Bonjour,je vais vous raconter une histoire qui s’est passée avec mon père.
Cette histoire s’est passée il y a cinq ans, je me présente je m’appelle Mat, j’ai 25 ans et je suis un mec plutôt mignon qui plait aux filles, et, cela faisait un petit moment que je fantasmais sur les mecs et surtout sur mon père, un homme mûr de 60 ans particulièrement viril et complètement homophobe.
Cette histoire s’est passée il y a cinq ans, un soir où ma mère faisait les postes, je fouillais dans ses affaires pensant que mon père regardait la télé, j’avais enfilé une de ses culottes et je me caressais en pensant à mon père quand il entra dans la pièce, je ne savais plus où me mettre, et là il me dit :
-" Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’as pas honte de fantasmer sur ta mère comme ça ?
Et là prenant mon courage à deux mains je lui dis :
-" Mais papa c’est sur toi que je fantasme,je suis homo.
— Si tu es homo tu n’es plus mon fils, dehors. "
Pendant que je faisais mes valises (toujours en petite tenue) je rétorquais :
-" Tant pis je vais aller me taper le premier venu du coin pour chopper des maladies. "
Et là à ma grande surprise il me dit :
-" Je suis ton fantasme ? Tu veux te que je te prenne comme une femme ?
— Oui, j’ai envie de toi… "
Et là pas le temps de finir ma phrase qu’il me fait mettre à genoux et ouvrit sa braguette :
-" Allez suces moi la bite salope !"
Je prenais sa grosse bite en bouche, pendant qu’il me traitait de salope, petite pute, etc… Il me baisait la bouche et juste avant de jouir il me fit m’allonger sur la table du salon, il m’écarta les jambes, me lécha la rondelle, et pendant qu’il me mettait un puis deux doigts il me disait qu’il allait me défoncer pour me faire passer l’envie, j’avais peur vu que je n’avais jamais pratiqué et au vu de l’excitation de mon père, il plaça sa queue sur ma rondelle et l’enfonça sans ménagement, je poussais des cris et plus je criais plus il me baisait fort, je sentais qu’il allait jouir et il sortit de mon cul et il éjacula sur mon visage pour m’humilier, j’aimais le gout de son sperme, il me dit de nettoyer le sperme de sa queue et je la sentais durcir quand il me dit :
-" A quatre pattes sale chienne.
— Non, j’ai trop mal. "
Il me mit une gifle et me força à me mettre à genoux.
Il m’attrapa par les épaules et il m’encula comme une chienne, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses, je prenais de plus en plus de plaisir et je lui demandais de me baiser fort, et il sortait à nouveau de mon cul pour me jouir sur les fesses. Il me dit d’aller me doucher et de ne rien dire à personne et que je serais son vide couilles dès qu’il le souhaiterait.