Ma baby-sitter Lorie habitait la maison en face de chez nous depuis des années. Elle avait environ 17 ans et était déjà très attrayante lorsqu’elle est devenue ma baby-sitter attitrée. Elle mesurait 1,70 m avec un beau visage encadré de longs cheveux brun foncé. Elle portait surtout des jeans et ils étaient plutôt serrés! Elle me garda durant plusieurs années de 10 à 15 ans. Quand je suis arrivé à l’âge de 17 ans mes parents lui ont demandé occasionnellement de venir car elle continuait de m’inspirer le respect. Je ne li avais jamais menti ni désobéi. Ce jour-là elle était là pour me surveiller, plus que pour me garder, en effet elle avait 7 ans de plus que moi et avait donc 24 ans maintenant.
J’adorais que Lorie vienne parce que nous regardions des films ensemble sur le canapé… séances durant lesquelles j’essayais de loucher discrètement sur ses jambes ou mater ses seins bien dessinés. J’avais pris l’habitude de faire mes devoirs du lycée très rapidement après le dîner, afin qu’elle m’autorise un DVD avec elle!!! C’était comme un rendez-vous sacré, deux ou trois jours par semaine, un rituel dont je ne pouvais plus me passer! Lorsque j’ai finalement eu 18 ans, elle continuait parfois à me parler comme à un enfant: "Assure-toi que tu as bien terminé ton travail, pour je n’aie pas à te punir Kevin! Ok?" Mais moi, je souriais tout particulièrement à la pensée de me faire punir!… lol
Parfois elle nous faisait du pop-corn. Alors je m’asseyais à côté d’elle sur le canapé en essayant de regarder ses jambes et ou de deviner ses pointes de seins à travers son T-shirt. Plus tard, en regagnant ma chambre, je fantasmais sur elle le reste de la nuit, me touchant longuement sous les draps. Je l’imaginais souvent portant une jupe en cuir et me fessant sur ses genoux. J’espérais ne jamais me faire surprendre par elle, sachant qu’elle restait souvent tard en attendant le retour de mes parents. Mais peut-être aussi que quelque chose de malsain en moi voulait vraiment que je me fasse prendre sur le fait?
Un vendredi soir, elle est venue dans une tenue qui m’a fait frissonner. Elle portait un pantalon en cuir avec un t-shirt noir et une paire de converses noirs ornés d’étoiles. Son pantalon en cuir moulait ses jolies fesses de façon très agréable. J’avais fini mes devoirs aussi vite que possible après le dîner ce soir-là. Lorie m’a alors demandé si nous allions voir un film ce soir. Bien sûr, j’ai accepté immédiatement!!!. Elle avait fait du pop-corn et sorti des sodas. Elle a ensuite mis un film en route. Il était intitulé "Halloween" car nous étions fin Octobre et proches de Halloween justement. Nous nous sommes assis chacun sur un canapé, le pop-corn et les sodas sur la table basse entre nous. Nous regardions le film depuis une bonne vingtaine de minutes lorsque j’ai commencé à regarder vers le bas, matant ses jambes et plus haut, ses jolis seins sous son T-shirt noir. Elle semblait captivée par le film. Je me penchais pour prendre du pop-corn et glisser un regard furtif dans lencolure de ton T-shirt en V pour apercevoir la naissance de ses seins. Je renouvelai mon manège de plus en plus souvent et venais juste d’attraper une main pleine de pop-corn pour me rassoir. Quand tout d’un coup, elle a tourné la tête et m’a regardé d’un air furieux.
Elle m’a demandé:
"Dis donc!! Qu’est-ce que tu cherches dans mon t-shirt? Hein, vilain garnement?"
J’ai rougi et répondu très gêné:
— Heu non rien, rien…."
Elle a insisté avec un regard sévère:
— Je vois bien que tu mens! Dis moi la vérité Kevin!!"
J’ai alors baissé la tête, honteux…
— Je ne peux pas te mentir."
Puis j’ai relevé le menton et je l’ai regardée dans les yeux dit:
— Bon d’accord… Je… j’ai regardé dans ton t-shirt, je suis désolé, excuse moi." Je m’attendais au pire, mais ce qu’elle a dit ensuite m’a surpris.
-Ta mère m’a toujours donné depuis toujours la permission de te donner la fessée! Eh bien, aujourd’hui je vais te punir!" J’ai paralysé et tellement nerveux. Je voulais vraiment recevoir une fessée et être puni par elle.
Elle ajouta: "Maintenant, va dans ta chambre et attends-moi là-bas." Le cur battant et la bouche sèche j’ai fait: «Oui, tout de suite, Lori…."
Je me suis levé et j’ai filé vers ma chambre, avec les joues et les oreille brûlantes. Des papillons fourmillaient dans mes reins et mon bas-ventre. J’étais assis sur le lit en l’attendant, lorsqu’elle entra la tête haute et les main sur ses hanches, avec ses longues jambes gainées de cuir bien écartés. Elle était vraiment somptueuse…. Elle ferma la porte derrière elle et la verrouilla avec la clé.
Ma gorge se noua, cette fois mon fantasme était bel et bien en train de se réaliser, je fondais littéralement, pas question de reculer! Elle dit: «Lève-toi vilain garçon!" J’ai adoré qu’elle m’appelle "vilain garçon". Je me suis levé avec une trique énorme qui palpitait dans mon pantalon. Je savais qu’elle pouvait apercevoir mon érection à travers mon pantalon et ceci ajoutait encore à mon excitation. Je fermai les yeux de honte et pus entendre le bruissement spécial du cuir alors qu’elle marchait vers moi, le son caractéristique son pantalon en cuir me fit frissonner. Elle s’assit dans le fauteuil tranquillement et elle ordonna: «Viens ici!" Je marchais donc vers elle et m’arrêtait tout près face à son visage. Elle a alors lâché doucement… "Baisse ton pantalon mon garçon."
J’obéis, débouclai ma ceinture et laissai tomber mon pantalon à mes chevilles. J’étais debout dans mon boxer-short déformé par une forte érection. Elle a alors ajouté d’une voix agacée, "Baisse ton slip, on n’a pas toute la nuit là!." J’ai vite ôté mes sous-vêtements. Je suis resté là planté avec mon sexe pointé vers le ciel, embarrassé. Elle a alors dit, "Viens plus près." Sa main attrapa ma bite durcie pour me faire venir sur sa droite, puis me tira en avant pour que je me penche sur ses cuisses tout de cuir vêtues… Mmmmhh. Mon sexe a glissé entre ses jambes et je me suis retrouvé les fesses offertes, le ventre sur ses jambes.
Elle a annoncé d’une voix douce "Maintenant, je vais te donner la fessée que tu mérites Kevin alors essaye de pas bouger, compris?" Je me trouvais sur ses genoux assez confortablement installé parce que je suis sensiblement de la même taille qu’elle… Mon silence valait acceptation. Sa main descendit sur mes fesses, elle me caressa un instant, puis m’asséna une première claque assez forte, qui me fit sursauter, suivie d’autres plus fortes encore! J’essayais de ne pas couiner sous la douleur…
Ensuite elle fit entrer ses deux mains en scène me fessant simultanément les deux lobes avec enthousiasme!!! Je poussais des petits cris de douleur étouffés. Elle a continué ma fessée encore quelques douloureuses minutes. J’étais au bord des larmes et elle m’a demandé: «As-tu été bien puni, Kevin?" J’ai dit: "Oui Lorie, merci." Elle ouvrit ensuite un flacon et me frotta les fesses avec un peu d’huile je crois. La sensation était vraiment délicieuse, la douleur diminua et je pensais qu’elle allait arrêter là, mais au contraire la fessée a repris. Elle a visé mes cuisses et mes jambes écartées. Elle a élargi la fessée des deux côtés de mes hanches. Je sentais ma bite palpitante entre ses jambes en attente de libération, mais elle a commencé à accélérer le rythme!!! Clac, clac-clac, clac-clac!!! J’étais en larmes. Mais comblé
!
Puis elle a fait une nouvelle pause pour chercher dans son sac! Elle a saisi une palette de cuir. J’ai été vraiment surpris quand elle l’a sortie. Ainsi avait-elle déjà tout prévu?! Elle m’a demandé si je voulais tester le paddle. J’ai hésité car mon postérieur me brûlait déjà beaucoup… mais je n’aurais peut-être pas d’autre occasion et elle serait sûrement très déçue si me me dégonflais. Car c’étais son cadeau spécial pour moi en définitive. C’est pourquoi, malgré la perspective de douleurs insoutenables, j’acceptai humblement. «Oui, s’il te.. heu… vous plait." Le passage au vouvoiement marquait ma soumission totale à ma jolie Maitresse.
Lorie souriait. Elle m’a alors administré une fessée encore plus mémorable avec le paddle en cuir sur tout le cul et aussi les cuisses. Elle arrêta enfin les coups et me caressa doucement avec le cuir de la palette . Elle insistait bien dans la raie de mes fesses. "Comment te sens-tu Kevin?" J’ai répondu en sanglotant un peu "Je me sens bien puni, Lorie… je.. vous remercie"
Elle s’amusait à tirer sues mes poils, taquine. «Ta peine est presque terminée Kevin…" Mon érection renaquit. Elle a ensuite continué par quelques coups lents appliqués sur mes testicules, me faisant écarter les jambes à plusieurs reprises. Je débandait à nouveau sous la douleur. Je m’appliquai donc à ne pas bouger et elle me rougit complètement la raie et les boules, j’avais le derme en feu! Finalement elle a posé le paddle au sol et a dit à mon grand soulagement: «C’est fini, tu peux te redresser, mon garçon…" Je me suis levé de ses genoux avec difficulté, des élancements douloureux me cisaillant les reins. Elle m’a demandé avec large sourire, "As-tu apprécié ta fessée ce soir, vilain garçon?" Je me suis senti humilié mais apaisé, rempli de désir et de respect pour elle. J’ai baissé la tête, tremblant de désir et soumis à sa volonté: «Oui, merci, je l’avais mérité, je vous demande pardon." Elle m’a alors tiré par le bout du gland pour me mettre bien en face d’elle. «Eh bien, à vrai dire ça se voit beaucoup que tu aimes mes punitions, garnement!." Elle saisit à pleine main mon sexe raidi et le masturba lentement. Elle a commencé à accélérer, puis s’est arrêtée pour me sourire, et elle huilé sa main malicieusement. 3Kevin, la prochaine fois, lorsque tu as envie de moi, je veux que tu me le dises, tout simplement." Elle m’a repris en me serrant très fort, sa main montait et descendait sur mon pieux comme elle me pompait avec sa main droite. Le coulissement gras m’arrachait des gémissements, je gardai mes mains croisées dans mon dos, complètement soumis à ses caprices.
"Mon garçon, j’aime que tu sois à moi et que tu me désires…" Elle prit mes couilles avec la main gauche et me les serra très fort, les faisant rouler cruellement entre ses doigts chauds. Elle me me tira de l’autre main pour voir mon gland de plus près.. et me regarda au fond des yeux. Mon cur se serra, car effectivement je la désirais ardemment! Elle me caressait fort et plus vite avec sa main huilée. J’étais si proche de l’orgasme que j’émettais un gémissement continu, essayant de me retenir.
Je lui ai dit soudain, "Pardon… je…je vais .. jouir… je." Lorie a sourit et m’a pompé encore fort et plus vite, scrutant mon méat urinaire avec intérêt. J’ai eu un spasme, alors elle a ouvert sa bouche et a englouti mon gland. J’ai déchargé dans sa gorge en criant comme si on m’arrachait un doigt. Elle m’a sucé ensuite longuement comme une sucette jusqu’à ce que je finisse par débander, honteux mais soulagé, les jambes tremblantes. C’était fini, elle a lâché mon sexe, me faisant signe de m’agenouiller face à elle ce que je fis avec empressement. Ma Maitresse Lorie a dit: «J’ai bien aimé te donner la fessée Kevin, et je ne pourrai pas attendre que tu fasses de nouvelles bêtises pour recommencer." J’ai rougi:: «Moi non plus…" Elle a donc conclu: «Bon, alors c’est parfait. Maintenant, allons regarder la fin de ce film."
(A suivre si vous le voulez?)