Mme Gallois découvre la vie
Une idée et un texte de Pervers Pépère .
Pervers Pépère est à votre écoute sur [email protected].
C’est ’pervers’,autant vous le dire tout de suite …
Ca se passe quelque part en France près de Brest,et à ce sujet,je tiens déjà à vous faire part que plusieurs habitants de la ville de Brest m’ont bien demandé à ce que toute mon histoire se passe ’par beau temps’ .
Rien à voir donc avec la chanson de Barbara où là, il ne faisait que pleuvoir tout le temps sur une ville en ruine…
C’était triste à chier …
Les Brestois en ont en effet visiblement plein le cul qu’on associe toujours leur ville à la pluie,à un bombardement sur l’arsenal et une fille triste parceque son mec est mort et qu’il la baisait apparement ’bien’….
Ceci dit,celle que vous attendez tous… l’histoire …
Les mecs,préparez vos mouchoirs…
Bien que ce ne soit pas une histoire triste,c’est plus prudent…
Lumière,ca commence ….
Tatatataaa
Il faisait beau et chaud sur Brest en ce matin du lundi 12 mai .
Le temps estival faisait songer déjà les élèves du Lycée Jauréguiberry aux vacances .
Les élections municipales pourtant toutes proches leurs étant,quant à elles, parfaitement indiférentes.
C’est le coeur léger, et toujours impécablement vêtue,que Mme Gallois,42 ans,professeur d’anglais en seconde et terminale,se rend comme chaque matin avant de donner cours, dans le couloir principal à son casier-boite aux lettres .
La boite est quasi vide;un simple mot d’un de ses collègues lui demandant un banal changement d’horaire,ainsi qu’ une enveloppe assez épaisse qui contient visiblement des photos .
Que diable celà peut-il être; les photos du voyage scolaire sont toutes rentrées depuis longtemps !
Intriguée ,un peu inquiète aussi,elle ouvre l’enveloppe .
A l’intérieur effectivement , elle découvre quatre feuillets ainsi que très certainement un jeux complet de photos placés dans une nouvelle enveloppe hermétiquement close .
Les quatres feuillets sont curieusement rédigés sur des papiers différents.
Les textes sont très courts et rédigés avec une imprimante laser .
Les polices et tailles de polices des quatres feuillets sont différents .
En fait ces quatres feuilles semblent totalement distinctes,et réunies dans l’enveloppe uniquement par le simple fait du hasard .
C’est cette fois fort inquiète qu’elle commence à les lire .
Les textes sont délibérément rédigés comme une traduction littérale et ridicule de l’anglais .
Elle se rassure un moment ; une blague de potaches sans doute …
La lecture des feuillets s’avère cependant beaucoup plus inquiétante que prévu :
1?Feuillet : C’est un morceau de chance que cette enveloppe ne soit pas tombée en de mauvaises mains .
2?Feuillet :A deux semaines de l’élection du Lord Maire,quel scandale n’est-il pas ? Si il est !
3?Feuillet :Une accomodation ne serait-elle pas souhaitable ? Si elle est .
4?feuillet :
Chérie,
Saurais-tu confirmer la location de la chambre 232 à l’Hotel Campanille Brest-sortie Plougastel pour ce mercredi 14 ? Je t’y attendrai à 14 heures précise .
Fais-moi plaisir,sois une fois encore habillée super ’chic’,comme tu étais sur les photos .
T’étais vraiment ’super bandante’.
Je t’attends avec impatience .
Ps: Ca va être ta fête…
C’est pleine d’inquiétude maintenant qu’elle ouvre l’enveloppe intérieure contenant les photos.
Des photos on ne peut plus banales,mais en réalité terriblement comprométantes pour qui savait les lire ;elle et son amant tendrement enlacés, sortant d’un hôtel de la région,spécialisé dans les rendez-vous dicrèts.
Mme Gallois épouse Hautecloque,dans les bras de Monsieur Schöendorf !
Mme Gallois épouse Hautecloque ,présentement maire d’une grosse bourgade de la banlieue de Brest,dans les bras de Mr Schöendorf collistier de son mari ,candidat à l’échevinat des travaux publics sur la liste des ’intérèts municipaux’,un terme vague rassemblant sous un vocable neutre la plupart des mandarins et affairistes de la région ! .
Tous ’cleans,bien pensants et ’culs bénis’,du moins en apparence… les putes de claques en savaient quelque chose…
Quel scandale !
Quel scandale à quelques jours des élections,des élections qu’ils ne peuvent pas perdre;son mari et son amant sont tous deux entrepreneurs de travaux publics,et d’une façon ou d’une autre,la municipalité est leur premier client .
Perdre les élections,c’est perdre ce marché ’juteux’,c’est la ruine !
Et Mme Gallois aime tant l’argent ….
Aussi,Mme Gallois a vite fait le point ;des photos pareilles ça vaut fort cher,or ici on ne lui demande pas un sou .La seule chose qu’on lui demande c’est de venir super bandante à un rendez-vous .
Le texte pourrait faire croire à une blague de potaches,mais ce n’en est pas une .
Non à la réflexion même,c’est un texte rédigé par quelqu’un de très prudent ;si elle devait montrer ces quatres feuillets disparates à la police pour se plaindre d’une manoeuvre de chantage,ou d’un coup monté par des opposants politiques,toute femme du maire qu’elle est,on lui rirait au nez .
Le coup vient donc probablement d’un de ces élèves,un de ses élèves qui veut visiblement ’la sauter’ .
L’idée n’est pas pour lui déplaire;côté ’sexe’,ce n’est pas toujours la joie pour elle.
Son mari a 63 ans,elle 42 ….et il n’est pas fort ’à la hauteur’…
Il ne l’a d’ailleurs jamais été,mais il a toujours eu un superbe compte en banque ,ce qui lui a toujours permis de faire oublier sa bedaine et ses couilles qui pendent .
Arrivée à l’âge mûr,une fois les gosses ’casés’,Mme Gallois a cherché à combler cette ’carence affective’, comme dit son psychiatre – alibi de sa conscience, dans les bras d’un amant .
Le sort tombat comme dans la chanson,non pas sur le plus jeune,mais sur le plus accessible et le plus disponible du moment ,en l’occurence Mr. Schöendorf.
Côté ’sexe’,c’était mieux que son mari,mais il faut dire que faire mieux que son mari,ce n’était pas trop difficile à faire ….
C’est donc finalement rassurée,voire secrètement ravie qu’elle se décide à réserver la chambre …
Hôtel Campanile bonjour !
Bonjour monsieur,je voudrais confirmer la location de la chambre 232 pour ce mercredi 14 .
Oui sans problème Madame,vous avez un N?de carte banquaire ?
Oui : Visa 2457 8456 2345 1598
Très bien madame,la location est effective .
Merde,merde,merde,se dit-elle en raccrochant ;si ça tourne mal,comment est-ce que je pourrais justifier cette location avec ma carte banquaire ?
Salaud,il me tient bien maintenant ,c’est loin d’être un con !
Et puis,après tout,merde!…
Au point où j’en suis …..
Mercredi 14,14 h 00,on ne peut pas dire que Mme Gallois ait fait une rentrée fort discrète à la réception du Campanille;le préposé est un amateur de jolies femmes et il en prend plein les yeux …
Mme Gallois est là devant lui,superbe dans son tailleur blanc griffé.
Ses escarpins vernis mettent parfaitement ses jambes et ses courbes en valeur.
En amateur éclairé,il a tout de suite repéré l’empreinte discrète que fait son porte-jarretelles sur sa jupe étroite .
Des bas fumés à couture gainent superbement ses longues jambes et complètent magnifiquement l’ensemble .
En y regardant de plus près,et dans un léger contre jour,il est même possible de discerner un superbe soutien-gorge à balconnet .
Ainsi accoutrée,il ne fait aucun doute que cette superbe femelle est venue ici uniquement pour se faire sauter .
D’ailleurs son mec est déjà là….
Il vient de prendre les clefs de la chambre .
Il ne se la fera donc pas ….
Dommage…
’Votre fils est déjà venu prendre les clefs de la chambre’, dit-il en insistant sur le mot ’fils’ et donc indirectement sur la différence d’age …
’Il avait l’air ’pressé’ ’, ajoute-t-il d’un air entendu…
Petite vengence de médiocre ’en passant’…
Première humiliation…
Mme Gallois sait qu’elle n’est pas au bout de ses peines …
Chambre 232;la voilà, deuxième étage,en bout de coursive .
Ils ne seront pas enmerdés par des voisins;en ce mois de mai,le deuxième étage est toujours vide.
Précautions,ruses,humiliations,qu’est ce qui l’attend encore derrière cette porte ?
Dernière coquetterie féminine,elle vérifie une dernière fois son maquillage et son brushing.
Elle rajuste son superbe ensemble et ,prenant son courage à deux mains frappe à la porte d’un air résolu .
Une voix qu’elle connait lui répond de derrière la porte .
Entrez,entrez Mme Gallois,la porte est ouverte .
C’était bien ce à quoi elle s’attendait : Alexis Duval… Un élève de seconde .
Beau comme un Dieu,malin comme un singe,et vicieux dans l’âme .
Elle aurait pu tomber sur ’pire’ se dit-elle,bien que dans son esprit il ne pouvait y avoir ’pire’ que son mari…
C’est quoi votre marché , dit-elle reprenant sa prestance naturelle en face d’un de ses élèves .
Oh,je croyais que vous aviez compris Mme Gallois !
C’est simple ;c’est ’vous’ contre les photos .
Vous verrez,ça ne sera pas désagréable,et je crois même que vous en redemanderez peut être ….
Une seule condition,vous ferez ’tout’,absolument ’tout’ ce que je vous demanderai .
Et croyez-moi, Mme Gallois,’tout’ ce sera vraiment ’tout’ ….
Je suppose que je n’ai pas le choix ?
Non pas vraiment !
Et bien soit,j’accepte le marché !
Je suis à votre disposition !
Par quoi dois-je commencer ?
Un strip. je suppose !
Oh,Mme Gallois !
Appelez-moi ’Chantal’…au point où nous en sommes …..
Non,non,’ Mme Gallois’, je préfère….
Se faire sucer la bite et enculer une ’Chantal’,çà,tout le monde peut le faire…tandis que se faire sucer la bite et enculer une ’Mme Gallois’,professeur de lycée,et épouse du maire,çà,c’est tout autre chose….
Mme Gallois médusée ne quitte plus Alexis des yeux .
17 ans à peine et déjà si vicieux !
17 ans à peine et en une seule phrase apprendre à une femme qui a l’âge d’être sa mère que l’on veut son humiliation totale !
Déjà se faire enculer !…
Mais ’ici’ !…
Par un de ses élèves ! ….
Et en l’appelant ’Mme Gallois’ !….
Bon ça va dit-elle .
Passez-moi les détails.
Je commence par quoi ?
Une pipe je suppose ?
Mme Gallois…Mme Gallois !!!
Que de précipitation !!!!..
Nous ne sommes pas à l’abattage…
Nous avons tout notre temps .
Faites-moi rêver d’abord ….
Allez… Je prends les choses en main … Si j’ose dire….
Parlez-moi de vous…qui vous êtes…quelles sont vos mensurations…comment vous êtes habillées…ce que vous faites au lit…enfin tout quoi !….
Tant de perversité et si jeune !
Mme Gallois n’en revient pas !
Elle s’attendait à ce qu’il se jette sur elle et tire son coup vite fait bien fait,peut-être même avec un ou deux copains appelés en renfort,mais ici on ést parti de toute évidence pour l’après-midi entière et avec quelqu’un qui a de l’imagination et du vice à revendre…
Enfin,dans le fond,tout çà n’était pas pour lui déplaire plutôt que de se faire sauter par un gamin boutonneux et éjaculateur précoce,elle allait ici se faire tringler par un mec qui savait y faire .
Autant çà .
Bon dit-elle;je me présente :
Mme gallois,Mme Chantal Gallois ,votre professeur d’anglais .
Je suis l’épouse de Mr Bernard Hautecloque – 63 ans – Maire .
Sur un plan sexuel,ça ne va pas trop fort ; mon mari est inexistant au lit,et mon amant juste ’tolérable’ ;aucune fantaisie,aucune perversion .
Je pèse 63 kgr pour 1 m 72 .
J’ai un soutif 85 c …à première vue ça doit faire votre affaire…
J’ai un gros cul ,et je suis prète à tout pour vous satisfaire .
Très bien,très bien ….
Expliquez-moi un peu ce que vous faites au lit …avec votre mari,votre amant,la bonne,le chien que sais-je ?…
Comment ce que je fais au lit ? dit-elle pleine d’indignation !
Et bien tout ce que toutes les femmes font …
Soyez plus précise ….
Vous sucez ? Oui
Vous avalez? Mon mari : non . Mon amant : oui….
Curieuse mentalité….
Vous vous branlez devant votre homme ? Encore une fois ; devant mon mari : non
devant mon amant : oui
C’est bien,c’est bien,faut être cohérente dans la vie …..
Vous vous faites enculer ? Là,c’est trop fort; Mme gallois tressaille dans sa dignité ….
Par mon mari non ! dit-elle verte de rage .
Je suppose donc que par votre amant c’est ’oui’ ? Oui ! Mais je n’aime pas !
Ah ça ,Mme Gallois…avec un cul comme vous avez…. C’est qu’il ne sait pas y faire ….
Mais ne vous en faites pas…quand vous sortirez d’ici,vous serez une véritable ’afficionados’….
Ben dites donc,Mme gallois….je vois que vous avez le cul plutôt en berne…c’est dommage…à vous voir comme çà,vous êtes plutôt l’image même de la salope qui n’attends qu’à se faire tringler….
Mais je vous coupe la parole…
Reprenez;nous en étions … à vos vêtements ….
Bon,je reprends;
J’ai un tailleur blanc cassé – jupe ’fuseau griffé ’Borghèse’.
Un chemisier de soie griffé ’Borghèse’ également.
Un foulard de soie ’Hermès’,cadeau de mon amant .
Soutien,slip et portejarretelles blancs .
Bas gris fumés à co?tures .
Escarpins vernis cuir noir taille 36 .
Ca vous va ? Dit-elle mi-excédée,mi-impatiente ….
Que demandez de plus Mme Gallois ? Je serais le dernier des goujats …..
Une dernière précision toutes fois …. Dites-moi que croyez-vous qu’il va vous arriver ?
Je vais devoir faire un strip,me branler devant vous,sucer,avaller,me faire baiser,et me faire enculer…de toutes façons,je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir de plus …
Ah ça ,Mme Gallois,vous m’étonnez…!
A votre âge…je m’attendais à plus d’imagination de votre part …
Dans l’ensemble : ’oui’….vous avez raison…c’est bien ’la base’ de ce qui va se passer, mais croyez-moi…j’ai bien d’autres projets en tête pour vous….
Ce n’est pas tous les jours qu’on peut se délecter d’une salope comme vous ….
Il ne faut pas se déconsidérer;vous êtes nettement plus appétissante que toutes ces gamines ’pisseuses de boite’ que je tringle habituellement …
Non !….. Vraiment vous…. C’est très différent…
On voit que vous avez le vice au corps !
Mme Gallois ne sait plus quoi croire.
Jamais elle n’a vu çà !….
Un mec si jeune,si pervers !….
D’une certaine façon,elle se voyait devant ce gamin pervers comme une collégienne innocente,à la fois terriblement excitée,et terriblement angoissée par ce qui allait suivre …
Qu’est ce qu’il pourrait bien lui faire de plus ?…
Non,vraiment,elle ne voyait pas !….
Je suis à vous,dit-elle en le fixant droit dans les yeux .
Je suis entièrement à vous .
J’espère que vous ferez çà ’bien’ .
Aucun problème Mme Gallois,soyez-en rassurée …..
Bon dit-il , signifiant en celà la fin de l’entretien .
Filez à la salle de bain, enlevez votre slip,et revenez tout de suite ….
Moi,pendant ce temps,je m’installe confortablement ….
Ah !
Trèèès bien….
Retournez-vous,que je puisse vous voir de dos …
Ouiii…. Superbe… Et votre coiffure vous va à ravir ….
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point vous êtes bandante comme çà .
Vous savez que vous faites bander pas mal de vos élèves ?
Vous savez qu’il y en a plusieurs qui veulent vous tringler ?.
Non ?
Allons,ne faites pas l’innocente …..
Bon….
Ou est-ce que j’en suis moi ?
Par quoi allez-vous commencer ?
Ah j’y suis !….
Restez habillée !
Carressez-vous vos seins à travers votre chemisier.
Quand vous serez prète,retrousser votre jupe et carressez-vous la chatte jusqu’à l’orgasme …
J’ai tout mon temps !
Je veux vous entendre gueuller !
Je veux voir votre chatte ruisseler !
Mme Gallois reste sans voix !
A 42 ans, jamais un homme n’a osé lui parler de la sorte !
C’est ce gamin ,son élève,qui lui ouvrait des perspectives absolument incroyables sur la vie …
Après tout,se dit-elle l’espace d’un instant;les gens qui se demandent si il y a une vie avant la mort sont sans doute plus adultes et plus rationels que ceux qui se demandent si il y a une vie après la mort ….
C’est la révélation de sa vie aujourd’hui .
Elle ne va pas se faire violer,non,elle va enfin connaitre la vrai vie …
Avec un peu de chance,il est encore temps …
Un monde nouveau,des perspectives nouvelles et insensées s’ouvrent à elle .
Elle va vivre !!!! Pour la première fois de sa vie …
Sans quitter Alexis des yeux,elle commence à faire onduler son corps .
Sans aucune retenue,elle gonfle son torse,et met ses seins en offrande .
Son cul ondule avec grâce et sensualité .
Elle sent le désir monter en elle .
Son regard se trouble.
Elle vacille quelque peu.
Elle remonte sa jupe maintenant.
Elle est si étroite qu’elle doit se contortionner…
Ca ne nuit en rien au spectacle …
Bien au contraire …
Ah le charlme des jupes-fuseau….
Voilàaaa… C’est fait .
Elle écarte maintenant ses jambes superbement gainées par ses bas .
Elle plonge sans retenue sa main dans sa chatte .
Elle n’a jamais fait ça devant un homme de cette façon si impudique .
Elle n’a jamais été aussi humide … Elle s’en étonne elle-même .
Sans pudeur aucune,et sans quitter Alexis du regard ,elle fait aller de plus en plus vite et de plus en plus fort,ses doigts sur son clitoris maintenant en pleine turgescence .
Elle sent l’orgasme l’envahir .
Il la submerge .
Elle vacille,elle ferme ses jambes ,est-ce un dernier réflexe de pudeur,est-ce pour garder plus longtemps en elle ce plaisir ? Qu’importe…Le spectacle qu’elle offre est époustouflant .
Elle se pince les lèvres pour ne pas hurler,mais son plaisir est là,évident …
Que va t’il penser d’elle ?
C’est pourtant tout naturellement qu’Alexis brise le silence après lui avoir laissé le temps de récupérer .
Bon… Pour un début,c’est bien ….
Mets-toi à genoux maintenant!
Je veux que tu me suces la bite comme je l’ai toujours rêvé;avec classe, grâce et sensibilité ….
Mme Gallois ne se fait pas prier ; toute cette ambiance l’a rendue folle .
La perversité de son élève,un gosse qui pourrait être son fils, la laisse sans voix !
Elle est avide de la suite .
Elle est avide d’une queue !
Elle veut se faire tringler !
Elle veut ratrapper le temps perdu !
Alexis vient se poster devant elle .
Son pentalon présente une bosse non équivoque .
Mme Gallois a tôt fait de lui extraire son sexe en pleine érection.
Elle l’avalle pratiquement en entier .
Un peu perdue,et sans doute dans le feu de l’action,elle ne peut s’empècher de lui saisir son manche et de lui appliquer une vigoureuse branlette .
Ca suffit !,dit Alexis d’un ton sec et autoritaire .
Cesse immédiatement de me branler !
Une sucette oui….Une branlette non !
Je ne veux pas éjaculer ici,maintenant !
J’ai un programme très très chargé pour toi ….
Mme Gallois obtempère immédiatement ,quoi que un peu frustrée .
Il ne faut en aucun cas déplaire à un amant pareil !
Les sucettes….elle sait y faire….,mais cette fois,elle avait tant envie de sentir jaillir ce sperme dans sa bouche,de l’avaller,de le digérer….
C’est avec une application qui l’étonne elle même ,qu’elle applique à ce sexe qui n’en avait d’ailleurs nul besoin ,d’amples mouvements de sucion.
Son corps entier y participe;sa bouche,mais aussi son cou,ses cheveux qui viennent lui carresser les couilles,ses seins pointus qui viennent se frotter sur les cuisses de son amant,son cul qui oscille, invite non équivoque à un viol voullu,espéré,attendu .
Au bout de quelques minutes de ce traitement de rève,Alexis pense qu’il est grand temps de s’offrir un entracte,si il veut arriver au bout de son programme .
Arrète salope !
Ca ne t’as pas plus ? ,dit-elle sur un ton ingénu .
Si salope ! , mais on va passer à autre chose …
Je vais m’installer confortablement sur le lit,et tu vas te fouttre à poil …enfin ’à poils’…tu me comprends… Tu gardes le strict nécessaire…. Un peu de descence quand même …
Une fois que t’es à poils tu viens me rejoindre ,et les choses sérieuses vont commencer ….
Alexis s’installe confortablement sur le lit,en se callant avec les coussins .
Mme Gallois dans un réflexe féminin rajuste sa robe qu’elle ne va pas trarder à enlever .
C’est çà la vie,c’est çà l’éducation…
En bonne hotesse,en bonne bourgeoise,elle attend que son amant soit bien installé pour lui offrir le spectacle qu’il lui demande …
Vas-y ,salope !
Prends tout ton temps !
Ondules bien du cul !
Montres-moi si c’était aussi bien que je l’imaginais pendant tes cours à la con dans ce lycée de merde!
Mme Gallois ne se le fait pas dire deux fois,elle a vraiment envie de baiser,elle a vraiment envie de cette queue d’adolescent,énorme,dressée,une queue qui la nargue,là,devant elle,à portée de main .
Elle n’attends plus qu’une chose,se faire baiser violement par elle ,se faire enculer même.
Après tout se dit-elle,un mec si pervers ne doit pas faire ça trop mal…
Sans effort,et à son plus grand étonnement même,sans quitter Alexis des yeux,elle entreprend une danse lancinante,d’une perversité inouïe .
Elle ondule de tout son corps .
Son cul, ses seins,on ne voit plus qu’eux ….
En passant la langue sur ses lèvres,elle ôte sa veste,qu’elle jette négligement en guise de provocation et d’offrande muette aux pieds d’Alexis,qui ne réagit pas à cette provocation,à cette invite directe .
C’est un fauve qui ne quitte pas sa proie des yeux ,elle le sait,et comme une proie consentante,elle est fascinée par ce regard qui la dévore .
Au tour de son chemisier maintenant …
Un à un ,elle en défait lentement tous les boutons.
Brusquement ,elle se retourne pour en écarter les pans .
Un nouveau demi-tour sur elle même ,et elle apparait maintenant devant son élève arborant fièrement un superbe soutien qui contient de toutes évidences de sérieuses promesses …
Au tour de sa jupe maintenant …
Rejettant sa tête en arrière,cambrant son torse de façon plus impudique encore ,elle entreprends de dégraffer sa robe .
L’étroitesse du modèle lui impose des contorsions qui n’échappent pas à l’oeil avisé d’Alexis qui reste cependant totalement impassible devant le spectacle inouî qui s’offre à lui …
Elle est maintenant en soutien et porte-jaretelles devant lui,devant son élève,un élève qu’elle a déjà sucé,un élève qui va maintenant la baiser et l’enculer,un élève de même pas 18 ans qui va lui faire connaitre à elle,à 42 ans,des horizons entièrement nouveaux ,des horizons absolument impensable pour elle,jusqu’ici garotée par son éducation bourgeoise,et son milieu ’bien pensant’.
Arrètes lui dit-il,t’es bien comme ça salope !
Montes la dessus !
Mme Gallois ne se le fait pas dire deux fois,depuis le temps qu’elle attendait çà !
Elle se met à genoux sur le lit,et sans dire un mot vient s’empaler sur le sexe dressé du jeune homme.
La pénétration est aisée,son sexe dégouline…
Curieusement Alexis ne bouges pas .
Elle n’a jamais vu çà …
C’est elle qui entreprends les mouvements de va et vient .
C’est elle qui fait onduler son corps.
Elle a compris,il veut qu’elle se masturbe en fait sur son sexe .
Il veut la voir rechercher son plaisir comme une chatte en rut !!!
Faut être pervers pour penser çà à cet âge….
A sa plus grande honte,des bruits non équivoques de sucion se font entendre .
Alexis sourit,sans dire un mot,mais toujours sans la quitter des yeux .
Il est là,rigoureusement imobile,il se contente de bander comme un taureau ,preuve que le spectacle lui plait .
Son sourire est énigmatique,un mélange de mépris pour cette femme qui s’abandonne sans retenue et sans pudeur,un mélange de satisfaction personnelle et de toute puissance .
Il sent qu’elle ne va plus tarder à exploser de plaisir.
Il sent que ses ondulations du corps de la femme deviennent plus amples,plus puissantes.
Il sent qu’elle se tend comme un arc .
Il sent qu’elle contracte tout son pubis dans un spasme .
Il entend son râle de plaisir .
Elle s’effondre dans ses bras .
Elle est complètement vaincue,complètement humiliée,et complètement ravie …
Quand lentement elle revient à elle,il est là,au dessus d’elle,il n’a toujours pas dit un mot,il ne l’a toujours pas quitté des yeux .
Il carresse délicatement ses longs cheveux.
Il ricanne .
Il savoure toujours immobile et en silence sa victoire ,mais ses yeux parlent pour lui ….
Sans un mot,il la fait basculer sur le dos à ses côtés .
Sans un mot,il glisse son index droit dans son sexe,il en ressort trempé .
Il ricane une fois encore .
Mme gallois l’observe,mais ne dit rien non plus ,elle ne veut pas casser cette curieuse ambiance qui règne dans cette pièce,mélange de sexe extrème et de duel à mort .
Il est le maître de son corps,elle le laisse faire,d’ailleurs elle n’a jamais vu quelqu’un l’entreprendre si bien …
Plus pour lui prouver sa puissance qu’autre chose,il entreprend de la faire jouir en lui carressant son clitoris.
A chaque fois qu’il la sent sur le point de succomber,et le plus délicatement du monde,il qutte son sexe pour ces cuisses ,des cuisses qu’il effleure à peine.
Il la maintient ainsi une bonne dizaine de minute au bord de l’orgasme,sans toutes fois l’autoriser à y tomber .
Sentant qu’elle est à bout,sentant que la recherche éperdue de cet orgasme qui lui échappe sans fin commence à lui faire vraiment mal,il condescent à lui accorder son plaisir tout en s’emparant de sa bouche dans une étreinte passionnée .
Mme Gallois émerge péniblement de son deuxième orgasme .
Plus d’une heure de sexe intense,et elle n’a toujours pas été baisée …. Elle qui s’attendait à être violée …
Non c’est bien pire que ça,maintenant elle se demande pour la première fois de sa vie si ce soir,elle va rentrer chez elle….
Elle se demande si elle saura à l’avenir se contenter de ces plaisirs ridicules minables et parcimonieux que lui accordent son mari et son amant …
Elle se demande si elle ne va pas devenir à 42 ans une vraie salope .
Partouzes et gang-bang … Tant qu’on y est … On ne vit qu’une fois …
Toujours sans un mot,Alexis entreprend maintenant de dégraffer son soutien gorge .
Il a vite fait de libérer sa lourde poitrine qui ne demandait qu’à s’épanouir .
Ses mamelles turgescentes ,sa respiration ample et profonde sont autant d’invites au mâle .
Alexis cependant les ignore,condescendant tout au plus à les titiller au passage juste le temps pour lui de se voir gratifier en guise de remerciement , d’une caresse dans ses cheveux accompagné d’un nouveau gémissement de plaisir de la femme .
Le plus naturellement du monde,sans même qu’elle ne s’en rende compte,Alexis passe ses bras sous ses superbes jambes gainées de bas à couture .
Il les dispose de part et d’autres de ses épaules,et la pénètre sans résistance ;ce n’est plus un con,mais une fontaine qu’il pénètre .
C’est divin….
Il a l’impression de clouer un insecte sur sa planche d’enthomologie,mais ce n’est pas un insecte,c’est une femme,son professeur, qu’il baise.
Il la baise même comme elle n’a jamais été baisée .
Il la baise jusqu’au plus profond de son con .
Il sent distinctement sa queue heurter son col .
Le feulement de femelle en rut qui l’accompagne dans sa besogne ne lui laisse aucun doute sur les pensées profondes de la femme .
Après plusieurs minutes de ce régime,et plus par bonté d’âme que par nécéssité,il décide d’accélérer son rythme .
La femme ne tarde pas à jouir,et à remplir la pièce de son cri dément .
Alexis,lui,s’est toujours retenu…
Ce n’est pas qu’il n’en avait pas envie…mais il avait bien d’autres idées derrière la tête…
Et puis,il adore lire la surprise dans les yeux d’une femme qui constate que son amant n’a toujours pas éjaculé alors qu’il lui a déjà offert plusieurs orgasmes …
Mme Gallois n’est pas différente des autres …
C’est sans discussion qu’elle se laisse pénétrer une fois encore…quelques centimètres plus bas …
Il ne l’a même pas ’préparée’;tout au plus a-t-il profitté de son orgasme pour lui masser délicatement sa marge anale …elle ne s’est même rendue compte de rien …
C’est stupéfiée par la facilité avec laquelle la chose se produit qu’elle s’abandonne à lui sans réserve ,elle qui n’acceptait les sodomies qu’avec parcimonie et force lubréfiants ,toutes choses qui avaient pour effet immédiat de ’briser’ l’athmosphère,et de laisser sur sa faim les deux partenaires ….
C’est la première fois qu’elle se sent si libre,la première fois qu’elle sent qu’elle appartient à un homme,un homme qui la prend pour ce qu’elle est;une femme mature,salope,qui prend son pied sans réserve dans les bras d’un mec qui pourrait être son fils,dans les bras d’un mec à qui elle a donné cours une année entière,dans les bras d’un mec à qui elle donnera cours encore une année entière,dans les bras d’un mec qu’elle n’oubliera jamais,dans les bras d’un mec qui sera,elle le sait,l’amant de sa vie !
Alexis,lui,ne la quitte pas des yeux, en amant consciencieux,il la besogne sans pitié .
Il sent que la femme va connaitre un nouvel orgasme, sans doute son premier orgasme anal ,un orgasme qui s’avère ravageur si l’on tient compte de son feulement de plaisir qui emplit littéralement la pièce …
Insensiblement Mme Gallois frottre à chaque passage son clitoris sur le sexe qui la besogne …
Elle en veut la salope …un orgasme double ; anal et clitoridien …
Mme Gallois va basculer,ce n’est plus qu’un question de secondes,Alexis la besogne maintenant ’en force’,et c’est ensemble qu’ils jouissent .
Alexis n’oublieras jamais le hurlement dément de la femme à cet instant,il n’en avait jamais entendu un de cette intensité !
Quelle satisfaction pour son amour propre…
Quand Mme Gallois ouvre les yeux,toujours à moitié sur son nuage,c’est pour trouver fixé sur elle le regard insistant et moqueur de son jeune amant …
Elle n’a été qu’un jouet entre ses mains,un jouet qu’il s’est éfforcé de la faire jouir le plus possible et le plus fort possible,mais un jouet quant même …
Elle s’en fout …
Elle n’est toujours pas en état de bien réaliser les choses …
Elle a bien joui,et pour l’instant,c’est tout ce qui compte ….
Demain sera un autre jour …
Qu’est ce que tu fais chéri ? , parviens t’elle à articuler avec peine .
J’appelle des renforts !
Comment ça des renforts ?
Ca ne t’as pas suffit ?
Tu en veux encore ?
Ben oui…
On s’était mis d’accord ;tout ce que je voulais….
On est loin du compte !
Salauuuudddddd dit elle mi-angoissée,mi impatiente ……..
Héhé…Pervers, n’est-il pas ?
PS.: Cette histoire est complètement ’bidon’; je me suis en effet ’cassé le cul’ à changer tous les noms … Et ça n’a pas été facile… J’ai peu d’imagination….
Si cette histoire vous a plu,si vous en avez d’autres du genre ou simplement si vous avez envie de m’écrire;n’hésitez pas :
La suite au prochain épisode …..
Ca va pas être triste …
Va lui arriver des choses…
Des choses que la morale réprouve ….