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Guillaume, le joyeux zoophile – Chapitre 1

Guillaume, le joyeux zoophile - Chapitre 1



Cette histoire s’est déroulée il y a quelques années. J’étais alors un célibataire blasé par la vie. Je menais une existence sans véritable but et vivais modestement en tant que livreur. Mais c’est aussi à cette époque, qu’une rencontre particulière a changé ma perception de la vie…

Ce matin-là, comme tous les jours, je m’en allais acheter une baguette à la boulangerie du coin. Il y avait toujours quelques chiens qui erraient aux abords des petits commerces. Mais ce jour-là, quelque chose attira mon regard. Il s’agissait bien d’un chien, que je distinguais un peu plus loin dans un coin, à proximité d’une poubelle. Il semblait être dans un état lamentable, mais je ne m’en suis pas approché tout de suite. J’ai juste décidé d’acheter un petit pain aux lardons, en plus de ma baguette habituelle.

J’étais devenu quelqu’un de très indifférent avec le temps. Mais ce jour-là, face à la détresse de cet animal, je n’ai pu me faire à l’idée de passer mon chemin. Alors, je suis ressorti en direction de la pauvre bête. C’est quand je fus assez proche, que je compris qu’il s’agissait d’une femelle et probablement d’une chienne perdue, car elle portait un collier. Toute tremblante et toute maigre, elle restait prostrée dans son coin. Et bien qu’elle se léchait les babines, elle fut incapable de se lever pour prendre le petit pain que je lui tendais. C’est alors que j’ai compris qu’elle avait une patte arrière cassée. Elle était vraiment dans un sale état.

Comme je n’aurais pas pu m’en aller sans avoir mauvaise conscience, j’ai préféré faire quelque chose pour elle. Je décidai donc de l’emmener chez le vétérinaire le plus proche. Ainsi, je suis revenu avec ma voiture et l’ai mise à l’arrière. Je me suis dit que j’aurais exceptionnellement du retard au travail pour aujourd’hui. Et dès que le cabinet fut ouvert, je confiai la chienne aux bons soins du vétérinaire. Bien sûr il a fallu avancer un peu d’argent, mais je comptais bien me faire rembourser, une fois le propriétaire retrouvé.

Ce fut donc en fin de journée que je suis repassé prendre des nouvelles de la malheureuse patiente. Et j’ai eu droit à un rapport complet ! Patte plâtrée, analyse sanguine, jusqu’à un toilettage anti-puces. Je n’ose me souvenir du montant de la facture. On pouvait dire qu’ils étaient très consciencieux dans ce cabinet vétérinaire et surtout soucieux du poids de votre portefeuille. Mais bon, c’était ma démarche et je devais l’assumer, en attendant le propriétaire. J’ai donc passé les jours suivants à essayer de le retrouver. Annonces, affiches,… Sans succès. Je me retrouvais alors à m’improviser propriétaire de chien.

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Au bout d’un mois, je finis par abandonner tout espoir de le retrouver. Mais après avoir fait tout ça, je n’allais pas à mon tour renvoyer la pauvre chienne à la rue ! De plus, cette dernière n’était pas si encombrante. Comme elle était toujours convalescente, elle passait beaucoup de temps dans son panier, accessoirement mon "ex-panier à linge". Et je ne savais pas si c’était dû à son état, mais elle était plutôt silencieuse, donc plutôt facile à vivre.

Mais un jour il arriva, ce que l’on pourrait appeler un "incident". En effet, en tant que célibataire, j’avais mes habitudes bien à moi. Et jusque-là, tout se passait plus ou moins bien. J’étais alors dans ma chambre, allongé sur la moquette, occupé à me masturber devant un bon film dédié à cet effet. On connaît tous ce moment de flottement, de demi-conscience qui suit la jouissance. C’est un moment où l’on est particulièrement vulnérable.

Alors que je reprenais peu à peu mes esprits, je sentis quelque chose de chaud et d’agile sur le bout de mon pénis. C’était la chienne qui était en train de lécher le sperme. Mais dans l’état où j’étais, je n’aurais pas pu la repousser. Et ce qu’elle faisait était si agréable, qu’il n’y avait aucune raison de l’en empêcher.

Je restais là encore quelques instants, à réaliser ce qui venait de se passer. Mais la chienne était bien là à se lécher les babines, comme si elle s’attendait à une nouvelle giclée, prête à tout laper encore une fois. J’avais oublié, que son plâtre avait été enlevé et qu’elle jouissait désormais de toute sa mobilité. Mais cet oubli fut heureux, car jamais je n’aurais osé lui présenter mon sexe à goûter. Et dans la fièvre du moment, j’ai aussi pensé que cette gentille chienne avait voulu me remercier d’avoir pris soin d’elle. Une sorte de reconnaissance instinctive, que j’avais appréciée en tout cas.

C’est alors que je me suis laissé aller à des pensées, qu’un célibataire dans ma situation pouvait se permettre. J’ai donc attendu une dizaine de minutes et me suis remis à me masturber. C’était drôle, mais je trouvais qu’une chienne n’était pas si repoussante après tout ! Bien que je ne m’y connaissais pas en race, je trouvais que celle-ci ressemblait un dingo, avec son pelage fauve et assez court. Elle avait les mamelles qui pendaient, signe d’une portée récente. Et selon les dires du vétérinaire, il n’aurait pas été étonnant que cette chienne avait servi de mère porteuse, avant d’être abandonnée. Mais cela n’expliquait pas la présence du collier.

Toutefois, ce n’était pas ce qui m’importait sur le moment. La chienne n’avait pas cessé ses coups de langue, alors que je continuais à me donner du plaisir. Et soudain, je me suis surpris à vouloir regarder la croupe de l’animal. Pas si mal visuellement. Et bien que je me sois risqué à caresser l’extérieur de la vulve bombée, j’ai préféré ne pas aller plus loin cette fois-là. A l’endroit où se trouvait sa gueule, je ne pouvais pas me risquer de lui être désagréable. Je me suis alors contenté de lui céder ma nouvelle production de semence.

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Après cette agréable expérience assez soft et une nuit de réflexion, sur les possibilités qu’offrait cette nouvelle partenaire inattendue, je me suis mis en tête qu’un accouplement était envisageable. J’avais déjà vu pas mal de vidéos sur le sujet, mais de là à le pratiquer, cela représentait un sacré pas !

J’ai alors pesé le pour et le contre. La chienne s’était toujours montrée docile envers moi et plutôt affectueuse. Et grâce au fameux bilan sanguin effectué un mois plus tôt, je savais qu’elle ne souffrait d’aucun parasite ou d’une quelconque infection. Le vétérinaire avait conclu que cette chienne n’était pas restée très longtemps à la rue. Quelques semaines tout au plus. Ce qui ne l’avait pas empêchée d’être en contact avec d’autres chiens, comme en attestaient les traces de morsure au cou. Je me suis alors dit que son collier lui avait certainement sauvé la vie. Sa patte cassée, sûrement due à un choc avec une voiture. Et si cela n’avait pas eu raison d’elle, la faim aurait eu le dernier mot. Bref, elle revenait de loin.

Conclusion, si je faisais fi de la "morale" et que la chienne se montrait coopérative, rien ne m’empêchait d’avoir des relations sexuelles avec elle.

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Je me suis assis sur le canapé et j’ai sifflé ma chienne. Alors, après avoir testé son humeur avec quelques caresses, j’ai défait mon pantalon et lui ai présenté ma bite, prêt à la ranger au cas où. Mais le contact fut rassurant. Donnant des coups de langue généreux, l’animal m’envoyait plutôt un bon signal. J’arborai alors assez vite une belle érection. Et pendant que cette femelle s’occupait de moi, j’orientais tout doucement sa croupe dans ma direction pour reprendre mes caresses, là où je les avais arrêtées la veille.

Au bout de quelques minutes, je me suis senti prêt à faire le grand saut. J’estimai alors que nous étions dans la position idéale, pour initier le rapport. Je me suis montré prudent, préférant agir à l’instinct. Eh oui, aucun manuel n’expliquait la façon dont il fallait s’y prendre pour s’accoupler avec une chienne et les vidéos n’étaient pas si fiables. Mais après tout, l’accouplement était une chose naturelle, commune aux deux espèces. Je misais donc sur une approche douce et progressive, accompagnée de caresses.

Je fis reculer tout doucement la chienne, jusqu’à ce que nos sexes soient suffisamment proches. Là, mes mains se sont attardées sur les flancs de l’animal, car les caresses semblaient lui être plus agréables dans cette zone. Et peu à peu, je tentais une pénétration. Mon sexe était tellement couvert de bave, qu’il n’y avait plus besoin de lubrification.

J’appréciais ma progression dans cet antre si agréable et pourtant si différent de ce que je connaissais. En effet, il y faisait bien plus chaud que chez une femme et l’anneau vaginal semblait exercer comme une succion, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je m’amusais à regarder mes doigts aller et venir dans ce pelage fauve, ne laissant aucun doute sur la nature animale de ma partenaire. J’étais réellement en train de baiser une chienne et c’était très agréable !

Et les balancements de sa queue, alors que la mienne était en elle, montraient aussi que la sensation était partagée. Je me sentais alors un peu plus sûr de moi. C’est ainsi que tout doucement mes mains glissèrent sous le ventre de la chienne, à la rencontre des mamelles. J’avais lu quelque part que cette partie était très sensible, surtout durant l’allaitement et me suis dit que si la chienne se laissait faire, cela signifierait qu’elle se soumettait totalement à moi. Je les palpais alors une à une délicatement, en scrutant ses réactions, prêt à cesser immédiatement si je constatais un agacement de sa part. Mais la chienne semblait se prêter volontiers à mes caresses d’homme. Je me disais que cela s’accordait très bien à cet accouplement, si différent à coup sûr de ce à quoi elle était habituée.

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Pendant que je la prenais, je me plaisais à imaginer un instant cette situation vue par un narrateur omniscient:

— La chienne était comme enivrée par sa présence, sentant son mâle à la fois en elle, mais aussi tout autour d’elle. Elle ne pouvait comprendre totalement ce qu’elle éprouvait. Mais elle pouvait ressentir l’excitation de son mâle et instinctivement, se cambra davantage pour l’accueillir plus profondément. Elle lui donnait alors un contrôle total. Ce qui n’avait pas échappé à Guillaume, qui comprit qu’il pouvait se laisser aller à un mouvement plus ample et plus assumé. Les mains posées sur les hanches de sa partenaire, il accéléra encore le rythme. Il espérait qu’il ne se montrait pas trop brutal avec elle. Mais il était encore loin du compte, car l’animal en avait connu d’autres. En effet, une chienne en chaleur était capable de satisfaire une dizaine de mâles d’affilée. Alors un homme seul, représentait une partie de plaisir.

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C’est cette pensée qui me fit revenir à la réalité. Son séjour dans la rue, ces traces de morsure au niveau de la nuque et dont le collier gardait le souvenir. Cette chienne, que j’étais en train de prendre, s’était certainement déjà fait saillir par plusieurs mâles ! Mais au lieu de me dégoûter, cette idée m’excita davantage et peut-être était-ce mon instinct animal, mais je ressentis comme une envie soudaine de la féconder. Me plantant alors au plus profond de ma femelle, je lui ai cédé toute ma semence de mâle en rut.

Et après avoir retrouvé mes esprits, je me suis repassé mentalement les images de ce premier accouplement incroyable. J’avais rarement éprouvé une telle excitation ! Se sentir un peu comme une bête qui agissait à l’instinct, avait un côté inexplicablement jouissif. Comme un retour à la nature et à ses origines. Comment une simple chienne pouvait-elle faire autant d’effet à un homme ? Sinon que je n’étais pas moi-même complètement sain. Mais j’avais envie de recommencer. Je savais déjà que j’allais renouveler cette expérience très vite…

Toutefois, je ne voulais pas simplement m’abaisser au niveau de la bête, mais élever cette dernière en quelque sorte à un rang supérieur, de ce que la nature lui avait accordé. Je me sentais alors investi, d’un pouvoir aussi puissant que celui de la mère incestueuse. Elle, la seule capable d’élever son fils au rang d’amant en lui accordant les bienfaits de son corps et par là même, l’amour absolu.

Car cette attention charnelle que j’accordais à ma chienne ne faisait plus d’elle un vulgaire animal de compagnie, mais une véritable partenaire sexuelle digne d’intérêt. J’avais alors l’ambition de lui faire connaître autre chose que le coït bestial et brutal. J’allais lui faire prendre goût à nos accouplements. S’unir par plaisir et non par besoin. Définir son propre rythme sexuel et non pas se soumettre à celui dicté par la nature.

A suivre…

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