La première fois, vous étiez venu dans le château de famille, la mienne. Je m’y ennuyais ferme. Je lisais par semaine plus de livres qu’on y feuilletait toute l’année. Je m’essayais à la vidéo, à la peinture et on y jugeait qu’elles n’avaient pas de sens, qu’elles devaient donc en avoir un, qu’elles étaient choquantes, blasphématoires et ne devaient s’interroger sur rien. Ce qui est respectueux de tout est mauvais. L’esprit ne se développe que dans la pulpe ou la graisse déposée au fond des liquides. Ceux-ci sont nécessaires à ce que ma famille confond avec le bourbier. Ça y ressemble et peut être que certains confondent et s’y noient. L’eau n’est pure qu’avec ses dépôts et ses cours. Au château, on ne voulait ni l’un, ni l’autre. Celle, au départ, qui stagne et s’empoisonne sournoisement, lentement. C’est pire. Ainsi, tel ou telle, trompait l’une, ruinait l’autre. Rien ne s’écoule, rien ne se dépose. Tout semble clair. J’ai eu ma période bête. J’insultais un peu tout : la République, la Démocratie, l’Église, l’Armée, etc. Confondant comme si on avait déjà inventé le mieux tout usage, tout égal, tout noir, tout blanc. Tout était malintentionné, volontaire et nuisible. Seul le mal était opportuniste. Quand on devient adulte, le bien le devient. Le mal ondule, se glisse. Sa complexité nourrit la vision du bien qui s’efforce à observer le réel. D’abord, il l’invite à le faire. Le bien aura déposé les obstacles que le mal a contournés. Mes anciens amis ont prit le chemin de mes parents. Ils habillent dhonorabilité leurs esprits adolescents. Le bien simpliste devient le mal absolu, se rejettent, se refusent. Je ne cherchais plus a parler avec ni l’un ni l’autre, tous aussi bêtes, se justifiant mutuellement sans le savoir. Il faut se moquer un peu, ne pas tout prendre du bien et grappiller du mal.
Je dépensais beaucoup de la fortune familiale et dormais au château. Je n’attendais que vous. Ma famille ne s’était pas aperçue de ce quelle ne m’avait pas donné et me reprochait ce que je lui prenais. Votre amour. Nos regards se sont croisés. Vous étiez venu en tant que patron d’une entreprise de spectacle, en relation d’une autre chargée dévénements, et ainsi de suite, jusqu’à mon père qu’il vous était nécessaire de rencontrer. Nos yeux se sont figés. J’étais en bas de l’escalier, vous alliez vers le bureau au rez-de-chaussée.
Vous étiez tombé amoureux d’une « aristo » toute menue, rousse et blanche, de mes hanches rondes, mes seins de marbre et mes yeux noirs. Par mes taches de rousseur discrètes, de mon nez pointu et de ma bouche écarlate, comme un cachet de cire, vous avez été foudroyé. Ce fut aussi mon cas.
Vous culminiez à plus d’un mètre quatre-vingt, les cheveux noirs, souvent courts, un long visage assez rude, un sourire à fondre, les épaules solides. Vous étiez à l’aise tout le temps, partout, intelligent avec quiconque dans tous les contextes.
Je ne savais rien et vous m’aviez tout appris. Vous m’avez rendue belle et vous m’avez montrée. J’avais honte de mon corps et vous m’avez offerte nue à bien des amis, amies, inconnus et inconnues. Vous m’avez sortie de ma famille et de ma maison, me trimbalant, sexe à l’air et corps disponible, des nuits entières, en voiture, dans des chambres imprévues ou improvisées.
Des fois, plus de gens m’ont vu baiser ou être baisée, en une seule fois, que je n’en ai croisés dans les rues toute une journée. J’ai parfois connu plus de bites glisser dans ma bouche en un jour que je n’ai mangé dans la semaine. Plus de sperme s’est versé en moi, certains soir, que je ne me suis versé d’alcool les autres jours.
Vous m’avez fait découvrir, au propre comme au figuré, par le regard et le corps des autres, en me réconciliant avec mon instinct. J’aime les hommes et les femmes, non plus pour leur vernis, que pour leur matière. Je préférais l’intime avec autrui, l’émotion partagée, que le protocole entre nous.
Le sexe, toujours, n’a été qu’instantané ou improvisé, apprendre la pratique ou l’inventer, ou une sous-variante. Tout moment pour n’importe quoi est pour jouir. Je suis bonne à cela, sans préparation. Ailleurs ou autre chose, de préparé, n’a été qu’échec. Ma famille n’a jamais manqué de me le souligner.
Je tiens à vous aimer autant que le premier jour où je vous ai rencontré. On a beau retourner le problème dans tous les sens, je crois que le moyen le plus simple et le plus évident est de ne connaître de vous que ce que j’ai appris lors de notre première rencontre. C’est ainsi que nous nous vouvoyons avec le moins de banalité possible. Nous voulons nous retrouver et nous rencontrer sans cesse, l’amour intacte, sans l’encombrer de caractères individuels. Déjà, là, je ne me trompais plus et j’improvisai brillamment.
Nous voulons être l’un avec l’autre, permanent, entièrement, même dans la masse, continuer à nous aimer dans le refus de l’exclusivité. Ce qui nous importait, c’est la préservation du premier jour.
Peu à peu, nous refusions, finalement, de ne pas voir, bien au contraire. Voir, chez l’autre sur qui le regard, le cur ou le corps se porte. Et quoi faire de tout cela. Le premier jour où l’on s’est vus, nous étions parmi les autres, et on s’est plu tels que nous étions.
Mon enfance consistait à rejeter ce que j’étais pour devenir, paraître et mépriser, au bout du compte, ma personne et le reste du genre humain.
On fini toujours par rencontrer une réalité intangible, qu’on peut toujours refuser de voir chez l’élu et qu’on peine à réprimer chez soit, c’est qu’il y a l’amour et le sexe.
Je vous laisse vos femmes comme je garde mes amants.
Néanmoins, et c’est réciproque, je ne vous aime pas seulement que quand vous êtes avec moi. c’est toute votre personne que je vénère. Naturellement, vous aimez le sexe, avec d’autre femmes. Alors, j’aime vous voir, avec elles, et l’idée que l’on s’aime.
Je me suis libérée de l’obligation de devoir admirer un minimum celui avec lequel je vais. Puisqu’il n’est pas vous. Ils ne s’en plaignent pas.
L’amour n’est pas le sexe, mais l’amour n’en est pas exemptée.
Comme la plupart des femmes, celles qui le disent, je n’ai et je n’aime pas qu’un type d’hommes. Vous n’en faite partie d’aucun.
Comment dire ? Je les désire pour des moments différents. C’est mon corps, c’est mon âme, c’est tel que vous m’aimez. Quand on se retrouve, on se rencontre, comme au premier jour.
Les hommes se révèlent beaucoup plus doux ou sauvages, avec ou sans les circonstances, ils ne m’intrigue que davantage.
J’en n’aime qu’un, c’est entendu. Quand il s’agit de sexe, c’est différent. Je n’ai jamais entendu que cela devait se pratiquer qu’avec un seul. Il y a bien une morale en amour et il me semble bien une autre concernant le sexe. Rien à propos de ce préalable.
Ainsi sont-ils nombreux et différents.
Peut être ne fais-je que justifier mon instinct. Que le sexe n’est que cela.
Puisque le sexe, c’est essayer. Après, je vous rencontre, mon amour.
Nous rentrions d’une soirée, bien tardivement. Nous avions appris que le temps serait ensoleillé demain. Nous y étions déjà mais la nuit était encore là, bien noire. Pour nous rendre en voiture à l’appartement, à une bonne trentaine de kilomètres, on devait parcourir un chemin parallèle à celui qui passe par le garage où attendaient la décapotable. La décision fut rapide. Vous prîtes cette route et au bout de quelques minutes on stopperait à une porte basculante.
Derrière l’autre, patienterait la décapotable. On remontait la rue principale d’un village, son usine et son passage à niveau. Descendus de la voiture de sport, vous trouviez les clefs cachés dans un endroit sure. Vous ouvrîtes la porte basculante, entriez la BMW et refermiez. Vous triez ensuite dans le trousseau avec un air interrogatif. Vous alliez ouvrir l’autre garage quand vous vous rapprochiez de moi. Il y avait une troisième clef. Après ce genre de soirée, ce dont je vous ai déjà expliqué, et quelques verres d’alcool, on commet des choses étranges par curiosité. Je vous suivais alors que vous regardiez votre trousseau. Au bout des deux garage, le chemin de graviers continuait à gauche jusqu’à son bref terme. Un bas portail en tube cintré rempli par un grillage fermait un pré. Un bâtiment long était planté à droite de l’entrée. Vous marchiez devant moi, dans l’herbe haute, avec l’hésitation instinctive que l’ivresse commande et l’impression que l’obscurité cache toujours quelque chose sous nos pas.
Le bâtiment était peu haut et couvert de plaques de ciment ondulées. Ses murs étaient constitués des larges vitres opaques par la saleté et de briques rouges contenues dans une structure de ferrailles rouillées. La troisième clef ouvrait la porte en fer boursouflée par la peinture soulevée par l’oxydation rampante. Elle était entière et sans aucune vitre. Le propriétaire et responsable des garages avait fait quelque chose pour qu’il mette sa clef parmi celles qui nous servent. Lorsque j’écris que l’on fait des choses étranges, c’est qu’on cherche à savoir pourquoi. La lourde porte grinça et laissa notre vue se perdre dans un volume aussi grand que l’extérieur laissait penser. En gros, cinq mètres sur plus d’une dizaine, au moins. Les vitres créaient des surfaces grise tachetées au sol, à l’images qu’elles paraissaient. Des masses noires les traversaient et des griffes bruissaient sur le béton du sol. Je dus fermer la porte car je présentais qu’on allait faire une bêtise. Si j’avais dû m’expliquer sur le moment, j’aurais dis qu’ils ne fallait pas qu’ils s’échappassent. Vous ne m’aviez rien reproché mon amour, vous m’aviez comprise. Vous avez regardé autour de vous et avez vu une boîte avec une manette sur le côté. La lumière fut. Je portais une robe ivoire, le bas plissé et le haut fait d’une bande passant sur la nuque, cachant ma poitrine en rejoignant la ceinture. Ma coiffure était haute sur ma tête et j’étais perchée sur des haut-talons assortis à ma tenue.
Je me mis à genoux, mon amour, et j’enlaçai le collier de l’un des chiens, couleur fauve. « Viens toi ». J’humais son pelage, l’embrassai, déposant mes lèvres dans les profondeurs du poil chaud. « Hmmmm ! » Il partit. Je l’appellerais Pierre, il repassera.
Je recommençai avec un autre, un noir, disons Paul, qui me lécha. Je me laissais faire en vous regardant, mon chéri. Vous portiez votre costume noir et votre chemise rouge. Sa langue humide trempait tout mon visage. Vous bandiez. J’écartai discrètement mes cuisses et glissai ma main droite dans ma culotte. Souvenez-vous : dentelles blanches. Je me caressais, mon amour, tandis que je reniflais l’haleine brûlante du Dog Allemand. Je vous regardais vous masser l’entrejambe. Ma figure pleine de salive, ma main gauche allait sous son ventre. Je voulais vous choquer et vous émoustiller, mon chéri. J’ai touché le sexe du Danois noir, le fourreau, du bout des doigts. Vous sortiez le vôtre. Paul est parti. Je vous aime.
Un autre arriva, noir et blanc, je pris son organe dans ma main, je le secoua. Vous vous branliez, mon amour. La bite rose et humide du Dog Allemand, que je nommerai Jacques, sortait de son fourreau, grosse et molle. Ma main glissait vers ses couilles quand le bicolore s’en alla.
J’enlevai le haut puis mon soutien-gorge, lui aussi en dentelles blanches. Je pris le sexe d’un autre chien, José, un gris, et je le masturbai. Vous faisiez de même, par vous-même, mon amour. Je vous adore.
Je me mis à quatre-patte et j’approchai ma tête de son ventre. Je touchai sa bite avec le bout de ma langue. Je le suçai en vous regardant. J’allais de plus en plus loin en massant ses couilles. Je voulais que vous ne me quittiez pas du regard. Sa bite glissait dans ma bouche. Quand je m’arrêtai pour respirer, José s’enfuit.
Je ne voulais pas… Vous interrompre, je sucerai le suivant, sans attendre. Je vous regardais toujours mon amour, vous qui vous branliez en me regardant. Votre bite, dans votre main, désignait la fente rouge de votre costume noir. Celle du chien, un Danois noir, Martin, allait-et-venait sur ma langue alors que je lui malaxais la bourse, puis caressais les alentours de son anus.
Je pensais plus à nous qu’à lui, plus à vous qu’à moi. Je voulais l’exciter, et vous aussi, au plus haut point. Je me mis nue, descendant et dégrafant ma culotte et mon soutien-gorge en dentelles blanches, et m’allongeai par-terre, entourée par la multitude des grands et jeunes chiens. Je me caressais en ondulant. Je vous observais amoureusement pour vous émoustiller. Certains des Dogs Allemands me léchaient. Je vous aime.
Je me remis à quatre-patte et suçai un autre Danois, un fauve, Sylvain. Vous aviez votre bite dans votre mains ; je voulais que vous pensiez à moi, à vous, à nous. J’ai glissé mes fesses sous son ventre. Son sexe animal et humide se baladait sur mon cul. Sylvain, troublé, s’en alla.
Je m’occupai d’un chien gris, Arnaud, avec mes mains quand un chien, André, vint me renifler l’arrière-train, puis me lécha. Mon amour, cela m’excitait parce que cela vous excitait. Il écrasait sa truffe dans ma raie et sa langue fouillait au fond. Je respirais fort, impudique et folle. Mon chéri, je vous adore. Mous m’observiez en vous branlant.
Je caressais le pelage du plus grand nombre possible de Danois afin qu’il viennent tous se frotter à moi. Bientôt, j’en branlerais deux à la fois. Pierre le fauve, Jacques le bicolore, André le noir
Vous aimiez quand je faisais l’amour avec plusieurs hommes, connus ou inconnus, mais je ne pensais qu’à vous. Les Dogs se succédaient devant et derrière moi. Arnaud le gris, Paul le noir, Sylvain le fauve, José le gris, Martin le noir. Ils bandaient tous, dont vous, la queue rouge et immense pendant dans le vide. De plus en plus fous, ils vinrent par deux lécher le fond de ma raie culière. J’étais excitée comme jamais, mon amour, je ne savais pas jusqu’où nous irions, à moitié folle, à moitié apeurée.
Les danois commençaient à gronder et à se montrer les crocs ; quelques coups de griffent brûlaient mes mollets. Puisque cela vous excitait, comme moi, comme jamais, cela n’avait aucune importance. Je sentais des poitrines velues me caresser les fesses, de plus en plus haut. Je m’acharnais à attiser le plus possibles des bites qui voyageaient à la hauteur de mes yeux. J’en salivais de sucer ; cela devenait une chose ordinaire et vivifiante. Jacques le bicolore, Martin le noir, Pierre le fauve, Paul le noir
Je voulais faire, avec eux, ce que j’ai déjà fait avec vous, et vos amis. Je sentais les pattes m’encadrer de plus en plus mon arrière-train. Le souffle des chiens me chauffait le dos. Je ne rêvais que d’une seule chose, comme vous, qui me regardiez toujours en vous branlant, que l’un d’entre eux me couvre et, sans doute, pas qu’un seul.
Je vous aime tant, je ferais n’importe quoi pour vous plaire. Je voulais qu’un sexe, déjà, se promène quelque part sur moi, comme à l’instant, à défaut que ce soit sur mes fesses, je prenais leurs bites contre mon visage. Je les léchais en vous observant mon chéri. Ils s’étaient habitués à ma respiration et à mes cris. Arnaud le gris, José le gris, Sylvain le fauve, André le noir
J’aurais voulu à ce moment, et je l’imaginais, que vos copains eurent été là, puisque vous aimez m’exhiber nue, comme dans les lieux public où vous leur donniez rendez-vous. Comme les autres fois où des filles, ou leurs femmes, étaient là, je m’aurais régalée de les choquer, ainsi que vous adorez.
Les dogs allemands étaient-là, tout près de mois, tous, attendant de se faire tripoter à nouveau. À chacun son tour, ils combattaient leur peur de l’événement étrange qu’on leur offrait. De plus en plus, les chiens grimpaient sur moi. Les pattes avant décollaient du sol et s’écartaient. Les poitrines venaient sur mon dos, puis les ventres. Paul le noir, Jacques le bicolore, Pierre le fauve, Martin le noir
Je brûlais devant l’imminence qu’un sexe de chien, rouge et humide, touchât mon cul. Je vous souriait d’un air simiesque, mon chéri, mon amour, à cette idée. Puis cela se produisit. La bite d’André le noir, le noir, se mit à glisser sur le dessus ma raie. Je me mis à crier, d’un long cri honteux et pathétique. Vous alliez jouir, moi aussi. Le bout de chair divin débutait ses aller-et-retour, puis André s’en alla.
Je me repositionnais en urgence, comme une folle, pour qu’un autre danois me chevauche. Je n’avais plus aucune inhibition : je voulais qu’un chien me pénètre comme si j’avais attendu qu’un homme le fasse jusqu’ici.
Pour garder votre attention, mon amour, qui vous vous branliez, je fis ce que vous aimez que je fasse à un inconnu qui n’en était pas prévenu : je doigtais et léchais le petit trou d’un des chiens : Sylvain, le fauve. Je n’avais plus aucune importance à mes yeux, peut être moins que dans les leurs.
Je sentis un sexe bestial me toucher ; je glissai ma main gauche entre mes cuisses. Enfin, un de ces animaux me pénétrait :José, le gris. Une nouvelle fois, je laissai échapper un cri indigne.
Je vous regardais me regarder, mon amour. Je grimaçais sans doute, et pourtant vous m’aimiez encore, c’est ce que j’adore. Que pourrais-je faire d’autre ensuite ?
Le Dog Allemand rassemblait ses pattes avant autour de mes reins. Mes mollets et mes cuisses brûlaient, autant des blessures que de mon excitation. Je ne parvenais pas à m’arrêter de crier.
J’imaginais encore vos amis m’observer. Je ne pourrait pas m’empêcher d’y penser avant que cela ne se reproduise. En attendant, je vous provoquais, je vous montrais ma langue et vous envoyais des baisers. Je voulais paraître à vos yeux comme une traînée, une chienne.
José me baisait et vous vous déplaciez, bite à la main, pour mieux voir.
La moitié de ces animaux me passèrent sur le dos. Jacques le bicolore, Martin et Paul les noirs, Arnaud le gris
Pour les autres, l’excitation s’atténuait un peu, pas pour moi. Je voulais, puisque le vouliez sans doute, que je me serve comme une salope. Un chien qui se reposait, sans m’avoir baisée, était couché sur le flanc. Pierre, le fauve. Je vins, nue et brûlante, m’agenouiller, le branler et le sucer. Une fois remis en forme, j’enjambais sa bite avant de m’empaler dessus. Je vous regardais m’observer aller-et-venir, le gros sexe de ce chien dans mon ventre. Je souriais malgré-moi. Je fis ainsi, mon amour, avec les autres animaux. Je suçais de plus en plus tôt après ma pénétration. Sylvain, André, José
Je terminai ces bêtes en les faisant jouir, de plus en plus précautionneusement, sur mon visage, puis dans ma bouche. Comme avec vos amis, mon chéri, je terminais par aller sucer directement, sans m’interrompre, puis de faire décharger dans ma gorge, avant de vous montre, avant et après avoir avaler. Jacques le bicolore, Martin et Paul les noirs, Arnaud le gris
Je suis restée, ensuite, épuisée, allongée et nue parmi les Dogs Allemands. Vous êtes venu, après tout cela, me faire l’amour, nu vous aussi. J’avoue ne pas avoir été très présente, mais cela importe t-il ? Vous en fûtes satisfait, c’est tout ce qui compte.
On le refera, comme je l’ai dit, devant vos amis, en espérant que je n’ai pas trop banalisé l’acte à vos yeux. Je vous aime.