On ne sait jamais vraiment comment commencer ce genre d’histoire, aussi belle qu’amusante.
Commençons par le commencement. Mon nom est Alfred ; à l’heure où commence mon histoire, j’ai 18 ans. Je suis en première année de classe préparatoire, et le rythme de travail est insoutenable. En couple depuis plus d’un an, je me sentais opprimé par ce manque de liberté entraîné par une telle relation ; mon sexe n’en faisait qu’à sa tête : jamais il ne fut, et jamais il ne sera rassasié. Son surnom : l’Infatigable.
Je n’étais à l’époque qu’un néophyte, mais mon corps me dictait mes actes : il fallait que j’aille plus loin que la simple relation qui me liait avec ma chère et tendre. Je pris donc la décision en ce 9 février de débuter une longue quête afin de découvrir un nouveau monde : celui du libertinage sexuel.
Beau brun ténébreux à l’allure massive, je pensais ne pas laisser indifférente la multitude féminine qui composait ma promotion ; laquelle choisir parmi la quarantaine de beautés en fleur pour débuter ma quête ?
Instinctivement, je me rapprochai d’une jolie blonde au sourire ravageur avec qui je parlais de temps à autre : Elsa.
Je cherchais une approche tactique pour amener cette fille jusque dans mon lit lorsqu’une idée aussi bête que simple me vint : lui demander des cours particuliers.
La stratégie fumante fonctionna, et une dizaine de jours plus tard elle se trouvait dans mon studio, essayant tant bien que mal de m’apprendre l’espagnol. Au bout d’une ou deux heures de leçons qui me parurent interminables, nous décidâmes d’une pause bien méritée. Elle ne paraissait pas farouche mais quelque chose en elle mempêchait d’être trop direct ; nous parlions de musique quand je l’invitai à danser. Assez ridicule, non ? Et pourtant cela marcha : nous avons dansé dans ce studio de 20m² sur différents slows que j’avais pris soin de sélectionner préalablement. À la fin d’un air au rythme langoureux, je pris mon courage avec toutes mes mains possibles et dis « Je crois bien que je n’ai jamais embrassé une blonde".
Et là, tout se passa très vite, trop vite Elle rougit. J’avais honte. Un silence gêné régnait dans la pièce quand, dans un éclair de plaisir, ma bouche se colla à la sienne ; mon stress réduisit ce premier baiser à un triste amas de langues baveuses. Mais cela dut lui plaire car, quand ma main baladeuse se faufila entre son jean et sa culotte, elle ne réagit pas.
Sans que je sache vraiment comment, nous avions quitté la pièce à vivre pour la chambre et, délicatement, majestueusement, elle ôta son chemisier noir, laissant à ma vue une jolie paire de seins galbés bien maintenus dans un cocon verdoyant. Puis son jean s’abaissa et la culotte assortie apparut. Cet ensemble vert me fit l’effet d’une bombe et je sentis mon sexe se dresser dans mon caleçon. Elle ondula jusqu’à moi et, par quelques gestes habiles, mon pantalon avait disparu. Elle me caressa à travers le coton de mon caleçon et dut sentir à quel point j’étais excité. Alors, à ma grande surprise, elle l’enleva d’un geste vif et précis et m’empoigna vigoureusement. Sa bouche se rapprocha ; elle lécha délicatement le gland, puis sa langue descendit lentement jusqu’aux couilles. J’étais immobilisé par tant de rapidité : c’était vraiment une bonne cochonne bien cachée.
Avant que je n’aie eu le temps dy réfléchir, elle se mit à me sucer avec force et dextérité. Mon plaisir grandissait de plus en plus quand elle se mit à véritablement avaler mon sexe qui disparut dans sa bouche et dans sa gorge. Une gorge profonde parfaitement exécutée qui me ravagea l’esprit ; la suite ne fut qu’une série d’instincts bestiaux : dès qu’elle eut fini son uvre, je la repoussai et lui fis glisser sa culotte sur les chevilles et lui caressai les cuisses, les hanches, et glissai ma langue lentement jusquà sa paire de seins bien galbés, fermes et d’une blancheur magistrale. Leur forme de poire était parfaite, sans être trop imposants, juste ce qu’il fallait (un 95B je dirais, avec le recul). Soudain, elle repoussa vivement ma tête sur son sexe ; alors, je rassemblai toutes mes connaissances sur l’anatomie féminine pour lui prodiguer une séance de caresses vaginales et clitoridiennes.
Elle gémit, s’arqua ; le son de sa voix gagnait en intensité à mesure que mes doigts pianotaient entre ses lèvres. La surprenant, ma langue vint caresser cet ensemble chaud et doux. À ma grande joie, l’endroit était parfaitement propre et l’odeur qui en émanait était très agréable. Ma langue fit des va-et-vient entre ses cuisses, de son clitoris jusqu’au périnée. Elle émit des petits cris qui mexcitaient encore davantage. Puis, doucement pour ne pas lui faire mal, j’introduisis mon index dans sa chatte : elle était bien humide. Elle tressaillit. Après quelques minutes, elle me pria de venir. Sans oublier de nous protéger, je la pénétrai avec douceur, puis de plus en plus fort. Je faisais claquer son petit cul dans une levrette démoniaque ; elle hurlait de bonheur, ce qui me motivait davantage. Elle sagrippa au mur, se retourna et souffla dans un cri : « C’est bon, continue, encore… Attends, je viens sur toi ».
Docile je m’allongeai sur le dos et vis son corps longiligne se faufiler au-dessus de moi, puis elle s’empala sur ma queue encore bouillante. Telle une amazone, elle me chevaucha encore et encore. Ses petits seins ballottaient sous mon nez ; je les attrapai pour les caresser. Elle accéléra encore : je me sentais prisonnier mais, Dieu que c’était bon ! Alors, elle vociféra une série de jurons suivis d’un cri pur, sans écho ; elle se figea quelques instants et se laissa tomber sur mon torse. J’étais bien, fier de l’avoir fait jouir.
Alors elle se redressa et commença à me sucer de nouveau. J’hésitais ; sentant la vague de sperme chaud monter dans mon sexe, je le lui fis comprendre mais elle ne s’arrêta pas et accéléra encore son mouvement. Une chaleur m’envahit et je déversai en elle un flot de sperme bien blanc ; je ne pus retenir un râle de plaisir.
Après avoir nettoyé mon sexe, elle remonta jusquà ma bouche et, cette fois-ci, la pelle fut l’une des plus magnifiques de ma vie ; sa langue tiède et parfumée me fit frissonner. Puis, recoiffant ses cheveux d’or, elle vint s’allonger à mon côté ; je ne sais pas combien de temps nous sommes restés là sans parler, profitant de cet instant magique. Elle murmura un « merci » à mes oreilles et sembla s’endormir.
Cependant, peu de temps après, elle se releva et nous prîmes une douche bien chaude.
Elle repartit. Ses yeux bleu azur m’avaient transpercé ; c’était donc fait : j’avais mis le pied dans ce monde magique du sexe sans lendemain. Je ne devais plus le quitter.