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Un fils qui aurait mieux fait de s'occuper de ses oignons 3 – Chapitre 3

Un fils qui aurait mieux fait de s'occuper de ses oignons 3 - Chapitre 3



Les vacances à la plage sont terminées et la venue de mon père à incité ma mère à se calmer un peu. Je suis partis au bout de trois jours, incapable de supporter la promiscuité et surtout un peu gêné par ce qui c’était passé. J’ai trouvé un job de serveur dans un bar grâce au videur de la boite ou va régulièrement ma mère. En fait d’avoir trouvé, c’est Sylvie qui avait arrangé le coup et je suis même persuadé qu’elle a couché avec pour ça. J’en eu la preuve quelques jours plus tard où Jacques, le videur, venait prendre un café et se renseigné pour savoir si j’avais fait l’affaire. Je sentais qu’il avait bu un peu mais cela le désinhibé. Je le questionnais sur la manière dont avait procédé ma mère pour le convaincre. Il esquissa un sourire en coin. Je lui proposais de lui payer un verre. Il accepta. Je lui fis un jolie cocktail pour le faire parler. Je sentais qu’il voulais m’en dire beaucoup à ce sujet de toute façon. A cet heure de l’après midi, il n’y a personne dans le bar et ça facilite les discussions.

-Tu te plais ici, alors ?

-Oui, merci de m’avoir dégoté ce boulot au fait !

-tu remercieras ta « maman », plutôt.

-Elle est très persuasive, je sais !

-Je te le garantis mon bonhomme mais .

-Mais quoi ?

-Fais gaffe à elle ! un jour, avec ses écarts, elle risque d’avoir de gros soucis !

-Des soucis, mais de quel genre,

-Un jour, elle va tomber sur des gens pas nets. Elle risque de se faire violer, se trouver à faire le tapin voire pire encore, sur des psychopathes.

-Elle est grande quand même .

-Oui, mais ça ne l’empêche pas d’être trop confiante et surtout à cause de l’alcool. En plus, tu m’excuseras mais elle s’habille vraiment comme une prostituée des fois.

-Ca me dérange pas !

-moi, non plus mais il y’a beaucoup de gens qui sont friands de femmes mûres comme elle. Il y’a des fois, quand je la vois, j’ai l’impression qu’elle fait tout pour attirer les ennuis.

Il finit son verre.

-Voilà, je t’aurai prévenu. Allez bosses bien, bye.

Il s’en alla. Il n’avait pas parlé de sa sauterie avec maman mais juste une mise en garde. Vers 19h00, j’eu la surprise de voir ma mère venir au bar pour voir comment j’allais.

-Alors mon chéri, ça va ? le travail te plait.

-Oui, m’an et tu remercieras Jacques hein.

-Rassures toi, je l’ai remercié à ma façon.

Elle rit en me faisant un clin d’oil complice. Maintenant, cela n’était plus tabou de parler de ses adultères. Elle ôta sa veste qu’elle posa sur une chaise à coté d’elle et s’assit sur le tabouret de bar. Je vis alors qu’elle était une fois de plus habillée de façon très provocante. Elle avait des talons haut et mis une minijupe avec des bas résilles. Elle avait aussi un tee-shirt au décolleté monstrueux. Maquillée de façon abusive , elle donnait vraiment l’impression d’aller faire le tapin. Je regardais sa bouche avec laquelle elle m’avait sucé. Elle avait mis un rouge à lèvres brillant. Elle avait des lèvres charnues mais avec ce rouge à lèvre, ça accentuait encore plus le coté suceuse. Elle commanda un whisky coca. D’une certaine manière, je pouvais m’estimer heureux voire être fier d’avoir une mère aussi sexy et provocante. A 50 ans, elle était pas mal foutue. A part peut être ses cuisses un peu grosse à cause de l’âge et surtout enroulées dans des bas résilles comme des saucissons. Par contre elle avait de sacré nichons et de son décolleté, ça débordait sacrément bien. C’est tout ce déballage et cet étalage de chair qui attirait les hommes.

-Tu sors ?

-Oui, je vais à une fête organisée par un ami rencontré en boite. J’espère que ma tenue est assez sexy.

-T’inquiète pas pour ça , tu t’es une fois de plus bien mise en valeur. On dirait que tu vas à une partouze.

Elle rit à cette remarque.

-Tu sais, je sais comment ça va se terminer. Ils vont me faire boire et ils vont tous me baiser.

-Mais tu es la seule femme ?

-oui, je suis la seule qui est voulue y aller.

-tu devrais faire attention très sérieusement. Tu y vas toute seule, comme ça et papa ne dit rien ?

-Ton père et moi passons une mauvaise passe. Je pense que nous allons divorcer !

Je m’y attendais tôt ou tard, mais bon, c’est bizarre de voir ses parents se séparer au bout de tant d’années.

-Quand tu es partis, on a pas cessé de se disputer dans la caravane. Je n’ai pas osé mettre mon bikini et hors de question de faire les seins nus à la plage. Non, je veux pouvoir faire ce que j’ai envie. Ce soir, il n’y a pas eu de discussion au sujet de cette sortie. J’ai fait ce que j’ai voulu.

-C’est sur que vous n’êtes plus sur la même longueur d’onde tous les deux. Mais pour en revenir à notre sujet , fais attention , on rencontre des gens pas net.

Elle s’offusqua

-tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. A mon age, on sait ce qu’on doit faire. Que veux-tu qu’il m’arrive. Je suis entourée d’hommes dont je connais la plupart. Je ne risque rien.

De toute façon, que pouvais-je faire, elle semblait bien déterminée et savait parfaitement ce qui l’attendait. Elle savait pourquoi on l’avait invité et comment cela allait se terminer. Elle s’était habillée pour et était parfaitement consentante. A partir de là, je n’avais rien à dire. Elle avala son verre, m’embrassa et partit. Je fus un peu triste d’avoir voulu la sermonner . J’aurai du davantage la féliciter sur sa tenue, l’encourager à aller à cette soirée et de s’éclater surtout si elle divorce bientôt. Mais j’étais encore sous le choc des commentaires de Jacques. Déjà, j’imaginais ma mère entre les mains de psychopathes lui faisant subir les pires outrages et ça me rassurait pas. Aussi, je décide donc, après le boulot , d’appeler Jacques afin qu’il me renseigne sur cette fameuse soirée, à condition bien sur, qu’il soit au courant. Au téléphone, il me rassure car il est au courant de cette fête à laquelle il a été convié mais il n’avait pas pu aller pour son boulot de nuit. Il connaît le gars en question et il me donne même l’adresse de sa maison. Je suis un peu plus rassuré mais je me sentais l’obligation d’aller voir ce qui se passait . Jacques me dit pour terminer que cette fête était prévue depuis longtemps et que je n’avais pas à m’en faire. Pourtant, ma mère avait bien dit que toute les filles avaient refusé. Il me dit que c’était à cause de la partouze prévue et que seule Sylvie avait accepté quitte a être partagée par les nombreux invités homme. Je remerciais Jacques et fonçais à la fameuse maison qui en fait était une belle villa. Je me garais en retrait et allais à pied. J’entendais la musique et des rires. J’escaladais le mur et j’essayais de me rapprocher le plus prêt possible de la piscine où il n’y avait que des hommes. Prêt de la piscine , une pièce énorme avec une partie des invités à l’intérieur. J’essayais de chercher ma mère du regard mais rien. Mais j’entendis un rire. C’était elle. Je m’approchais un peu plus à l’abri en rampant prés du tronc d’arbre. L’attroupement d’hommes à la porte et passant devant la piscine masquait l’intérieur de la salle. Finalement au bout d’un moment, ils sortirent et je pus voir Sylvie, déjà bien entamée par l’alcool, sortir. Elle semblait tout à fait à l’aise pour une femme qui allait se faire baiser par une bonne vingtaine de mecs. Un homme d’une cinquantaine d’année sortit et hurla :

-Allez à poil, la putain !!

Ma mère sembla étonnée.

-Déjà, mais c’était prévu pour plus tard dans la nuit !

-Peut-être, mais bon, n’oublie pas qui te donne des euros !

-C’est vous qui voyez ! vous avez loué mes orifices et mes seins pour ce soir !

-Voilà comment il faut parler ! J’ai tout de suite vu que vous étiez une pute née !

Je suis stupéfait d’entendre ça. En fait, elle avait été payé, non, louée par ce porc. Je comprenais pourquoi maman voulais y’aller à tout pris. Je compris aussi pourquoi Jacques avait parlé de prostitution possible en parlant de Sylvie. C’était une allusion à cette soirée. Ma mère était une chaudasse mais de là à louer son corps. Dans la salle, l’un des hommes monta le son et ma mère commença à faire un strip tease. Elle ôta son teeshirt lentement offrant à tous la vue de sa grosse poitrine pressée dans le soutif soir. Elle enleva sa minijupe aussi. Elle se retrouvait donc en string, soutient gorge, avec ses bas résilles et ses talons hauts. Elle ondulait son corps en essayant de suivre le rythme de la musique. Elle arbora un sourire de salope et se pressa ses seins énormes. Elle s’avança vers les hommes qui se mirent à la ploter avidement. On lui tâtait ses seins en virant petit à petit son soutient, on enfonçait les doigts dans son anus et sa chatte après lui avoir enlevé ses bas résilles , ses chaussures et son string. On lui enfonçait aussi les doigts dans sa bouche. Sylvie se retrouva donc rapidement à poil, ses trois orifices explorés par des doigts avides. Ils étaient à 5 sur elle en train de la tripoter et de profaner ses trous. Ses seins étaient malaxés avec vigueur. Déjà, le cinquantenaire tapait dans ses mains en demandant à tout ses invités de se mettre en cercle autour de Sylvie. Ils baissèrent et leur slip ou caleçon. Ils étaient 20 autour d’elle et tous bandaient tout comme moi d’ailleurs. Ma mère savait ce qu’elle avait à faire. Elle était complètement nue et, ses gros seins ballottant, se mis bien au centre et s’agenouilla. Le cercle se rapprocha d’elle , les bites des hommes en avant toutes dressées vers Sylvie qui s’empressa de les sucer. Ils se mirent à alors l’insulter afin qu’elle s’occupe de leur bites mais elle ne pouvait que d’un coté, sucer un gars et de l’autre branler de chaque main, un sexe. L’alcool avait trop atteint certains qui ne purent se retenir d’éjaculer à cause des mains expertes de Sylvie. Elle les avait astiqué trop vite et bien sûr, les volontés affaiblies, les mecs n’avaient pu se retenir. Mais je pensais aussi que c’était une tactique utilisée par les prostituées pour enchaîner les passes. Bien branler vigoureusement les sexes afin que les mecs soient soulagés et passer à un d’autres clients. Je commençais à me poser de sérieuses questions car, en effet, j’avais l’impression que ma mère s’y prenait un peu trop bien et j’ajouterai même de façon professionnelle. J’avais l’impression aussi qu’elle devait avoir un passé douteux, qu’elle aurait caché. Avait-elle déjà fait le tapin avant de connaître mon père? Peut être même des films pornos où pourquoi pas les deux. A la voir s’activer, on pourrait jurer de voir une professionnelle du sexe capables d’enchaîner les passes à une vitesse folle. L’idée d’avoir une mère prostituée ou actrice porno , loin de me dégoûter, durcit encore plus mon sexe. Je luttais pour pas gicler. Du sperme avait donc jaillit et dégouliné sur son visage mais cela ne l’empêchait pas de sucer et de branler d’autres clients. Elle avait réussit à en avaler car l’un des gars avait sa bite dans la bouche de Sylvie lorsqu’il éjacula. Un quatrième larron parvient à glisser son sexe entre les gros nichons de ma mère. Elle se retrouva avec une bite dans chaque main, une dans la bouche et une autre entre les seins. La bouche de maman faisait un bruit de succion visqueux pendant sa fellation. Le quatrième pressait les mamelles entre son membre et commença à se branler. Les autres sexes se faisaient pressant et exigeaient leurs gâteries. Mais déjà, elle eut droit à une double éjaculation : entre les seins et dans la bouche. Elle eut juste le temps d’avaler que déjà, un sexe s’engouffrait dans sa bouche. Elle dut à nouveau pomper. Un autre se mit derrière elle et s’allongea. Il la tira vers lui et elle s’emballa sur sa queue. Cela n’empêcha pas Sylvie d’avoir les sexes dans les mains et dans la bouche pendant que l’homme la baisait. Celui-ci inspira ses collègues qui se mirent en tête de tous la sodomiser à la chaîne. Naturellement une queue se forma devant et derrière elle. Elle se mit à quatre patte et déjà sa rondelle était mise à mal quoique pas vraiment car cela faisait longtemps que des sexes avaient élargi le conduit culier. Le ballet commença. Les hommes la ramonaient, jutaient et cédaient leur place. Cela pris une bonne heure et je me demande encore comment le ventre de ma mère avait pu contenir autant de sperme. Pris par son intense activité, elle n’avait pas picolé et elle avait presque dessaoulée. Le cinquantenaire s’était branlé devant le spectacle tout comme moi. On était deux misérables voyeurs. Ma mère s’allongea sur l’herbe pour récupérer un peu mais déjà, un cercle se forma au dessus de son corps. Ceux qui avaient encore de l’énergie (et du sperme) , se masturbèrent au dessus d’elle et éjaculèrent presque tous en même temps. Elle fut recouverte de liquide blanc de la tête au pied. Une vraie douche de foutre. Elle ne réagit même pas tant elle était épuisée. On avait l’impression d’une loque recevant du sperme à foison. Ma mère eut quand même le réflexe de se malaxer les seins pour bien étaler ce précieux jus. Deux hommes la prirent et la lancèrent dans la piscine en riant. Cela redonna des forces à Sylvie qui nageait déjà vers le bord. Le cinquantenaire tendit alors une liasse bien remplit de billets.

-Tu l’as bien mérité salope ! Je comprends que ton mari ne puisse tenir la marée.

Elle se rhabilla et mis les billets entre ses nibards.

-Bon, je suis toute à votre disposition dorénavant.

-A mon avis, tu manqueras pas de travail dans le coin !

Ma mère se dirigea vers une voiture où l’attendait un chauffeur. Je décidais qu’il était temps pour moi de me barrer vite fait et de rentrer.

Le lendemain, elle se réveilla tardivement. Elle avait dormi dans la chambre d’ami à poil bien sûr. Mon père était barré au boulot. Il s’en fichait qu’elle soit rentrée tard ou pas. Sylvie se fichait que je la vois nue et donc , n’hésitait plus à se balader à poil dans la maison en ma présence. J’aimais voir ses gros seins bouger quand elle se déplaçait. Elle me parla de sa soirée car je la cuisinais bien sur. Elle me cacha par contre qu’on l’avait payé pour ça. J’aurai aimé pouvoir lui dire que j’avais tout vu mais il valait mieux pas. Le soir arriva et déjà , elle se préparait à sortir. Toujours fringuée comme une pute mais de toute façon, n’en était pas t’elle devenue une ? Ainsi pendant quinze jour non stop , elle sortit le soir et rentrait vers trois quatre heure. Je savais pourquoi. Mon père ne lui parlait plus. Je savais qu’ils allaient pas tarder à divorcer. Mais le destin risquait hélas d’être plus glauque que prévu. Au bout de la quinzaine de jour, mon père et moi fûmes surpris de voir de ne pas la voir rentrée. Au bout d’interminables quarante huit heures, toujours pas de nouvelles. Nous dûmes signaler la disparition de ma mère au flics. Mon père révéla aux flics leur difficultés de couple et ceux-ci lui dirent que probablement, elle avait désertée le foyer pour aller ailleurs. Mais on savait que non. Trois semaines s’écoulèrent pas de nouvelles et les flics se pressaient pas car ils apprirent lors de leur enquête les mours de ma mère. Pour eux, elle n’était qu’une pute de plus qui disparaissait sans laisser de trace. Déjà, je me souvenait de ce qu’avait dit Jacques : qu’un jour , il lui arriverait malheur à force de jouer avec le feu. Des images horribles me venaient à l’esprit : j’imaginais ma pauvre mère, nue entre les mains de psychopathes pervers de la pire espèce. Mais peut être qu’au fond, elle avait tout simplement déserté le foyer comme disait les flics. Elle avait tapiné puis cumulé assez de fric, trouvé un autre mec et était parti avec refaire sa vie. Mais la deuxième solution était difficilement plausible car elle aurait prévenu. Nous étions, mon père et moi dans l’incertitude. En tous les cas, le mois s’écoula mais ma mère ne réapparaissait toujours pas.par lecrapo

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