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LA VALSE – Chapitre 2

LA VALSE - Chapitre 2



     Eve écoutait sans comprendre. Abdel poursuivit :

–    Vous devrez passer deux épreuves afin d’établir votre niveau, dans l’ordre qui vous plaira : la Barre et le Manège. Madame la Chieuse, pardon, Mademoiselle Adélie, oh, encore pardon, je voulais dire, Princesse Chieuse, par laquelle de ces deux épreuves son Énervante Altesse voudrait débuter ?

–    La Barre, le meilleur pour la fin, hurla Adélie, tordue de rire, pour si peu, sur le lit.

–    La Barre donc ! L’objectif de cette épreuve est d’enchaîner le plus de rapports sexuels possible sans jouir. Chaque partenaire aura droit à quinze minutes pour faire craquer notre Adélie, usant de tous les moyens que son corps lui confère. Les partenaires suivants seront d’un niveau supérieur au précédent, augmentant la difficulté de l’épreuve à chaque étape. On change de partenaire lorsque les quinze minutes sont écoulées ou que le ou la partenaire a joui, Adélie aura alors droit à dix minutes de pause avant de passer à la suite. L’épreuve prend fin lorsque l’un des partenaires arrive à ses fins, faisant jouir notre adorable Adélie. Adélie, je ne te demande pas si tout est clair, tu connais déjà les règles après tout Par contre je te demande quand même : tu passes l’épreuve à huis-clos ou devant nos amis ?

–    Les draps sont prêts, je suis prête, tout le monde est prêt, écrase Abdel !

–    Parfait ! Pour commencer, je vais demander de venir à

    Eve n’entendit pas le nom qu’Abdel prononça, couvert par les rires de l’assemblée qui avaient repris de plus belle. Elle s’approcha rapidement d’Adélie :

–    Tu vas te taper plusieurs mecs devant une quinzaine de personnes ? J’ai bien compris ?

–    Et plusieurs filles ! Les épreuves sont calquées sur les préférences sexuelles. Maintenant installe-toi et regarde.

    Eve s’enfonça dans un bout de canapé moelleux. La charge d’informations, le caractère surréel de la situation, la fumée, tout lui faisait tourner la tête. Elle se contenta de fixer le lit où Adélie s’était couchée, jambes pliées et talons à plat sur le matelas. Le devant de sa jupe et l’obscurité, d’où Eve se situait, empêchaient de distinguer son entrejambe.

    Arriva un jeune homme en t-shirt, du même âge qu’Adèle, peut-être plus jeune. Certaines personnes ricanèrent, un homme pouffa même de rire. Plutôt mignon dans son genre, avec sa coupe à la mode et son visage imberbe, il portait un t-shirt aux motifs pâles et un jean.

–    On commence avec quelqu’un au niveau 00 ! 3, 2, 1 Go ! cria Abdel en appuyant sur son chronomètre.

    Il se jeta au-dessus d’Adélie, une main prenant appuis de chaque côté de son visage. Elle lui souriait. Il lui murmura quelque chose qui fît se tordre de rire l’amie d’Eve. Plutôt désarçonné, il commença à lui embrasser goulûment le cou, une main appréciant la peau de la hanche dénudée d’Adélie. Sa langue se perdait sur la peau de la jeune femme en larges et imprécis mouvements, léchant avec appétit le derme, le chauffant avec les expirations d’une respiration saccadée. Celle-ci passa ses mains sous le t-shirt de l’intéressé, ses doigts froids creusèrent le dos du jeune homme. Il colla vivement son bassin à celui de la fée, elle lui avait probablement fait goûter à la pointe de ses ongles dans le bas du dos. Il se crispa, ce qui ne manqua pas de faire rire Adélie, vraisemblablement plus hilare qu’excitée. Il commença à l’embrasser, tout aussi voracement. Sa langue dérapait sur les commissures des lèvres d’Adélie et sa main glissa, non sans à-coups, de la hanche jusqu’à l’entrejambe. Adélie semblait fondue dans ce baiser, ses mains fines et pâles coulaient dans le dos du jeune homme. Celui-ci parût étonné lorsqu’il atteignit son objectif, ce qui fît encore rire la petite fée. Il entreprit de la masturber, il avait de longs doigts qu’il enfonçait lentement en elle, fouillant son sexe, le découvrant. Adélie, qui ne semblait pas plus captée que cela par les doigts de son partenaire, lui murmura quelque chose en se retournant. À quatre pattes sur le lit, on pouvait voir son dos creusé et son superbe fessier partiellement voilé par sa micro-jupe. L’ambiance tamisée de la pièce et le jeu de quelques lampes de faible intensité donnaient au cul d’Adélie des reflets dorés. Rond, fier et auguste, les pans de la jupe lui faisaient office de sourire. Adélie fit rouler ses fesses face à son amant désemparé, un regard goguenard jaugeant l’effet qu’elle produisait. Celui-ci dégrafa nerveusement sa ceinture et baissa d’un coup son pantalon et son boxer. Un sexe d’une quinzaine de centimètre apparût, dressé, comme au bord de l’explosion. Il releva la jupette de la fée et découvrit la source de sa précédente surprise : Adélie portait un string ouvert. Trois bandes noires retenaient une délicate pièce qui évoquait à certains égards une feuille de dentelle. Au niveau de la vulve, la dentelle ne couvrait plus, offrant au regard du jeune homme un sexe aux petites lèvres fines, compressées par des grandes lèvres dont la douceur semblait indiscutable. Il s’enfonça d’un coup sec en Adélie, lui arrachant un cri de surprise, puis un rire lorsqu’il commença à donner de violents coups de bassins. Couché sur son dos, tels deux chiens, il lui tenait un sein sous le chemisier, le malaxant dans tous les sens alors que son bassin s’écrasait sur les fesses de la petite fée. Ni épais ni fin, son sexe sortait presque entièrement pour rentrer aussitôt, rythme rapide et brusque. Il suait, gémissait, Adélie de son côté ne semblait pas réellement affectée par le traitement, bien que parfois des éclaircies de plaisir lui arrachaient un sourire. Les cris du jeune homme s’intensifièrent jusqu’à ce qu’il s’enfonce jusqu’à la garde dans le ventre d’Adélie, s’affalant sur elle dans un grognement de plaisir. Il resta planté en elle durant quelques instants, comme mort dans un cercueil de lumière. La petite fée se balança sur le côté pour se débarrasser de la dépouille de plaisir de son amant. Elle lui griffait gentiment le ventre du bout des ongles. Un sourire mystérieux, teinté de satisfaction était adressé à Eve, qui avait gardé un il sur le temps. Le jeune homme avait tenu une dizaine de minutes. Adélie s’approcha d’Eve après avoir attrapé une bouteille de soda. Elle s’assit sur les genoux de son amie, un bras autour de son cou.

–    Alors, tu vois un peu mieux comment ça se passe ? lâcha-t-elle avec une désinvolture caractéristique des fées de sa trempe.

–    Oui ! J’étais étonnée au début, mais on s’y fait vite Je dis pas que j’y prends plaisir, ou que ça me dégoûte. Et puis tu sais pourquoi je suis là. Tu as aimé ?

–    Attends un petit peu, ça fait moins d’une heure  Et bof ! Par moments oui, mais ce n’était pas ça J’ai déjà couché avec des gars plus jeunes que moi, ça arrive qu’ils sachent ce qu’ils font mais ce n’est pas la majorité. Je ne vais pas généraliser, je n’ai pas fait la tournée des écoles, enfin, pas toutes… Après tout c’était un niveau 00, fallait s’y attendre.

–    C’est quoi cette histoire de niveaux ?

–    Je n’ai que dix minutes de pause, ça serait un peu long à t’expliquer maintenant, mais promis après tu comprendras !

    Adélie quitta les genoux d’Eve, laissant une trace de sperme. Le liquide blanc et épais contrastait avec la couleur sombre du legging. En petite fée délurée et sans limite qu’elle était, Adélie s’agenouilla pour la lécher, ses yeux verts lichen plantés dans les lacs de montagne d’Eve. Sa langue, lente et habile, récoltait le liquide habilement pour l’amener à sa petite bouche. Elle sentait le sperme tiède, mélangé à quelques-unes de ses sécrétions, couler doucement sur sa langue. À aucun moment elle ne cillait.

    Elle alla rejoindre des groupes, allant de l’un à l’autre, saluant, faisant la bise, embrassant, léchant un mamelon là, mordillant une oreille ici, masturbant doucement une queue par moments. Adélie était populaire. Un couple, qui s’était assis à côté d’Eve, dont les langues se déchaînaient, demanda dans un sourire complice à Eve si elle voulait les rejoindre. Elle déclina poliment, attendant la suite avec une certaine curiosité.

    Abdel appela quelqu’un d’autre, une femme cette fois-ci approcha du lit. Petite, ronde, son sourire s’imprimait sur Adélie qui visiblement lui plaisait. Elle-même n’était pas insensible à sa nouvelle partenaire, son regard de louve, affamé et luxurieux, en témoignant. Une chevelure marron mourrait sur les épaules de cette femme qui devait être dans la seconde moitié de la trentaine. La petite fée et son prochain encas semblaient briller, s’imposer, dans cette pièce d’ombres et de soupirs. Abdel lança le chronomètre.

     La robe de la femme vola rapidement à côté du lit. Fière et droite, elle avança vers Adélie qui semblait frémir à vue d’il. Les courbes de son corps bien en chair étaient douces, elle devait probablement les assumer et les aimer. Eve ignorait les penchants lesbiens de son amie, certains sous-entendus qu’elle lui avait faits prenaient alors une toute autre couleur. La femme louvoya jusqu’à la fée, avançant à quatre pattes sur le lit, entièrement nue. Elle fusionna directement avec Adélie, son bassin glissant contre le sien. Adélie pouvait sentir le sexe trempé de cette femme plus âgée, glissant sur elle, lubrifiant le moindre de leurs désirs. Les grandes lèvres des deux femmes s’embrassaient, se léchaient, gonflées de plaisir, humides. Parfois l’une des grandes lèvres d’une s’immisçait brièvement dans la fente du sexe de l’autre. Adélie gémissait dans la bouche de sa partenaire qui de son côté gémissait dans la sienne. Enlacées l’une contre l’autre, elles évoluaient de concert dans un plaisir crescendo. À un moment la femme descendit de sorte que sa bouche se retrouva face au sexe d’Adélie. Sans quitter le vert mystérieux qui semblait s’étonner, elle commença à lui lécher les grandes lèvres. Sa langue passait de long en large sur la vulve, très lentement, appréciant la courbe de ce fruit chargé de désir. Humide et intrépide, le bout de la langue s’aventura sur la fente d’où les petites lèvres fleurissaient. Elle lécha, parfois claqua sa langue sur l’ouverture qui ravit tous les sens. La poitrine d’Adélie se soulevait, ses paupières couvrant ses grands yeux, voilant son charme. La langue de l’inquisitrice finit par pénétrer le sexe de la fée. Adélie gémit doucement lorsqu’elle sentit ce bout de chair flirter avec ses muqueuses. La langue se prélassait dans cet antre humide et chaud, découvrant mollement les moindres recoins de cette intimité. Les mains de la femme étaient posées à plat sur l’extérieur des cuisses d’Adélie. Les doigts crispés sur les cuisses pâles, elle griffait doucement les fines jambes de la fée du bout de ses ongles pointus, vernis de rouge. Silencieuse mais assurée, elle se concentrait sur les gémissements d’Adélie pour poursuivre ses baisers lesbiens. Adélie ondulait du bassin, ses doigts d’albâtre égarés dans la chevelure brune de son amante. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, les jambes crispées, les abdominaux resserrés, la peau hérissée, Adélie s’enfonçait de plus en plus dans un cercueil de bonheur. Son amante, indéniablement douée avec les femmes, lapait le sperme du précédent partenaire. Sa langue recueillait avidement ce mélange unique de foutre et de cyprine, l’avalant goulûment à petites et précieuses lapées. Durant les rares occasions où Adélie entrouvrait les yeux, elle pouvait voir quelques gouttes de cette liqueur blanche sur la bouche de sa partenaire. L’une des mains de la femme alla se saisir du cou de la fée, le serrant légèrement, le griffant plus légèrement encore. Elle finit par imposer son pouce dans la bouche de la fée, qui le suça avidement. Elle invita ensuite Adélie à s’installer de sorte à avoir la croupe en l’air et le visage enfoncé dans un oreiller. Son cul, toujours aussi gracieux, baignait dans le faible et orangé halo d’un luminaire. La femme reprit ses caresses buccales, cette fois-ci avec plus d’envergure : le sexe d’Adélie était offert, ouvert, chaud et trempé. On distinguait clairement les grandes et les petites lèvres, écloses indécemment à la vue de tous. Certains membres de l’assemblée se masturbaient, d’autres baisaient avec plus d’ardeur encore. Eve ne cillait que rarement, la bouche entrouverte sans qu’elle ne s’en aperçoive. Tous bougeaient et profitaient dans un silence religieux. La femme massait l’anus d’Adélie tout en aspirant ses grandes lèvres. La succion rendait sans aucun doute la petite fée folle, son corps menu étant en proie à de terribles et pourtant délicieuses convulsions. La femme finit par enfoncer délicatement son pouce dans le cul dAdélie, qui émit un gémissement aigu. Son pouce remuait doucement, se faisant une place dans une croupe en or. La main libre alla taquiner un téton avec le pouce et l’index, tirant dessus, le tordant légèrement alors que la langue continuait de fouiller le sexe. Cette même langue migra sur le clitoris, le chatouillant gentiment. Adélie commençait à crier de plus en plus fort, ses gémissements traduisaient un plaisir intense que tous ou presque dans la salle enviaient. Elle entama une escalade dans les aigus lorsqu’Abdel marqua la fin de cette seconde partie : les quinze minutes étaient écoulées.

    Adélie reprenait son souffle quand l’assemblée applaudit avec vigueur. La femme s’allongea contre son flanc, mordillant gentiment sa mâchoire. Adélie passa ses dix minutes de pause à faire l’amour à cette amante qui lui avait visiblement fait le plus grand bien. À califourchon sur le ventre de son amante, elle tirait sans ménagement sur les tétons de la femme qui mugissait de plaisir. Elle finit par s’asseoir sur le visage de sa partenaire, ondulant du ventre pour frotter sa petite chatte enflammée contre la face extasiée de l’amante. Le spectacle avait plu à tout le monde. Eve était étonnée de la différence de plaisir ressentie par Adélie entre les deux partenaires, qu’un niveau seulement séparait. Ce système de niveaux, pensa-t-elle, cachait une réalité plus complexe qu’au premier abord.

    Les partenaires qui suivirent offrirent des prestations de plus en plus intéressantes, mais la petite fée semblait maîtriser parfaitement sa résistance au plaisir. Sous ses airs mutins, Adélie gérait bien l’épreuve, personne ne réussissant à lui faire goûter à la petite mort. Les participants étaient successivement des hommes et des femmes. Son corps était luisant de semence et de cyprine, sa micro-jupe au motif écossais et son chemisier blanc avaient disparu depuis un moment. Adélie ne portait plus que son string ouvert et un soutien-gorge, lui aussi ouvert. Ensemble d’élastiques noirs et de résilles qui dévoilait ce que les autres sous-vêtements cachaient, on pouvait voir les tétons d’Adélie, dressés et dur, qui trônaient dans un anneau métallique. Elle avait aussi gardé ses talons vertigineux et ses petites chaussettes à frise, le vernis noir luisant un peu plus avec quelques giclures de sperme et de cyprine dessus, douces liqueurs réapparues. Une jeune femme du public était venue les lécher, folle d’un désir incontrôlable. Elle avait léché les talons brillants de la fée, les nettoyant de toute souillure à petits coups de langue, avec une précaution contrastant avec la perversité de son geste. Abdel calma l’assemblée et cette nymphe enflammée, ayant lui-même du mal à ne pas succomber à Adélie qui ravissait tous les curs et tous les sexes. Entra alors en scène le huitième partenaire d’Adélie.

    Un homme d’environ 1m70, corps musclé et barbe brune, dissimulait un sourire franc qui couronnait une mâchoire carrée, sculptée au burin. Il portait des vêtements moulants, choisis avec goût et à la mode. Coupe courte, fesses musclées, Eve se mordait les lèvres au même titre qu’Adélie : ce barbu était séduisant. Elle remarqua ensuite un détail qui l’étonna sans diminuer son désir : il lui manquait une main. Abdel lança le chronomètre, son air exaspéré devait signifier qu’il avait hâte d’en finir : il y a fort à parier que les autres personnes ayant pris part à l’épreuve n’aient pas duré aussi longtemps.

    L’homme se déshabilla en un tour de main. Il découvrit un sexe d’une douzaine de centimètres, assez épais, qui avait déjà adopté les proportions du désir. Il se jeta sur le lit, plaqua sa main sur la vulve de la fée et la massa. Avec la paume il la frottait, un léger ruissellement se fit entendre, murmure des différents fluides qu’Adèle avait connus durant ces trois dernières heures. Sa main glissait, appuyant sur les grandes lèvres, effectuant de petits cercles dessus. Il prenait appui sur son coude, son front posé contre celui d’Adélie. Il ne l’avait pas embrassée, pas encore, ses yeux marrons s’étaient engagés dans un jeu de regards avec la fée. Tactique risquée en raison de l’hypnotisme de la fée et de son amour pour le jeu, mais l’écorce marron semblait petit à petit faire plier la feuille mystique. Le souffle d’Adélie était plus saccadé et son cur s’emballa lorsque l’homme enfonça deux gros doigts dans son ventre. La paume tournée vers le plafond, il massait l’intérieur du sexe d’Adélie, cherchant à tâtons les zones qui lui extirperaient les gémissements les plus puissants. Sans doute doué, il finit par obtenir d’Adèle des gémissements qui s’apparentaient de plus en plus à des cris. Il continua à appuyer vigoureusement sur certaines zones de son sexe, allant et venant fortement avec ses deux doigts. Le bout de son sexe, humide, glissait contre le tibia d’Adélie qui, fidèle à elle-même, remonta la jambe pour taquiner le gland avec la frise de sa chaussette de dentelle. Sa barbe, plus douce qu’elle n’y paraissait, caressait déjà le menton pointu de la belle. Elle finit par lui dévorer la bouche, Adélie, pour la première fois aujourd’hui, avait des difficultés à contrôler ses pulsions. Leur baiser, doux en apparence, laissait présager de furieux entrelacements de langues. Il doigtait de plus en plus vivement Adélie, ayant même ajouté un troisième et épais doigt à sa caresse. La fée, hors de contrôle, hurlait de plaisir, griffait les bras et les épaules de son partenaire. Plusieurs femmes et quelques hommes du public laissaient transparaître une certaine jalousie, se masturbant, copulant face à cette scène pornographique. Le couple à côté d’Eve avait repris leur danse plus ardemment, elle assise face à lui. Soudainement l’homme stoppa de masturber Adélie, retira ses doigts couverts de la semence des hommes qui l’avaient précédé et de la liqueur des femmes qui l’avaient précédé, mélangées aux fluides d’Adélie. Bien que larges pour sa bouche, la petite fée les goba instamment, suçant et léchant les doigts comme une furie. Elle y mettait tout son cur, ne lâchant les doigts que pour gémir. L’homme retourna d’un geste Adélie, qui se retrouva à quatre pattes face au mur. Il prit appui un peu plus loin devant elle, sur son moignon, et dirigea son gros sexe d’une main. Il posa le gland contre les lèvres de la fée, ouvertes et accueillantes. Il enfonça ensuite son sexe par à-coups, mais de manière assurée à chaque segment. La fée criait, bouche grande ouverte, au moindre morceau supplémentaire qui s’imposait dans son ventre. Il alla jusqu’à la garde et elle senti cette hampe large, gonflée et palpitante, qui colonisait son sexe, prenant toute la place dans son ventre. Elle sentait ce sexe frotter contre toutes ses muqueuses, gronder doucement. Il dégagea les quelques mèches blondes qui couvraient la nuque frêle d’Adélie pour y poser un long baiser barbu, avant de lui asséner une fessée monstrueuse. Elle avait résonné assez fort pour que tout s’arrête le temps d’un claquement, pause brisée par Adélie qui cria un mélange de douleur et de plaisir. Il se saisit de sa chevelure, l’emprisonna dans une poigne forte et commença à la saillir brutalement. Il la besognait tout en grognant de plaisir et d’effort, son torse ruisselait de sueur alors que son bassin s’écrasait littéralement contre les fesses de la petite fée. Il ne faisait sortir que la moitié de son pieu à chaque assaut, l’enfonçant d’autant plus rapidement à chaque retour. Il avait plaqué la joue d’Adélie contre le mur pour mieux baiser la petite fée, elle qui n’était plus que tremblements et gémissements. Ses grognements étaient plus prononcés à chaque fois qu’il s’enfonçait jusqu’au bout, de la même manière que les cris de la fée étaient plus perçants à chaque coup entier qu’elle recevait. Adélie avait les mains et les avant-bras plaqués contre le mur, à côté de sa joue. L’obscurité aurait permis de douter des traits de son visage et de penser qu’elle souffrait, mais ses cris étaient ceux d’une femme qui prenait du plaisir, un plaisir pur, entier et puissant. N’y tenant plus, la fée fut violemment secouée par un orgasme impressionnant et formidable. Ses ongles griffèrent le mur, ses pieds tapèrent contre le matelas au point que l’un de ses talons vola en dehors du lit. Elle s’effondra, pliée en deux, la croupe comme sur un piédestal, son amant, prenant appui sur le mur désormais, toujours planté en elle, souriant tout en reprenant son souffle. Le ventre de la fée se soulevait vivement puis de plus en plus doucement, jusqu’à ce qu’elle s’affale sur le matelas. Abdel, qui observait la scène avec attention, dit tout bas :

–    Adélie, tu as joui après 11 minutes. C’est donc la fin de l’épreuve pour toi, mais je pense que c’est une fin très honorable.

    Et le public applaudit avec force et clameurs. Adélie souriait de toutes ses dents, à l’instar de son amant. Eve, sans s’en apercevoir, applaudissait aussi, souriait même. Adélie s’aperçut que son amant était toujours très excité. Elle le poussa de sorte qu’il se réceptionna sur le dos, contre le matelas. Elle se débarrassa discrètement de son dernier talon, se retrouvant vêtue de ses seules chaussettes en dentelle et de ses sous-vêtements ouverts. Elle attrapa la verge palpitante de son amant avec ses deux petites mains, qui ne lui permettaient d’en couvrir toute la longueur. Elle s’empara de la tête du sexe, ses deux petites lèvres l’encerclant fermement. Ses yeux verts, ayant retrouvé leur magie, se plantèrent dans l’homme qu’elle convoitait, qui n’avait alors plus aucune chance de s’en sortir. Elle commença à sucer, aspirer le bout du sexe. Ses joues se creusèrent à l’extrême tant la succion était puissante, les cris de bonheur de son amant ne permettaient pas d’en douter. Il sentait les plis des lèvres bouger et serrer le bout de sa verge alors que les doigts d’Adélie massaient tendrement la hampe. Sans ciller elle continua à ne sucer que le bout, masturbant doucement la hampe avec ses deux petites mains. Sa caresse était lubrifiée par sa salive qui coulait le long de la verge et par les liquides séminaux des précédents partenaires que son amant avait recueillis sur son sexe en la prenant. De la sorte, la queue était délicieusement bien lubrifiée. Son partenaire, s’il n’était pas toujours hypnotisé par le vert particulier de ses yeux, l’était le reste du temps par la croupe d’Adélie : son cul ondulait lentement, tel un serpent, calqué sur le rythme de la fellation qu’elle prodiguait. Ensuite la fée libéra le gland et l’une de ses mains qu’elle posa à plat sur le ventre musculeux de son amant. Elle se mit à branler frénétiquement son amant puis descendit son visage à hauteur des testicules. Elle en goba un, qu’elle suça et lécha doucement, comme une friandise, tout en masturbant le membre qu’elle pressait bien fort et en crispant les doigts de sa main libre pour finir par griffer le ventre de son amant. Ce dernier grogna de plaisir tellement le traitement était agréable. Tout en massant les testicules, sa bouche retourna s’accaparer le sexe. Cette fois-ci, elle l’enveloppa un peu plus, accueillant sur sa langue chaude et humide le gland et une partie de la hampe. Adélie déglutît, dévorant un peu plus le monstre de plaisir. Ses lèvres plongèrent jusqu’à la base, centimètre après centimètre. Au terme de cette gorge profonde, qui faisait apparaître une large protubérance sur son cou menu, elle se retrouva le nez dans les poils pubiens de son amant, taillés court. Sa langue, tant bien que mal, tournoyait sur la hampe désormais engloutie. Adélie ne manqua pas de lui masser lentement les couilles, ses yeux et ses actions se nourrissant du moindre geste de plaisir que son amant laissait échapper. Elle serra fortement ses lèvres à la base puis, tout en maintenant la pression voire en l’augmentant, remontait lentement vers le sommet de la virilité de son amant, ses yeux verts toujours grands ouverts. Lorsqu’elle le put, elle attrapa une partie du sexe libérée de la bouche pour la branler vigoureusement, jusqu’à ce que sa bouche atteigne le sommet. Alors qu’elle masturbait toujours vivement son amant, elle déposa un long mais léger baiser sur son pénis. Celui-ci la remercia dans un grognement de jouissance rauque et profond avec une éjaculation puissante et abondante. D’épais jets de semence blanche fusèrent sur le visage de la fée, d’abord dans ses cheveux et sur son front, ensuite sur sa bouche, sur la lèvre supérieure puis inférieure et finalement sur le menton. Satisfaite et heureuse, Adélie souriait comme l’enfant qui a eu le dernier mot. Son visage était couvert de ce foutre tiède, il enjolivait le moindre de ses sourires tout en accentuant la luxure de chacun de ses regards. Elle échangea quelques mots avec son amant, qui semblait épuisé, puis avec Abdel et finit par se diriger vers Eve. Beaucoup l’applaudirent, certains la caressèrent au passage.

–    T’as aimé le grand final ? lâcha-t-elle négligemment dans un sourire dégoulinant de sperme.

–    Grandiose ! répondit Eve, laconique, qui ne voulait pas trop étaler son étonnement. Je me demande si la suite sera aussi bien.

–    À toi de nous le dire ! lâcha innocemment Adélie.

–    Tu veux dire que je dois obligatoirement faire pareil ? répondit Eve qui avait déjà beaucoup plus de mal à contenir ses craintes.

–    J’espère surtout que tu feras mieux ! J’ai dit à Abdel que tu passerais l’épreuve à huis-clos, je pense que ça sera moins intimidant pour une « première fois ». Après, tu auras quatre heures de pause, rétorqua mutinement la fée avant d’aller vers ce qui semblait être une salle de bain.

–    Eve, la chambre est prête, vous êtes la dernière à passer. L’épreuve sera encadrée par un autre Juge, il vous attend. Je vous souhaite bonne chance, lui dit-il en indiquant une porte.

–    Merci beaucoup Abdel, répondit-elle poliment avec un sourire qui cachait mal son désarçonnement. Elle marcha lentement vers la porte en question, les tripes enflammées par diverses émotions. Elle s’attendait à devoir coucher pour avancer, mais n’imaginait devoir coucher avec autant de personnes.

    C’est ainsi que commença le parcours d’Eve Legouve. Journaliste de 26 ans, elle enquêtait sur le récent scandale des parties fines qui avait défrayé la chronique. Tout le monde en parlait car des hommes et femmes politiques, ainsi que d’autres personnalités, y étaient mêlés. Elle cherchait à en apprendre le plus possible sur ce sulfureux phénomène que tous connaissaient sous le nom de la Valse.

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