! »
« Tu veux le faire à trois ? »disait Jérémy
« Excités comme vous lêtes, vous naurez jamais la patience dattendre que lautre finisse ! »
« Et cela ne te gêne pas à trois ? »disait Théo
« Bon! Taisez-vous et écoutez-moi :Pleeeeaaase fuuuck meeee !!!OK »dis-je assez fort.
Durant le reste du trajet, le silence fut roi et je sentais ma dentelle humide comme jamais.
Arrivée chez moi, car cétait lendroit le plus sûr, nous sommes entrés dans le petit salon où se trouvait un canapé de cuir. Je lâchais les mains de mes frangins que je menais dans ma demeure et jexpliquais avant de commettre lirréparable:
« Nous sommes tous daccord de ce qui va se passer, alors il ne faudra pas avoir de remords »
« Je suis toujours partant » disait immédiatement Jérémy.
Théo, le plus jeune, semblait réfléchir mais sa réponse affirmative tombait quand je glissais ma jupe en Jeans en agitant mes hanches tout en le regardant. Jexpulsais mon mini débardeur à ses pieds, jétais dans mon minuscule string blanc qui sétait glissé dans ma chatte, et même la couture que javais en haut des fesses sétait aussi faufilée dans ma raie du cul.Jenjambais ma jupe chiffonnée au sol en leur signalant tout en tapant des mains:
« Allez, à poil maintenant, il faut sauter la frangine!!!»
Ils se déshabillèrent en dix secondes en gardant leurs slips moulants qui tendaient à craquer et à en décoller les élastiques. Je magenouillais devant eux:
« Je ne pensais pas que linceste puisse autant me rendre folle »
Ils ont ensuite baissé leurs slips en faisant rebondir leurs superbes grandes et épaisses queues devant mes yeux qui louchaient sur le yoyo de leurs glands gros comme des citrons juteux.
« Suces nous bon dieu » formulait Jérémy.
« Oui bouffes nos queues » rajoutait Théo.
Mes ridicules petites mains empoignèrent leurs sexes comme elles pouvaient pour entamer deux branlettes très rapides qui leurs faisaient couler du pré sperme en abondance. Puis je nai pas pu résister, jembouchais chacune leur tour, la tête de leur sexe en les aspirant fortement durant quelques minutes où jai bien cru quil allaient masperger de sperme. Mais ils mont stoppée pour me coucher sur le canapé. tout les deux à genoux, Théo me tétait en malaxant tour à tour mes seins comme sil voulait mextraire du lait, Jérémy me léchait puis plongeait sa langue dans ma chatte en écartant de ses doigts mes lèvres. Moi, je serpentais sur le cuir en suffoquant des encouragements:
« Ouiiii, mangez moi, baisez moi, ouiiiiii, huumm, faites moi jouiiiiiir »
Et soudain, à force que Jérémy me plonge sa langue dans la chatte, je tremblais de tout mon corps en tapant mes pieds sur laccoudoir du canapé. Alors, Théo qui avait un il sur son frère lâcha mon téton et se rua avec sa langue sur mon clitoris pour le lécher à toute vitesse pendant que Jérémy mempoignait fermement les chevilles.
« Ouiii viiiiens, jouiiiiiiiiis frangine, viiiiens pour nous » hurla Jérémy
Mes jus coulaient sur le cuir, et soudain Jérémy souleva mes jambes au ciel en se ruant sur ma chatte coulante pour aspirer le reste de ma crème
« Ohh, huuum, vous allez me faire mourir de plaisir »
Et Théo membrassa à pleine bouche pendant que je lui attrapais sa queue qui bandait entre ses jambes pour lui rendre un baiser encore plus langoureux.
« Vas-y, mange lui la bouche Théo » disait Jérémy en plongeant cette fois ci, sa langue dans mon trou du cul, et cela me fit sursauter et je dégageai ma bouche de Théo.
« Whaouu! Carrément dans le cul, tu es vraiment chaud Jérémy! »
Puis Théo me renfourna sa langue au plus profond de ma bouche pendant quelques minutes
« Faut la baiser Théo » insistait Jérémy en constatant que son frère me dévorait tantôt les tétés et tantôt la bouche.
« Ouais prenez moi partout maintenant, je vous en prie! »
En deux secondes, jétais assises sur le canapé, Théo était debout avec ses pieds à lextérieur de mes cuisses en train de me buter son gland au fond de la gorge, en me baisant la bouche. Jérémy avait rentré délicatement sa grande queue en moi en poussant jusquau fond de mes entrailles. Par la suite, ses couilles battaient sous mes fesses car jétais à la limite de tomber par terre mais je me tenais aux cuisses de Théo tout en pompant avidement sa merveilleuse queue.
« Elle va déjà nous faire gicler tellement elle est excitée » gémit Théo en serrant le cuir pour se maintenir
« Non huum non, il faut changer de position » répondait Jérémy, lexpérimenté, entre deux fortes poussées!
« Ouais hum, laissez-moi vous montrer, les chevaux, je connais une bonne position !» dis-je !
Puis en titubant sur mes pieds, je les installais accoudés au sol sur leurs fesses avec leurs jambes entrecroisées comme des ciseaux ouverts et coincés entre eux.
Debout à côté deux, je les admirais me regarder comme deux grands enfants qui se demandent ce que je préparais. Leurs sexes tendaient au plafond à cinq centimètres lun de lautre en se courbant vers leur propre ventre. Je navais plus quà mempaler sur leurs braquemarts car ils mavaient vraiment bien lubrifiée
« Whaou! Elle va nous monter en même temps, Théo, jy crois pas » lançait Jérémy, le soit disant plus expérimenté.
« Whaou! Elle est vraiment super bonne » répondit Théo.
« Laissez moi me mettre dessus, mais si je ny arrive pas, appuyez sur mes épaules, dacc? »
Ils faisaient oui de la tête en me matant les enjamber. Je maccroupis sur leurs sexes pendant que je pointais leurs glands sur mes orifices.
« Whaou! Elles sont vraiment grosses » suffoquais je en rebondissant légèrement sur leurs glands très durs. Ma chatte sécartelait facilement car elle avait déjà été ramonée mais mon petit trou souvrait plus difficilement. Alors que javais Jérémy dans mon dos, il appuya sur mes épaules en râlant car cétait sa queue qui mécartelait lanus très serré. Théo me pénétrait pour la première fois et je sentais sa queue se contacter très durement, je remuais en faisant des yoyos qui mamenaient à rencontrer leurs bas ventres. Jétais vraiment écartelée et pleine de leurs sexes que je sentais palpiter dans tout mon ventre. Nos râles remplissaient le salon et je me demandais si jallais bouger le petit doigt car jaurais voulu mourir de plaisir dans cette position innovée par mon imagination perverse de sur incestueuse.
Mais cest Jérémy qui donnait la cadence car il était profondément mal à laise dans mon boyau, serré comme dans un étau
« Ma queue va exploser si tu ne bouges pas oohhhhuumm » criait Jérémy.
Alors je me soulevais sur la pointe des pieds pour monter et descendre de plus en plus vite sur leurs barres de fer jusquà ne plus sentir les muscles de mes cuisses. Théo me soulagea en me soupesant par dessous les fesses pendant que Jérémy me soulevait et descendait par les hanches. Je palpais ma poitrine en râlant et claquant mes fesses sur le bas ventre de Jérémy.
Après une bonne dizaine de minutes, ils criaient davoir mal aux abdominaux et je leurs lançais
« Allez fuck meeee, fuck meeeee, faites travailler vos abdos ouiiiiii fuuuuuckkkk»
Et ils saffalèrent tous les deux en même temps en me laissant tomber jusquà la garde de leurs sexes qui se courbaient dans mon ventre et mon anus. Alors je magenouillais confortablement en les montant comme une cavalière qui montait deux chevaux en même temps durant un long moment merveilleux.
« Je vais jouiiiiiiirrrrr » hurlait Jérémy
« Moi aussssiiiiiiiiiiii » enchaînait Théo
En une seconde, je me désempalais en admirant leurs sexes rouge écarlate sabattre sur leurs propres ventres pour les saisir et entamer deux fortes branlettes. En même temps, je les voyais agiter leur tête dans tous les sens, leurs barres de fer juteuses de mes orifices faisaient un bruit inoubliable qui menait à deux explosions volcaniques de sperme. Je maintenais bien leurs sexes droits, cela créait une fontaine bouillante, les jets fusaient au plafond pour retomber sur nous trois. Jagitais ma langue en ricanant de les voir se tordre de plaisir, à la fin, leurs éjaculations se terminaient sur mes doigts et leurs touffes de poils.
« Soulagés les frangins!!! » gémissais je avant de lécher les câbles dégoulinants de sperme qui zébraient leurs corps.
Nous avons continué dans ma chambre, sur mon grand lit à baldaquin, Théo a eu le plaisir de me forer l’anus à perdre haleine pendant que je suçais très profondément Jérémy. La nuit a été si bonne de sexe que nous avons dormi jusqu’à midi.
Je ne vous recommande pas de pratiquer l’inceste si vous êtes mineur ou puceau car le désir est vraiment très fort. Mes frères ont eu mal à leur sexe durant trois jours tellement ils avaient bandé dur et sondé chacune de mes entrées incestueuses.