Chapitre 3
« Oh, c’est juste, votre mémoire, déjà, ce n’est pas Madame, mais Mademoiselle et je suis la Comtesse de Maison-Rouge quinzième du nom. Je précise que vous étiez chez moi pour faire un devis en vue de grands travaux sur la chaudière et la plomberie. Un devis que vous aviez déjà donné et qui s’est avéré très précis et juste. » Termina la Comtesse.
La femme médecin revint juste après que la Comtesse finisse ses explications.
« Il pourra sortir sous quinzaines. Pourtant, l’état de sa mémoire nous inquiète. »
Je ne crois pas avoir entendu la suite, je me suis endormi. Chaque jour, la Comtesse vint me voir, si ce n’était pas elle, c’était mon patron ou sa femme. Je le concède, je préfère vois la Comtesse, elle plus agréable que la femme de mon patron ou même mon patron qui veut juste savoir quand je pourrais recommencer. Enfin, c’est mon patron, oui, mais parce qu’il me l’a dit. Il y a même ce couple, d’après eux, ce sont mes parents, ben, je suis vu en photo avec eux, mais aucun souvenir, le trou.
Quinze jours, ça passe lentement, mais je peux me lever, marcher, même si je ne suis pas encore très fringant. Dans ma tête, je cherche encore le jardin de mes souvenirs. Je cherche sans ne rien trouvé que l’explosion et cette jeune femme, Clélia, que je pousse au loin, avant ça, c’est le noir complet.
Je suis assis près de la Comtesse, là, bien au chaud avec, à l’arrière de la limousine, mon maigre bagage sur mes jambes. La Comtesse ne cesse de me parler de l’accident, je voudrais bien qu’elle change de sujet. Après une heure de route tout en douceur, Sybile est une excellente conductrice, nous arrivons devant une grande maison, la même que dans mon souvenir. Sur le perron, emmitouflée dans un épais manteau, une jeune femme. Elle, je la reconnais et crie son prénom, c’est Clélia. À peine la limousine est arrêtée, je saute dehors, grimpe les quelques marches et prends cette jeune femme dans mes bras. Elle fait de même. Dans ma fougue, je baise son front, ses lèvres se collent contre les miennes.
« Mon jeune ami, clamez-vous. Vous allez m’étouffer ma demoiselle de compagnie ! »
« Désolé, mais elle est la seule personne dont j’ai réellement un vrai souvenir. »
La Comtesse n’ajoute rien, sa main caresse ma joue. À l’intérieur, tout est luxe, confort. Aussi, Mademoiselle la Comtesse frappe dans ses mains et deux autres jeunes femmes arrivent, dont une rousse flamboyante. Je ne sais comment, mais je connais son prénom, Alaine. Quant à l’autre, plus rondelette, il me semble la reconnaitre.
« Je crois que vous devez être Alaine. Quant à vous, il me semble vous reconnaitre…oui, giflez moi si je me montre irrespectueux, mais vous êtes Carole, une jeune femme ayant subi un lourd traumatisme par plusieurs jeunes hommes. Je me trompe ? »
« JA, ja, Carole, je suis Carole et vous dites vrai. Nous en avions parlé ensemble, dans la chaufferie un peu avant l’accident et vous vous étiez montré très gentil avec moi, très compréhensif surtout. »
Je les serre dans mes bras, l’une après l’autre. On me conduit dans une chambre. Je connais cette chambre. Je me précipite dans la salle de bain attenante. Vérifie la robinetterie de la baignoire, le réservoir d’eau du WC. Je me retourne face à la Comtesse, lui donne le nom de cette chambre, la mauve. La Comtesse me confirme le nom, elle ajoute que tout a été soigneusement changé, plus de tuyau de plomb, une pression diminuée, nouvelle robinetterie, etc. Puis elle me guide en bas. Nous traversons des salons, une bibliothèque, je ne reconnais rien. Dans le hall d’entrée, je descends, je sens la solution à mes problèmes de mémoire en bas. La chaufferie est neuve, la buanderie et la salle des supplices…je ne le trouve pas. Par contre, je comprends mon erreur, il y a cette vaste cave avec trois radiateurs battant neuf. Sur un mur, les traces de l’accident. Clélia m’a suivi, elle est près de moi, sa main sur mon épaule.
« C’est ici que vous m’avez poussé, Monsieur Chris. Sans vous, je ne serais plus là auprès de vous. Je ne sais pas comment vous dire ma gratitude. »
Son baiser fut le plus beau remerciement que je pouvais recevoir. En remontant, peut-être ai-je trop présumé de mes forces, j’ai la tête qui tourne. Clélia me soutient, m’assoit, caresse mon visage. Sa bouche se colle à la mienne, nous nous embrassons tendrement. Ce baiser me donne la force de la soulever et de la transporter en haut, dans le hall d’entrée.
« C’est ici que vous avez perdu connaissance. Vous saigniez, vous m’avez portée et déposée sur les marches. Il y avait ce bout de métal planté dans votre poitrine, votre tête saignait. J’ai crié, hurlé et vous êtes tombé sans connaissance. »
Je venais de refaire le parcours sans m’en rendre bien compte. Après un repas léger, je monte me coucher, dans la chambre mauve. Sur le lit, je tombe comme une pierre.
À mon réveil, Carole et Clélia pousse un chariot avec un somptueux déjeuner. Je ne sais comment, mais je suis nu dans le lit, à peine recouvert d’un drap. Carole dépose ses lèvres sur mon front, sa main sur ma poitrine est douce. Elle me dit que la Comtesse a donné des instructions pour qu’on me choie durant ma convalescence. Alaine joint le geste à la parole. Elle remonte sa longue jupe, se place sur moi, caressant mon pénis avant de s’y empaler tout en douceur. Près de mon visage, Carole me demande si, un soir, elle pourrait venir. Ma bouche baise sa joue, je me souviens qu’elle m’avait dit avoir été durement violée par cette bande de jeune durant son adolescence. Sur moi, Alaine tend sa main à Agate. Les deux jeunes femmes s’embrassent amoureusement.
« Mon ami, je vois avec plaisir que mes filles suivent mes instructions à la lettre. » Dit la Comtesse en arrivant.
Je me sens terriblement gêné de la voir alors qu’Alaine est sur moi et que nous copulons. La Comtesse s’approche, je veux lui dire que… Elle pose son index sur ma bouche avant de m’embrasser avec beaucoup de tendresse. Elle se redresse, caresse chacune de ses filles et s’en va non sans m’adresser un joli clin d’il coquin. Sur moi, Alaine gémit déjà, prémisse d’un orgasme à venir. C’est à peine si je peux retenir le mien, tellement elle étroite. Quand à Agate, elle est dans la salle de bain, remplissant la baignoire. Elle revient, entièrement nue. Elle me prend ma main, la pose sur son opulente poitrine. Certes, elle est grosse, lourde, avec de large auréole, mais elle est belle. J’attire ses seins sur ma bouche, les embrasse, les tète sans jamais perdre de vue ses yeux. De ma main libre, je masse ses grosses fesses. Je lui dis qu’elle possède un beau postérieur. Agate rougit, j’attire son visage, elle se laisse embrasser. Avec elle, je me montre particulièrement tendre en sachant ce qu’elle a subi.
S’en est trop, je jouis sans ne plus pouvoir me retenir. Alaine jouit à son tour, se caressant sa poitrine, son petit bouton et sentant mon sperme la remplir. Alors, elle se retire et sa bouche se presse à laver mon sexe lentement. Elle embrasse Carole, partageant mes odeurs, mes aromes comme le dit si joliment Alaine. On me mène prendre mon bain. Si j’ai eu une vie avant, je ne veux plus y revenir, la nouvelle me plait.
Carole pénètre dans l’eau, me guide, m’assoit et commence à me laver. Sa poitrine sur la mienne, c’est un délice. Je masse son corps. S’il est trop giron pour certain, il me convient parfaitement. Je masse son sexe, tout en douceur, aucune précipitation. Je la sais prête à être aimée. Je retarde ce moment, je la veux impatiente. Mes doigts commencent à la fouiller. Elle me fixe en se mordillant ses lèvres. Elle pose l’éponge, me couche dans le bain, pose ses pieds de chaque côté accroupie, elle guide mon pénis en elle. L’impatience venait de la gagner.
« Vas-y en douceur. Ne brusque rien, là, comme ça. Tu es sublime. Tu n’es pas grosse, tu es juste imparfaitement parfaite et terriblement désirable. Oui, lentement, continue… »
Je ne cesse de lui parler, de la mettre en confiance. Je sais que la Comtesse est là, près de la porte, qu’elle écoute. Carole se penche sur moi, elle se dit remplie de mon pénis. Elle ne bouge pas, profitant de ce doux instant. Nous nous embrassons. Puis, elle se soulève, redescend et recommence. Elle est plus étroite qu’Alaine. Et pourtant, je sens qu’avec Carole, je vais pouvoir me retenir, la faire jouir une, peut-être deux fois.
Carole se masse sa poitrine, les tète tout en me fixant. Elle devient coquine, enjouée. Elle va prendre son pied. Ce que c’est bande de salaud lui avait volé, son plaisir d’aimer, de jouir. Si elle a joui un jour, ce n’est pas par un homme, mais une femme. Alaine nous rejoint, sa bouche se pose sur ce sein que tète Carole. Carole qui prend confiance en elle, me fait confiance désormais. Soudain son corps se raidit, ses mains prennent ma tête, elle m’embrasse et jouit divinement en se couchant sur moi. Mes mains sur sa croupe, je titille son anus, introduit mon majeur pour prolonger cet orgasme qui ne cesse de l’envahir. Alaine me surprend, posant sa bouche sur cet anus, je sens sa langue vouloir que je retire mon doigt fouilleur. Carole ne se redresse pas. Elle veut jouir, son bassin s’active déjà. Je la serre contre moi, lui disant qu’elle n’a plus à avoir peur des hommes.
Après un moment, Carole jouit encore et plus fort encore. Elle se retire, s’assoit un moment sur le rebord de la baignoire, histoire de récupérer. Sa main me branle doucement. Il faut que je jouisse, je ne vais plus avoir de force. La bouche de Carole vient rejoindre sa main et là, une démente s’est réveillée. Elle me suce avec une telle force que je voudrais retarder mon plaisir que cela m’est impossible. Je jouis, mon sperme remplit la bouche de Carole qui s’empresse de la partager avec Alaine. Puis, tout se calme, elles finissent de me laver. Je peux enfin déjeuner.
De la journée, je ne quitte ma chambre que pour boire un thé avec la Comtesse. C’est Sybile qui assure le service. Comme les autres, elle porte cette tenue vieillotte de l’époque victorienne. Cependant, il n’y a que l’aspect qui la fait vieillotte et cela va avec les origines de Mademoiselle la Comtesse. Je me demande pourquoi, à presque trente ans, elle n’est pas mariée, c’est vrai, une femme comme…oh zut, non, je me trompe ou…elle préfère les femmes ? Pendant un moment, tout s’obscurci dans ma tête. Et puis, je raisonne en me disant que ce n’est pas possible, sinon je ne serais pas dans cette maison. Je ne porte, sur moi, qu’une robe de chambre. Ma salopette est morte dans l’accident. Mademoiselle se rend compte que je ne pas vivre en robe de chambre. Un coup de fil et voilà déjà que demain un couturière viendra prendre mes mesures.
Soudain, Mademoiselle se montre plus entreprenante, comme si elle voulait me dire qu’elle adore les hommes. Non seulement elle les adore, mais je commence à croire que c’est même une croqueuse d’homme. Sa main agite mon pénis qui ne tarde pas à se dresser. Elle me plaque contre le dossier de ce canapé, s’assoit face à moi sur mes cuisses et s’embroche de mon pénis. Sa poitrine contre la mienne qui se frotte, la bouche de Mademoiselle qui force la mienne. C’est un viol pur et simple. Mais punaise, ce j’adore ce genre de viol. Mademoiselle se bascule en arrière, je peux maintenant masser sa belle poitrine, la malaxer à souhait. Mademoiselle donne tout ce qu’elle a et je fais de même, je me fous de ce qui peut m’arriver. Je baise l’une des plus belles femmes du monde et il me semble que je pète la forme. Mes mains sur cette poitrine, Mademoiselle me supplie d’y aller plus fort. Elle me rudoie verbalement, m’échauffe, m’agace, je me mets à gifler cette poitrine et cela la rend encore plus divine quand elle crie encore. Si je suis entouré de folles, elles sont merveilleuses, sublimes, délicieusement dévergondées. Peu m’importe ma vie antérieur, je ne veux plus vivre que cette vie à présent. Mademoiselle hurle et c’est un bonheur de la voir exulter de plaisir. Et quand elle atteint le septième ciel, c’est encore plus beau. C’est à peine si j’arrive à jouir en elle quand elle se colle à moi, j’ai trop présumé de mes forces. Mademoiselle m’embrasse de partout, se retire de mon sexe, me soulève comme un fétu de paille et m’emporte au premier, dans sa chambre.
Elle me couche, me borde et m’interdit de retourner dans ma chambre. Tout autour de ce lit, trois lits sont posé contre les murs. Je ne vais pas tarder à comprendre. Le lit de madame est vaste, large, long. Une démesure en comparaison d’un lit dit double. Celui-là doit bien faite quatre sur quatre avec un matelas d’une seule pièce, comme les draps qui le recouvrent. Mademoiselle tire sur un cordon. Peu après, quatre grâces arrivent, se dénudent et nous rejoignent dans ce lit immense. Je ne peux qu’user de mes mains, de ma bouche. Ces jeunes corps donnent tout leur amour à mademoiselle et elle, mademoiselle, qui me disait à l’hôpital qu’elle n’était pas cette dévergondée que j’imaginais dans mes délires pendant mon coma.
Carole se retourne vers moi, douce comme le miel, elle se colle à moi, posant sa tête sur cette cicatrice, sur ma poitrine. Elle se confie, me remercie. Mademoiselle m’apprend que Carole désire que je lui retire son dernier pucelage, son cul. Je ne peux plus, mais je promets à cette gironde jeune femme de lui donner satisfaction dès que je pourrais avoir une érection.
Je les regarde s’aimer, c’est juste fantastique ce que ces femmes font sous mes yeux. Je pousse Agate dans cette mêlée, elle est aimée comme les autres. Puis, mes paupières se font lourdes.
Dans ce vaste lit, cinq femmes sont encore endormies, belles, sensuelles, divines. Carole est blottie contre moi, avec Sybile qui ouvre un il. C’est elle qui m’a sauvé la vie, lentement, je la tourne, glisse entre ses cuisses. Je lape, lèche, bois cette jeune femme. Très vite, entre mes fesses, une bouche me lèche mon anus. Deux mains me le soulèvent et écartent davantage mon cul. C’est Carole. Sybile appuie sur ma tête, ma langue glisse sur son anus, revient sur son bouton, fouille sa chatte au passage et je recommence autant de fois qu’il faut pour lui donner un orgasme. Agate ne faiblit pas. Déjà, Mademoiselle la prépare, Sybile jouit, je me tourne vers Carole qui me présente son cul bien rond, bien gros. Je le lui fesse par deux fois, elle me sourit en tournant son visage vers moi. Mon sexe est dur, tendu quand lentement je pénètre ce cul bien lubrifié, bien dilaté. Mademoiselle m’embrasse.
« Je crois que je vais t’enchainer à ce lit. »
« Mademoiselle le peut. Si je pouvais, je resterai jusqu’à mon dernier souffle. »
« Mais tu peux, mon mignon, tu peux. »
On s’embrasse encore avant qu’elle ne se glisse sous Agate pour lécher son minou en chaleur. Carole qui m’encourage. Mes cuisses claquent contre ses fesses telle une méchante petite fessée. Mes couilles frappent la tête de Mademoiselle. Si je suis encore dans le coma, ne m’en sortez pas, surtout pas. Carole est au bord du plaisir, de l’orgasme, de la volupté et lâche un long râle animal. Je me penche sur son dos, l’embrasse en l’appelant très affectueusement ma gironde. Cela semble lui plaire parce sa main cherche ma joue, la caresse. Alaine me regarde, Clélia entre ses cuisses. C’est merveilleux ce que je vis, pourvu que cela dur infiniment.
Puis, on me conduit dans une vaste salle de bain. On me plonge dans une vaste baignoire, Sybile me rejoint avec Clélia. Je prends Sybile, l’aime, la remercie, la fait jouir et je m’épuise encore, un peu à l’image d’une vieille batterie de voiture. Si Sybile est dans un bel orgasme, je n’y arrive plus. En sortant de cette eau, on me sèche et on me couche. Je m’endors presque aussitôt.
Une femme est là, devant moi. Dans sa main, elle tient un mètre de couturière. Elle s’assoit près de moi, sur ce lit démesuré. Son sourire est ravageur. Sa main glisse sous le drap qui me recouvre. Elle est faite du même bois que Mademoiselle et ses servantes, c’est une vicieuse. Je veux me redresser, elle refuse en plaquant sa main sur ma poitrine, elle me fait mal. De son mètre, elle mesure mon sexe tendu, note ses mesures. Là seulement, elle me demande de me lever. À genou devant moi, elle mesure mes jambes, ma taille. Sa main lâche son calepin, son crayon et la voilà en train de lécher mon sexe. Ses mains parcourent ma poitrine, mon cul, mes cuisses. Je vais jouir dans sa bouche, cette femme est une experte. Je me cramponne au lit pour ne pas tomber au moment d’éjaculer longuement dans cette bouche. Elle me fixe en se relevant.
« Tu sais, je ne suis pas comme les autres femmes, tu veux voir ma petite différence ? » Me demande la couturière
« Je ne veux pas vous gêner ! »
« T’es mignon, c’est toi qui va être gêné par ma petite différence, regarde » Sa voix se fait coquine, mielleuse.
Elle remonte sa robe sur son ventre. Je découvre une queue tendue dans cette fine culotte de dentelle. Une queue pareille à la mienne, peut-être même plus grosse, plus longue. Si je ne suis pas gêné, je suis surpris. Surtout quand elle baisse sa culotte. C’est plus fort que moi, ma curiosité prend le dessus. Je caresse ce pénis qui pointe sur mon ventre.
« Tu aimes ? » Me demande-t-elle
« C’est une surprise que je découvre. Je me demande ce que cela fait d’être enculer. » Le contraire serait mentir.
Elle ne répond pas. Sa robe est déjà sur le lit, elle me met à quatre pattes, grimpant sur le lit derrière moi. Déjà sa bouche lèche ma rondelle, un doigt, deux puis trois me pénètrent doucement. Je sens mon anus se dilater lentement, j’aime la sensation que cela me procure. Et puis, il y a cette bite qui entre en moi, tout en douceur. Je me sens bien, me disant qu’un homme n’y aurait pas réussi. Oui, je suis enculé par une femme avec un pénis d’homme et tout ce qui va avec. Peut-être une transsexuel et alors, la belle affaire, elle ressemble à une femme et j’aime ça. Sa main se fait douce sur mon sexe. En mon fondement sa queue va et vient. Nous remuons, bougeons et c’est un merveilleux moment que je vis. Une main glisse sur mon visage, ma nuque, mon dos.
« Elle te plait ma couturière ? » Demande la comtesse
« Oui, elle est merveilleuse. Jamais un homme n’y serait parvenu. » Là, c’est vrai, jamais un mec ne m’aurait enculé et aucun ne m’enculera jamais !
« C’est ce que j’aime en elle. Elle sait aimer comme une femme et te baiser comme un homme. » J’adore le son de la voix de Mademoiselle dans ses aveux
« J’adore, Mademoiselle, j’adore. Je crois même que je vais salir les draps dans très peu de temps…Oooh que ça fait du bien. Que c’est bon Mademoiselle. »