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myriam se révèle – Chapitre 1

myriam se révèle - Chapitre 1



Commençons par le début et par me présenter. Je suis Myriam, une sage mère de famille mariée et rangée. Je viens de Guadeloupe mais c’est dans la région Toulousaine que j’ai posé mes bagages. Ma peau est brune et je dépense une fortune chez le coiffeur pour lisser mes cheveux noirs afin que mon carré et ma frange soient toujours impeccables. Je mesure un mètre soixante et mes deux grossesses m’ont laissées des hanches plantureuses et un petit ventre mais c’est à peu près tout. Mes seins quant à eux n’ont pas tellement souffert de l’allaitement de mes filles et je n’ai pas à rougir de la tenue de mon 90c pour mes 45 ans

L’histoire que je m’apprête à vous dévoiler remonte à un peu plus de trois ans.

Mon couple étant devenu d’un ennui mortel, j’avais envie de pimenter un peu mon quotidien. J’en parle à ma copine Patricia qui me conseille d’essayer les sites de rencontres adultères. Après quelques rencontres décevantes avec des hommes seulement guidés par l’envie de « tirer un coup avec la femme d’un autre », ou obnubilés par la seule volonté d’accrocher une femme noire à leur tableau de chasse, j’explique à Patricia que je suis déçue de prendre le risque d’être découverte surtout si c’est pour me faire sauter aussi mal qu’à la maison ! Je lui avoue que j’ai très envie d’hommes me prenant en main de façon un peu rude et je confesse être ennuyée par les soi-disant « étalons » qui passent des heures à « mâchouiller » ma vulve et quelques minutes seulement à m’honorer en me demandant presque l’autorisation de me sucer un sein ! Alors, cernant mon problème et mes attentes, dans sa grande générosité, Patricia me propose de me « brancher » avec un de ses amants.

Il s’agit d’un homme mûr : 63 ans mais encore très vert. Patricia me prévient qu’il est très exigeant mais qu’il sait s’y prendre et qu’elle vit des moments très intenses (… et j’en aurais les preuves par la suite !!) Point positif, il est marié et ne veut rien d’autre que du sexe. Elle lui parle de moi, lui montre des photos, nous prenons un café tous les 3, nous échangeons par mail puis texto et rendez-vous est pris pour un vendredi matin chez lui. J’ai posé ma matinée de congé sans en parler à mon mari. Comme nous sommes en période de vacances scolaires, je dépose les filles chez ma mère et file chez lui. Il me commande par texto et m’ordonne de me garer dans la rue un peu avant sa maison juste devant une Renault Mégane puis d’attendre ses instructions.

C’est alors que je vois une femme sortir de chez lui. Je reconnais sa femme que j’ai entrevue en photo. Elle se dirige droit vers ma voiture. Je suis habillée comme il me l’a demandé : minijupe en jean, débardeur blanc, soutien-gorge pigeonnant, bottes à talons (bref une tenue de pute et culotte interdite !) Je suis pétrifiée en voyant cette belle bourgeoise châtain clair au brushing impeccable et à la cinquantaine élégante venir droit sur moi dans son tailleur strict et chic. Quand elle passe à côté de ma voiture en longeant ma portière, j’ai envie de disparaître dans ma boîte à gants alors qu’il n’y a aucune chance qu’elle sache qui je suis ni ce que je viens faire dans son quartier. Elle s’arrête puis monte dans la Mégane, démarre et s’en va sans même m’avoir remarqué. Ce salaud l’a fait exprès pour me mettre en grande situation de stress. Au même moment je reçois un texto : « Respire et rapplique! La porte est ouverte, monte l’escalier, porte de droite. » Mon cur ne se calme pas, bien au contraire car vient maintenant le moment d’aller me faire prendre sans savoir à quoi m’attendre.

Je m’exécute et pénètre dans la chambre où il m’attend allongé, nu sur le lit défait. D’un bond, il me rejoint. Il se colle derrière moi et comme il sait (car Patricia le lui a spécifié) que j’ai très envie de relation bestiale, il me murmure :

— Alors, on est venu se faire défoncer ma salope?

Il me mord l’oreille et continue : « Pour moi, l’avantage avec une mère de famille c’est qu’elle est toujours prête à servir, pas besoin de la préparer pendant des heures, au moins le trou est toujours ouvert ! »

Il mêle les gestes à la parole puisque sa main pétrie mon cul en troussant ma mini, glisse sous mes fesses, son poignet m’oblige à ouvrir légèrement les cuisses et aussitôt, son index et son majeur pénètrent mon vagin et déjà son pouce force mon anus. Il bande et je sens sa verge frotter ma hanche.

Son autre main, pendant ce temps, malaxe mes seins et les déballe sans mal de mon soutien-gorge. Les commentaires grivois se poursuivent : « J’étais sûr que t’avais de bonnes mamelles et je sais que t’aimes les montrer ! Tu t’amusais à me chauffer avec ton décolleté l’autre jour pendant qu’on prenait un café avec Patricia : maintenant, va falloir assumer ma cochonne ! » Il pince et tourmente mes tétons sans aucune délicatesse puis me gifle les seins à plusieurs reprises ce qui me saisit et me transit. Je grogne, gémit et me cambre si brusquement que ses doigts s’enfoncent encore plus profondément dans mes orifices impuissants.

Il ne relâche pas sa prise de mon intimité, bien au contraire. Avec sa main qui fouille mes grottes sans pudeur, il me décolle quasiment du sol, tandis que dans ma chatte, je sens ses doigts qui s’écartent l’un de l’autre pour m’ouvrir sans ménagement. Il me pousse ainsi jusqu’au lit sur lequel je tombe à plat ventre. Le temps que je réalise que ses doigts ne sont plus en moi, il est couché sur mon dos et très habilement, sans le moindre tâtonnement il enfile sa queue dans mon vagin. Je crie une première fois. Il reprend mon oreille avec ses dents, la lèche, la mord (Au cours de nos échanges préalables, j’ai eu le malheur ou le bonheur de lui avouer que mes oreilles étaient très érogènes !) Ses mains remontent de mes hanches à mes seins, les empoignent et la séance commence: il me besogne ainsi par derrière de manière autoritaire et virile, sans même m’avoir embrassé. Je me fais honte et je sens pourtant que je vais vite jouir.

Il me dit : « Alors t’as vu ma bourgeoise ? » J’acquiesce en haletant.

Il continue : « Elle était couchée là il y a une heure et maintenant c’est toi qui va bouffer son oreiller !… »

Ses mots me font autant d’effet que ses coups de reins. Je me découvre tel qu’il m’a deviné : prenant mon pied à être bousculée. Je jouis une première fois sans oser me montrer bruyante. Il n’attendait que ça pour s’interrompre brusquement. Il prend l’oreiller de sa femme et s’en sert pour éponger mon entre cuisses et mon sillon fessiers qui ruissellent de sueur et de cyprine… « Ce soir, ma vieille dormira dans tes effluves ! » sourit-il. Tant de vulgarité et de perversité devrait me révulser mais au lieu de ça, je sens poindre à nouveau une sensation d’excitation et d’envie de m’abandonner à cet homme qui m’honore comme un animal honore sa femelle.

Il s’allonge sur le dos et m’invite au 69. Je le prends généreusement en bouche tandis qu’il dévore mon sexe et mon cul. Je repense alors aux mots de Patricia : « Tu vas voir ma vieille, on t’a jamais bouffé le cul comme il va te le faire ! »

Et en effet, sa langue, sa bouche sont d’une précision et d’une intensité telle que je sens à nouveau la boule de l’orgasme monter dans mon ventre. Il le devine car ma mouille devient épaisse et abondante. Je coule à grandes eaux et m’applique pour lui donner quand même une pipe digne de ce nom. Comme il sait que je suis surtout vaginale, il attend le dernier moment pour me planter 3 doigts dans le vagin et me pistonner férocement tandis que sa langue râpe mon anus. Je libère sa queue et explose cette fois-ci sans retenue. Je crie comme une folle, empale ma vulve sur sa main et mon cul sur son visage. J’ondule, me saccade, je tremble comme une feuille… je suis en transe. Il me laisse à peine redescendre que, déjà, sa main libre agrippe ma nuque et me ramène à mes obligations de suceuse.

Je reprends le cours de ma fellation mais mon orgasme ne l’a pas laissé insensible. Il est dur comme du béton et sa bite bat comme un cur dans ma bouche. Il me bloque la tête avec ses mains, soulève ses hanches et se met à baiser ma bouche. Sans ménagement, il explose au fond de ma gorge. Une main bloque encore ma tête m’empêchant de la reculer et l’autre main cherche mon nez pour le pincer, m’obligeant à déglutir et avaler donc une grande quantité de sperme.

Nous ne sommes qu’au début de cette matinée qui semble devoir tenir toutes ses promesses

C’est vrai qu’à peine cinquante minutes se sont écoulées depuis mon arrivée dans cette maison et j’ai déjà perdu toute notion de morale et de temps. Il me tarde d’avaler un grand verre d’eau pour faire passer le goût du sperme qui persiste. Toujours allongé sur le dos, il me claque le fessier en disant :

— Bon c’est pas tout ça ! Toi tu viens de prendre ton petit déjeuner mais pas moi. Fini de te foutre à poil et descend à la cuisine me faire un grand bol de café brulant, je te rejoins.

Debout à côté du lit, je dégrafe enfin mon soutien-gorge qui ne soutient plus rien depuis longtemps ; je retire mon débardeur remonté en bandeau au-dessus de ma poitrine et ôte ma mini-jupe en jean tire bouchonnée sur mes hanches depuis le début de l’assaut. Il me regarde paisible me dévêtir et je le sens fier de lui. Je ne pense qu’à une chose : regagner la cuisine et avaler un verre d’eau. C’est alors qu’il m’interroge : « T’as pas trop l’habitude d’avaler du foutre n’est-ce pas ? »

— Oui, ça ne m’est pas arrivé souvent

— Par contre tu suces pas trop mal Tu suces mieux que ta copine Patricia mais pas aussi bien que sa copine Audrey !

A l’évocation de ce prénom, je sursaute. Déjà effarée qu’il ose comparer ma méthode à celle de ma copine mais voilà qu’il lâche un prénom que je connais. Serait-ce possible qu’il connaisse aussi Audrey, la troisième de la bande.

« Tu la connais Audrey ? » reprend-il.

— Ça dépend : quelle Audrey ?

« La copine blonde de Patricia Celle qui s’est mariée il y a environ six mois. Patricia m’a montré quelques photos du mariage et d’ailleurs, vous étiez bien bonnes en demoiselles d’honneur toutes les deux !… Eh bien, moi aussi je la connais : son air de ne pas y toucher, sa peau de porcelaine, son gros cul blanc plein de cellulite, ses seins en poires aux tétons roses pâles à peine visibles et son sourire chevalin ! C’est une bonne grosse chienne elle aussi. Vous formez une sacrée équipe de pétasses toutes les trois ! » Surenchérît-il dans un éclat de rire. «C’est la moins bandante des trois mais c’est la meilleure suceuse. Elle a dû en avaler pour avoir une technique pareille ! Tu vois, Patricia, elle est trop nerveuse, trop sèche dans ses coups de langue, dans sa façon d’aspirer. Toi, t’as pas une grande technique mais on sent que tu t’appliques. Tu es douce et tendre : une bonne maman, quoi. Et puis ta bouche est chaude et tes grosses lèvres de black : c’est du velours ! »

J’ai les jambes coupées, je suis estomaquée et je descends à la cuisine. Arrivée à la moitié de l’escalier j’entends dans la chambre un tiroir qui s’ouvre et se referme.

Mon verre d’eau engloutit, je m’affaire à la cafetière quand il me rejoint. Je ne remarque pas ce qu’il pose en vitesse sur une des chaises de la cuisine rangée sous la table. Lui aussi avale un verre d’eau mais j’observe qu’il lui sert à ingurgiter un comprimé que je devine bleu. Preuve s’il en était besoin que les événements ne vont pas cesser de sitôt. Le café est fumant dans un grand bol mais il me demande de le passer quand même au micro-onde. « Je l’aime brulant » précise-t-il. Il est assis en bout de table et me regarde déambuler, nue (j’ai toujours mes bottes beige à talons !) à sa gauche. « T’as vraiment un bon cul pour ton âge ! Tu dois les faire bander les mecs au bureau ?… Y en a pas quelques-uns qui te grimpent dessus de temps en temps ? » « Sûrement pas ! » J’essaye de répondre en mentant du mieux possible afin de couper court à cet interrogatoire et ne pas être contrainte d’avouer les quelques moments d’égarement qui émaillent parfois ma carrière.

Le « cling » du micro-onde me sauve et je dépose devant lui le grand bol plein de café brulant. A cet instant, je remarque qu’en plus de son verre d’eau, il a fait couler un bol de glaçons du frigo Américain et qu’il est posé sur la table. « Café bouillant et glaçons : quel drôle de petit déj’ ! »… Je ne croyais pas si bien dire.

Comme je me tiens à côté de lui, il me saisit par la hanche et m’invite à m’assoir sur ses genoux. Je passe entre ses jambes et me pose, de côté, sur sa cuisse gauche. Je ne prends ni la peine de croiser les jambes ou de serrer les cuisses car j’imagine que c’est peine perdue. Il passe mon bras droit autour de ses épaules et pose directement sa bouche sur mon sein droit. Il m’aspire le téton et me tète comme un nouveau-né. Lestement, sa main gauche s’empare d’un glaçon et vient l’appliquer sur mon téton gauche. Le froid me transit. La caresse se poursuit et mes seins m’envoient des signaux déroutant. Le gauche, frigorifié, presque douloureux et le droit cajolé, excité au plus haut point. Sa main droite se pose sur ma cuisse et remonte très vite sur mon sexe qu’elle empoigne. Comme à son habitude, deux doigts fouillent très vite mon vagin me ressortent aussitôt, glissent rudement le long de mes lèvres, tirant ma fente vers le haut tandis que le pouce se pose sur le capuchon de me clitoris, appuie en le tirant un peu en arrière pour décalotter mon bouton.

Déjà, l’index recroquevillé titille mon petit dard à vif. Son pouce appuyant très fort sur le haut de mon sexe, ma grotte s’ouvre et s’en échappe un filet de cyprine visqueux qui coule sur sa cuisse puis sous mes fesses. Pendant de longues secondes, il me caresse ainsi m’amenant à nouveau au bord de la jouissance. Je suis haletante et animale mais n’ose bouger. Dans un état second, je ne remarque même pas qu’un glaçon a échoué dans sa main droite et il l’applique soudainement sur mon clitoris pourpre, sorti de sa coquille, gorgé de sang et de désir. La sensation de froid m’électrise un je me lève d’un bond mais reste pliée en avant car il tient mon téton droit entre ses dents. Je grogne et il le relâche laissant tomber du même coup le glaçon qui terminait de geler ma tétine gauche.

Il se lève lui aussi derrière moi, je suis penchée en avant sur la table de la cuisine, les jambes ouvertes et les genoux légèrement fléchis, je tremble et tente de reprendre mes esprits. Il ne m’en laisse pas le temps. Sa main droite se crispe su ma nuque m’empêchant de redresser plus. Sa main droite rapproche le bol de café fumant sous ma poitrine, saisit mon sein gauche glacial et il m’oblige à plonger mon globe dans le bol de café qui déborde. Je ne saurais décrire avec justesse la sensation que j’ai ressentie, délicieuse et terrifiante à la fois. Je sens sa verge tendue blottit contre mes fesses. Il se penche sur mon dos, et murmure en me suçant l’oreille : « Tu ne crois pas que je t’ai sucé le cul pour ne pas m’en servir ma gentille Myriam ? C’est l’heure de l’enculade ma pétasse ! »

Mais pourquoi diable redresse-t-il la tablette numérique posée sur la table depuis des heures et pourquoi l’allume-t-il alors que son projet est de me sodomiser. Il ouvre un fichier vidéo et je comprends. Sur l’écran, le visage de Patricia dans la même position que moi et au même endroit. Elle est filmée en gros plan mais on voit ses minuscules seins aux tétons bruns très tendus qui pendent modestement. On devine l’homme s’activant derrière elle et en voyant les différents rictus et les différentes grimaces de ma copine, on n’a aucun mal à imaginer ce qu’il est en train de faire. Toujours penché sur mon dos, en se redressant, il saisit un objet sur une chaise voisine mais je n’ai pas le temps de voir de quoi il s’agit. Je vais le comprendre bien vite. Sur la vidéo, le son est bien audible. « Allez ma petite pute, je te la rentre cette fois dans ton petit cul serré ! » Le visage de Patricia se crispe, ses mains s’agrippent à la toile cirée. On devine que le cylindre s’enfonce dans ses chairs.

La connaissant, je ne peux pas imaginer qu’il s’agisse de sa première sodomie mais peut-être avec si peu de préparation et d’égards

Au même moment, tandis que je ne me soucie plus du tout de ma mamelle baignant dans le café, je sens que c’est mon anus à moi que sa tige est en train de forcer. Mais ce n’est pas tout, je sens un objet que je reconnais tout de suite pour un gode me pénétrer la chatte. Les deux gourdins s’enfoncent en moi simultanément si bien que la progression du gode dans mon sexe m’empêche de pousser mon anus confortablement pour le rendre accueillant. En face de moi, Patricia est maintenant pilonné, défoncé et elle crie, gémit, se mord les lèvres, bouge sa tête dans tous les sens. En moi, le gode arrête d’avancer mais d’un coup de rein sauvage, il pousse son gland en fond de mes entrailles. Ce coup de boutoir me secoue et mon sein renverse le bol de café qui se répand sur la toile cirée. Puis c’est la bite qui recule et le gode qui s’enfonce brutalement, au plus loin. Et ainsi, pendant de longues minutes, il va me prendre les orifices en alternant l’action des deux matraques. Sa main gauche sous ma chatte pour diriger le gode et sa main droite me plaque sur la table et j’écrase mes obus dans la marre de café.

Patricia se fait besogner de plus belle et il se déchaîne dans son fondement. Mais je ne m’en soucie plus, je suis toute à mon traitement de choc.

Je commence à avoir l’arrière des cuisses tétanisés, alors je me risque à monter mon genou puis ma cuisse gauche sur la table en restant bien entendu écrasée sur cette dernière. Il prend cette initiative pour une provocation : « T’en as pas assez ma grosse ? Tu ne te fais pas assez remplir ? » Au lieu de s’alterner, les deux pistons qui me perforent avancent et reculent ensemble désormais. Au plus profond de moi je sens leurs extrémités qui râpent la paroi qui les sépare et j’ai l’impression qu’il me fend en deux. Je suis maintenant vautrée sur la table, sans aucune pudeur puisque mes poils pubiens trempent désormais dans la mare de café. Et il me lime de plus belle. Le traitement est trop rude pour que j’atteigne l’orgasme mais mon partenaire, de son côté, y arrive très bien. Je sens sa verge sortir d’un coup de mon conduit et très vite de longs jets chauds se posent sur ma colonne vertébrale.

Je suis en sueur et me sens humiliée et brisée. En face de moi, Patricia n’a pas encore connu la délivrance et elle continue de se faire secouer comme une poupée gonflable. Il éteint la tablette et la referme. Son habituelle claque sur mon cul marque la fin du deuxième acte.

— File prendre une douche le temps que je range un peu parce que t’as fait du propre ma salope !

Ce n’est qu’une fois dans la salle de bain que je constate que le gode est encore engagé dans ma vulve endolorie. Il faut dire que j’ai grimpé l’escalier assez vite pour éviter que le sperme qui a souillé mon dos ne coule sur le sol. La plus grande partie a ruisselé dans le sillon de mes fesses mais aucune trace de mon passage dans le couloir. Je libère le sextoy, le pose à côté du lavabo, ôte enfin mes bottes et me réfugie sous la douche. Je regarde la pendule qui indique 10h47. Je suis arrivée à 8h30. Cela fait donc maintenant plus de 2h15 que je me fais baiser Cette pensée me décroche un sourire. Je me savonne onctueusement quand mon étalon débarque dans la salle de bain. Il remarque le gode et éclate de rire : « J’ai bien cru que tu essayais de me le voler tellement il t’a fait du bien ! »

Il me rejoint sous la douche et s’inquiète enfin de moi : « ça va ? Ça te plaît ? » Je suis bien obligée de reconnaître, honteuse, que : Oui ça va très bien et encore Oui, ça me plait !!

Il entreprend déjà de me peloter à nouveau. « T’as vraiment un corps excitant Myriam » me glisse-t-il en malaxant mes seins puis pétrissant mes fesses. « Je comprends pas pourquoi ton mari te délaisse comme ça ?… Remarque il va peut-être voir ailleurs lui aussi ?… Si ça se trouve, il s’envoie tes copines ! » S’esclaffe-t-il

Je sens la colère montée. Et s’il était au courant de quelque chose. Et si ces salopes de Patricia ou Audrey (ou d’autres copines) qi sont toutes bien plus jeunes que moi s’amusaient à me cocufier Je me perds dans mes pensées et c’est encore une fois ses doigts rentrant dans mon con et sa bouche grignotant mon oreille qui me ramènent au moment présent. « J’ai encore envie de te sauter » me souffle-t-il. Il me retourne face à lui cette fois-ci. Sa main gauche reprend ma chatte en main et la droite torture mes nichons. Je suis plaquée au mur froid de la douche. Il m’embrasse à pleine bouche, me rentre une langue énorme et perverse puis il me lèche le visage, me suce le nez Il e dévore en me branlant la chatte avec énergie. Cette fois, j’ai le temps de réagir et je saisi sa queue à pleine main pour le branler avec vigueur. C’est à peine pensable mais j’ai encore envie qu’il me possède, qu’il me baise, qu’il me démonte, là, dans la douche. Je détaille enfin son corps sculptural d’ancien légionnaire.

Malgré ses soixante ans passés, ses muscles sont saillants et ses épaules robustes. Sa main droite a lâché mes seins, est passée son mes fesses, glissé derrière ma cuisse gauche jusqu’au plie du genou pour le relever. Je sens la pénétration venir. Je lâche son sexe, noue mes mains autour de son cou. Ses doigts ont quittés mon vagin et mes pieds ne touchent plus le sol. Une main sous chacun de mes genoux, il m’empale sur son sexe impitoyable. Mes yeux cherchent les siens. Il me claque encore plus fort contre le mur et commence à me faire monter et descendre sur son pieu. Il me plante, me perfore dans une bestialité délicieuse. Mes jambes sont nouées autour de ses hanches. Ses mains désormais soutiennent mes fesses et les ouvrent à m’en déchirer le sillon. L’eau de la douche coule sur mes seins, dans mon dos. Ma raie sert de dalle et je sens l’eau ruisseler sur les bords de mon anus meurtrit que ces doigts indécents persistent à ouvrir en tirant de chaque côté. C’est moi qui monte et descend sur sa bite à présent et je me fais jouir sur ce pilonne de chair.

Je jouis une première fois en l’embrassant furieusement. Il me pose à terre. « J’aime trop ton pétard, je veux te finir en levrette ! » Je m’exécute et me jette à 4 pattes dans la douche. Il s’accroche à mes hanches et me tire en arrière pour enfourner à nouveau sa baguette dans mon fourneau. S’ensuit une levrette endiablée qui me procure un nouvel orgasme encore plus bouleversant que le précédent. Je sens sa verge grossir et durcir encore et, en femme expérimentée, je sens que le dénouement est proche. Entre deux gémissements je l’informe : « Pas dedans s’il te plaît, je suis en pleine ovulation » « Et tu veux te faire engrosser ? » Me demande-t-il. « Nooon, s’il te plaît, non ! » Me voilà le suppliant. Il respecte ma demande en se retirant. « Alors fais voir ta jolie frimousse de maman, ma grosse putain ! » Je me retourne et offre mon visage à son explosion. Il se ravise en voyant mes seins généreux et trempés. Il se baisse et je comprends. Je sers mes obus l’un contre l’autre pour lui offrir un nid fendu.

Il se branle entre mes globes en me serrant la gorge. Il relâche sa prise et je reprends mon souffle pour sentir ses mains bloquées ma tête et son sexe se frotte sans ménagement sur mon visage. Machinalement j’ouvre la bouche et il s’y engouffre brusquement m’arrachant un haut le cur puis sa queue chargée de mon excès de salive violente à nouveau mon visage et les jets de sperme viennent enfin souiller mon minois brun. Il m’aide à me relever. « T’es une salope de concours ma chérie ! » Nous terminons notre douche.

— Tu dois être au boulot à quelle heure ?

— Vers 14h30 au plus tard

— Parfait ! T’as prévue ta tenue pour aller au travail directement comme je te l’ai demandé ?

— Oui oui, ma robe et mes sous-vêtements sont dans le petit sac de voyage que j’ai laissé dans l’entrée en arrivant.

— Parfait. Tu te prépares et je te sors ma poulette !

Je suis stupéfaite. Voilà qui n’était pas prévu. Il fait si doux en ce mois de mai que c’est avec plaisir que je porte cette robe rouge à bretelles au jupon mi-cuisses très évasé. Le décolleté en V est très provocant mais j’ai choisi un bel ensemble en dentelle rouge dont le petit nud de satin qui trône visiblement (dès que je me penche) entre les bonnets du soutien-gorge a son semblable en haut de la bande de tissus sortant de ma raie des fesses sur le string assorti. Je me trouve belle et j’ai rangé mes bottes leur préférant des escarpins ouverts à talons compensés. Il n’est que 11h30 mais mon étalon a peut-être envie de m’inviter à déjeuner. Il m’explique que même si l’endroit où nous nous rendons n’est pas loin, nous prendrons ma voiture afin que je puisse partir au travail directement ensuite. Il conduit et en effet, se gare bien vite devant un bar peu engageant. De moins en moins rassurée je le suis et m’attend au pire.

« Salut la compagnie » hurle-t-il goguenard.

Un homme rouge à lunettes, sans âge avec un ventre énorme lui répond aussi sec ! « Enfin, on a failli attendre »

Je suis très inquiète. L’acte 4 va-t-il me plaire ?

L’homme ventripotent se lève difficilement et roule plus qu’il ne marche vers une petite pièce du fond. Mon amant s’adresse au patron qui se tient derrière le bar. « Je vais voir les gars, je te confie la jument. Tu nous l’amène dans deux minutes ? » C’est donc moi « la jument » puisque c’était en me désignant du menton qu’il a dit cela. « Tu pourrais amener tes poufiasses ailleurs » éructe la petite bonne femme insignifiante qui dépasse à peine derrière le comptoir mais qui s’avère être la patronne. « Et ne me dégueulassez pas le billard cette fois-ci ! » puis posant enfin son regard méprisant sur moi, elle enchaîne : « Et une bamboula cette fois-ci ! Ben ça manquait, tiens ! » C’est ainsi, il faut sûrement s’y faire. A peine à dix minutes du centre de Toulouse, les propos racistes ne se cachent pas !

« Mais Marie-Jo, si je les amène ailleurs, c’est toi que les gars vont finir par baiser, tu sais bien ! Ou alors c’est ce que tu veux coquine, va !» Eclate de rire mon accompagnant en s’engouffrant lui aussi dans la pièce arrière, tandis que Marie-Jo, rouge de colère, hausse les épaules.

Les deux minutes me paraissent interminables. Les deux vieillards avinés accrochés au comptoir me scannent avec insistance. Je me dandine d’une jambe sur l’autre puis enfin, le patron sort de derrière son bar, se place juste derrière moi et me dit : « Allez, au boulot la négresse ! ». Il me pousse légèrement en avant et je me dirige vers la porte. Il me l’ouvre et au moment où je passe à côté de lui, il ne se retient pas et me flanque une magistrale main au cul, m’empoignant vulgairement le train arrière. Je rentre d’un bond dans la pièce où trois hommes et mon chaperon m’attendent assis autour d’une table en bois, juste à côté du fameux billard. Il y a là le vieux binoclard à bedaine, et deux gaillards blonds aux cheveux rasés. Je ne leur donne même pas trente ans mais ils sont massifs et je remarque les mains énormes d’un des deux. La porte se referme derrière moi et les deux gaillards me rejoignent. Sans rien dire, ils empoignent chacun un sein et commence à me tripoter. L’un d’eux glisse lestement une main sous ma robe, enfouit ses doigts sous mes fesses, agrippe la ficelle de mon string et la tire fort vers le bas pour me le baisser.

Je marque un geste, comme une ruade et me met de côté pour l’empêcher mais l’autre pince plus fort mon sein m’arrachant un « Ouch » de douleur. Puis s’adressant à mon escort : « Dis-donc, elle est fougueuse ta grognasse ! » Son compère se penche sur moi et me confirme ce que je redoutais. « T’as tort de te débattre ma grosse truie parce que, que tu le veuilles on non, on va te démonter et te faire crier ! »

Il s’adresse à nouveau à mon piégeur : « Dis donc, c’est pas de première jeunesse mais c’est de la bonne viande ça ! Franchement, 30 par tête pour enfiler ça, c’est les soldes. Quand je pense que pour la petite brune tu nous prends 50 à chaque fois ! » « D’ailleurs c’est une de ses copines, comme la blonde au gros cul que je vous ai amené il y a trois mois ! » Lui répond mon mâle. « Ma parole, t’as trouvé un nid de poufiasses on dirait ! » Je n’en reviens pas : il est donc évident qu’il a vendu mon corps à ses porcs et pour une somme dérisoire en plus. Le bedonnant prend la main.

« Amenez-la un peu par-là les gars ! » Il m’empoigne à la taille et m’assoit sur ses genoux. Il remonte ses mains sur mes épaules, écartent les bretelles de ma robe et dévoile mon soutif. Je ne sens même pas son sexe sous mes fesses car son ventre le camoufle. Les deux autres ont sortis leurs queues et les présente à ma bouche. Je lance un regard désespéré à mon étalon qui se délecte de la situation. Résignait, j’en prends un en bouche en commence à branler l’autre puis j’alterne. Le vieux vicelard ne perd pas de temps et il fait jaillir mes seins de mon soutien-gorge. « Regardez les mamelles un peu les gars ! » Mieux que regarder, les deux jeunes les tripotent, les soupèsent, les pincent et le claquent un peu. « C’est pas comme ça qu’on chauffe des nibards de maman, les gars ! » prétend le vieux. Depuis sa position arrière, il prend chacun de mes seins, les écartent puis se met à les claquer très fort l’un contre l’autre. Je fini par lâcher un premier cri. Il s’arrête, glisse une main entre mes cuisses, écarte le triangle de mon string et enfonce son pouce dans ma chatte.

Victorieux, il assène : « Voilà, cette fois elle est mouillée ! Bon Installez la moi, je vais la baiser ! »

Ses acolytes me relèvent et me guident. Ils me poussent de dos vers billard. Mes fesses s’appuyent sur le rebord. Ils prennent une jambe chacun, me soulèvent et me basculent sur le billard. L’un d’eux arrache enfin mon string et apercevant mon anus, glisse à mon entremetteur : « Dis donc, tu lui as crevé l’il mon salaud. Elle a le cul en chou-fleur la miss ! » L’éclat de rire est collectif mais déjà l’énorme papi se vautre sur moi. Il pèse une tonne et m’écrase. Sa main pétris ma vulve et je sens son gland qui cherche l’entrée. Il me pénètre sans mal et il n’est très dur ni très membré. Il s’active en s’essoufflant très vite. Maîtrisant difficilement son souffle, il demande à mon propriétaire du jour : « Au fait, elle veut le ballon celle-là aussi ? » « Non non, pas elle » s’empresse de répondre l’intéressé qui nous bombarde de photo avec son smartphone. « Il n’est pas question de l’engrosser celle-là ; pas comme sa copine blonde ! » « Dommage » grommèle le vieux en caressant mon visage et tentant de me sourire.

Ce que j’entends m’horrifie. Cela est-il possible. Je sais qu’Audrey et son mari ont du mal à mettre un enfant en route mais est-il possible qu’elle est remis sa fécondation à ces butors ?

Le vieux se redresse, son petit sexe sort du mien et son gland violasse crache un foutre jaunâtre sur mon ventre et il s’essuie grossièrement sur ma touffe. On me jette un rouleau de sopalin mais je sens déjà des doigts à nouveau dans ma chatte. Je me redresse sur mes coudes pour m’essuyer et je vois un des 2 blonds me tripoter l’intimité. Il me recule sur le billard et me positionne au milieu du tapis. « Je vais te défoncer salope » s’encourage-t-il. Ses yeux sont effrayants. Il rabat mes genoux sur ma poitrine et enfonce sa queue dans ma chatte sans plus de cérémonie. Violent mais très rapide, tel sera le résumé de cette saillie. Les coups de reins sont d’une grande ardeur. Sa bite est plutôt épaisse mais ma pauvre minette est tellement sollicitée depuis ce matin qu’elle ne s’en plaint même pas. Il me défonce avec force comme il me l’avait promis mais il s’arrête très vite et vient décharger sur mes seins. Il gifle mon visage avec sa queue ramollit et il disparaît. Le second grimpe sur le billard avant de grimper sur moi bien entendu.

J’essuie les souillures du client d’avant mais lui me fait rouler sur un côté. Il veut me prendre ainsi, par derrière, allongés, comme il a sûrement dû le voir dans les films pornos dont il doit se gaver. Je l’aide en donnant mes fesses pour qu’il puisse enfin glisser sa verge dans mon fourreau. Il s’active ainsi dans mon dos. Il est plus membré que son copain mais pas beaucoup plus endurant. Au moins, ses grosses mains jouent sans cesse avec mes bouts de seins et c’est bien la chose la plus agréable. Il se retire de justesse et inonde mon cul. Prit d’assurance il se risque à appuyer son gland sur ma rosette mais le pauvre (c’est ironique) sûrement gagné par le trac débande déjà.

J’ai terminé mon travail de pute me dis-je. Mon mentor n’en a pas perdu une miette. De nouvelles auréoles de sperme et de mouille ornent désormais le billard. Assise sur le rebord, je range mes seins dans mon soutien-gorge, rajuste ma robe et cherche du regard mon string. Je le vois sous une chaise. Je me déplace pour le ramasser mais le patron du bistrot qui rentre à ce moment-là me l’arrache des mains « Ah non ! Ici, on garde les culottes des vide-couilles ma poufiasse ! » Il attache à mon string une petite cordelette ornée d’une étiquette sur laquelle on peut lire la date du jour puis mon prénom et mon âge. Puis, il se dirige vers la poutre de la cheminée du fond de la pièce et y accroche mon dessous. Par curiosité, je parcours l’étendard décoré d’une dizaine de petites culottes et repère vers le milieu un string noir au nom de Patricia, 32ans et en avant dernière position, une culotte en satin blanc étiquetée : Audrey, 32 ans. C’est désormais mon string rouge marqué Myriam, 42 ans qui termine le palmarès.

Un des 2 garçons qui avait disparu après m’avoir honoré, rentre en trombe dans la pièce. « C’est bon Tony, Marie-Jo vient de descendre. Je te tiens le bar. Mets-lui une danse avant qu’elle parte ! » Quand il n’y en a plus ; il y en a encore, me dis-je !

Le fameux Tony se rue sur moi, me jette face contre la table, remonte ma robe sur mes épaules. Il pétrit mes zones sensibles, et il est le seul à chercher mon clitoris. Il me le pince, le frotte. Il a sorti sa queue et la frotte sur mon cul pour la faire durcir. Pour lui faciliter la tâche et le chemin, je monte un pied sur une chaise ouvrant par la même mes fesses. « Oh putain qu’elle est bonne cette négresse ! » étouffe-t-il en cherchant de son gland l’entrée de ma chatte. Il rentre enfin, déballe à nouveau mes seins pour les tâter avec ardeur. Il s’active, me pilonne. Une main glisse à nouveau sous ma chatte par devant et reprend l’énervement de mon bouton. Sans pouvoir rien contrôler et sans l’avoir senti venir, je suis prise d’un orgasme fulgurant. Je n’ose pas crier mais ne peut contenir tous mes gémissements. « Putain, elle jouit la salope les gars ! Regardez la moi se baiser toute seule ! » En effet, c’est ma croupe que je tends et offre de plus belle à chaque coup de rein pour que cette ultime bite de la journée me fasse grimper aux rideaux.

Lui aussi s’extirpe de justesse de mon vagin pour lâcher sa purée sur mon fessier tremblant.

« Tony, magnes-toi, Marie-Jo remonte » prévient le tenancier d’occasion. Tony remballe en vitesse son matériel et va rejoindre son comptoir. J’essuie à nouveau mon cul et range une nouvelle fois mes nibards à leur place.

Je me rajuste tant bien que mal. Mon chaperon m’accompagne dehors et je traverse le bar sous les regards pervers des clients plus nombreux qu’au début (qui ont dû entendre ce qui se passait à côté) et sous le regard affligé de Marie-Jo. Il est 14h et j’ai 20 minutes de route pour rejoindre le bureau. Pas le temps de repasser chez moi. J’enrage.

Il m’adresse une ultime claque sur le cul et son sourire vainqueur me plaît autant qu’il me dégoûte. Quelle matinée éprouvante. Au volant de ma voiture, je fais un rapide bilan en me rendant compte que je suis cul nu pour l’après-midi après m’être faite âprement travailler pendant des heures. Comment ai-je pu prendre du plaisir à cela ? Un texto me sort de ma torpeur. C’est Audrey qui m’annonce fièrement qu’elle est enceinte Quelle salope !

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