Salut c’est votre folle de lycra.
Voilà bien longtemps, je vous avais présenté les trois premiers chapitres d’une histoire. Le quatrième chapitre avait été retoqué, à cause du trop grand nombre de fautes d’orthographe. Cela me contrariait de ne pouvoir vous présenter une suite, j’ai donc juste rajouté "suite" au titre pour vous présenter à nouveau un quatrième chapitre.
J’étais donc caissier dans un hypermarché et j’y avais fait la connaissance d’Élodie une superbe grande blonde aux yeux bleus, elle avait un côté autoritaire et dominatrice qui me plaisait énormément. Rapidement j’avais fait connaissance de Coralie, sa petite sur, mais aussi de Nathalie leur maman. Sa petite sur était toute aussi belle, la maman ne faisait vraiment pas son âge, et elle était vraiment fort désirable. Rapidement Élodie m’a donné l’habitude de porter ses dessous et même certaines de ses robes, je vais vous avouer qu’au début cela me dérangeait énormément, mais finalement c’était très agréable, et cela restait entre nous, en même temps, si je voulais sortir avec elle, je n’avais pas le choix. Très vite la maman est entrée dans notre couple, suivie de Coralie, voilà comment j’ai pris l’habitude de me faire toute belle pendant que je m’occupais de ma chérie, sa sur et sa maman. Grande a été ma surprise, la première fois où ma chérie s’est chargée de me remplir mon issue de secours, car elle en avait constaté une grosse sensibilité lors de ses caresses.
Peu de temps après, c’est Nathalie qui avec un gode à ceinture un peu plus rigide s’est chargée de me soumettre. Le pire c’est que lors de ces deux intromissions, j’ai pris tellement de plaisir que j’ai éjaculé à ces deux occasions. Je peux vous garantir que mon côté viril en avait pris un sacré coup, c’est ainsi que j’avais pris l’habitude de porter des dessous féminins sous mes vêtements civils. Seules ces trois femmes étaient au courant et cela avait plus tendance à me plaire et m’exciter qu’autre chose. Ce jour-là nous étions donc partis faire des courses, les trois femmes étaient très excitées à l’idée de savoir que j’étais secrètement habillé en femme pour aller faire des courses. Nous avons fait les courses tranquillement, avec beaucoup de complicité, à savoir des mains toujours baladeuses de la part de la maman et ma compagne. Quand les filles se sont mises à faire les boutiques, au début, je restais à l’entrée des enseignes et je les regardais essayer les vêtements de loin. J’étais impressionné de voir oh combien la maman et ses filles étaient complices, puis au bout dans un bon quart d’heure dans un magasin, la maman est venue me chercher et je suis rentré avec le chariot que j’ai garé sur le côté.
Elle m’a accompagné jusqu’aux cabines d’essayage, où j’ai fini par retrouver ma chérie, cette dernière m’a invité à venir la rejoindre dans la vaste cabine. Là, à ma grande surprise, j’ai découvert une deuxième femme en dessous, elle avait baissé son tanga. La jeune femme avait l’air sous l’emprise d’Élodie, je n’en ai eu aucun doute, quand cette dernière est venue lui voler un baiser. Ma compagne était en train de rouler une pelle gourmande à une vendeuse du magasin.
— Maintenant Sophie, tu vas sucer mon homme.
— Je veux que tu lui fasses du bien, et que tu y mettes tout ton cur.
Voilà comment Sophie s’est agenouillée devant moi, s’est chargée de me débarrasser de mon pantalon, et libérer mon sexe avant de le prendre en bouche. Sophie n’a pas fait un seul commentaire, quand elle a constaté que je portais un collant fendu, un tanga ainsi qu’une fine et douce longueur robe. C’est Élodie qui s’est chargée de diriger les opérations, en tenant la tête de la vendeuse et donnant le rythme. Régulièrement Sophie me regardait pour s’assurer de mon approbation quant à la qualité de sa prestation. La mission qui lui était confiée n’avait pas l’air de lui déplaire, Élodie savait être douce, câline mais aussi ferme avec elle.
Au bout d’un certain temps, ma chérie a décidé de donner fin à la turlutte que me pratiquait Sophie. Sans trop de ménagement, elle a plaqué sa victime contre la paroi de la cabine et elle m’a invité à venir la pénétrer. J’ai un peu souffert pour Sophie, car la paroi devait être assez fraîche mais elle n’a rien dit. J’ai pris les mains de Sophie, pour les lever au maximum, ses jambes étaient légèrement écartées, juste comme il faut pour que je puisse la pénétrer. C’est Élodie qui a saisi mon sexe, pour aller caresser l’entrée du vagin de ma future partenaire. Mon visage était maintenant face à celui de Sophie, dans son regard je lisais l’envie que je la prenne sauvagement. Son vagin était totalement liquéfié, la main de ma belle était en train d’enduire mon sexe de la cyprine de Sophie. Maintenant que mon sexe était juste à l’entrée du vagin de Sophie, j’ai senti la main poisseuse d’Élodie se glisser à l’arrière de mon pantalon, avant de venir s’accrocher à mes fesses, pour m’inviter à pénétrer ma partenaire. J’avais quand même des scrupules à pénétrer cette vendeuse, qui manifestement ne demandait que ça, mais je pensais au panneau froid de la cabine d’essayage.
Maintenant je m’étais entièrement introduit en Sophie et cela était vraiment très agréable. Suite à une forte pression de la main d’Élodie sur ma tête, je me suis retrouvé à embrasser Sophie pendant que ma chérie s’était mise à lui caresser la poitrine. Le contexte aidant, j’étais hyper excité et manifestement Sophie était dans le même état, du coup elle était très réceptive à mes coups de reins. À chaque fois que je la pénétrais, je sentais son corps qui se relevait, mais sa peau restait collée à la paroi. Maintenant Sophie me tenait dans ses bras, le plus beau c’est qu’elle était en train de me planter ses ongles en haut de mes omoplates. Sophie était en train de se déchaîner, elle me mordait la langue, elle me mordait les lèvres, elle se plaquait contre moi au point d’en immobiliser les mains d’Élodie qui lui massaient les seins.
— Alors Élodie, il la baise la vendeuse.
— Fais attention à ce qu’il ne lui balance pas la purée dans le moule à bébé.
C’est sur ces mots, que j’ai pu constater que la mère d’Élodie était en train de me regarder, alors que je faisais l’amour à une inconnue avec l’approbation de sa fille.
Si je ne devais pas lui balancer ma liqueur dans ses entrailles, il allait falloir rapidement trouver une solution annexe, car je n’en avais plus pour longtemps à résister. Le summum a été quand Nathalie a fait rentrer sa benjamine dans la cabine d’essayage, pour qu’elle prenne le relais de sa grande sur. Les trois femmes avaient participé à cette partie de sexe dans la cabine du magasin. Quand j’ai voulu me retirer pour ne pas éjaculer dans Sophie, c’est Coralie qui a pris les commandes et à fait agenouiller rapidement ma partenaire, pour qu’elle réceptionne toute ma liqueur dans sa bouche. Je réalisai que moi aussi, je n’étais qu’un simple acteur dans cette partie de sexe en public. Je ne savais pas vraiment si l’idée venait d’Élodie ou de Nathalie, toujours est-il que Sophie était en train de me vider de ma semence jusqu’à la dernière goutte.
— Vous allez voir jeune demoiselle, votre journée, vous allez vous en souvenir longtemps.
— Ma fille va vous laisser son numéro, des fois que vous ayez envie que nous nous revoyions.
Sophie m’a sucé jusqu’à ce que cela devienne insoutenable pour moi, puis je l’ai invitée à se relever, et au moment où j’allais l’embrasser, c’est Coralie qui m’a volé sa bouche. Cela a été plus fort qu’elle, Coralie en a profité pour caresser dans les moindres détails le corps de Sophie, avant que cette dernière ne nous quitte. Pendant que j’étais en train de me rhabiller, Nathalie a invité sa benjamine à quitter sa proie et à aider cette dernière à se rhabiller. Une fois que nous étions tous de nouveau présentables, Nathalie s’est permis d’embrasser Sophie avant que cette dernière ne nous quitte.
— Si nous avions eu un peu plus de temps, j’aurais voulu moi aussi m’occuper de vous.
— Mais là, j’avais peur que votre absence se fasse remarquer.
— Je pense que c’est la première fois que vous faites ça, mais mon petit doigt me dit que nous vous avons ouvert de nouveaux horizons sexuels.
Coralie et moi avons quitté la cabine d’essayage et Nathalie est restée quelques instants avec Sophie, alors que nous allions retrouver Élodie dans le magasin.
Nathalie s’est chargée de régler les achats et nous avons quitté le magasin avec un regard complice de Sophie, notre vendeuse. Nous sommes rentrés à la maison en parlant de ce que nous venions de faire dans le magasin avec Sophie. Arrivés à la maison nous avons rangé les courses, j’adorais cette famille. Ce n’est pas que je m’ennuyais mais je voulais quand même rentrer à la maison, pour retrouver mon petit chez moi. J’ai eu le plaisir d’embrasser avec passion la maman et ses filles avant de partir. Bien évidemment je suis rentré à la maison vêtu de dessous féminins, sous mes vêtements de tous les jours, il fallait juste que je fasse attention à ce que cela ne se voie pas quand je rentre chez moi.
— Coucou bel étalon, je peux vous garantir que vous nous manquez déjà.
— Élodie est vraiment très fière de toi, elle a trouvé un bel étalon.
— Coralie est pressée de te revoir aussi.
— Pour ce qui est de moi, je n’arrive pas à me faire au fait que vous viviez de votre côté alors que vous pourriez satisfaire trois femmes désireuses chez nous.
Voilà les SMS que je venais de recevoir en rentrant, mes parents se sont demandé qui m’écrivait avec tant d’insistance, je leur ai répondu que c’était ma chérie à qui je manquais déjà.
— Franck, je n’ai pas eu l’occasion de te le dire, mais maman, Élodie et moi sommes folles de toi.
Décidément, la mère et l’autre fille avaient mon téléphone et ne se privaient pas de m’envoyer des sextos. Manifestement Élodie n’était pas jalouse et de plus, elle était partageuse avec sa sur et sa mère. Quand je suis rentré dans ma chambre, bien évidemment le plus dur a été de ne pas tirer sur l’élastique, car la tenue que je portais ne me laissait toujours pas indifférent.
— Eh ben Franck, ta copine, tu as l’air de déjà lui manquer.
En fait j’ai trouvé la solution pour éviter les commentaires de mes parents, c’est de couper la sonnerie d’arrivée des SMS. Nous venions de manger, j’étais dans ma chambre, je ne voulais pas m’endormir trop tard car j’étais d’ouverture le lendemain matin à huit heures et demie.
Au petit matin, c’est mon téléphone qui m’a réveillé car j’étais encore loin dans mes rêves érotiques. Bien évidemment, j’avais déjà mon lot de sextos de la part de Nathalie, Coralie et Élodie. J’étais surtout épuisé parce que m’avait imposé la famille d’Élodie la veille. Vu que mes dessous sentaient très fort la femme, je n’ai pu me retenir de partir travailler avec. Toute la journée j’ai dû rester concentré sur les articles que je scannais, car j’avais la tête à tout ce que je venais de faire la veille. Je n’ai travaillé que trois heures, car à cette époque nous avions quatre heures de coupure. Je me faisais un plaisir de reprendre le boulot l’après-midi car je savais que j’aurais une heure de travail en commun avec Élodie, la dernière heure. L’astuce était de m’arranger pour avoir mon quart d’heure de pause de l’après-midi, le plus tard possible pour que je puisse voir ma belle arriver. Le plus dur était de ne pas se faire surprendre dans notre complicité, Élodie jouait le jeu à cent pour cent. Donc ce soir-là, j’ai réussi à prendre ma pause juste à l’heure où arrivait ma chérie.
— Alors, mon étalon m’attendait, il était en manque de moi.
— Viens avec moi.
Élodie m’a pris par la main pour m’emmener tout au fond des vestiaires où il y avait un petit recoin. Un peu étonné, je me suis laissé guider. Arrivé là où Élodie le désirait, elle n’a plaqué contre le mur et il ne lui a fallu que quelques instants pour libérer mon sexe. Bien évidemment, de mon côté je me suis retrouvé très rapidement au garde-à-vous, Élodie tenait mon sexe en main. Je ne m’attendais pas à ça, mais ma pause allait être mémorable, Élodie venait de s’agenouiller devant moi. Le risque de me faire surprendre sur mon lieu de travail, dans les vestiaires, par les collègues ou les supérieurs m’excitait énormément. Il y avait des rangées d’armoires métalliques rangées dos à dos et nous étions totalement à l’opposé de l’entrée du vestiaire. Quand je me suis appuyé sur une porte, j’ai constaté que cette dernière était ouverte, nous avons rapidement regardé ce qu’il y avait dedans. C’était un local archives et en même temps de stockage pour les fournitures de caisses.
C’est le sexe à l’air, que je me suis engouffré avec Élodie dans ce petit local. Elle s’est rapidement remise à genoux et a pris mon sexe en bouche pour me pratiquer une fellation d’anthologie. Je ne vais pas dire que j’étais désireux ou en manque, mais j’avais peur que la prestation de ma belle s’avère un peu trop longue et que je dépasse mon temps de pause. Élodie m’a regardé avec un sourire amusé, quand elle a constaté que je portais ses dessous odorants. Pendant qu’elle était en train de me sucer, elle en profitait pour me caresser l’intérieur des cuisses mais aussi la raie des fesses à travers mon pantalon. Compte tenu du timing qui m’était imposé, j’ai fait attention à ne pas me retenir, je savais qu’Élodie ne rechignait pas à tout réceptionner dans la bouche. Vu le contexte, j’ai honte de le dire, mais je n’ai pas été bien long à me vider les burettes, ma belle a bien évidemment veillé à ne pas en gaspiller une goutte. Comme d’habitude elle a continué à m’aspirer le dard encore quelques instants, mais elle a quand même fait attention à respecter le temps qui m’était imparti pour ma pause.
J’ai eu le droit quand même, à un rapide baiser, qui ne m’a même pas permis de sentir le goût de mon sperme. Ma belle est partie se préparer, tandis que moi je redescendais pointer pour reprendre mon service. Le hasard a voulu que la caissière centrale nous mette pratiquement face à face, ainsi je n’avais aucune chance d’oublier ce qu’elle venait de me faire pendant ma pause. Le plus provocant qu’Élodie ait pu me faire durant ma dernière heure de travail pour moi, c’est de jouer avec sa salive, en en faisant sortir juste un peu, puis la faire rentrer rapidement. Nous étions les seuls à pouvoir comprendre cette allusion on ne peut plus obscène, mais cela n’était pas pour me déplaire. J’étais de plus en plus amoureux de cette jeune femme, et de tout ce qui allait avec, à savoir sa maman et sa petite sur. Ce qui m’amusait, c’est que tous les clients mataient ma copine quand ils passaient à sa caisse. Bon, il n’y avait pas que les clients, de nombreux collègues à moi me disaient qu’Élodie devait être bonne, sans savoir qu’elle et moi étions ensemble. Certains, allaient même jusqu’à me donner les détails de comment ils s’occuperaient d’elle.
Quand je les voyais, j’avais plus tendance à sourire qu’autre chose. Au moment où j’allais partir, j’avais fermé ma caisse, un client m’a apporté un petit sac, il venait de passer à la caisse d’Élodie et n’était juste qu’un messager. Je me suis empressé d’ouvrir ce sachet pour constater qu’il s’y trouvait une culotte manifestement bien poisseuse. Je suis devenu tout rouge, mais surtout j’ai rapidement regardé autour de moi en m’assurant que personne ne m’avait vu ouvrir ce sac et surtout en constater le contenu. Heureusement il ne m’a fallu que quelques secondes pour retrouver mon sang-froid et faire comme si de rien n’était. Je suis monté avec ma caisse, et dans l’escalier qui menait à la salle de comptage, j’ai réussi à glisser discrètement le sac odorant dans ma poche. Il fallait que je reste concentré, car on na pas le droit à l’erreur pendant que l’on compte sa caisse où il faut séparer les chèques, l’espèce, les tickets carte bleue, les bons de réduction, les bons d’achat. Une fois l’opération terminée, j’ai rangé ma caisse et je suis descendu pointer, la journée était finie.
Quand je suis retourné au vestiaire je me suis empressé d’ouvrir mon téléphone, il était plein de messages.
— Alors comme ça, ma fille t’a fait un petit plaisir dans les vestiaires.
J’hallucinais, Nathalie était déjà au courant, décidément dans cette famille ça communiquait beaucoup.
— Coucou mon chéri, quand tu liras ce message, ta journée sera finie.
— J’espère que tu as aimé la petite turlutte que je t’ai offerte pendant ta pause.
— Normalement, si tout s’est bien passé, tu devrais avoir dans la poche de ton pantalon, un petit sachet avec une culotte bien juteuse de ma maman.
— Elle voulait te faire une petite surprise.
— Nous étions sûres que tu ne pourrais pas te retenir de la sentir avant de quitter le vestiaire.
— Tu m’en diras des nouvelles.
Quand j’ai ouvert le sachet, en faisant attention à ne pas être vu, je n’ai effectivement pu me retenir de porter la culotte de Nathalie à mes narines. Elle était encore humide, cela a été plus fort que moi, il a fallu que je la lèche pour retrouver ce goût si délicieux de Nathalie.
Après avoir léché l’entrejambe de cette culotte, mon érection était déjà à nouveau présente. En même temps Élodie venait de me vider mon sexe de sa semence une heure trente auparavant.
— Je vous remercie Nathalie pour votre présent, il m’a un peu mis dans l’embarras sur le coup, mais je suis très heureux de pouvoir sentir votre intimité du jour.
Eh oui il fallait que je fasse un petit message de remerciement à la maman d’Élodie, même si cette petite attention avec pour but de me dévergonder toujours un peu plus. À défaut d’avoir l’énergie pour tirer sur l’élastique, je n’ai pas pu me retenir en passant devant les toilettes du boulot en partant, d’aller enfiler la petite culotte, poisseuse et odorante, de belle-maman. J’étais conscient que j’allais sentir la femme désireuse, mais en même temps j’adorais l’odeur de son intimité, comme celles de ses filles. Je suis passé faire de petites courses en magasin, j’en ai profité pour faire un bisou, au loin, à Élodie, pour ne pas attirer l’attention ; j’étais vraiment fou d’elle.
En espérant que cette reprise d’histoire vous plaise autant que celle d’origine.
Gros bisous à vous.