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Travaux agricoles – Chapitre 2

Travaux agricoles - Chapitre 2



Il faut que je fasse lamour à Florence ! Je DOIS faire lamour à ma fille ! Cest vital ! Pourquoi serai-je le seul élément de famille à ne pas succomber à linceste ? Oui mais comment être sûr que cela ne déclenche pas un drame ? Je ne me vois pas leur déclarer tout de go : « Je sais que vous forniquez ensemble, moi aussi jen veux ma part » ! Je réalise que je nai aucune certitude, à part des bavardages de gamines. Tout cela ne serait-il quune construction de mon imagination ? Non ! Jai la conviction dêtre dans le vrai, mais il me faut du tangible. Fabienne qui na pas sa langue dans la poche aurait beau jeu de répliquer : « Prouve-le ! » si je laccusais. Lidéal serait de les surprendre en position délicate. Toute la soirée je les surveille, espérant découvrir un geste, une parole révélatrice. En vain. Au moment de se coucher, je me promets de contrôler en pleine nuit si nos enfants dorment ensemble, mais dans notre chambre Fabienne pompe le reste de mes forces, amoindries il faut dire par mes frasques de laprès-midi. Je mendors comme une souche jusquau matin !

Au réveil me vient une idée : Ma fille a regretté navoir jamais conduit le tracteur. Cest loccasion rêvée. Lexigüité de la cabine est propice au caresses et même plus si affinité comme me la démontré Annie. Je me lance au petit déjeuner en famille :

— Dis Florence, tu mas dit que tu voulais apprendre à conduire le tracteur. Je te propose de venir ce matin ramasser le foin au Clos.

— Euh

Je reçois le soutien inattendu de ma femme.

— Tu devrais profiter de loffre de ton père, pour une fois quil consent à partager son précieux volant.

— Euh Annie doit venir. Quest-ce quelle va penser si je suis pas là ?

— Annie, je me charge de lui faire oublier ton absence, fanfaronne Francis.

Fabienne éclate de rire.

— On sait comment ! Mais ne faites pas autant de bruit que la dernière fois.

Le garçon pique du nez dans son assiette. Si javais besoin dune confirmation des relations poussées entre mon fils et la copine de sa sur cet aveu maurait suffit ! Je constate aussi que si daventure ma femme senvoie en lair avec notre fils, elle ne revendique pas lexclusivité et ne semble pas jalouse ! Je me lève de table.

— Alors Florence, tu viens avec moi ?

— Attends-moi une minute Papa, je vais mettre un jeans.

Ah non ! Pas ça ! Cest un vrai tue la caresse ce vêtement !

— Inutile, le foin cest propre, tu ne te saliras pas.

— Ton père a raison, puis tu es si mignonne dans ta robe.

Je lance un regard soupçonneux à mon épouse ? Se douterait-elle de quelque chose ? Elle me répond avec un large sourire.

— Allez travailler !

Dans la remise, je fais le plein, contrôle les niveaux. Florence regarde par-dessus mon épaule. Elle veut sinstaller à la place du conducteur.

— Pas encore. Quand nous serons dans le pré. Sur la route, je préfère conduire.

Le champ nest pas éloigné de la ferme, nous y parvenons vite. Je positionne lattelage face au premier andain et recule sur mon siège.

— Voilà ! Place-toi devant moi. Tu tiendras le volant pendant que je moccuperai de lenrouleuse derrière nous.

Elle sinstalle entre mes genoux. À linverse dAnnie elle ne sappuie pas sur mon ventre. Je suis déçu et nose mavancer.

— Déplace la manette des gaz oui, celle-là doucement cest bon, ça suffit.

Lattelage sébranle. Les secousses dues aux inégalités du terrain font vaciller Florence. Je la maintiens par les cuisses. Les oscillations de la cabine aidant je parviens à soulever le tissu de la robe jusquà toucher la peau de mes doigts. Nous arrivons au bout de la rangée.

— Laisse-moi prendre le volant pour la manuvre de demi-tour.

Elle veut sécarter.

— Non ce nest pas la peine, recule juste un peu oui comme ça.

Son postérieur appuie sur mon sexe. Pourvu quelle reste dans cette position Le tracteur remis en ligne, je glisse les mains sous la robe pour retrouver le contact avec la douce peau des cuisses. Nous repartons. Florence semble absorbée par la conduite. Ses fesses massent ma queue, cest aussi délicieux que la veille avec Annie. Une irrégularité plus forte du sol la fait tanguer. Je prends prétexte pour la soutenir dune main au niveau des seins. Nous parvenons ainsi à lentrée du champ, elle frottant son cul contre mon sexe, moi caressant la cuisse dune main et la poitrine de lautre. Cest bien parti ! Quest-ce que je fais au prochain passage ? Caresser son bas ventre ou lui présenter ma queue ?

En bout de course, elle me laisse manuvrer tout en ondulant du postérieur. Je bande comme ce nest pas permis ! Malheureusement au lieu de reprendre le volant, elle se dégage.

— Quest-ce quil y a ? Je tai fait mal ?

— Euh Je viens de me souvenir que jai promis de passer à la coopérative.

Je la dévisage, elle est cramoisie. Est-ce à cause de sa piètre excuse ? Dun geste je linvite à reprendre place. Elle hésite, lisse sa jupe. Je caresse lespoir quelle accepte de rester Non, avec un soupir elle ouvre la portière.

— Tu ne veux plus conduire ?

— Une autre fois peut-être, je te remercie Papa, mais je dois y aller.

Je la regarde séloigner. Quel dommage ! Jai encore sur la paume la trace du téton érigé, preuve de son émoi. Je croyais avoir fait le plus difficile Une pareille occasion ne se représentera pas de si tôt. Jaurais du insister, la forcer au besoin, mais jen étais incapable Ce nest pas donné à tout le monde de devenir un père incestueux

Un peu avant midi, le champ terminé je rentre à la ferme. Jai encore un dernier pré à ramasser de quoi occuper laprès-midi.

— Où est Florence ? Elle nest pas avec toi ? interroge ma femme.

— Non elle est allée à la coopérative.

— Ça sest mal passé entre vous deux ? Je parie que tu ne las pas laissé conduire comme elle voulait.

— Pas du tout ! Elle sest souvenu quelle leur avait promis de passer.

— Ah bon.

— Annie est venue ?

— Oui mais elle nest pas restée longtemps. Elle aussi est allée à la coopérative, Francis la accompagnée.

Les enfants débarquent quand les douze coups de midi résonnent à lhorloge de la cuisine.

— On a faim ! claironne mon fils. Quest-ce que tu as fait pour le repas Maman? Pas des courgettes jespère. Jen ai marre, tu en sers tous les jours.

— Et ce nest pas fini, espèce de macho ! réplique-t-elle. Tant quil y en aura dans le jardin !

En fait de courgette cest une ratatouille avec les légumes du potager quelle nous sert en accompagnement dun bon buf braisé. Pendant tout le repas, Florence reste muette et ni les piques de son frère ni les invites de Fabienne ne la dérident. Men veut-elle tant que ça ?

Ma femme et ma fille lèvent la table ce qui ne va pas sans de petits conciliabules secrets près de lévier. Cela minquiète, parleraient-elles de moi et de ma tentative de ce matin ? Jessaye en vain de capter leur regard. Il vaut mieux men aller, dailleurs cest lheure. Je replie ma serviette.

— Je vais terminer les foins.

— Tu nas pas fini ce matin au Clos ? sétonne ma femme.

— Si mais jai encore les Chevaliers à ramasser.

Je me lève de table. Ma fille se dandine sur les pieds.

— Dis Papa

— Oui ma puce ?

— Tu men veux pour ce matin ?

— Mais non ma chérie. Tu avais promis, je comprends.

Elle échange un regard avec sa mère qui lui sourit. Quest-ce à dire ?

— Dis Euh Je peux venir cet après-midi ?

Oups ! Je dois me retenir au dossier de la chaise pour ne pas métaler. Ma fille réclame les caresses et la suite prévisible car je nimagine pas une seconde que ce soit pour conduire un tracteur ! Si je ne conclus pas, je ne pourrai men prendre quà moi !

— Avec plaisir mon chou.

Je ne tente pas de déchiffrer le sourire narquois sur les lèvres de Fabienne qui nous regarde partir. Tant pis si elle se doute de quelque chose. De toute façon cela na pas lair de la perturber.

Jarrête le tracteur. Lenrouleur est prêt à avaler le foin pour constituer les rouleaux.

— Je me mets à la même place que ce matin ? demande Florence.

— Dabord tu enlèves ta culotte.

— Quoi ? Jen-jen-jenlève quoi ?

— Tu as bien entendu. Tu enlèves ta culotte ou tu ten vas !

Je nen reviens pas de mon audace. Est-ce que je ne pousse pas le bouchon trop loin ? Elle balance dun pied sur lautre. Je ne peux plus perdre la face.

— Alors ? Jattends !

— Tou-tou-tout de suite Papa.

Dun geste rapide elle ôte le dessous et le laisser tomber derrière le siège. Ouf ! Cest gagné ! Elle me regarde ouvrir les deux fermetures de ma salopette. Ses yeux brillent lorsque la verge libérée pointe entre mes jambes. Elle tend la main.

— Tout à lheure. Mets-toi en place !

Elle sinstalle entre mes cuisses ouvertes.

— Soulève ta robe !

Elle obéit. Je frémis au contact des fesses sur ma queue. Elle tortille pour que la tige sinscrive dans la raie. Je sens que nous allons bien nous amuser.

— Tu peux mettre en route.

Elle actionne la manette des gaz. Lattelage sébranle. Ma main droite soutient un sein, la gauche part à la découverte du sexe. Lindex farfouille dans la fente. Florence écarte les cuisses autant que mes genoux le permettent. Je trouve le petit clitoris. Je nai même pas à bouger pour le masser, les trépidations du tracteur suffisent.

— Attention ! Garde bien la ligne.

— Oui Mmmh ! Papa.

Elle corrige la trajectoire. Je regarde derrière, les rouleaux sont bien alignés, tout baigne ! Au bout de la rangée, elle arrête lattelage.

— Papa, prends les commandes sil te plait, je sais pas encore faire pour tourner.

Je récupère mes mains. Le terrain en pente ne facilite pas la manuvre. Je demande à Florence de sécarter. Le demi-tour effectué elle veut reprendre place. Je regarde autour de nous. La campagne est déserte.

— Tu sais ce que tu ferais si tu étais gentille ?

— Non Papa, dis-moi.

— Tu enlèverais ta robe Naie crainte, il ne passe personne par ici.

Elle hésite une seconde puis me sourit.

— Tu as raison il fait assez chaud comme ça, jen ai pas besoin.

Elle la fait passer par-dessus la tête.

— Le soutien-gorge aussi.

Avec un sourire elle dégrafe le dessous qui rejoint la culotte et la robe derrière le siège.

— Ça te va comme ça ?

— Parfait !

Quelle est belle ! Ses cheveux blonds coulent en cascade sur ses épaules. Deux tétons pointent au milieu des mamelons à peine déformés par la pesanteur. Elle doit réussir sans problème le test du crayon ! Au dessous du ventre plat une touffe de poils blonds voile imparfaitement le pubis dont je devine la fente rose.

— Ça va ? Tu tes assez rincé lil ?

— Javais oublié que tu étais si jolie ma chérie.

— Je suis jalouse moi, tu es encore habillé.

— Oh si peu, mais sil ny a que ça pour te faire plaisir

Je me lève du siège. La salopette glisse à mes pieds. Je lenjambe.

— Voilà, mademoiselle est satisfaite ?

Nous sommes nus face à face. Des ongles je frôle sa hanche. Sa peau se couvre de chair de poule. Je mapproche, La pointe de ses seins chatouillent ma poitrine, mon sexe dressé touche son ventre. Son corps se love contre le mien. Je recherche ses lèvres qui ne se refusent pas. Nos langues entament un ballet voluptueux. Ses doigts parcourent mes omoplates, mes mains caressent le dos jusquà la naissance des fesses.

Nous reprenons haleine. Elle dépose un baiser derrière loreille.

— Le travail navance pas, tu ne crois pas que nous devrions nous y remettre ?

— Tu as raison ma fille.

Elle reprend sa place contre le volant.

— Tu viens ? me dit-elle.

— Ne bouge pas.

Je me glisse entre elle et le siège.

— Écarte les jambes sil te plait.

Jinsinue la verge entre ses cuisses. Quelques tâtonnements, elle maide et de la main positionne le gland à lorée du vagin. Je pousse.

— Oh !

— Je te fais mal ?

— Aah ! Pas du tout !

Je recule sur le siège en lentraînant. Elle se retrouve à califourchon sur mes cuisses sans que nos sexes se séparent. Tout naturellement mes mains trouvent leur place, lune sur un sein dont elle triture le téton lautre entre ses cuisse à la recherche du petit bouton.

— Ça va ?

— Ça va !

— Mets en route !

Elle actionne la manette des gaz. Nous ne faisons aucun mouvement, les oscillations du tracteur suffisent à maintenir notre excitation. Cest merveilleux ce sentiment de plénitude qui pourrait durer tout laprès-midi. Enfin peut-être pas : au bout du troisième aller-retour ma résistance atteint ses limites. La pression monte dans mon sexe. Je prends Florence aux hanches et la fait monter et descendre sur ma queue. Nos gémissements sélèvent crescendo, la brusque contraction du vagin déclenche léjaculation. Je ne contrôle plus rien et mépanche en elle dans un grognement de fauve assouvi pendant quelle clame sa jouissance.

Nous restons affalés une bonne minute. Mon sexe ne sest pas totalement rétracté, le gland reste prisonnier du vagin.

— Ma chérie

— Jai Jai Merci Papa.

— Cest à moi de te remercier, tu mas fait un plaisir immense.

Les battements de mon cur se calment ainsi que ceux de Florence à qui jai repris le sein.

— Je crois quil faut continuer, nous navons pas encore terminé le champ.

— Tu as raison Papa, allons-y.

Manuvre pour faire demi-tour, positionnement du tracteur et nous voilà reparti, Florence toujours à cheval sur mes cuisses, nos sexes soudés.

— Dis ma chérie, tu men voudras si je te dis que jai remarqué que tu nétais plus vierge ?

Elle éclate de rire.

— Il y a longtemps que jai perdu mon pucelage.

— Avec qui ?

— Tu es trop curieux Papa, ça ne te regarde pas.

Je sens le picotement du désir enfler mon sexe.

— Avec Francis ?

Brusque raidissement. Jai touché un point sensible.

— Tu savais pour nous deux ?

Ainsi cest vrai, le frère et la sur couchent ensemble.

— Disons que je men doutais. Cest lui qui ta dépucelé ?

— Non.

— Qui alors ?

— Je tai dit, tu es trop curieux !

Ma verge se développe dans le vagin. Florence bouge le bassin pour mieux la sentir. Elle se soulève sur la pointe des pieds pour redescendre doucement. Un doux massage. Je contracte le périnée ce qui fait hoqueter la queue dans son étui de chair.

— Oh ! Comment tu fais ?

— Tu aimes ?

— Oh oui ! Continue !

Nous arrivons en bout de champ, il est temps de faire demi-tour. Une fois remis en ligne, je poursuis mon interrogatoire.

— Tu ne fais lamour quavec ton frère ?

— Ben non puisque je le fais avec toi, tu nes pas au courant ?

— Que tu es bête ! Je te demandais si tu avais un ou plusieurs autres amants.

— Plusieurs, tu y vas fort ! Mais tu as raison Francis nest pas le seul.

— Qui ? André, le frère dAnnie ?

Elle ne me répond pas. Les vibrations du tracteur aidant, ma queue a atteint sa longueur maximale. Prenant appui sur le volant Florence danse sur mon sexe. Je laide en la maintenant par les hanches. Je sens que je résisterai moins que la première fois, pourvu que Florence se dépêche de jouir. Ah ! Je crois quelle vient oui sa danse saccélère.

— Aarrgghh !

Je dois la retenir sinon elle serait tombée de mes cuisses. Encore trois coups de bassin et je meffondre à mon tour.

Florence nest plus en état de conduire. Elle sassied à même le plancher, les mains autour des genoux, pendant que je termine la dernière rotation.

— Voilà cest fini. Tu ne regrettes pas ton après-midi ?

— Oh non alors ! Il y avait si longtemps que je lespérais. Malgré tous nos efforts, tu navais pas lair de comprendre.

« Nos efforts » ! Ainsi leur manège à Annie et elle hier après-midi nétait pas innocent ! Mais alors ce matin ? Pourquoi sest-elle enfuie ?

— Ce matin, poursuit-elle, je sais pas ce qui ma pris. Jai eu peur tout à coup que tu te fâches. Javais pourtant envie, tu sais, tes caresses étaient délicieuses mais je pensais que tu le faisais pas exprès.

— Et moi qui croyais que tu tenfuyais parce que josais te toucher ! Par bonheur tu es venue cet après-midi.

— Oui, par bonheur Papa, cest le mot juste.

Elle recherche ses sous-vêtements.

— Que fais-tu ?

— Ben tu crois pas quil faudrait quon shabille, non ? On va pas traverser le village à poil quand même.

— Non, naie crainte, dis-je en ramassant ma salopette. Mais ne mets que la robe sil te plait. De te savoir nue dessous te rend encore plus désirable.

— Ce que tu ne me fais pas faire !

Elle enfile la robe dérobant ses formes gracieuses à mes regards. Nous prenons la route.

— Tu sais Papa, hier quand Annie a voulu rester seule avec toi, javais compris que vous feriez lamour. Jétais jalouse !

— Tu nas plus de raison maintenant.

— Si toujours un peu Tu sais, reprend-elle, je la croyais pas hier quand elle disait que cétait mieux quavec Francis.

— Ah ?

— Ben cest vrai, tu le surpasses de beaucoup.

— Il est encore jeune, il a le temps de se perfectionner.

Nous traversons la place du village. Nous saluons les personnes que nous croisons.

— Dis Papa, on le refera ?

— Ça te ferait plaisir ?

— Bien sûr !

— Moi aussi, mais il nous faudra être prudents, je ne voudrais pas faire de la peine à ta mère.

— Oh maman

Jai beau insister elle ne men dira pas plus. Arrivés à la maison, Fabienne nous attend sur le pas de la porte.

— Viens ici Florence, jai à te parler.

— Jaide encore Papa.

— Non, tout de suite. Ton père rangera seul le matériel.

Quest-ce à dire ? Se douterait-elle de quelque chose ? Nayant plus de foin à ramasser jusquà lannée prochaine, je nettoie lenrouleur et le remise au fond du hangar tout en réfléchissant à lavenir. La mère et la fille sont-elles jalouses lune de lautre ? Me demanderont-elles de choisir ? Cruel dilemme. Je les aime bien toutes les deux, mais je ne veux pas perdre ma femme. Cest décidé, sil le faut jéloignerai ma fille quoiquil men coûte. Et il men coûtera maintenant que jai eu le bonheur de lui faire lamour

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