Après avoir fait l’amour avec Antoine, voilà que Vanessa m’embrassait, je ne comprenais plus rien, mes deux meilleurs amis qui me complimentaient, m’embrassaient, passé l’effet de surprise de ce baiser, je posai la question à Vanessa.
— Pourquoi tu as fait ça ?
— Oh c’est juste un petit bisou. Viens, on va se rafraîchir, tu en as besoin ma puce.
Je suivais Vanessa dans la salle de bain laissant Antoine seul dans le salon. Elle ferma la porte derrière elle à clef. Elle me retourna et m’embrassa de nouveau mais cette fois ce ne fut pas un bisou mais un vrai baiser, forçant mes lèvres pour y faire passer sa langue. Ses lèvres sont douces, la caresse de sa langue sur la mienne aphrodisiaque, de nouveau je mouille mon string, cette boule de chaleur dans mon ventre, je la prends par la taille pour la coller à moi, je ne lâche pas sa bouche. Ses mains glissent dans mon dos, se posent sur mes fesses. En experte, elle défait la fermeture éclair et ma jupe glisse au sol. Elle passe sa main dans mon string, je sens son doigt sur ma rondelle qui y pénètre. Ça y est je suis à elle, elle le sait, elle peut maintenant faire de moi ce qu’elle veut.
— Tu es vraiment une petite accro au sexe
— Je suis encore excitée par ce qui s’est passé avec Antoine.
— Je vois ça, ton petit cul qui frétille à peine on l’effleure, ton string trempé, et tes tétons qui pointent.
— Pourquoi tu as fait ça ?
— J’ai envie de voir pourquoi Antoine te préfère à moi, à part ton joli petit cul, je ne vois pas ce que tu as de plus que moi.
— Je ne sais pas Vanessa pourquoi.
— En tout cas il a raison tu as un cul bon à être défoncé et qui en redemande, mais là j’ai surtout envie de ta langue
— Tu veux quoi ?
— Passe ta main dans mon pantalon tu vas comprendre
Je glissais ma main entre sa peau et la ceinture de son legging pour y découvrir une petite culotte trempée, je caressais doucement son sexe à travers et elle commença à se tortiller.
— Oui ma coquine, c’est bien tu comprends vite.
Je passais ma main dans sa culotte afin d’être en contact direct avec son sexe. Je découvrais grâce au toucher sans le voir le sexe de mon amie. Sa bouche se collait à la mienne, ses baisers étaient intenses, ses mains palpaient mes fesses. J’étais de plus en plus excitée.
— Vas-y ma chérie, baisse mon pantalon.
Je fis ce qu’elle me demanda et découvris une petite culotte blanche, qui était devenue transparente tellement elle était trempée. On aurait dit qu’elle avait fait pipi dedans. Ce que je n’avais pas remarqué sur son legging noir.
— Tu vois dans quel état tu m’as mise, maintenant, tu vas goûter à une vraie fille, viens me bouffer la chatte.
Je me baissais et descendis sa culotte, je plaquais ma bouche contre son sexe luisant et commençais à la lécher. Elle plaqua ma tête fortement contre sa chatte et je m’imprégnais de sa cyprine.
Était-ce la saveur de son sexe, l’excitation, ma tête tournait, je ne pouvais plus décoller ma langue, je découvrais son clitoris, son vagin enfonçant ma langue profondément, j’avais oublié où j’étais, seul le plaisir m’importait, je jouissais mon string trempé depuis un moment se remplit de sperme. Je ne vis pas qu’elle avait déverrouillé la porte, Antoine entra et me vit la tête plongée entre les cuisses de Vanessa, cette dernière gémissant de plaisir.
— Tu vois Antoine, c’est juste une petite pute accro au sexe, peu importe qui la chauffe, dès qu’elle est excitée elle fait tout ce qu’on lui demande.
Je levais la tête vers Antoine, le visage couvert de cyprine. Les yeux remplis de larmes, elle avait joué avec moi par jalousie, me punissant ainsi de lui avoir pris Antoine.
— Elle aime le sexe et cela me va très bien Vanessa, d’ailleurs tu as l’air d’avoir beaucoup aimé ce qu’elle t’a fait.
— Tu ne vois pas qu’elle est prête à tout pour du sexe
— Comme toi, vous vous ressemblez de ce côté-là, tu n’as pas hésité à venir me voir et me sauter dessus quand tu en as eu envie et maintenant, tu te fais lécher par elle et à voir ta tête et ta chatte trempée, tu as aimé.
— Je voulais te montrer qu’elle ne serait pas fidèle.
— Je ne lui demande pas d’être fidèle, je veux juste qu’elle m’aime et qu’elle soit heureuse, et toi là tu veux quoi maintenant ?
Je ne comprenais pas tout ce qui se passait, j’étais toujours à genoux, une main posée sur la fesse de Vanessa sa chatte odorante près de mon visage. Je ne pus résister et replongeais entre ses cuisses et recommençais à la lécher. Aussitôt, elle se remit à gémir plaquant fortement ma tête contre son sexe. Je rentrais ma langue dans son vagin, elle gémissait de plus en plus fort. Antoine nous fit nous tourner sans que je la lâche, et se positionna derrière Vanessa et sans lui laisser le temps ou l’envie de dire non, il lui écarta les fesses et le pénétra. Léchée et prise par-derrière, ses gémissements se transformèrent en cri et elle se mit à jouir fortement.
— Tu es aussi accro qu’elle, tu t’es laissé prendre comme elle
— Salop, tu as eu ce que tu voulais
— Toi aussi, je t’ai prise et Frédérique sest occupée de ta chatte.
Alors que je reprenais mes esprits, je les regardais tour à tour. Je venais de faire l’amour à mes deux meilleurs amis dans la même soirée et avec chacun d’eux j’avais pris mon pied. Nous étions maintenant de retour dans la chambre d’Antoine, Vanessa me dit qu’il fallait que je me nettoie avant de rentrer. Je filais dans la salle de bain pour me laver et retoucher mon maquillage. Vanessa vint me rejoindre.
— J’ai envie que tu mettes ma culotte, elle est encore trempée, comme ça tu penseras à moi en rentrant. Et donne-moi ton string.
— Il est plein de sperme, j’ai joui dedans en te léchant.
— Justement
Nous avons donc échangé nos dessous et je remettais mon jean qui plaqua sa petite culotte sur ma peau. Je sentais l’humidité de la culotte sur ma peau et cela m’excitait de nouveau. Vanessa enfila ma jupe et mit son legging dans un sac.
— Je te la ramène demain.
Une fois prête, nous avons rejoint Antoine pour qu’il nous ramène à la maison. Au moment de déposer Vanessa, elle m’embrassa ainsi qu’Antoine et nous remercia pour cette soirée. Antoine me déposa en prenant soin de se garer un peu avant la maison de mes parents. Nous échangeâmes un long baiser avant de nous séparer.
Je rentrais à la maison, personne en bas, je rejoignais ma chambre. Je me mis en nuisette en conservant la culotte de Vanessa. Je m’endormais la tête pleine de rêves érotiques. Au réveil, je me changeais, prenais une culotte propre et enfilais un legging et un pull avant de rejoindre mes parents.
— Alors ma chérie tu as passé une bonne soirée ?
— Oui très bonne.
— Vous avez fait quoi chez Vanessa ?
— Sandrine arrête, tu es trop curieuse, laisse-lui un peu d’intimité.
— Ce n’est pas grave papa. Vanessa voulait nous voir car elle s’est fait draguer par un gars sur le Net et elle s’est rendu compte que c’était lun de nos anciens profs.
— Ah bon ?
— Oui rien de grave mais elle a trouvé ça drôle.
— Je trouve ça plutôt inquiétant.
— Maman faut juste faire attention.
— Ah au fait Vanessa va passer tout à l’heure. On va se faire une aprèm fille, maquillage, manucure, etc.
— Pas de soucis ma puce, c’est bien que tu sois proche d’une fille.
A la fin du repas je regagnais ma chambre, maman m’y rejoignit.
— Tout s’est bien passé hier soir ?
— Oui maman une soirée tranquille, ça fait du bien de retrouver ses amis.
— Je suis contente pour toi que ça se soit bien passé, j’avais peur que tous tes anciens amis ne veuillent plus te voir.
— Si, c’est comme si rien n’avait changé. On est toujours aussi complice.
— Je te laisse te préparer.
— Maman ?
— Oui ma fille
— Ça te dérange si je m’habille très fille, j’ai envie que Vanessa me voie comme une vraie fille maintenant et je n’ai pas envie de porter un jean ou un legging.
— Tu t’habilles comme tu veux, tu es assez grande pour ça. Il faut juste choisir sa tenue en fonction de ce que tu veux. Si tu te mets en jupe avec un garçon, ça peut être pris pour un signe mais entre filles pas de soucis.
— Merci maman
— Fais-toi belle ma chérie.
Je sortis plein de fringues de mon armoire, je finis par choisir un top en dentelle noir, un ensemble shorty et soutien-gorge noir, j’enfilai un collant fin couleur chair et arrêtai mon choix sur une jupe courte en jean, coupe ajustée. Je faisais un aller-retour à la cuisine et pour prendre de quoi m’occuper de Vanessa. J’avais tout préparé et papa me regardait faire.
— Ma chérie tu t’es faite toute belle.
— Laisse ta fille tranquille, elle se fait plaisir et profite pour porter ce qui lui fait plaisir. Tu es splendide ma fille
— Merci maman, merci papa.
A 13h Vanessa était là, 10 minutes avec mes parents et nous avons filé dans ma chambre. Elle portait un petit haut rose à fines bretelles sous un blouson léger, une jupe droite, des collants opaques et des ballerines noires.
— Tu es sexy ma belle
— Merci toi aussi, c’est rare de te voir aussi fille
— J’ai une sérieuse concurrente maintenant
— Arrête, je ne suis pas ta concurrente.
— Non je crois qu’il a aimé s’occuper de nous deux hier soir. Je ne pensais pas qu’il me prendrait comme ça et là je comprends ce que tu as pu ressentir, c’était une première pour moi.
— Ah bon et tu n’as pas eu mal ?
— Si mais j’étais tellement excité avec ta langue que le plaisir a vite pris le pas.
Elle s’approcha de moi, me plaqua contre elle pour m’embrasser et poser sa main sur mes fesses.
— C’est pour moi que tu t’es faite toute belle ?
— Un peu oui et aussi car je me sens mieux quand je suis vraiment une fille.
— Alors si tu es une fille, je vais te montrer comment moi je peux être un mec.
Elle remonta ma jupe, et me claqua les fesses.
— Vire-moi ce collant tout de suite
— Je…
— Tais-toi et obéis.
Alors que j’ôtais mon collant devant elle, elle sortit de son sac un gode ceinture qu’elle passa par-dessus sa culotte sous sa jupe.
— Allez petite pute, viens lécher ton jouet.
J’obéissais aux demandes de Vanessa, soumise à ses ordres. Je me mis à genoux et me glissais sous sa jupe pour avaler ce sexe factice. Je m’activais, j’en avais mal à la mâchoire, mais je le faisais avec beaucoup d’envie. Je sentais mon anus palpiter au fur et à mesure que je m’activais. Elle me demanda de me relever et de me positionner, à moitié allongée sur mon lit, elle remonta ma jupe, baissa mon shorty. Elle présenta son faux sexe entre mes fesses et me prit sans ménagement. Il était plus gros que le sexe d’Antoine, elle se lâchait totalement, me pilonnant avec force, ce n’était plus une jeune fille délicate mais une furie. Elle me fit jouir trois fois avant d’arrêter. J’étais totalement épuisée.
— Alors ma petite garce, tu aimes te faire défoncer. Et là ça ne s’arrête pas, il reste toujours en forme.
— J’en peux plus tu m’as détruite.
— Je voulais savoir jusqu’où tu tiendrais et je peux te dire que tu encaisses dure
— J’ai envie de toi comme hier soir, te donner du plaisir
— Et moi je ne veux pas. Bon maintenant tu m’as promis une manucure et un maquillage.
Frustrée, le cul en feu par ce qu’elle m’avait fait, j’essayais de me concentrer sur ma manucure et mon maquillage. Quand je fus satisfaite, nous allâmes voir mes parents qui me félicitèrent pour mon travail. Vanessa était superbe. Je ne pouvais que la trouver belle et j’avais envie de son corps. Après cette pause, nous annonçâmes à mes parents qu’on allait finir l’après-midi chez Antoine.
— Il est gâté d’avoir deux aussi jolies filles pour lui.
— Papa, arrête
— Ta fille a raison.
— Désolé les filles.
Nous sommes donc partis à pied chez Antoine, Vanessa profita que l’on traversait le parc pour me pousser dans les toilettes.
— Tiens enfile cette jupe, elle te correspond mieux.
Je me retrouvais avec une mini-jupe au ras des fesses, je n’avais jamais porté une telle jupe. A la sortie, tous les garçons me regardaient. J’étais mal à l’aise.
— Alors tu vois là tu es dans ton élément, une petite allumeuse.
— Pourquoi tu fais ça ?
— Parce que ne me dis pas que tu n’aimes pas ? Bon Antoine nous attend, il a hâte de te défoncer.
— Vanessa je veux rentrer chez moi.
— Tu te tais et tu fais ce que je te dis c’est tout.
— D’accord
— Tu vois le gars sur le banc qui te matte ?
— Oui
— Retourne aux toilettes, et attends-moi dans la cabine handicapée en laissant la porte ouverte
— Hein ?
— Fais ce que je te dis c’est tout
Alors que je faisais demi-tour, Vanessa alla trouver le garçon, ils entrèrent dans la cabine. Le mec baissa directement son pantalon et son caleçon.
— Maintenant à genoux petite pute et suce-le.
Une fois encore la vue d’un sexe m’excita, je ne protestai même pas et me mis à sucer cet inconnu, il me tenait la tête et fini par littéralement me baiser la bouche. Il se vida et je dus tout avaler. Pendant ce temps, Vanessa me filmait sous toutes les coutures. Le mec une fois vidé quitta la cabine sans un mot.
— T’es vraiment faite pour ça petite pute
— Je ne suis pas une pute
— Si tu l’es.
— Je ne veux pas être une pute pourquoi tu m’obliges à faire ça ?
— Je ne t’ai pas obligé à le sucer, tu t’es littéralement jeté sur sa queue pour la prendre en bouche. Avoue que tu aimes avoir une bite en bouche.
Je ne dis plus rien et nous retrouvâmes Antoine chez lui, j’avais encore le goût du sperme dans la bouche quand il m’embrassa. J’étais rouge de honte mais Antoine semblait ne pas l’avoir remarqué. Il nous complimenta sur nos tenues, le maquillage de Vanessa, la trouvant hyper féminine et moi hyper sexy. Il ne résista pas longtemps à poser ses mains sur moi. Il caressait mes cuisses, mes fesses, puis sa main s’attarda dans ma culotte. Sur mon sexe, c’est la première fois que l’on me caressait le sexe ainsi et à travers la dentelle la sensation était énorme. Il se pencha sur moi et tout en sortant mon sexe, l’avala. Il était en train de me sucer. Vanessa proposa de changer de position, elle fit de même sur le sexe d’Antoine, j’explosais dans sa bouche alors qu’il se retenait avec Vanessa, il m’embrassa, déversant mon sperme dans ma bouche. Quand il fut sur le point de jouir, Vanessa remplaça sa bouche par la mienne et j’avalai le sperme d’Antoine.
J’étais pleine de sperme, celui d’un inconnu, le mien puis celui d’Antoine, je me mettais à aimer ça. Dans ma tête repassaient les paroles de Vanessa. Je me sentais vraiment pute maintenant.
— Antoine tu vois elle adore ça, je te l’avais dit une vraie petite pute. Elle a avalé ton jus, le sien et avant de venir celui d’un inconnu.
— Oui c’est vrai une vraie nympho, elle te ressemble beaucoup en fait
— Oui chéri
Je venais de comprendre le manège du week-end, d’abord me séduire, me faire croire que j’étais la seule. Tous les deux avaient tout prévu. Mais je ne leur en voulais même pas. Je me sentais bien à ma place, heureuse.
— Il ne reste plus qu’une chose à faire ?
— Oui mon chéri
— Lui donner sa chaîne de cheville en signe d’appartenance
— Elle est dans le tiroir.
— Maintenant tu porteras ceci en permanence, signe que tu es à nous. Tu nous obéiras en tout temps et en toutes circonstances.
— Oui je vous obéirais.
Je les regardais s’embrasser alors que je me débarbouillais. Honteuse, je rentrais à la maison. Je fis un arrêt aux toilettes du parc pour enlever la minijupe. Un homme âgé m’y avait suivi alors que j’allais fermer la cabine, il glissa sa main et entra. Il me bloquait la sortie.
— T’es une petite salope d’allumeuse toi à te trimbaler ainsi. Tu aimes te faire remarquer.
— Je ne suis pas une salope
— Menteuse, regarde ta tenue,
Il me coinça et glissa sa main sous ma jupe.
— Encore mieux une petite pédale, je vais te défoncer
— Monsieur non
— Ta gueule, je ne veux pas t’entendre, si tu ne voulais pas te faire remarquer il ne fallait pas sortir ainsi.
Il me retourna sans ménagement, releva ma jupe et écarta mon shorty, son sexe pointa mon anus et y pénétra.
— On voit que tu as l’habitude petite pute, il est bien large ton cul.
Pour la deuxième fois de l’après-midi, je me faisais prendre, si je pleurais au départ, je finis par gémir et nous avons joui ensemble, alors qu’il me remplissait les boyaux, je remplissais ma culotte de sperme.
— C’est bien ma chérie, je vois que tu aimes ça. Reviens ici souvent et je m’occuperais de toi.
Il partit me laissant dans les toilettes. J’enfilai un tampon et changeai de jupe avant de rentrer. Je faisais bonne figure devant mes parents et décidais de me coucher tôt. Demain sonnait le retour à l’institut et nous partions de bonne heure. Je fis ma valise, me changeais sans ôter le tampon, j’aimais le fait d’être pleine de sperme. Je repensais à ce week-end. Ainsi j’étais une pute, accro au sexe peu importe avec qui. Un garçon, une fille, un vieux, j’aimais être souillée, défoncée, avaler du sperme.