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Aventure au lycée – Chapitre 2

Aventure au lycée - Chapitre 2



Le lendemain matin, je la vis assise dans le tramway, j’accourrai donc pour lui parler. La discussion était tout comme celle dhier midi, et très intéressante, on parlait cette fois-ci d’algorithmes de chiffrement. Une fois la rame quittée, elle me prit par la main et m’embrassa goulûment. J’aurais voulu que le temps cesse de s’écouler pour que je puisse profiter de ce moment le plus possible, mais je revins à la réalité quand elle retira ses lèvres des miennes. Sur le trajet, elle me demanda :

 Tu te souviens de ce que je t’ai dit hier ?

 Heu … que tu me ferais du bien aussi ?

 Oui, c’est ça, mais si tu veux que je fasse prendre ton pied, il va falloir que tu sois à la hauteur de mes attentes. Tu te sens prêt ?

 Oui, je crois, enfin, ça dépend ,tu veux quoi exactement ?

 Je vais pas passer par quatre chemins, je veux un cunni aujourd’hui, avant l’heure de l’histoire.

 Là, tout de suite ?

 Mais non, pas tout de suite, dans le lycée.

J’étais à la fois excité à l’idée de voir son intimité et d’y glisser ma langue, mais j’étais aussi terrifié d’être surpris.

 C’est dangereux ! On va se faire prendre !

 Ne t’inquiète pas, il y a une salle à l’internat où les concierges rangent des trucs, ils arrivent pas au lycée avant 8h30, si on se dépêche, on arrivera au lycée vers 7h40, ce qui nous laisse 20 minutes pour que tu me fasses jouir. Marché conclu ?

J’hésitai quelques secondes avant de me rappeler de l’intitulé de la question, évidemment que j’allais le faire.

 Bon, c’est d’accord.

Une fois arrivé dans le lycée, elle me tira vers ladite pièce et enleva son jean. Elle avait une culotte vert pomme qu’elle fit descendre sur ses jambes jusqu’à ses chevilles.

 Allez, c’est à toi, broute !

Son antre était la première que je voyais en vrai, son pubis était pourvu de quelques poils bruns, mais sans plus, l’odeur était très alléchante et je ne pouvais me retenir plus que ça, alors je sortis ma langue et commençai à la tourner un peu partout, je léchais frénétiquement ce bouton de rose dont j’avais tant entendu parler et qui s’appelait clitoris, après quelques minutes, Alice se releva, j’étais tout fier de moi et je lui dis :

 Alors, j’étais comment ?

 Nul, jamais vu un mec faire aussi mal les cunni.

Après l’illusion, voilà la débâcle. J’étais donc nul ? Pas étonnant, c’était mon premier rapport sexuel. Je pensais que c’était facile avec tout ce que j’avais vu et lu sur Internet, mais non, j’avais été nul. Je voulais me faire pardonner, mais comment ? Comment m’améliorer ? Je n’eus pas à y penser plus longtemps, car Alice dit :

 Bon, tu sais, c’est pas grave, je vais t’apprendre. Tu feras les cunnilingus comme un chef après mon enseignement. Et quand tu me feras jouir, tu auras droit à une récompense personnelle. Alors, tu es partant ?

Je n’avais pas vraiment le choix, je me voyais mal lui dire : « Ouais, en fait, non, je vais rester puceau et te laisser trouver mieux ».

 Je suis partant. Bon, on a pas cours cet après-midi, tu viens chez moi ?

 Et tes parents ?

 Ils travaillent.

Je ne pouvais pas me défiler, j’acceptais donc.

Durant la journée, nos discussions de nerd continuèrent et je l’introduis à mon groupe d’amis.

 Voici Alice, une …

Je ne savais pas comment la présenter, mais elle me coupa et dit :

 Sa copine, je suis sa copine.

Et sur ces mots, elle m’embrasa devant eux. Bouché, l’un d’eux me dit :

 Comment tu as réussi ton coup ?

 Heu … ben … c’est-à-dire.

 Je suis comme vous, une nerd,

répondit-elle encore une fois en me coupant

 Impossible …

La sonnerie retentit, le prochain cours allait commencer.

 Tu nous dois des explications, mec.

 Ouais, grave, on va manger chez Leon, viens avec nous.

Leone était un bistrot du coin, le patron qui s’appelait Léon et non pas Leone avait choisi ce nom pour avoir plus de crédits en tant que restaurant italien, il était aussi un grand fan de Sergio Leone qui a dû influencé le choix. Enfin, ce Léon était d’une gentillesse infinie et était un véritable ami pour nous.

 Nan, je suis désolé, je peux pas, je vais chez Alice.

 Bon, comme tu veux, mais Léon voulait savoir si tu comptes venir jouer avec nous, il a acheté un nouveau jeu de rôle sur l’univers du Japon féodal.

 Dis-lui que je suis partant.

L’heure défilait encore une fois très lentement, mais midi arriva très vite. J’étais aux côtés d’Alice et nous rentrions à pied pour profiter de cette belle journée de septembre. Sur le chemin, j’appelais ma mère pour lui prétexter une après-midi chez un copain, ce qu’elle goba sans aucun problème vu la nature du mensonge. Alice me tenait par la main et une fine brise soufflait dans ses cheveux bruns, je pouvais apercevoir quelques taches de rousseurs sur son doux visage qui me plaisait tant. J’apercevais aussi sa délicate poitrine à travers son T-shirt blanc qui moulait son corps. Elle remarqua que je l’observais et elle me sourit. Une fois arrivée devant chez elle, Alice m’embrasse encore une fois et dit :

 Si mon frère te demande qui tu es, tu réponds un pote du lycée, tu es venu pour m’aider à faire la maintenance de mon serveur FTP. C’est compris ?

 Reçu 5/5 mon général.

Elle esquissa un autre sourire. Elle avait vu juste, son petit-frère était là, dans la cuisine, en train de faire du riz.

 Salut Ali… C’est qui ce gars ?

Je ne la laissai pas me couper la parole et dit :

 Je suis un pote à elle et on est là pour son serveur.

 Par contre, j’ai fait à grail que pour deux.

 C’est pas grave, je vais partager avec Edward. Donne-moi deux assiettes, on a du boulot.

 Comme tu veux.

Je voulus dire au revoir, mais Alice me tira l’épaule pour que je prenne l’escalier qui se trouvait derrière. Je la suivis donc.

 Bon alors, voilà le plan : on attend 14h, mon frère va à son entraînement de foot jusqu’à 17h, et après, il va chez un pote, mon père fini le taff vers 18h, ce qui nous laisse 4h pour t’entraîner.

Nous avions désormais pénétré dans la chambre d’Alice, c’était une pièce sous les combles avec 2 grands velux au-dessus de son lit, il y avait des poutres en bois apparentes sur lesquelles étaient posés des objets en tout genre. Le sol était un parquet en bois qui grinçait au moindre pas, un tapis était placé juste devant son lit avec des pantoufles. Mes yeux furent attirés par son bureau au fond de la pièce. Son bureau était très grand, avec un ordinateur doté de quartes-écran, un d’eux était allumé et servait à monitorer son serveur, le bureau en lui-même était encombré d’un tas de feuilles et de clés USB. À l’apparence de sa chambre, elle n’avait pas menti : c’était une vraie nerd.

 Viens sur mon lit pour t’asseoir.

Je m’asseyais et commençai à manger le riz. Alice se leva et alluma son PC pour mettre visiblement de la musique.

 Une utilisatrice KDE alors ?

 C’est pas bien d’espionner les écrans des gens, dis donc.

J’entendais désormais la musique, c’était les Guns’n Roses. Après avoir mangé, on joua un peu avant que son frère ne toque à la porte.

 Entre !

 C’est moi, je pars au sport.

 OK, on se voit tout à l’heure.

Aussitôt dit, Alice se leva et alla s’asseoir sur son lit. Dès qu’elle entendit la porte d’entrée claquer, elle enleva son jean et sa culotte.

 Tu attends quoi ?

 Heu oui, j’arrive.

Je lâchai la manette et me dirigea vers son minou. Elle était adossée au mur et avait les jambes écartées. Elle attrapa ma tête par-derrière et dit :

 Je vais te guider, tu vas devoir faire tout ce que je te dis. Commence par donner des petits coups de langue pour m’exciter.

Alice continua de me donner des instructions, elle connaissait son corps par cur, j’avais juste à me laisser guider et à réutiliser les techniques apprises précédemment. Après environ 20 minutes, Alice me dit qu’elle commençait à prendre beaucoup de plaisir. J’étais très fier de moi. Nos ébats buccaux continuèrent durant une bonne heure. Une heure durant laquelle le corps d’Alice était pris de spasme et sa gorge laissait s’échapper quelques râles de plaisirs. J’observais ses formes se mouvoir sur cette bande-son de première qualité, je bandais très fort et pensais que j’allais exploser dans mon caleçon. Quand Alice me dit qu’elle était épuisée, je voulus sortir mon sexe pour la pénétrer, mais elle me stoppa sec.

 Qu’est-ce que tu allais faire là ?

 Ben, j’imaginais que l’on allait baiser.

 D’abord, je suis fatigué et en plus, j’ai pas de capotes.

Les films pornographiques et les histoires érotiques m’avaient retourné la tête, évidemment qu’il fallait un préservatif durant un rapport, je ne pus qu’observer mon ignorance totale de la réalité du terrain.

 Tu peux te branler par contre, si tu veux.

Aussitôt dit aussitôt fait, j’attrapai mon membre et commençai à me masturber frénétiquement en regardant la vénus devant mes yeux, après une telle excitation, je commençais à avoir les couilles bleues, mais je ne pus pas tenir bien longtemps, car je crachai tout sur son parquet.

 Ah ben, bravo ! Tu en as mis partout !

 Pardon, je vais nettoyer.

Je ravalai donc ma fierté et allai chercher une serviette dans la cuisine, la bite à l’air. En remontant, je regardais les photos de famille d’Alice. L’après-midi continua, teintée de jeux vidéo et de discussions toujours aussi sympathiques.

 Si tu veux, on peut se revoir ce week-end chez moi pour que je puisse honorer ma promesse, Edward.

 Tes parents sont absents ?

 Non, pas vraiment, mais ils sont assez cool là-dessus, je peux inviter qui je veux.

Sur ces mots, la porte d’entrée s’ouvrit. C’était visiblement ses parents qui rentraient tous les deux ensemble.

 Alice, tu es là ?

Alice me dit de l’accompagner pour saluer ses parents. Dans le salon, j’apercevais deux hommes, la cinquantaine environ. Alice fit les présentations.

 Edward, voici mes parents, Thomas et Philippe.

 Nous sommes ravis de te rencontrer Edward, tu es ?

 Je suis un ami d’Alice, j’étais là pour l’aider sur son serveur.

Ses parents étaient à la fois très différents et à la fois semblables. Ils avaient tous les deux un costume brun et des chaussures noires en pointe, ils devaient travailler dans la comptabilité ou quelque chose du genre. C’est au niveau du physique qu’ils différaient bien, qu’ils aient tous deux l’air accueillant et sympathique. Thomas était grand et blond, et avait les traits du visage droits, quant à Philippe, il était plus petit, dans les 1m 75, et avait le crâne dégarni, et les cheveux qui viraient vers le gris.

 Mon téléphone commença à sonner et je vis que ma mère appelait, je m’éclipsai donc de la pièce pour pouvoir lui répondre. Elle me demanda à quelle heure je pensais rentrer et si mon père devait venir me chercher.

La fin de journée approcha, et je dus rentrer non sans embrasser une dernière fois Alice à l’abri des regards.

À suivre …

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