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Ma belle-mère, ma copine, mon père et moi – Chapitre 1

Ma belle-mère, ma copine, mon père et moi - Chapitre 1



Je m’appelle Stéphane, j’ai vingt ans, je vis chez mon père dans le 6e arrondissement près de Montparnasse, ma mère est partie quand j’étais petit avec son copain plus jeune qu’elle.

Mon père m’a élevé seul et s’est remarié depuis quelques années.

Ma mère était une adepte du libertinage et fréquentait souvent les clubs libertins, mon père l’accompagnait et devint à son tour libertin.

Il a converti sa nouvelle épouse au libertinage.

Ma belle-mère qui a seulement quelques années de plus que moi, c’est une jeune et jolie femme.

Je m’entends bien avec elle, même un peu complice.

Papa est ingénieur et doit partir plusieurs mois sur une plate-forme d’extraction de pétrole en mer du nord. A son départ, il me dit, avec un grand sourire :

— Surtout qu’elle ne manque de rien.

Je ne comprends pas sa réflexion car matériellement nous ne manquons de rien.

Les premières semaines ne se passent pas trop mal. Le soir, quand je suis avec ma copine, j’entends des bruits provenant de la chambre de ma belle-mère, je pense qu’elle se masturbe et qu’elle se fait jouir, ça doit l’exciter de savoir que je baise à côté.

Tous les soirs, je téléphone à papa pour le tenir au courant de notre vie familiale et je lui dis ce que j’entends le soir, il ne répond :

— C’est normal elle doit être en manque.

Mes copains viennent souvent me voir, ma belle-mère est toujours présente, quelquefois elle les drague ouvertement et finissent dans son lit. Je ne manque pas de tenir papa au courant.

Il me demande de la prendre en photo avec son amant de passage.

Un soir, ma belle-mère me demande de l’accompagner au restaurant, elle a envie de sortir pour se changer les esprits, j’accepte après avoir demandé à mon père la permission.

Nous allons dans un restaurant de poisson sur le boulevard Montparnasse ou ma belle-mère a l’habitude d’aller avec papa et a réservé une table pour deux.

Nous nous retrouvons l’un en face de l’autre à table, cela fait un peu « cougar » qui sort son jeune amant, si les gens savaient que c’est ma belle-mère

Nous dinons copieusement au frais de papa et ma belle-mère me propose d’aller dans un club très proche, je ne peux joindre papa pour lui demander si je dois accepter, alors je donne mon accord (papa, de toute façon, aurait dit oui).

Nous quittons le restaurant, remontons la rue Delambre, la terrasse du Dôme est pleine, il faut dire que c’est le printemps les gens sortent et restent dehors très tard, les boutiques sont fermées à part quelques bars de nuit qui fermerons à leur tour vers trois ou quatre heures du matin.

Nous arrivons à la station de métro « Edgar Quinet ». Ma belle-mère me dirige vers une porte noire en me disant :

— Nous sommes arrivés.

Nous sonnons, quelques secondes après le judas de la porte s’ouvre (apparemment, les clients sont triés.) Puis la porte s’ouvre pour nous laisser entrer sur une grande pièce, un vestiaire et un bar sur la droite, sur la gauche quelques tables, chaises et canapés. Pas grand monde.

Nous nous asseyons à une table, commandons à une serveuse qui nous a installé, une coupe de champagne pour ma belle-mère et pour moi un « Perrier », qui ne boit pas d’alcool.

Nous trinquons et commençons à boire. Une dizaine de minutes c’est écoulée, ma belle-mère me demande de l’excuser un instant, elle se lève et se dirige vers un escalier au fond de la salle, je pense que les toilettes sont au premier étage.

Une demi-heure passe, elle ne revient toujours pas, alors je décide d’aller voir ce qui se passe, à mon tour je gravis l’escalier, au lieu de me retrouver sur un palier où il doit y avoir les toilette, je me retrouve dans une grande salle éclairée par de minuscules lampes, où sont disposé à gauche et à droite d’immenses lits. Des hommes et des femmes entièrement nus couchés font l’amour.

Je trouve enfin ma belle-mère, les seins à l’air (c’est la première fois que je vois sa poitrine) qui suce la bite d’un inconnu et qui semble apprécier. Elle me voit, me fais un sourire et me dit :

— Tu peux toi aussi en profiter sa femme n’est pas loin.

C’est la première fois que je vais dans un club « échangiste », je n’ai pas l’habitude de voir des gens faire l’amour, je redescends et me rassoies pour attendre ma belle-mère qui arrive quelques minutes après et me dit :

— Je ne t’ai pas choqué au moins, je viens souvent avec ton père et il en profite aussi, tu vas avoir quelque chose à lui dire.

Nous rentrons à la maison sans se dire un mot en obséder par ce que j’ai vu.

Le lendemain, ma « copine » vient diner et passer la nuit avec nous, elle s’entend très bien avec ma belle-mère. Dans le lit, je lui raconte ce que j’ai vu et l’attitude de ma belle-mère, elle n’est pas surprise et semble plutôt intéressée par mon récit, elle me dit :

— Si vous retournez dans cette boite, j’irai avec vous.

Depuis cette nuit, ma « copine » et ma belle-mère semble plus proche.

Un soir, alors que nous regardons un film à la télé, ma « copine » s’assoit entre nous et tient la main de ma belle-mère en flirtant avec moi, puis elle se tourne pour trouver la bouche de ma belle-mère. Je ne savais pas qu’elle aime aussi les femmes.

Dans le lit, après avoir fait l’amour, ma « copine » me dit :

— J’essayerai bien avec ta belle-mère, ce sera la première fois avec une autre femme, mais j’ai envie de le faire.

Tous les soirs ma « copine » vient dormir à la maison en attendant que ma belle-mère l’entraine dans son lit.

Bien sûr je tiens mon père au courant en lui téléphonant le lendemain matin, comme je le fais tous les jours.

Ma belle-mère me demande de l’accompagner le soir en boite accompagnée de ma copine, pour la première fois nous y allons ensemble, je reste avec ma copine qui semble à l’aise, elle me suce comme elle le fait dans un lit, elle se fait lécher la chatte par ma belle-mère.

Je ferme les yeux, je préviens ma copine que je ne vais pas résister bien longtemps afin qu’elle ait le temps de retirer mon sexe de sa bouche et que mon sperme se répande sur son visage ou sur mon ventre, mais elle ne fait pas attention à ce que je dis et continue à me sucer, j’ouvre les yeux, ce n’est plus ma copine qui me suce mais ma belle-mère.

Trop tard, je lâche tout mon jus dans sa bouche, elle garde tout mon foutre pour embrasser ma copine et partage avec elle. C’est la première fois que ma copine goute à mon sperme. Elles avalent ensemble ma semence.

J’appelle papa pour l’informer que sa femme, non contente de se taper ma copine, m’a également sucé.

Papa me demande :

— Tu vas bientôt la baiser ?

Le soir ma copine invite ma belle-mère dans notre lit.

Ma copine et moi, nous nous déshabillons pour retrouver ma belle-mère déjà nue et couchée.

Sans hésiter ma copine plonge sa tête entre les jambes de ma belle-mère pour lui sucer l’abricot. Je bande en les voyant se faire du bien. Ma belle-mère saisit ma queue toute proche de sa bouche et la fait entrer entièrement.

Ma copine jouit et envoie un jet de cyprine sur le visage de ma belle-mère, je ne l’ai jamais vu jouir autant, je vide mes couilles dans la bouche de ma belle-mère qui avale tout, elle me demande de la baiser, s’allonge sur le dos les jambes ma copine prend ma queue pour la présenter devant la fente de ma belle-mère en me disant :

— Baise la bien ta salope de belle-mère mais gardes en un peu pour moi.

J’ai donc baisé ma belle-mère pour la première fois puis ma copine ensuite. Nous nous endormons dans les bras des uns et des autres jusqu’au matin.

Au cours du petit déjeuner, nous nous promettons de remettre cela.

Je téléphone à papa :

— C’est chose faite, ma copine et moi sont les amants de ta femme, elles me font connaître le plaisir à trois.

Un soir, alors que je téléphone à papa, celui-ci me dit :

— J’aimerais qu’elle se fasse baiser par plusieurs hommes à la fois.

Ma copine (encore elle) a l’idée d’emmener ma belle-mère sur les parkings d’autoroute réservés aux poids-lourds, les chauffeurs qui sont partis de chez eux depuis plusieurs jours auront certainement envie de baiser et quand elle sera bien connue elle pourra se faire enfiler par plusieurs.

La proposition est retenue par mon père et le soir même, ma copine et moi l’emmenons sans la prévenir, mais nous connaissant, elle se doute bien que c’est pour baiser.

A peine descendue de la voiture où ma copine et moi ne la perdons pas de vue, elle monte dans une cabine de routier, nous ne pouvons plus voir mais nous supposons ce qu’elle fait. Je sors ma queue pour me branler un peu et ma copine se penche sur moi pour prendre ma bite dans sa bouche.

Je n’ai pas le temps de jouir que déjà ma belle-mère redescend de la cabine. C’est un coup vite fait, mais elle se dirige vers un autre camion sans perdre de temps comme l’aurai fait n’importe quelle pute.

Elle regagne la voiture, seulement avoir visitée six ou sept camions. J’ai eu largement le temps de jouir dans la bouche de ma copine qui m’a fait gouter à mon sperme.

Je tiens papa au courant et me dit :

— Emmenez la tous les soirs.

Ce que nous faisons. Un soir ma copine me demande d’accompagner ma belle-mère dans un camion elle a aussi envie de se faire sauter par un routier.

Je reste seul dans la voiture à me masturber comme un malade.

Ma copine a été comme ma belle-mère dans plusieurs camions et à leur retour, elles me semblent très contentes de leurs baises.

Je ne croyais pas ma copine aussi perverse, elle a prévu sans mon consentement ni celui de mon père à faire monter ma belle-mère par le chien de ses parents et l’emmener avec elles pour partouzer avec des inconnus.

Mon père est vite mis au courant et approuve la situation.

Maintenant, sous la lumière des phares de la voiture, elles se font baiser par plusieurs mecs et le chien passe en dernier. Certains hommes (c’est assez rare) préfèrent que le chien passe avant.

Papa nous annonce son retour, nous devons le prendre à Roissy.

Je conduis la voiture avec ma copine à côté, papa et sa femme sont derrière et ne peuvent pas attendre d’être à la maison, papa sort sa queue et sa femme le suce sous les regards de ma copine.

Papa me fait signe de prendre la direction de Lille pour voir sa femme se faire prendre.

Arrivé sur un parking où je sais qu’il y a toujours des hommes pour baiser, ma belle-mère descend de la voiture, ma copine change de place et passe derrière à côté de papa, elle veut sa grosse queue dans la bouche.

Une fois qu’elle a eu le restant de foutre et qu’elle a tout avalé, elle va rejoindre ma belle-mère dans la cabine d’un routier, papa me dit :

— Dommage que vous n’ayez pas pensé à amener le chien.

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