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Pauline – Années étudiantes – Chapitre 7

Pauline - Années étudiantes - Chapitre 7



Chapitre 7

Je n’avais pas oublié mon rendez-vous avec André. Mais, je devais aussi rendre un devoir important pour l’école le lundi matin et nous avions été prévenu que le vendredi après-midi. J’ai travaillé ce vendredi soir. J’ai juste pris un peu de temps pour refaire ma couleur, fortement motivée par plusieurs personnes qui aiment mes cheveux bleus.

Je suis tout de même allée chez André, mais avec mon ordinateur, et mes affaires de cours. De toute façon, un modèle ne bouge pas beaucoup. Il croquait mon visage, qui devenait de plus en plus ressemblant au fur et à mesure de ses dessins. Il rentrait de plus en plus dans les détails, c’était de plus en plus joli.

Vous ne dessinez que les visages ?

C’est souvent le plus compliqué à reproduire pour réussir à faire ressortir les émotions. Mais non, la dernière fois, je vous ai dessinée en entier.

D’ailleurs, vous ne m’avez pas montrée.

Il est un peu coquin.

J’étais un peu coquine. S’il vous plait, j’aimerai le voir.

Oui, j’étais en entier, assise, cuisses écartées, une main sur mon vagin, une autre empoignant un sein. J’avais la tête un peu baissée avec les cheveux qui tombaient vers l’avant, et ma bouche entre-ouverte. J’adorais ce dessin, il me ressemblait tellement.

Savez-vous qu’il est presque midi ? Je vais préparer un petit repas.

Ho non, ne vous embêtez pas, je vais rentrer chez moi. Je vois que vous avez bien progressé, vous reprenez du doigter.

Hors de question. J’aime beaucoup votre présence. Voulez-vous un verre d’eau pendant que je prépare le repas ? Vous n’avez pas arrêté de travailler, vous devez avoir soif.

Je veux bien, merci. Ca vous dérange si je me mets un peu plus à mon aise ?

Je vous en prie, faite comme chez vous.

La raison pour laquelle je voulais rentrer chez moi était toute autre. Lorsque je travaille comme ça, concentrée, à ne pas compter les heures, j’ai souvent besoin d’une petite pause, d’un petit moment rien qu’à moi. Il voulait que je reste, je n’avais pas non plus envie de partir, j’étais bien ici Et puis, après tout, avec tout ce que je lui avais déjà montré

Lorsqu’il revint, j’étais nue, assise sur ma chaise, derrière mon ordinateur. Il eut un temps d’arrêt et me dit

Voyons, lorsque vous m’avez dit que vous aimeriez vous mettre plus à l’aise, je ne m’attendais pas à ça. Rhabillez-vous, ça sera plus convenable.

J’aime être nue. Vraiment, je travaille mieux ainsi. Et puis, ce n’est pas la première fois que vous me voyez.

Non, enfin Pas comme ça

Je comprends que ça puisse vous étonner. Mais, si ça vous gêne vraiment, dites-le-moi, et je vous laisserai tranquille.

Il ne dit rien, s’installa à côté de moi et repris son carnet et son crayon. Cette fois, il ne dessina pas mon visage, mais mon sein droit, rentrant dans les moindres détails, les moindres bosses, les moindres creux. J’ai dû faire une drôle de tête un moment car il me demanda « ça vous gêne que je dessine votre poitrine ? ». Non, ce n’était pas ça. J’avais besoin de faire ma pause

Ma main glissa entre mes cuisses et j’ai commencé à me caresser. Je ne me suis pas exhibée en écartant les jambes devant lui. Je me suis juste touchée, comme si je l’aurai fait en étant seule. Le plaisir est monté, ma jouissance est arrivée, et je me suis sentie mieux.

Désolée si je vous ai choquée, mais lorsque je travaille comme ça, j’ai toujours besoin de faire redescendre la pression un moment ou à un autre. Je ne vous promets pas que ça ne se reproduira pas.

Je vois. Je vous ai dit tout à l’heure de faire comme chez vous, alors, ne vous gênez pas. Vous me surprenez de plus en plus.

En mal ?

Ne dites pas de bêtises. Bon, j’avais dit que j’allais préparer un petit quelque chose à grignoter.

J’ai continué à travailler en mangeant. Après avoir fini son repas, André est parti faire une sieste. Il n’a alors pas assisté à une nouvelle masturbation de ma part. Lorsqu’il revient deux heures après, j’avais rangé mes affaires et étais en train d’enfiler mon jeans. Il me demanda

Vous partez ?

J’ai bien avancé. Il ne me reste presque plus rien à faire, mais je garde ça pour demain. Je n’en peux plus, j’ai besoin de prendre l’air… Vous semblez déçu. Je peux revenir demain si vous voulez.

Ca ne sera pas possible. Mon fils vient me chercher demain matin et je ne reviendrai que dans la soirée. Est-ce que le week-end prochain…

Non. Je prendrai le train pour aller chez mon père. Je vais y passer les vacances de Noël. Voulez-vous que je reste encore un peu et que je pose pour vous ?

Ca me ferait effectivement plaisir. Je ne vous ai pas encore dessiné de dos.

Je me mets nue ?

Si cela ne vous dérange pas.

J’ai tenu la pose qu’il me demanda pendant plusieurs longues minutes. Je me suis rendue compte que ce n’était pas si facile que ça, et pourtant, je n’avais rien de compliqué à faire : tenir mes cheveux au niveau de la nuque, et rester debout légèrement cambrée.

Durant ce temps, il ne dessina que les traits principaux, sans rentrer dans les détails. Puis, j’étais libre de me mouvoir comme bon me semblait. Il avait juste besoin de voir mon corps de temps à autre pour peaufiner, mettre au bon endroit un grand de beauté. Et le résultat final était quasiment photo réaliste.

Bon, puisque vous l’aimez tant, je vous le donne.

Merci beaucoup André.

Je l’ai pris dans mes bras, collant ton mon corps nu contre le sien. J’éprouvais une grande affection pour cet homme. Je me sentais libre d’être qui je voulais avec lui. Mais je me suis rendue compte que je lui procurais quelque chose de plus. J’ai bien senti un truc durcir contre mon bas ventre. J’ai été surprise, je ne pensais pas qu’à son âge la machine fonctionnait encore.

Je l’ai relâché, il était tout rouge et visiblement gêné. Je ne savais pas trop quoi penser non plus, mes idées étaient confuses. Alors, je me suis rhabillée. Il me dit

Si vous êtes libre lundi soir…

Je finis les cours vers 17h00. Si je n’ai pas d’empêchement, je pourrai passer.

Bon, et bien, je vous souhaite une bonne soirée et un bon dimanche.

Merci, à vous aussi.

Je suis rentrée chez moi, je me suis changée pour aller courir une petite heure. Et je n’ai pas arrêté de me demander s’il était capable de plus que bander. Je n’avais pas envie de coucher avec lui, mais j’avais envie d’expérimenter. Et c’est tout excitée que je suis rentrée chez moi. J’avais besoin de sexe, j’avais besoin d’une bonne queue. Je savais qui appeler pour me satisfaire. Et au téléphone

JC ? C’est Pauline. Je me demandais si tu étais libre ce soir pour passer chez moi ou pour que je vienne.

Ha… Ce soir, je suis pris.

Et tu ne peux pas décommander ?

Tu as tant envie que ça ?

Faut croire.

Mais, désolé, non, c’est pas possible. C’est mes deux meilleurs potes du lycée qui débarquent et qui vont passer la nuit. Petite soirée entre mecs. Mais, tu peux passer demain après-midi.

Bon… Ok pour demain après-midi. C’est quoi ton adresse ?

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