Nous allons nous coucher les uns après les autres, tous ivres du plaisir que nous nous sommes donné aujourd’hui, ajouté au très bon repas préparé par Thomas et aux effets de la framboise de la grand-mère des jumeaux. Quand Eric et moi regagnons notre chambre, Enzo et Marc sont déjà couchés et nous faisons le moins de bruit possible pour ne pas les réveiller.
Le lendemain matin, réveil de bonne heure. L’équipe du GIPN a prévu de quitter le refuge à six heures et nous devons renoncer à dormir plus longtemps. Nous faisons nos adieux aux six beaux mecs rencontrés au hasard de cette randonnée et j’ai encore l’esprit envahi par ce que nous avons vécu la veille. Tout le monde s’échange des poignées de main viriles. Sauf Fabien qui nous embrasse et me glisse à l’oreille ;
J’ai adoré te sucer hier… ta queue est d’enfer… on voit que tu sais te faire pomper et que tu aimes ça.
Je suis sensible à sa gentillesse.
Thomas nous a préparé notre pique-nique avec toujours autant de gentilles petites attentions. Vient le moment de nous quitter.
Vous y allez les gars ?
Oui…
Sentiment de regret et de tristesse.
J’ai été super content de faire votre connaissance.
Nous aussi, merci pour ton accueil Thomas. Tu es…
Je ne sais pas quoi lui dire. J’ai déjà de l’amitié pour lui et je sais qu’Eric partage ce sentiment.
Tu as été… formidable avec nous…
C’est vrai ? Ça me fait plaisir.
Merci.
Merci à vous.
Nous nous prenons dans les bras les uns des autres et nous emparons de nos sacs chargés à fond. Personne n’a envie que les adieux s’éternisent.
Nous marchons à un bon rythme le matin. L’effet de ces quelques jours d’entraînement se fait sentir et le dénivelé est moins difficile à avaler. Arrivés à midi, nous posons nos sacs qui approchent les vingt kilos chacun et ajoutent tout de même de la difficulté à la journée. Nous pique-niquons dans la bonne humeur. Eric et moi nous comprenons mutuellement et je me sens totalement heureux à ses côtés.
Eric se met debout et se déshabille. Il n’y a pas de lac à proximité pour aller se baigner. Il sort sa serviette et s’allonge sur le ventre. Nos regards se croisent. Je pense que j’ai compris son message silencieux.
Je m’allonge à côté de lui et commence à lui caresser le dos, les reins, les cuisses avant que ma main remonte sur ses fesses divinement poilues. Il gémit sous l’effet de mes caresses. Il écarte ses jambes musclées et je caresse entre ses cuisses ses grosses couilles et sa queue dure écrasée contre le tissu de la serviette. J’arrive à découvrir son gland et à caresser doucement la face inférieure de ce bonbon viril qui me trouble profondément. Il écarte encore plus les jambes. Je me lève, me mets à poil et viens m’agenouiller entre ses cuisses. Je continue mes caresses. Mes mains se posent sur les deux lobes musclés de son cul à se damner, les écartent et offrent à mon regard le plus beau petit anus rose et poilu qu’il m’ait été donné d’admirer de près. La peau de sa rondelle de mec, froncée, si tendre et douce, me donne des frissons.
Mon index effleure cet orifice intime et interdit. Il gémit de plaisir. Il découvre probablement une nouvelle forme de plaisir. Peu de mecs osent demander ce genre de choses à leurs copines… Je laisse couler un filet de salive dans sa raie velue et continue mes caresses circulaires sur son trou qui palpite sous mes doigts. Puis, ne tenant plus, je me penche, écarte encore plus ses fesses et viens poser la pointe de ma langue contre son anus offert. Il sursaute.
OH… P……
Je le laisse apprécier.
Encore ?
Ouiiiii. C’est presque un murmure, mais j’entends sa volonté.
Je commence alors à lui bouffer le cul, tout doucement d’abord, la pointe de la langue, des coups de langue légers… puis de plus en plus appuyés. Mon menton remplace ma langue pour le caresser tout le long de cette raie dont la douce fourrure me caresse le visage et me fait bander à fond. Je sens un filet de precum couler de mon gland.
Puis je reconnais le bruit. Celui étrange, mais identifiable, du drone de nos copains du GIPN.
Tu as entendu ?
Oui.
On…
On continue.
Eric est désormais totalement à l’aise avec sa sexualité.
En me penchant sur l’anus d’Eric, je sais que j’offre à la caméra une vue imprenable sur le mien et je fais confiance à Marc et Nicolas pour en faire des images qui feront se dresser. Immédiatement, les belles queues juteuses des mecs du groupement quand ils travailleront sur le montage de la vidéo.
Eric soulève son cul pour profiter encore mieux des caresses de ma bouche, de ma langue et de mon visage tout entier enfoui dans sa toison anale. Je bande trop pour pouvoir continuer longtemps. Je me relève, prends une capote et du gel dans la poche extérieure de mon sac à dos et me prépare. Je reprends ma place entre les jambes écartées d’Eric qui est maintenant à quatre pattes, soumis et offert à mon désir.
J’enduis soigneusement son trou de gel. Je mets deux doses, ses poils touffus absorbant une partie du lubrifiant.
Paul….. viens…
Oui Eric….. j’en meurs d’envie.
Fais-moi l’amour….. doucement s’il te plaît…
Bien sûr… tu me dis si je te fais mal…
J’appuie mon gland contre l’anus de mon ami. J’ai le cur qui bat, parce que je sais plus ou moins que je suis amoureux d’Eric et aussi parce que je suis le premier homme à enfoncer sa queue dans son corps viril. J’ai presque peur de débander tant mon émotion est grande, mais mon désir est trop puissant. J’enfonce mon gland. C’est serré. Très serré,
Eric se contracte et se dégage.
Tu as mal.
Un peu… la peur aussi.
Détends-toi…
Il respire, je lui caresse le cul, ses fesses poilues me fascinent.
Essaie.
Il m’invite à reprendre, il est plus détendu et souple et son anus s’entrouvre doucement. Je rentre mon gland qui bute sur l’anneau intime, le force tout en douceur et passe la frontière interdite. Je m’arrête. Eric respire profondément. Je sais que la première le sentiment d’être envahi est des plus étranges… mais on ne l’oublie jamais. Je reste immobile. A lui de décider. Il s’est déjà offert à moi.
Il prend une profonde inspiration et s’enfonce millimètre par millimètre sur mon sexe dur. Je vois la peau rose de l’anus, tendu par ma pénétration, glisser le long de mon sexe. Il reste plusieurs centimètres avant qu’il vienne se coller à mon pubis, mais je me sens accueilli divinement dans son cul serré.
Paul…
Oui ?
C’est bon…….
Tu aimes ?
Oui…
Tu aimes que je te fasse l’amour ?
Oui…
Même sans bouger, ma queue se contracte sous l’effet du sperme qui monte.
Tu vas jouir ?
Oui….. je sens que ça vient….. je vais bouger un peu… tu me dis si tu as mal.
OK.
Je commence de très lents va-et-vient dans la rondelle d’Eric qui s’assouplit de minute en minute. La bonne dose de gel que j’ai étalée aide mes mouvements sans qu’Eric ait des sensations désagréables.
J’entends les mouvements du drone qui tourne autour de nous. Je l’ai oublié, mais quand j’y pense par intermittence je suis content qu’il soit là. Je suis heureux en fait que ce moment magique de confiance de la part d’Eric soit conservé.
Je passe la main sous le ventre d’Eric pour prendre sa queue. Elle est dure et mouillée. Je suis un peu surpris que pour une première fois, la pénétration ne l’empêche pas de bander, mais je le comprends comme une manifestation de la force de son désir et du plaisir qu’il ressent à m’offrir son anus vierge.
Je suis au bord de l’explosion. Pour cette première fois, je ne veux pas essayer d’autres positions. Eric a choisi celle-ci, il me donne un plaisir fou. Je continue à aller et venir tout en douceur au fond de lui, ma queue enfoncée aux deux tiers entre ses poils.
Paul…
Oui…
Je vais jouir…
Vas-y….. jouis au fond de moi…
Ces mots… ses mots… il ne m’en faut pas plus pour venir à bout de ma conscience. Je vois chaque goutte de mon jus monter, jaillir de mon gland et se répandre dans le réservoir du préservatif caché au fond de mon doux ami.
OHHHHH P…….
Je ne peux m’empêcher de crier mes émotions. Eric, les muscles tendus, reçoit mon dernier assaut. Son anus chaud sur ma queue est un cadeau du ciel que je n’oublierai jamais. Je ne veux pas le quitter. Eric s’effondre à plat ventre et je m’allonge sur lui, la queue toujours serrée dans son cul magique. Je ne suis plus moi. Je ne débande pas. Nous sommes emboîtés l’un dans l’autre et cela suffit à nous déchirer de bonheur. De longues minutes passent, j’ai conscience de chaque millimètre carré de ma peau collée à la sienne. Nous ne sommes plus qu’un. Je finis par me relever et dégager mon pénis de l’anus lubrifié. Eric se retourne, et assis, retire la capote de ma queue avant de lécher les dernières gouttes de sperme sur mon gland. Ses yeux sublimes plongés dans les miens me font rebander aussi sec.
Tout est dit. Nous nous rhabillons rapidement et en silence et reprenons notre équipement. Le drone s’approche comme pour nous saluer puis disparaît derrière l’horizon.
Avant de reprendre notre marche, Eric me prend dans ses bras et me dit :
Je n’oublierai jamais.
Moi non plus.
Je ne peux pas parler maintenant. Mais c’était magique.
Il passe la main derrière ma nuque et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons. Ce baiser non plus je ne l’oublierai jamais.