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Un temps de chien – Chapitre 1

Un temps de chien - Chapitre 1



15 Janvier 2008, il pleut, il pleut, les journées sont tristes et longues. Mon petit ami, un maître chien part demain pour 1 mois de stage théorique sur le comportement canin. Nous n’habitons pas ensemble, et évidemment c’est à moi que reviens la tache de garder son chien, un berger allemand. Cela ne me dérange absolument pas car j’apprécie fortement ce chien dominateur. Avec mon ami, nous avons déjà essayé quelques expériences avec son chien. Il faut avouer que nous sommes très très sexe, tout est prétexte à baiser n’importe où avec n’importe qui.

16 janvier 2008, 16h30, Yoann arrive avec un sac à dos, et son fidèle chien Rex, nom pas très original. mais bon.

La gare se trouve à 500 mètres, et le train part à 17h15, ce qui nous laisse le temps de se dire au revoir.

Je me fous à poil, Yoann enlève sont jean et s’assoit sur le canapé. La bite déjà toute dur, sont gland pointe vers le plafond. Son gland perle d’excitation, je m’agenouille devant lui et engouffre entièrement son membre dans ma bouche chaude et baveuse. Je le branle brutalement tout en lui pompant fort le gland qui devient tout rouge. Ses veines gonflent sur son braquemart, il gémit de bonheur. de douleur. Le bonheur et la douleur pour le plaisir de se faire pomper, dégorger, traire la bite jusqu’à la dernière goutte pour son plaisir, pour mon plaisir rien d’autre ne compte !

La bite luisante de salive, dégoulinante de son précieux liquide d’excitation, je m’empale facilement et directe jusqu’au couille. Je bande également très fort, ma bite me fait mal, ma tête tourne, je me déchaîne sur ce gros morceau de chaire qui est planté au plus profond de moi. Je me défonce l’anus brutalement comme si j’essayais de faire rentrer ses couilles, il crie, je gémis en me branlant puis je sens des contractions au fond de moi contre ma paroi. il éjacule encore et encore c’est chaud, c’est doux, c’est merveilleux car je me vide aussi au même moment sur mon ventre et mon sperme me glisse sur les couilles puis tombe sur le sol. Dans un état d’extase toujours empalé et de dos à Yoann, je pose mon dos sur son torse. Entre temps Rex se délecte de mon sperme tombé sur le sol, puis remonte sa tête au niveau de la bite de son maître toujours planté dans mon cul et commence à lécher. Il donne de grand coup de langue sur mon anus et sur les couilles de son maître. Cette sensation redonne de la vigueur à Yoann et sa demi érection rebande bien dur dans mon conduit chaud humide et bien lubrifié.

Brutalement j’enlève sa bite de mon cul, et reprend son sexe dans la bouche. Elle est bien gluante et odorante comme je l’aime. Rex a toujours sa langue râpeuse sur ma rondelle et me décrasse le fion. Je sens ses dents, la chaleur de son souffle sur mon anus, je suce avec application le gland de Yoann et au bout de quelques minutes il décharge toute sa purée dans ma bouche. J’avale difficilement, mais j’avale tout.

On a pas vu le temps passé c’est presque l’heure de son train, Yoann enfile vite son jean remballe sa bite m’embrasse, et part rapidement.

Bon. je vais être célibataire pendant 2 semaines.

Nu sur le canapé, la bite gluante, le cul plein de sperme et la bouche collante, je me recroqueville et m’assoupis. 19h, mon portable sonne. Yoann est bien arrivé à destination et en profite pour me dire que mon petit trou lui manque déjà.

17 janvier 2008, ayant des jours de repos à rattraper je décide de rester à la maison et de m’occuper de Rex. Ce matin c’est décidé, je vais laver le chien.

Rex qui sans m’en apercevoir, a squatté mon lit ne m’écoute pas quand je l’appelle. Je hausse le ton et là il grogne doucement. Mais pour qui il se prend ce clébard, c’est pas parce que son maitre me baise que je dois me rabaisser et me laisser dominer par ce chien. Quoique.

Je le tire par le collier et l’emmène dans la douche. Je commence par le mouiller et là, ce gros salaud se secoue et je me retrouve entièrement mouillé. Je décide de me mettre à l’aise et je me met à poil, cette situation n’est pas sans me déplaire et commence par m’émoustiller, je bande.

Je rentre à nouveau dans la douche, et commence à savonner le dos du chien. Puis je frotte ses pattes avant, arrière, la tête, le ventre et arrive le moment où il ne reste que son sexe. J’appréhende, j’ai déjà tripoté le chien, mais son maitre était toujours présent. Il me fixe droit dans les yeux, comme si il me donnait l’autorisation de le toucher.

J’approche ma main de son sexe, et je comme à faire coulissé sa bite dans ma main. Rex se cambre légèrement, j’astique plus rapidement et là, un gros bout rouge pointe du fourreau. Quelques giclées, et son braquemart sort entièrement c’est énorme au moins 20 cm !

Je le branle énergiquement, il ne bouge plus, il semble au ange, très excité, de mon autre main je me paluche aussi. Je lâche son sexe, me fout à quatre pattes, Rex me renifle l’anus, me lèche. Je me branle plus vite, je sers mon gland très très fort, je tremble c’est l’extase. Je lâche mon sexe, et me caresse l’anus, je me titille la rondelle et me glisse directement deux doigts. Rex me regarde envieux, je reprends ma masturbation et là Rex monte sur mon dos m’agrippe avec ses pattes et commence à donner des coups de reins dans le vide.

Je le laisse s’exciter, se frotter contre mes fesses et j’éjacule à grand jets sur le sol. Je presse ma bite et la donne à lécher à mon compagnon de jeux.

Je sèche Rex puis utilise la même serviette pour mon corps, j’ai envie d’avoir son odeur sur ma peau.

Après-midi sage, petite ballade dans un petit jardin, et plateau repas devant la télé. Mon portable sonne, c’est un collègue de travail, qui m’invite à son anniversaire demain soir dans un pub privé, et j’accepte avec plaisir.

Ce soir, je ne serai pas seul au lit, Rex va me réchauffer. Je me déshabille devant Rex qui a déjà pris place sur le lit. Je rentre sous la couverture et il se faufile dessous et se couche contre mon corps. Ces poils doux, sont corps chaud contre ma peau me procure une drôle de sensation et un bien être qui me fais aussitôt bander. Je me touche le torse tout en lui caressant la tête. Ma main descend sur mon sexe et je me masturbe tout en le serrant contre moi. Je lui fait de petits bisous sur le museau, et accélère ma branlette et éjacule en quelques secondes. un record ! Je lui donne mon sexe à nettoyer. Je sens sa grosse langue râpeuse sur mon gland c’est divin.

18 janvier 2008. Journée sans grand intérêt. Fin d’après midi, je décide de ne pas me doucher pour garder l’odeur animal que mon corps dégage, mais lubrifie mon petit trou. c’est mieux d’être toujours prêt..

Je sors Rex pour une grande ballade comme il va passer la soirée seul a la maison.

20H j’arrive au pub, il y a déjà pas mal de monde, je reconnais quelques personnes et d’autres me sont inconnus.

J’avance vers le buffet après avoir serré plusieurs mains et fait quelques bises, pour prendre un verre de sangria. Au même moment, je saisi le même verre qu’un homme tente de prendre. Un homme, non, un super mega top jeune homme. Pas très grand, mince légèrement musclé une figure aux traits fin. Chevelure noire avec quelques mèches fines qui tombent sur son visage. Je le fixe droit dans les yeux, il me souris et me fixe également. Je lâche le verre de sangria, qu’il porte à sa bouche, trempe ses lèvres pulpeuses, boit une gorgée, puis me tend le verre et me dit. Bois le reste à ma santé mon chéri, et part discuter avec un groupes de personnes. Abasourdi, rouge comme une pivoine, gêné, intrigué par ce mec, voire même troublé, je pars en direction des toilettes avec mon verre.

J’avale ma sangria d’une traite et pense à ce mec, je pousse la porte des toilettes, et quelqu’un me bouscule par derrière, et la lumière s’éteint. Dans le noir, je suis plaqué contre le mur, une main me pelote la bite à travers mon pantalon, et je sens des lèvres se poser sur ma bouche qui se fait violer l’entrée par une langue chaude et baveuse. Je me laisse faire c’est excitant, j’espère de tout mon cour que c’est le mec de la sangria. Il s’agenouille, sort ma bite qui bande très fort et l’enfourne dans sa bouche. J’ai peur d’être surpris dans cette position, peur de voir la tête du mec, car ce n’est peut être pas celui que j’espère. Il me pompe, sert mes couilles dans ses mains, il me fais mal, c’est trop bon, il sais y faire avec une bite. Il arrête de sucer, me branle énergiquement et au moment d’éjaculer enfourne a nouveau mon sexe pour avaler ma semence et me nettoyer le gland. Le temps de remballer ma bite, la porte c’est ouverte et le mec est parti. Dommage pas eu le temps de le voir.

J’allume les toilettes, me regarde dans la glace heureux de cette petite partie, mais c’est malin car maintenant j’ai le cul en feu et j’ai très envi de me faire mettre.

Je retourne vers les invités, au loin j’aperçois de dos mon bel inconnu. Je me sers une sangria, je le fixe, mais ne se retourne toujours pas. Je prend mon courage à deux mains et part dans sa direction et le heurte doucement. Son regard pénètre le miens, et me dis : alors c’était bon.. Je rougis et il continue. c’était bon la sangria ?

Merde c’est peut être pas lui qui ma fait une flûte dans les chiottes, je sais plus où me mettre, il me regarde puis pousse une mèche de mes cheveux qui me tombe dans les yeux. Il me prend par le petit doigt et m’attire dans un couloir désert. Il me fixe, puis me pousse contre le mur et sans me laisser parler me roule une bonne pelle. Maintenant je sais que c’était lui dans les wc, sa salive à un goût de sperme, mon sperme.

Pendant quelques minutes, on se tripote, caresse, on s’embrasse sans échanger aucune parole. Il est beau, je semble à son goût également. Une porte claque ont sursaute et arrête net. Il me souris et tourne les talons pour retourner à la petite soirée. Bordel, je bande, j’ai l’anus qui mouille, une envie irrésistible de me prendre une bite.

La soirée continue mais j’en ai marre et décide de me casser, il faut absolument que quelqu’un me saute, je suis tellement chaud que le premier venu va y passer.

Je sors et me dirige vers le métro, 23h y’a pas grand monde, je monte dans la rame et qui je vois derrière moi ? Eh oui mon bel inconnu. Il s’installe a coté de moi et on discute. Je suis tout tremblant d’émotion, il me trouble et il le sait, il en profite. Il s’appelle Xavier à 23 ans et à un charisme énorme. Beaucoup de point commun et surtout une grande soif de SEXE et D’AVENTURE.

Arrivée à destination Xavier me prend par la main et m’entraîne dans une rue sombre puis tape un code sous un porche qui donne accès a un couloir gris et vétuste. Il en profite pour me mettre la main au cul et me rouler une pelle. Je le suis au quatrième étage et ouvre la porte d’un appartement, petit mais bien agencé. Décoration typiquement gay, portrait et photos d’hommes nus sur tous les murs.

Il me demande de me mettre à l’aise avec un petit clin d’oil et disparaît dans sa chambre. Message reçu, je me fous a poil, me sert un whisky et m’allonge sur le canapé, j’attends.

5 minutes plus tard, xavier arrive nu avec un cockring en cuir a la base du sexe relier par une courroie sur le torse jusqu’à un collier autour du cou. Il se penche vers moi empoigne mon sexe et commence par le lécher comme une glace. Ma main caresse sont corps imberbe et mon doigt s’insinue dans sa raie pour titiller son petit trou. Mon doigt est stoppé par un énorme plug enfoncé au plus profond de son cul.

Il suce divinement bien, il m’écarte les jambes et commence par me lécher la raie, puis mon petit trou qui coule, qui mouille comme un torrent.

Xavier se positionne et me pénètre d’un coup sans capote jusqu’au couille, le souffle coupé, j’halète. Il me défonce brutalement mais avec une tendresse dans le regard. Il s’active dans mon fourreau chaud et mouillé. Il me regarde, s’arrête, me renifle et me demande d’où vient l’odeur enivrante animal de mon corps. Il aime, tant mieux. Je lui réponds innocemment que c’est peux être l’odeur de mon chien, puis Xavier continue de me baiser.

Il retire sa bite de mon cul et me la plante dans la bouche. Je suce a m’en décrocher la mâchoire, je lui bouffe la bite, les couilles, enlève sont plug et enfile 3 doigts dans sont cul. Je le doigte et suce en même temps et a ce rythme la, me gicle dans la bouche. J’avale tout. Exténuer Xavier se couche a coté de moi en me branlant a nouveau et me fais juter en moins de deux. Il me demande de ne pas me laver.

Crever, ont s’endort enlacé le corps en sueur et plein de sperme.

19 janvier 2008, je rentre au petit matin. Rex me fais une joie comme jamais, fatigué, je vire mes vêtements, il me renifle et m’agrippe la jambe pour se branler. Amusé je le laisse faire. Excité comme un chien en rut, son énorme sexe entièrement sorti de son fourreau, il se branle contre ma jambe. Ma queue se met aussitôt au garde a vous, je m’allonge au sol et j’attrape sa bite et commence a le sucer. Trop longue, je ne peux pas tout enfourner dans ma bouche. Il donne des coups de rein comme pour me baiser la bouche, il soupir tout en éjaculant sans arrêt dans ma bouche et sur mon corps. Je laisse son odeur et son sperme sécher sur mon corps, je ne me lave pas car son odeur m’enivre.

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