— Allez, je veux ta bite dans ma chatte et si je n’arrive pas à te faire gicler assez, je te laisserai me casser le cul encore une fois.
Johanna n’était qu’une gamine de 19 ans, encore immature mais pourtant tellement serviable, elle semblait trop occupée à rendre service à Karine pour penser aux garçons… d’ailleurs, Karine se rendit compte qu’a chaque fois qu’elle se déplaçait que se soit pour les fêtes, les anniversaires ou les week-end en bord de mer chez ses parents, Johanna se précipitait pour s’occuper de nourrir le chien, arroser les plantes et récupérer le courrier, et c’est ainsi que depuis plus d’un an elle possédait les clefs de l’appartement pour des raisons pratiques.
Du haut des ses 19 ans, la jolie blonde avait déjà un physique de femme, avec une poitrine avoisinant le 90 B, un bassin étroit donnant sur une paire de fesses parfaitement proportionnées et un teint légèrement basané dont elle a hérité de sa mère maghrébine.
Johanna portait une jupe noire moulante ainsi qu’un débardeur assorti dont elle se débarrassa rapidement avant de s’allonger de tout son long sur le canapé.
Karine envia la poitrine de cette jeune fille qui tenait en place même sans soutien-gorge, par ailleurs, aucun sous-vêtement n’était porté par la jeune métisse et Karine s’en rendit compte lorsque Johanna remonta sa jupe autour de sa taille. Uniquement vêtue de ses escarpins et d’une pseudo jupe en guise de ceinture, la nourrice si serviable et gentille écarta ses cuisses au maximum en s’adressant une fois de plus à Filou :
— Allez, tu as l’habitude maintenant non ? Depuis le temps ! Bouffe-moi la chatte, fais-moi crier, baise-moi et après si tu n’en as pas assez, tu m’encules OK ?!
La scène qui se déroulait sous les yeux de Karine était surréaliste, une belle blonde si gentille allait elle aussi se faire sauter comme une chienne alors que le sexe de Filou était encore ruisselant du plaisir de Karine !
A ce moment-là, la jeune maman pu voir à la troisième personne ce qu’elle venait de subir, le chien exécuta exactement les mêmes gestes que lors de son accouplement précédent : il se mit à lécher le sexe de Johanna avec application, puis lorsque cette dernière se mit à crier, il lui monta dessus et enfila son pénis avec délicatesse dans le vagin de sa nouvelle conquête. Mais contrairement à Karine, qui avait de lappréhension à se laisser baiser par un animal, Johanna ondulait son bassin pour prendre un maximum de plaisir, moment à partir duquel le chien accéléra sa cadence et fit rapidement entrer son nud au plus profond de la jeune fille lui arrachant un cri de plaisir que Karine s’était efforcée de retenir.
Le spectacle d’un chien ayant baisé deux femmes en moins de dix minutes, fit naître en Karine une sensation étrange, bien au delà de l’excitation, elle ne se rendit même pas compte que sa main était à présent posée entre ses cuisses largement ouverte d’où coulait abondamment son jus d’amour.
Johanna étant maintenant soudée à Filou, et Karine décida de lui rendre la monnaie de sa pièce, elle se leva donc laissant ruisseler un mélange de plaisir féminin et de sperme canin sur ses cuisses et se rendit silencieusement dans le salon pour n’y dire qu’une seule phrase :
— J’espère que je ne vous dérange pas !
A suivre…