Les marins de Gênes
Je revenais de Tunisie en passant par Gênes, en bateau. Le voyage avait lieu de nuit, par une nuit chaude. Je décidai d’aller prendre l’air en teeshirt et short. Je trouvais une rangée de transats, dans un coin tranquille et désert. Je m’allonge et commence à somnoler. Arrive un tunisien, assez corpulent et poilu d’une quarantaine d’années. Il s’assoit à deux transats de moi. Il entame une discussion banale. Sachant que beaucoup de tunisiens étaient attirés par les hommes, je remarque vite son regard fixé sur mon short. J’avais oublié de dire que, petit et menu, on me prenait souvent pour un adolescent. Et que, pendant mes vacances, j’avais eu l’occasion d’apprécier bon nombre de bites de tunisiens dans mon cul.
Je m’étire donc sur mon transat, en écartant largement les cuisses. Le tunisien comprend vite le message et se déplace sur le transat à côté du mien. Sa main se pose sur l’intérieur de ma cuisse, puis remonte et il glisse un doigt sous mon short. Pour lui faciliter le travail, je soulève légèrement mon cul, et son doigt finit par trouver le but de sa recherche : ma rondelle, qu’il se met à titiller.
Juste à ce moment, arrivent sur le pont, 4 jeunes marins en uniforme d’été, tee-shirt et short blanc, et s’accoudent au parapet, face à la mer. Beau spectacle de 4 jeunes culs, moulés dans leur short blanc. Nous étions sur nos transats, derrière eux, dans un endroit sombre et ils ne nous avaient pas remarqués. Assez vite, un des marins posa sa main sur le short de son voisin, et se mit à lui caresser les fesses, en lui chuchotant à l’oreille. L’autre dût vite accéder à sa demande, en défaisant le haut de sa braguette, car le premier glissa sa main dans le short de l’autre, par la ceinture, et se mit à lui tripoter le cul. Les deux autres s’étaient placés en arrière pour apprécier le spectacle, et les encourager à aller plus loin en rigolant.
Le jeune marin eût vite le short aux genoux, le doigt de l’autre, inséré dans son slip par-dessous, lui tripotant à l’évidence sa rondelle. Un des deux mateurs s’approche alors et lui baisse le slip pour dévoiler un splendide petit cul, imberbe. De plus, il devait bronzer avec un maillot car il avait les fesses d’une blancheur couleur de lait.
Je résolus de passer à l’action. J’enlevais mon short et le confiai à mon tunisien. Dessous, je ne portais qu’un string, mon cul bien à l’air. Et je m’avance sur le pont. Voyant arriver quelqu’un, le marin le cul à l’air, remonte vite fait son short. Mais quand ils prirent conscience de ma tenue, ils m’entourèrent bien vite, et commencèrent à me tripoter. Le Tunisien s’avança alors pour mater. Comme ils ne m’avaient pas enlevé mon string, je compris que c’était mon cul qui les intéressait. Et je fus bien vite accoudé à la rambarde, le cul arqué, cuisses écartées, chaque jeune marin venant à tour de rôle me doigter le cul. Quand ce fût le tour du Tunisien, il commença à m’enfiler sa bite. Je me dégageais assez vite, voulant prolonger nos jeux.
Et un des marins, qui parlait français, me dit qu’on allait aller dans un coin plus tranquille. Il nous amena à la piscine, fermée à cette heure, mais dont ils avaient une clef. Là, une fois à poil, tout le monde à l’eau. Six mecs attirés les uns par les autres dans une piscine. On sentait une main au cul ou à la bite, sans savoir à qui elle appartenait, on palpait un cul ou des couilles anonymes. A un moment, un marin passa sous l’eau pour prendre ma bite dans sa bouche. Pour le remercier, je tendis le bras et lui caressai la raie du cul. Un peu plus tard, un marin se mit à « faire la planche » sur le ventre, cuisses bien écartées, et on a tous défilé entre ses cuisses, pour, suivant les préférences, lécher ou doigter.
Le marin partit alors s’allonger sur le bord de la piscine, toujours sur le ventre, cuisses écartées. Le tunisien se précipita pour l’enculer. Au mouvement de ses fesses, je jugeai qu’il faisait ça très bien. Il la lui mettait bien à fond, mais en douceur, pour la lui retirer presque complètement, puis la remettre à fond. Le marin exprima bien vite sa satisfaction par des gémissements de plaisir. J’allai alors me placer devant lui, sur le dos, jambes relevées, lui offrant ma rondelle. Il choisit de me la doigter au rythme où le tunisien me baisait. Et je vis bien vite arriver un mec à 4 pattes se positionnant au-dessus de moi pour m’offrir sa bite à sucer. Et, tandis que je suçais, je vis une bite enfiler le trou du cul du mec que je suçais. Six mecs pratiquant tous les jeux sexuels de base entre hommes, ça offre de nombreuses possibilités et il y eût des changements de positions et de partenaires. Nous nous séparâmes, épuisés. Pour ma part, j’avais reçu deux jets de sperme dans le cul, un dans ma bouche et j’avais joui dans les culs de deux mecs !
Le lendemain matin, en quittant le navire, le jeune marin qui parlait français, m’attendait. Je le remerciai chaleureusement. Il me demanda si je restais quelques jours à Gênes. Je lui dis que je pouvais attendre le lendemain. Il me répondit qu’on pourrait se revoir en soirée, et me donna une carte d’hôtel avec son nom marqué dessus.
J’arrivai à l’hôtel, pour trouver un réceptionniste / barman, petit et mince comme moi, mais d’une quarantaine d’années. Quand il vit le nom indiqué sur la carte, il me fit un sourire canaille. Je compris que mon marin ne m’avait pas envoyé n’importe où.
L’après-midi, je partis visiter Gênes. Vu la chaleur, je mis mon « uniforme habituel », tee-shirt string et short. J’eus l’idée vicieuse de visiter quelques églises. Je me plaçai dans un coin assez isolé, agenouillé, le cul bien évidence et bien moulé dans son short. Et je vis quelques paroissiens jeter un coup d’il approbateur à mon cul. L’un en particulier, restait là à contempler le spectacle. Je baissais mon short à mi fesses. Il se glissa à côté de moi, enfonça sa main dans mon short. Je sentis sa main passer entre mes cuisses pour me peloter les couilles, puis revenir me caresser la raie du cul, et enfin me doigter la rondelle. Ca lui suffisait, et il partit rapidement.
Mais mon but principal était un jardin public surplombant Gênes. Mon marin m’avait indiqué le bon endroit. Tout en haut, une rambarde, surplombant la ville, et juste derrière, une rangée de cyprès. Entre la rambarde et les cyprès, on était bien cachés. J’arrivai pour trouver, à distance l’un de l’autre, deux italiens d’une cinquantaine d’années, accoudés à la rambarde. Je me plaçai à mi-chemin entre les deux. L’un d’eux se rapprocha rapidement, et me pelota les fesses. Il se mouilla bien un doigt de salive. Comme il faisait très chaud, je transpirais, et j’avais l’anus tout moite. Il inséra son doigt qui glissa tout de suite tout entier dedans, et se mit à me doigter, en douceur, faisant aller lentement don doigt dans mon trou du cul.
Au bout d’un moment, l’autre italien s’approcha. Le premier retira son doigt et écarta largement le bas de mon short pour exposer le bas de ma raie du cul. L’autre plongea immédiatement son doigt pour me doigter. Pendant ce temps je vis l’autre italien sortir sa bite de sa braguette. Il fit gentiment dégager l’autre et m’enfila puis me baisa au rythme où il m’avait doigté, lentement, faisant durer son plaisir .. et le mien ! Et je pensais que c’était la première fois que je me faisais baiser, une après-midi, en plein air, en pleine ville ! Ca m’excitait à mort. Et dès que l’italien eût terminé, je me suis rapidement branlé et ai éjaculé sur le champ.
Il faisait tellement chaud, que je retournai à l’hôtel prendre une douche. Et je pris la précaution de me lubrifier l’anus. Je m’allongeai alors sur le lit, à plat ventre, nu, cuisses écartées. Et j’appelle au téléphone le barman en demandant une bière bien fraiche. Quand il tape à la porte, je lui dis d’entrer, la porte n’étant pas fermée à clef. Et il me découvre, sur le lit, cul nu bien offert. Il me l’a rapidement peloté, puis a sorti sa bite de sa braguette, m’a chevauché et m’a enfilé. Très excité, il me chuchotait des cochonneries à l’oreille ( en français )
« T’as un bon petit cul mon salaud .. Bien moite, ça glisse bien dedans .. et on sent que t’as l’habitude de te le faire bourrer.. et que t’aimes ça, petite pute à mecs.. Je vais bien te troncher … j’aime bien ça, les mecs qui donnent leur cul aux autres mecs »
Ce petit salaud, non seulement baisait bien, mais m’excitait avec ses commentaires, et j’éjaculai tout seul, sans me toucher, dans les draps.
Le soir, comme convenu, mes quatre marins sont venus me chercher. Je monte dans leur voiture, et on longe vite le port. Pour s’arrêter dans une ruelle mal éclairée, au rez de chaussée d’un vieil immeuble. Au dessus de la porte, une vague mention délavée indiquait « club privé ». On sonne, la porte s’entrouve, et, reconnaissant mes potes, on nous laisse entrer. Je compris aussitôt que j’avais fait une erreur en venant avec mon petit short blanc. Je ne passais pas inaperçu, tous les autres mecs étaient en jeans ou pantalon. Et, pour m’ôter tout doute, j’aperçois au fond de la salle, un mec à poil allongé sur le dos sur une table, jambes en l’air, cul au ras de la table, en train de se faire limer par un mec debout contre la table., froc et slip aux chevilles Autour d’eux, deux mecs avaient sorti leur bite, se branlant doucement, attendant visiblement leur tour.
On s’installe au comptoir, juchés sur des hauts tabourets sans dossier. Derrière nous, cinq ou six mecs buvaient un verre, en lorgnant de temps en temps le mec qui se faisait enculer. Un des marins me chuchote à l’oreille de reculer le plus possible mon cul sur le tabouret. Et me glissant une main le long du dos, il la glisse sous mon short, atteint ma rondelle, et se met à me doigter. En jetant un coup d’il derrière moi, je vis que les mecs attablés étaient parfaitement conscients de ce qu’on me faisait, l’un d’eux ayant même sorti sa bite de sa braguette, pour se branler doucement. Et pendant ce temps, le barman n’arrêtait pas de remplir mon verre ( d’alcool bien entendu ). Je lui fis signe d’arrêter. Je voulais bien me sentir « en forme » après quelques verres, mais pas ivre mort, violé ensuite en série …
Le mec qui se faisait baiser en fond de salle avait refusé les candidats ultérieurs, et la place était libre. Et un des marins italiens me chuchote d’y aller. Je n’avais encore jamais pratiqué ce « sport », mais il y a un début à tout. Je commençai par me foutre complétement à poil, confiant mes affaires au barman, et me suis dirigé, sous quelques sifflets et applaudissements vers la table. Et j’ai vécu là une expérience unique. J’ai sucé des queues, léché des culs, et bien sûr me suis fait enculer. Dans toutes les positions : jambes en l’air, à 4 pattes, en levrette, à plat ventre. Je me souviens même qu’on m’a dirigé vers un mec qui bandait, assis sur une chaise, qui m’a attrapé par les hanches, pour m’empaler sur sa queue.
Mais même avec mon expérience, je commençais à sentir mon anus s’irriter. J’ai demandé à arrêter, ce qui fût accepté tout de suite. Un de mes copains marins a pris ma place avec enthousiasme, et j’ai pu jouer les voyeurs, en me branlant doucement.
Une fois à l’hôtel, voyant que j’étais quand même quelque peu ivre, le barman m’a aidé à monter dans ma chambre, à me déshabiller, et en a profité pour m’enculer à nouveau. Je me suis laissé faire, je n’en étais plus à une bite près dans mon cul.
Le lendemain en réglant ma note, j’ai demandé au barman si mon petit trou du cul lui avait plu. Il m’a répondu qu’il était prêt à remettre ça tout de suite… Mais j’avais mon train à prendre. Je me suis aperçu d’un rabais substantiel sur ma note ( après tout, il s’était payé en nature !). J’ai soigneusement gardé la carte de l’hôtel. J’y suis déjà revenu deux fois en week-end, et j’ai bien l’intention d’y revenir pour mes prochaines vacances.