Chapitre 2 – Ma première journée
Le collier est serré, le corset que je porte est solidement fermé, la robe que je porte me fait l’allure d’une vraie dame, je suis menotté à la merci de mon amie.
Elle s’approche de moi, me gifle et me dit:
— "Ce collier te va bien, petit chien !"
Elle rigolait de cette position qui mêlait pour moi gêne extrême et excitation.
Elle me fit me remettre debout, fouilla dans son tiroir du bas, pour en sortir une autre paire de menotte, cette fois avec une chaine d’une dizaine de centimètre à peu près. Elle me cercla les chevilles de ces entraves de fer.
— "Comme ça, je serais sure que tu ne tentera pas de partir."
— "Ou veux tu que j’aille dans cette tenue ?"
— "LA FERME, CHIEN" me hurlat elle. "Montre du respect envers ta Maitresse."
Joignant le geste à la parole, elle m’administra la pire gifle que j’ai jamais reçu dans ma vie. J’en tombais directement à genou.
— "Excuse moi." m’empressais-je alors de dire
— "Excuse moi …. qui, chien ?"
— "… Mademoiselle" dis-je d’une voix très faible.
— "Tu me vouvoiera à partir de maintenant, c’est compris, petite larve repoussante ?"
— "D’accord, …. Mademoiselle."
Elle me détacha les mains, et me dit directement:
— "Fout toi à poil tout de suite, petit chien"
Une petit moment d’hésitation m’empara, mais il fut vite rattraper par une autre gifle sur ma joue que je sentais chaude, à la limite de la brulure.
Une minute plus tard, je me tenais devant elle, complètement nu, mon collier à mon cou et les menottes au pieds.
Elle commença à rire:
— "Mais c’est qu’il aime ça le petit chien !" dit-elle en voyant mon attribut se dresser d’un coup. "A genou !"
Sans réflechir, j’obéis de suite à son ordre.
Elle tourna autour de moi, me scrutant, juste avant de me demander de fermer mes yeux toujours sur le ton autoritaire qu’elle a pris depuis une bonne demi heure.
Je ne put qu’entendre de nombreux bruit qui me laissais supposer qu’elle cherchais parmi certaines affaires.
J’entendit ensuite le bruit de ses pas résonner sur le parquet, … elle se rapproche de moi.
— "Qu’est tu ?" me lanca elle.
— "Euh… je ne sais pas … Mademoiselle" lui repondais-je tout en ne comprennant pas sa question.
— "Tu est un chien pathétique, répète-le"
— "Je suis un …"
Je n’ai pas sut terminer cette phrase. J’étais gené.
Je sentit ensuite une violente douleur dans le dos. J’ouvrit alors les yeux et je la vit avec un fouet bleu. Je venait d’essuyer un coup d’une rare violence et … j’aimais ça.
Elle continua en augmentant le rythme jusqu’à ce que je crie les mots qu’elle attendait tant.
— "JE SUIS UN PAUVRE PETIT CHIEN PATHETIQUE !" hurlais-je alors.
— "Enfin, tu aura mis le temps pour comprendre !"
Elle se courba vers moi. Prit ma tête dans ses bras et la colla contre sa poitrine. elle me dit alors:
— "C’est bien, c’est bien. Tu passe le cap, c’est normal. Je vais te préparer un bain, toi pendant ce temps, tu reste là, à genou. Compris ?"
— "Oui, Mademoiselle"
Elle me mis ensuite une cagoule sur la tête, je ne pouvais plus rien voir.
Je n’entendis, à ce moment là, plus que l’eau couler. Au fur et à mesure que j’entendais les gouttes s’abattre dans la baignoire, les récents événements défilèrent devant mes yeux. J’étais, en peu de temps, devenu une loque, je ne pensais plus, je ne voulais plus penser à qui j’étais, ce que j’étais.
Une fois le bain coulé et la dernière goutte tombée dans la baignoire, j’entendis Amy approcher de moi.
Elle me donna une claque sur la plante de mes pied pour me forcer à me lever tout en me criant:
— "DEBOUT, LARVE, C’EST L’HEURE DE TON BAIN !"
— "Bien, Mademoiselle", dis-je alors, résigné.
Je me levais et elle attrapa mon pénis, toujours bandant. Elle l’utilisa comme une laisse pour me trainer là dans la salle de bain.
Elle me retira la cagoule et je put voir un bain couler, avec des bulles dedans.
— "Je te laisse prendre ton bain, tu as 15 minutes, pas plus, tu m’as comprise ?!"
— "Parfaitemant, Mademoiselle, merci de me laisser prendre ce bain."
— "Ne me remercie pas encore, petit toutou."
Sur ces mot, elle me poussa de son pied et je me retrouvais plonger dans cette baignoire. qui occupais bien le quart de cette vaste pièce.
Durant les dix minutes suivantes, je me suis pris à réflechir sur ce qu’elle allais pouvoir faire de moi, et une peur mélangée à une profonde excitation me pris alors.
Quatorze minutes après le début de mes abblutions, je sortis du bain et me sécha rapidement tandis que derrière la porte, des bruits de pas se firent entendre.
Amy entra dans la salle de bain, sans frapper, un cintre à la main qu’elle s’empressa de me tendre en me disant:
— "Tu mettra ceci, mon esclave !"
En regardant la tenue qu’elle me tendit alors, je me suis apercu qu’il s’agissait d’un tablier de soubrette.
Elle reprit de plus belle:
— "Elle appartenait à ma mère avant qu’elle se fasse virer de son dernier travail. A partir de maintenant, tu fera mes quatres volontés."
Malgré ce que je pensais de cette situation; quelque part, elle m’excitait. L’idée de lui appartenir me plaisais beaucoup.
J’enfilais donc ce tablier.
— "Que tu es belle. Tu vas voir, ca va te servir, larve !"
Suite au prochain épisode ;-)