ANGÉLIQUE DÉPRAVATIONS (épisode 02)
Gérard, quarante-neuf ans et son épouse Angélique quarante-six ans sont devenus complètement libertins depuis quelques années, participant de plus en plus à des parties fines et même à des partouzes. Cest une façon un peu particulière de prolonger leur vie amoureuse et de mettre du piment dans leur quotidien. Gérard, dans la force de lâge est assez sec et musclé avec des cheveux châtain clair. Angélique est une très belle femme à la chevelure brune et longue, quelle ramène parfois en chignon. Ce jour là, ils participent à une réunion organisée par un de leurs amis, Serge de L., dans son château Renaissance de Sologne. Voir ANGÉLIQUE DÉPRAVATION (épisode n°01)
De retour dans leur chambre, Angélique curieuse et un peu inquiète demande à son mari ce qu’il a fait après qu’ils se sont perdus de vue pendant la danse. Il est vrai qu’ils se sont retrouvés par la suite dans la salle des supplices et qu’il a assisté aux instants cruciaux où son épouse se faisait prendre par la main énorme de Marlène, quelle avait enfoui entièrement dans son vagin, ensuite par la correction au fouet que ses fesses avaient dû accepter du maître des lieux. Mais Angélique voudrait bien savoir avec qui et comment Gérard avait pu passer plus de deux heures sans elle. Les femmes débauchées ne manquant pas à cette soirée, elle s’en est bien aperçue elle-même. Alors ?
Gérard est un peu embarrassé, bien qu’ils se racontent de plus en plus tous les deux. Alors il se décide à commenter le déroulement de sa soirée. Après leur séparation et après avoir changé de partenaire plusieurs fois en dansant, il s’est retrouvé à tenir dans ses bras une jeune femme brune de vingt-quatre à vingt-six ans, avec des yeux bleus très vifs. Il remarque aussi que cette jolie brunette très bronzée, possède une peau chaude et douce ; ses seins en forme de poire sont très bien faits, et les pointes remontent à travers le tissu très fin de sa robe. Ses jambes et ses cuisses sont nerveuses, un vrai canon quoi ! Elle se colle à Gérard, sa poitrine frottant contre son torse, ses cuisses s’ouvrant pour laisser passer un genou de l’homme contre son ventre qui se frotte contre le sexe qui a durci. Sa bouche vient se poser sur les lèvres de Gérard et sa langue se faufile pour s’entortiller autour de la sienne. Gérard a très chaud pensant que cette fille est cinglée, que vient-elle faire avec un homme de son âge ?
Elle lui demande tout en dansant comment il se prénomme, puis elle dit s’appeler Céline, être étudiante en psy et avoir vingt-six ans. Tout en bavardant Gérard n’a pu s’empêcher de passer une main dans sa robe entrouverte, tout en lui caressant un sein bien ferme. Mais elle n’est pas en reste, car de son côté, elle a laissé tomber une main le long de son corps et l’a glissé entre leurs pubis emboîtés l’un dans l’autre, et tout en dansant, elle masturbe la verge qui bande pour elle. Puis, elle dirige Gérard vers une alcôve fermée par un rideau en velours grenat, elle l’écarte et ils se retrouvent sur un grand divan accolé à un mur. Sans hésiter, elle se laisse aller en arrière et attire Gérard sur elle. Ils s’embrassent toujours passionnément, et leurs attouchements deviennent de plus en plus précis. Céline se dégage rapidement du corps de Gérard, et, s’agenouillant sur le divan, elle passe par-dessus sa tête la robe qui la couvre si peu, se retrouvant nue devant lui. Sa plastique est très belle comme l’avait si bien deviné son cavalier. Gérard enlève aussi son vêtement, alors que le couple se retrouve de nouveau enlacé. Céline fait preuve d’une initiative osée. À genoux, elle enjambe Gérard et s’allonge sur lui en continuant à dévorer sa bouche. Tout en se trémoussant, elle s’arrange pour avoir sa verge raidie par le désir, coincée entre ses cuisses. Se soulevant à demi, elle écarte légèrement les jambes et tenant d’une main ses lèvres vaginales entrouvertes, elle insère la queue turgescente dans sa chatte accueillante. Gérard ressent la chaleur et surtout l’étroitesse de cette grotte diabolique. Céline ayant enroulé ses jambes autour des siennes s’enfonce le vit qui a des soubresauts au plus profond d’elle-même, puis elle souffle à Gérard dans son oreille de ne pas bouger et d’apprécier ce moment si voluptueux.
À ce moment, une rousse aux yeux verts, et à la peau tachetée de points de rousseurs, s’approche du couple. Elle est nue, elle aussi, mais un peu plus grande et aussi bien faite que Céline. Par contre, on dirait qu’elle a des seins de petite fille à peine pubère, car sa poitrine est minuscule, alors que ses tétons sont très larges et auréolés de brun avec des bourgeons très gonflés. Cette fille qui doit avoir environ trente ans caresse les cheveux et le dos de Céline, puis elle s’agenouille, elle aussi, en écartant ses cuisses, offrant son entrejambe au-dessus de la tête de l’homme dont Céline a quitté la bouche. Elle avance doucement sa vulve vers la bouche qui vient de recouvrer sa liberté, s’arrêtant à quelques centimètres des lèvres de Gérard. Celui-ci constate avec surprise qu’elle a deux larges anneaux placés dans ses grandes lèvres, il comprend dans l’instant ce que cette femme attend de lui. Sa langue vient s’infiltrer dans les chairs offertes, humant et léchant le vagin à l’odeur musquée, car c’est une vraie rousse, son odeur ne pouvant le tromper, alors que la saveur de sa mouille est marquée, elle aussi, par une odeur forte et épicée. Il insère sa langue dans le vagin tout en étanchant la liqueur qui s’écoule, puis dégageant le capuchon du clitoris, il lui prodigue de petits coups de langue, l’absorbant délicatement entre ses lèvres, tout en mordillant doucement le bouton qui grossit et devient rouge-orangé. La rousse soupire de délectation et gonflant son pubis, elle asperge la bouche de Gérard de sa liqueur savoureuse.
Pendant ce temps, Céline s’est redressée à califourchon sur Gérard, et enlace la rousse et les deux jeunes femmes s’embrassent à langues entremêlées, se caressant leurs seins sans vergogne. Bientôt, comme la cadence s’accélère, Gérard pressent qu’il ne pourra plus se retenir très longtemps. La rousse, sa chatte dévorée par la bouche qui enflamme ses organes intimes succombe au plaisir charnel et pousse des gémissements frénétiques, tout en refermant violemment ses cuisses, ne pouvant plus supporter l’ampleur de sa jouissance incroyable. Céline s’acharne à se faire glisser la verge dans son fourreau étroit qui maintenant bave de la mouille qui s’écoule de sa vulve. Elle râle de plaisir en braillant son délire euphorique, alors que l’orgasme monte en elle jusqu’au plus haut point de son paroxysme, l’anéantissant brusquement dans sa recherche d’une sensualité démesurée. Lorsque Céline s’écroule sur lui comblée, Gérard ne peut plus se retenir, aussi, il laisse gicler son sperme par saccades au plus profond de la matrice vaginale qu’il inonde du foutre qui se mélange à l’abondante mouille que la jeune femme laisse couler en un flot torrentiel.
De longues minutes plus tard, l’homme et les deux femmes refont lentement surface, encore étroitement imbriqués les uns dans les autres. Céline en souriant présente sa meilleure amie Viviane, une Irlandaise de souche vivant en France depuis trois ans. Il se trouve qu’elle est médecin gynécologue dans la même clinique où Céline vient faire régulièrement des stages. Elle ne cache pas à Gérard que bien qu’aimant faire l’amour avec des hommes, elles entretiennent toutes deux des amours saphiques depuis deux ans. Gérard en est-il choqué ? Celui-ci rassure les deux jolies lesbiennes et complimente Viviane sur son français qu’elle parle avec une recherche soulignée par un très joli accent britannique. Ensuite, il leur demande franchement pourquoi elles ont fait l’amour avec lui, car il y a dans l’assistance beaucoup d’hommes plus jeunes et mieux membrés que lui. Céline sourit avec un coup d’il complice vers sa partenaire.
— Gérard, vous êtes d’abord charmant et vous avez sans aucun doute remarqué que cela fait plus d’une heure que nous avons des rapports agréables tous les trois. Je pense d’ailleurs que Viviane sera d’accord avec moi, nous sommes toutes les deux parvenues à une passionnante volupté dans nos ébats communs. J’ajouterais que nous ne sommes pas tout à fait désintéressées et que nous voudrions connaître votre point de vue d’homme mûr sur des questions que beaucoup de femmes se posent.
Gérard observe un peu goguenard.
— Merci pour vos compliments ma chère Céline. Si je comprends bien, c’est surtout l’homme du passé que vous voulez interroger ?
Viviane prenant la parole à son tour, avec son accent délicieusement charmant.
— Gérard, je vous remercie encore de ce fabuleux cunnilingus, je connais peu d’hommes qui savent se servir aussi bien de leur langue et de leurs lèvres, à part les femmes, bien entendu. Même si vous avez des pannes consécutives à votre âge, il vous restera toujours cette merveilleuse façon d’honorer la gent féminine. Croyez une grande connaisseuse en cette discipline.
Après un silence, elle reprend.
— Nous voulons tout simplement mieux vous connaître et éventuellement vous revoir plus tard. Nous écrivons actuellement Céline et moi un ouvrage sur le désir des hommes et des femmes qui ont passé plus de vingt-cinq ans ensemble et sur leur avenir sexuel. Nous savons par les fiches que vous avez remplies, que vous êtes marié depuis vingt-neuf ans avec la même épouse. Nous vous poserons des questions très indiscrètes sur votre couple si vous le voulez bien. Nous vous demanderons seulement de nous répondre sans réfléchir, les questions pouvant intervenir aussi lorsque nous ferons l’amour, Seriez-vous d’accord ?
Gérard amusé acquiesce en contemplant ces deux représentantes de la gent féminine qui ont toutes deux, et chacune avec sa propre personnalité, un corps si différent et particulièrement ravissant. Alors que la conversation se poursuit durant presque une heure, Viviane se penche vers Gérard, et prenant délicatement sa verge entre ses doigts, elle tente de la ranimer en la masturbant habilement. Pour l’aider dans cette tâche Céline absorbe entre ses lèvres le sexe qui se gonfle légèrement, l’aspirant et le suçant en serrant très fort la bite entre ses dents. L’érection ne tarde pas et Viviane demande à Gérard de venir la prendre. Celui-ci, tout en lui caressant ses petits seins qu’il gobe entre ses lèvres, engage son pénis dans la vulve entourée de poils roux, s’enfonçant lentement dans la cavité qui referme ses chairs sur son membre. Céline caresse les fesses de Gérard alors que celui-ci un peu surpris sent qu’elle lui fait même une magnifique feuille de rose. C’est la première fois que cela lui arrive et il comprend pourquoi les femmes adorent cette pratique. Mais Céline ne s’en contente pas, elle introduit profondément un doigt dans l’anus de Gérard qui se contracte tellement son étonnement est grand, car Céline fouille dans le cul de l’homme et vient caresser sa prostate. Celui-ci sent sa queue se gonfler et se raidir de plus en plus, décuplant son érection, aussi, il creuse et laboure le vagin de Viviane avec une passion enivrante. Céline ravage maintenant son cul avec deux, puis trois doigts réunis. Il sent la sève qui monte, sachant qu’il ne pourra plus se retenir très longtemps, surtout que Viviane contracte son vagin autour de sa verge et que Céline l’enculant proprement avec ses doigts, le font décharger d’un seul coup, ses couilles se vidant dans un flot effréné de sperme qui s’éjecte de son pénis par saccades. Viviane qui vient d’avoir un orgasme fulgurant l’embrasse amoureusement, alors que Céline se masturbe frénétiquement. Gérard est effondré par la tension de l’acte copulatoire qui a été trop forte, aussi il est incapable d’aider Céline dans la recherche de son plaisir. Viviane vient alors au secours de son amie, la broutant activement avec sa bouche et sa langue, tout en lui entrant un doigt dans son rectum, faisant partir également son amie vers d’autres planètes voluptueuses.
Après s’être reposé et avoir repris des forces avec les plateaux que Gérard, galant, a rapporté du grand salon, le trio reprend sa conversation érotico-psychanalytique. En fait, les deux femmes, désirent surtout savoir comment la libido de la femme et de l’homme vieillissant, évolue dans un couple qui résiste à la lassitude du quotidien, car les exemples des remariages ou des couples qui recommencement leurs vies n’est pas l’exemple qu’elles recherchent. Gérard précise que le désir de l’autre, même si cela paraît suranné est toujours là, considérant son épouse comme toujours désirable même après bientôt trente ans de vie commune. En fait, le seul gros problème vient de l’homme, alors que son désir trotte toujours dans sa tête, cela ne veut pas dire que son sexe puisse avoir une érection et qu’il puisse la conserver si elle lui revient. Il justifie alors la recherche qu’ils ont faite ensemble avec son épouse pour éviter l’infidélité et le divorce. Ils ont choisi le partage avec un ou plusieurs hommes ainsi que leur participation à certaines soirées « mélangistes » à préférer à celles des échangistes. Gérard atteste ne jamais revoir les mêmes personnes, cause certaine que leur couple s’est très bien trouvé de ce que certains pourraient appeler des « dépravations » sans grands risques. D’ailleurs, il précise que s’il a pu honorer ses deux jolies compagnes aujourd’hui, il le doit certainement à leur beauté et à leur habileté, mais aussi à ce qu’il baise régulièrement sa femme, le plus souvent possible.
Angélique qui a écouté en silence la confession de son époux, tout en mettant langoureusement sa tête sur son torse, caresse négligemment cette verge qui l’a si bien comblé durant de longues années. Elle songe soudain que son polisson de mari s’en va faire des petits voyages dans les conins de jeunes femmes endiablées sans qu’elle soit présente, puis d’un seul coup, elle réagit aux récits de Gérard.
— Mon chéri, cette Céline et cette Viviane. Ce ne sont pas les deux filles qui étaient suppliciées en même temps que moi ?
Gérard souriant.
— Oui bien sûr, ce sont des amies du maître de maison. Elles avaient très grande envie toutes les deux d’être exposées à la vue du public et de subir ces tortures. D’ailleurs, je les soupçonne d’être pour quelque chose dans ce qui t’est arrivé. Elles veulent d’ailleurs te connaître et t’interviewer.
Angélique, éprouvant une colère feinte.
— Oui et bien moi, j’étais complètement épouvantée et je n’ai pas trouvé cela amusant tout du moins au début. Tu es sûr que ce n’est pas toi qui leur as soufflé de me faire subir ce traitement effroyable ? Je les fouetterais bien moi aussi ces jolis petits culs de psy et de toubib. Il ne manquait plus que cela dans nos relations.
Gérard et Angélique se réconcilient sur-le-champ, riant de leurs mésaventures en s’embrassant et en se caressant. La verge de Gérard ayant atteint une belle taille durant le cours de son récit, il en profite pour l’enfiler prestement dans le vagin de son épouse, qui mouille abondamment des descriptions salaces que son mari lui confie. Elle en profite pour enfoncer un doigt dans le rectum de Gérard pour voir si sa narration est bien véridique, surprise de sentir la verge durcir et prendre une proportion qu’elle n’avait jamais atteinte jusqu’ici. Elle masse au plus loin la région de la prostate de son époux qui ne tarde pas à lui gicler son sperme alors que sa queue tressaute au fond de son vagin.
Une courte nuit réparatrice, ainsi qu’un petit-déjeuner servi dans leur chambre par la jeune métisse les remettent en forme. Après avoir fait leur toilette, les deux époux décident de faire un tour dans le parc. Gérard enfile un pantalon de toile et une chemisette, alors quAngélique passe une jupe ample lui arrivant au-dessus du genou, et un corsage froncé à élastique, permettant à ses seins libres sous le tissu, de sortir facilement par le haut ou le bas. Après réflexion, elle ne met pas de slip pour faire plaisir à son homme. Elle s’est habituée à présent à sortir en public même avec des robes ou des jupes courtes sans mettre de lingerie. Le parc du château clos de hauts murs, recouvre une cinquantaine d’hectares traversée par une rivière, alors que de nombreuses pièces d’eau sont disséminées un peu partout, notamment un grand étang destiné à la pêche situé au sud de la propriété. Après une heure de marche, le couple n’a pas rencontré beaucoup d’invités, se sentant bien seuls dans cette immense propriété. Lorsque Gérard et Angélique s’arrêtent sous une tonnelle pour se reposer, ils découvrent qu’il y a un grand fauteuil d’osier suspendu, ainsi que des coussins moelleux disposés à l’intérieur. Ils s’assoient tous les deux dans la nacelle et s’enlacent pour s’embrasser. Leurs baisers font bientôt place à des activités plus licencieuses, Angélique sort la verge du pantalon de Gérard et l’absorbe généreusement, la dévorant jusqu’à l’éjaculation. Habituée maintenant à avaler le foutre d’autres hommes, elle ne se prive pas pour absorber tout le jus que Gérard ne manque pas de projeter dans sa bouche. Celui-ci, après avoir récupéré, entreprend les généreux tétons dAngélique qu’il fait passer par-dessus le balconnet du corsage. Les seins majestueux prisonniers de l’élastique ont pris la forme de deux obus et les pointes dardent comme deux fusées. Gérard les suce à tour de rôle provocant chez son épouse un premier orgasme langoureux. Puis, ses mains baladeuses retroussent la jupe évasée, caressant les cuisses et les jambes encore superbes de sa femme épanouie. Il la fait basculer contre lui, son dos contre son torse en lui faisant largement écarter ses cuisses, puis il commence alors à la masturber activement, tout en s’apercevant que ses doigts s’humectent rapidement de la mouille qu’elle produit abondamment. Alors quAngélique ne tarde pas à éprouver deux autres orgasmes, il enfile alors trois doigts dans sa fente largement entrebâillée, commençant à faire pénétrer l’ensemble de ses doigts, essayant de renouveler ce que Marlène est parvenue à faire la nuit dernière, c’est-à-dire à plonger toute sa main à l’intérieur de la matrice distendue. Sa paume a bien du mal à s’infiltrer, car elle est large à cet endroit. Mais d’un seul coup, l’orifice sollicité s’ouvre et engloutit sa main, qui fourrage à présent sans ménagement dans la cavité devenue béante. Gérard tripote et explore l’excavation dans laquelle sa main clapote alors que ses doigts raclent les chairs enflammées, arrachant à sa femme des grognements et des soupirs de plaisir.
Cela fait un bon moment qu’ils sont occupés et que Gérard a troussé Angélique jusqu’au nombril. Ce faisant, ils ne se sont pas rendus compte qu’ils étaient observés de très près. Soudainement, un bruit dans le feuillage leur fait lever la tête et ils n’en croient pas leurs yeux. Un vieil homme habillé en garde et coiffé d’une casquette se tient à deux mètres de la balancelle, accompagné d’un jeune adolescent en culottes courtes qui doit avoir au plus dix-sept ans, ainsi que d’un chien-loup tenu en laisse. Ils ont l’air passionné par le spectacle qu’ils ont sous leurs yeux depuis apparemment un certain temps. Angélique est affolée par sa position impudique et par ses parties intimes qu’elle révèle à ce vieillard et à ce jeune homme. Rapidement, elle veut rabattre sa jupe et rentrer ses seins dans son corsage, alors que Gérard l’en empêche en lui tenant les bras et en l’empêchant de refermer ses cuisses avec ses jambes. D’ailleurs, il a une main toujours enfouie profondément dans la gaine vaginale de sa femme, pendant que celle-ci cache son visage dans la poitrine de Gérard en lui chuchotant sa honte à être exposée ainsi. Celui-ci goguenard s’adresse au vieil homme.
— Alors, mon brave, on se rince l’il ?
Le garde, bien qu’embarrassé, ne tarde pas à répondre.
— Ben Msieu, c’est bien joli ! Je veux dire votr’ dam, elle est bien jolie et mon ptit Fernand il commence à avoir des démangeaisons à ct’heur. J’veux pas déranger Msieur. Et sauf votr’ respect, vous pouvez continuer.
Gérard de plus en plus goguenard a une idée.
— Eh bien mon brave ! Votre petit Fernand ne voudrait pas faire son apprentissage d’homme ? Si vous voulez, il peut s’approcher de la dame et la toucher.
Angélique affolée, à voix basse dans l’oreille de Gérard.
— Tu es fou, arrête, j’ai tellement honte, un vieux et un gamin ! Je t’en prie mon chéri, laisse-moi me rajuster.
Gérard n’en tenant pas compte.
— Alors, vous vous décidez ? La dame accepte de se laisser toucher. Approche mon garçon. Regarde comment c’est fait une dame, approche ta main, tu peux faire comme moi et entrer tes doigts, et même ta main si tu veux.
Tout en parlant Gérard a retiré sa main de la matrice de sa femme, la maintenant fermement par ses cuisses l’empêchant de refermer ses jambes. Tous les trois ont sous leurs yeux le gouffre béant de la cavité qui palpite et dont les sécrétions ruissellent abondamment. Angélique est crispée et a même un mouvement de répulsion, mais elle sent aussi une certaine excitation qui la gagne. De se savoir grande ouverte devant ces étrangers, dont ce môme, la met en émoi, alors que le vieux s’approche avec le gamin. Celui-ci est tout couperosé et il a des yeux grands ouverts, ne revenant apparemment pas du spectacle qui se déroule devant lui. Gérard le tenant par un bras, approche sa main de la vulve qui bâille, puis il glisse les doigts du gamin sur la coquille béante, lui faisant toucher le clitoris bien tendu et turgescent. Angélique tressaille et tournant légèrement sa tête, elle profite de la scène qu’elle ose offrir à ces deux bouseux. Le garçon, s’enhardissant, commence à caresser la chatte offerte à ses désirs, puis comme le lui a suggéré le mari, il glisse ses doigts dans le vagin et entre doucement sa main. Angélique après un premier recul, se prête à la pénétration manuelle de ses muqueuses, commençant à frétiller et à se trémousser, tout en se délectant des doigts qui fouillent son intimité. Le gamin, devant l’agitation de la dame, retire sa main croyant qu’il a mal fait. Gérard le rassure et lui dit de faire ce qu’il a envie, puisque la dame a donné son accord et que cela lui fait du bien. Enhardi par ces encouragements, il farfouille alors sans ménagement la cavité onctueuse qu’il ne pouvait espérer approcher, il y a seulement quelques minutes. Il enfouit sa main dans la fente offerte, tentant même de rentrer la seconde. Angélique bien qu’inquiète de la suite de l’intromission qu’elle pressent imminente des deux jeunes mains réunies, encourage le gamin.
— Continue, c’est bon, tu me fais du bien, entre ton autre main mon chéri et remue doucement mon garçon, Oh ! Viens doucement. Pousse mon chéri, pousse encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii…….. !
Le garçon excité, entre profondément ses deux mains dans l’antre béant qui est inondé alors quAngélique pousse de petits cris brefs. Le garde et Gérard sont ébahis de voir le vagin se distendre autant sous les assauts du gamin qui agite ses doigts dans les chairs gorgées de mouille. Et d’un seul coup, Angélique se renverse, les deux mains du garçon, plongées à l’intérieur de sa matrice intégralement dilatée. Elle agite les jambes violemment éprouvant aussitôt un orgasme fulgurant.
— Oh ! Mon Dieu ! Oh ! Mon Dieu ! C’est incroyable, Oui ! Enfonce, encore, encore, enfonce. Oh ! Mon Dieu ! Je jouis ! C’est inimaginable combien je peux jouir. Oui, mon enfant, encore, fais-moi encore jouir. Aaaaarrrrrrrrrr……
Le garçon devant les cris horrifiés de la dame, fait un saut en arrière, mais Angélique se relevant le couvre de baisers en lui faisant toucher ses seins et lui susurre quelques mots à l’oreille. Alors celui-ci penche sa tête vers l’intimité de la femme, embrassant et lapant le sexe si gentiment offert. Elle se trémousse ravie de cette mignardise qui provoque instantanément un nouvel orgasme dans son corps en folie. Alors dégrafant la culotte courte du gamin, elle l’attire vers elle en le tenant par sa queue qui est toute raide, puis elle se la glisse dans son vagin grand ouvert, disant au garçon d’aller et de venir en elle. Se souvenant comment elle faisait après ses accouchements, elle resserre sa gaine vaginale contractant ses muscles, faisant comme le dit l’expression « casse-noisettes ». Fernand est à la Fête, car il ne pensait pas que c’était comme cela l’amour, même s’il en avait rêvé bien sûr. Mais là, c’est pour de vrai. Oh ! Que c’est bon. Mais d’un seul coup, il se vide éjaculant violemment alors que sa verge se dégonfle rapidement. Mais la dame le retient avec ses mains passées par-dessous elle, lui malaxant délicatement ses bourses. En même temps, elle accentue son « casse-noisettes », provoquant bientôt une vigueur nouvelle au jeune garçon qui la pénètre à nouveau. Angélique, qui a son idée, le laisse faire deux ou trois allers et retours, puis sortant le pénis de son vagin, elle bascule un peu en arrière, et se l’enfourne dans l’anus à sec. Le gamin ne s’est rendu compte de rien sauf que c’est un peu plus serré, aussi il recommence à s’agiter en cadence, poussant sa jeune verge dans le rectum de la femme sans le savoir. Angélique râle de plaisir, bien partie, pour avoir encore un autre orgasme de son conduit rectal cette fois et d’un seul coup, elle se déchaîne se projetant furieusement vers la bite du gamin qui la fait tant jouir.
— Oh ! Que c’est bon, continu mon petit, tu es adorable. Va-y continue, fort, encore, encore, défonce-moi le cul. Va-y, ne t’arrête pas. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr !
Le garçon se vide à longs jets, étreignant violemment et avec ardeur le corps désirable et convoité de la maîtresse femme. Angélique reçoit avec délectation et ravissement la semence de ce jeune mâle qui la fait brailler de plaisir. Cette fois, le gamin est vidé, regardant piteusement sa verge flasque d’où coule un petit filet de foutre. Il se reculotte et s’enfuit dans les bois, honteux. Durant tout ce temps, le berger allemand du garde a tiré sur sa laisse et, lorsque le jeune garçon décampe, il fait trébucher le vieil homme qui s’étale de tout son long. Le chien en profite, pour sauter dans l’entrejambe d’Angélique, la humant et léchant la mouille et le foutre qui coulent du vagin. Celle-ci, surprise est paniquée et tétanisée, le laisse faire, sans oser le repousser. Le garde se relevant veut se précipiter pour rattraper son chien lorsque Gérard le retient tout en contemplant la scène, se délectant de cet intermède inattendu. Le chien dont les pattes s’appuient sur les seins opulents d’Angélique, lèche l’entrejambe avec sa langue râpeuse qui pénètre dans le vagin grand ouvert, et même, ressortant sa langue il lape le cul qui bave aussi.
Angélique n’ose pas appeler son mari, voyant bien qu’il regarde la scène avec concupiscence, et puis elle ressent des sensations extraordinaires. Elle avait lu que la langue d’un chien sur des parties aussi intimes procurait une jouissance spéciale. Elle ne peut que constater que c’est bien le cas, aussi elle ouvre encore plus ses cuisses à l’intromission de la langue de l’animal. Elle a un peu peur d’être mordue, surtout à cet endroit si sensible, mais la tentation est la plus forte et elle se prête au léchage avec délectation. Bientôt le chien qui a sa verge rouge et pointue dardée vers le ventre offert, pose ses pattes sur les épaules d’Angélique, l’enfile d’un seul coup en se mettant à frétiller et à faire des va-et-vient très rapides tout en éjaculant un foutre abondant sans discontinuer. Gérard fait signe à Angélique de ne pas bouger et de se laisser faire. Celle-ci a bien compris, surtout qu’elle a peur que le chien reste coincé une fois qu’il aura éjaculé. Cela arrive parfois et il faut faire appel à un vétérinaire, pour qu’il fasse une injection de tranquillisant au chien afin qu’il se détende. Pourvu que cela n’arrive pas. Quelle honte de se faire voir dans un tel équipage ! Mais, elle est tout de même étonnée de bien sentir le sexe du chien dans son vagin. Quand il l’a pénétrée, il était très long mais pas très gros, mais il a dû gonfler à l’intérieur et maintenant, il la remplit complètement. La rapidité des coups de verge du chien ainsi que la chair un peu râpeuse de son enveloppe raclant ses muqueuses, lui fait bientôt venir un autre orgasme, puis elle en a deux fulgurants à la suite pendant que le chien éjacule toujours tout en restant collé à sa vulve. Gérard est inquiet de cette situation, mais le garde lui glisse dans le creux de l’oreille de patienter, que la nature va faire son effet. Angélique, maintenant ses cuisses grandes ouvertes et n’osant pas bouger, contemple avec effroi la grosse boule rouge sang qui sort à peine de sa fente. Lorsque le chien se dégage de la femelle qu’il vient de coïter, le garde le tire par son collier et l’emmène avec lui, tout en jetant un coup d’il en coin sur la vulve offerte et dégoulinante de cette chienne en chaleur. Sûr, qu’il en aurait bien profité. De son côté, Angélique n’en peut plus, ayant eu plus que son compte avec les émotions qu’elle vient de vivre, aussi Gérard doit la soutenir pour rentrer au château. Ses jambes semblent en coton alors que la soirée qui se présente, songe t’elle, risque d’être encore très épuisante. Gérard lui fait prendre un bon bain avec des sels et des huiles pour la remettre en forme puis il la masse longuement avec des huiles parfumées sur tout le corps. Elle en a bien besoin, songe t-elle, car après la nuit dernière exténuante et cette journée bucolique, que va-t-il encore lui arriver ce soir ?
A suivre
LYCAON