Encore puceau, je fantasmais sur hommes et femmes avec le besoin d’être dominé. Pendant mon adolescence, me caressant au gré de mes envies il m’arrivait d’imaginer des rencontres.
Dans une forêt du bord de mer, je chemine lentement sur un sentier ombragé, en slip de bain moulant mon sexe ( pas bien gros je dois dire).
Face à moi 3 hommes dans la même tenue, je matte leurs slips bien remplis. Belle erreur de ma part d’avoir baissé les yeux sur leur virilité car un me dit " tu aime mater les queues des hommes? Hé! Bien tu va les voir mon mignon.
Glups!!! Je me retrouve coincé entre trois hommes, mon slip est baissé sans ménagement et c’est leur tour de mater ma petite queue et ils ne se gênent pas appréciant du regard et de la main. Je n’ai que peu de résistance face à trois adultes trop costaux pour moi, ils me tripotent la verge, les couilles et les fesses sans retenue. Je dois dire que cette situation trouble m’apporte un sentiment ambigu, ma raison me dit de partir bien vite mais comment faire? et surtout la curiosité et l’excitation me gagnent peu a peu
Je me retrouve à genoux, ma première bitte se pose bientôt devant mes yeux, elle est superbe !!!
La main de l’homme accroche mes cheveux et me colle mon visage sur son sexe et son pubis.
" suces moi vite et bien"
Alors pour la première fois ma bouche s’ouvre et un gland franchit le seuil de mes lèvres. Sa queue glisse dans ma bouche. Je devine aux gémissements de l’homme qui se délecte
Que cela lui plait et je comprends la suite inéluctable !
Ce phallus énorme dans ma bouche dépose bientôt sa semence chaude jusqu’au fond de ma gorge une seule constations "mon pucelage buccal vient de fuir pour toujours.
Les verges bien gonflées des deux autres suivent le même sentier et au final mon visage ma poitrine mes cheveux sont baptisés de la même liqueur.
Une phrase me fait frémir d’angoisse et d’autre chose aussi.
" maintenant nous allons nous offrir ton joli petit cul mon chéri"
Mâté et obéissant à quatre pattes je me retrouve pendant que des mains écartent mes fesses dévoilant mon intimité anale. J’émets bien des protestations timides mais rien à faire, ma raie lisse inondée de salives reçoit bientôt la visite d’un gros gland posé sur mon oeillet serré.
La virilité frappe à "ma petite porte" et ça fait mal.
Les cris perçants qui jaillissent de ma bouche ne sont d’aucun frein aux ardeurs du "maître"
des mains prennent mes hanches tandis qu’une verge en rut, gagnante s’enfonce en moi sans retenue, mon pucelage anal n’est déjà plus qu’un lointain souvenir, tellement je ressemble
A une belle salope soumise offerte ainsi.
Mon cul rempli donne du plaisir manifestement à l’homme et la douleur diminuant, je ne peux cacher mon plaisir, ma queue raidie en témoigne aisément.
l’homme me possède pendant de longues minutes avant de lâcher un feulement rauque et sa jouissance au fond de moi
Dans mon "petit cul".
Mes fesses écartées à pleines mains par moi, la vue de mon oeillet dilaté doit être une invitation au viol car d’autres queues prennent le même chemin et dépose leur plaisir au plus profond de mon cul sans vergogne.
quelques mots salaces plus tard " tu as un bon petit cul, reviens vite au même endroit nous seront deux fois plus, ça va être ta fête petite salope " et je me retrouve seul mon corps et mon esprit bien dominé par cette envie tenace
mon slip cachant les ravages du plaisir charnel je chemine lentement ce petit sentier du plaisir jusqu’à la prochaine fois