Ce samedi après-midi, je suis dans mon jardin ; je vais tondre la pelouse déjà haute et il fait vraiment très chaud.
La voisine est aussi dans son jardin, habillée comme j’aime, une robe d’été ample et très légère, un chemisier à fleurs, la poitrine libre ; elle est bandante comme toujours.
Je la vois de dos, courbée en train de planter des fleurs dans un petit parterre. Elle a une belle croupe, ses cheveux sont sublimes, ses longues jambes magnifiques me font toujours fantasmer, je sais que ses besoins ne sont pas couverts par son mari plus âgé, elle me l’a avoué le jour de son accident. J’engage la conversation, elle sursaute ne m’ayant pas aperçu. Je lui demande des nouvelles de notre malade ; elle me dit qu’il est chez son frère kiné et qu’il rentrera en fin d’après-midi. J’aime son regard, j’aime tout d’elle, elle me rend fou. Nous continuons nos activités chacun de notre côté, je tonds, je suis assoiffé et je demande à ma chère voisine s’il elle veut un rafraîchissement ; elle me répond qu’elle a préparé du vrai jus d’orange et me propose de la rejoindre pour boire un verre. Je saute sur l’occasion, et je suis chez elle dans sa cuisine. Nous buvons notre verre et je ne sais pas comment, maladroit, je renverse son verre qui éclate en mille morceaux. La voilà devant moi livrant à ma vue dans le ramassage des morceaux de verre sa poitrine de rêve ; je lui dis que je la trouve de plus en plus belle, que je pense souvent à elle, à nous, que je ne peux l’oublier, qu’elle est souvent l’objet de mes fantasmes secrets quand j’honore mon épouse ; elle me dit mollement qu’on ne peut plus, je la vois troublée, je la veux, je me lève, je l’aide à se redresser, je l’embrasse tendrement, je la sens trembler, avoir la chair de poule. Je la retourne, elle est appuyée sur moi, sa tête en arrière, j’insinue ma main dans son chemisier et je prends ses deux seins à pleines mains et je joue, elle ronronne, elle doit sentir ma virilité pointée vers son derrière, elle frotte ses fesses sur ma verge, je descends une main vers son ventre, je masse son nombril, je descends encore, je glisse sous la robe, j’atteins son fond de slip, je la chipote, je la masse, elle aime,elle mouille, je sens son humidité au travers de la soierie. J’aime ces femmes mariées qui ont faim et qui mouillent pour moi, je me sens très à l’étroit, je la conduis vers la table, où je l’incline en avant, je lui relève la jupe, je descends son slip sur les cuisses et je lui mange son sexe ruisselant de sa liqueur, je n’en peux plus, je baisse mon pantalon et mon slip et je la pénètre en levrette en une fois, profondément ; que c’est bon, chaud et onctueux, et je glisse comme dans du beurre, elle aime, elle ronronne, elle ondule, recherchant des contacts intimes puissants et profonds, je ne vais plus savoir tenir longtemps, elle non plus, elle part en un hurlement qui me fait éjaculer bien au fond d’elle. J’aime ces relations qui me donnent des éjaculations puissantes. J’aime ces femmes mariées qui se donnent au maximum, je la redresse, on s’embrasse comme des fous, nos langues sont folles, elle n’est pas rassasiée, elle en veut encore, la voir ainsi dépoitraillée, le slip sur les cuisses me fait rebander ; soudés l’un à l’autre, nous nous couchons sur le sol assez frais, et, en la regardant, je la pénètre doucement, je sens cette verge qui entre doucement dans ce vagin lubrifié et rempli de sperme, ça glisse tout seul, je commence mon va-et-vient, elle vient à ma rencontre à chaque mouvement, elle a faim, je la lime à mon aise, m’enfonçant à fond et me retirant lentement ; puis je la reprends et ainsi de suite durant des minutes, je la sens venir, son regard se trouble, je lui dis de me regarder quand elle va jouir, elle jouit, j’éjacule en elle, je lui dis qu’elle est à moi, que je la veux très souvent, que de me vider bien en elle, c’est le rêve, que je l’aime. Quelle heure sublime on a passé, que ce plaisir volé fut jouissif.
