Jétais dans la douche avec Jenny, on avait encore baisé à lintérieur le matin puis on est allé voir les sculptures en sable. Jai pris pleins de photos mais surtout des photos delle avec des précisions sur ses formes. Je la ramenais ensuite chez-elle en lui demandant de ne rien dire à ses parents.
— Non, ils me tueraient puis te tueraient ensuite.
— Ok, bonne soirée alors.
— Tu maimes ?
— Bien entendu.
Elle descendait de ma voiture et je men allais rapidement.
Ma tante, ma mère et ma sur ne savaient aucune quelles étaient toutes mes maîtresses. Mais toutes se demandaient ce quil a bien pu se passer durant ce week-end.
— Tu mas dit que cétait juste un plan cul entre toi et moi, dis-je à ma mère, je peux donc aller voir ailleurs.
— Oui mais cest une cousine à toi etje ne sais pas.
— Tu es bien ma mère toi alors !
Ma sur Lola aussi se posait des questions mais elle je lai rassurée en expliquant que cétait une jeune fille ultra surveillée alors quelle devait samuser et jai assurer que nous navions rien fait.
— Tu parles !
— Ne me crois pas si tu veux, je suis trop bien avec toi que pour penser à aller voir ailleurs.
— C’est vrai?
— Oui, et je ne sais pas comment je vais faire alors que toi tu reprends les cours et que moi je retourne a mon kot. Je ne te verrais plus, je ne verrais plus la famille.
— Je sais…Agnès est déjà partie dans le sien et toi tu pars demain.
— Veux-tu que je te laisse un bon souvenir cette nuit?
— Je prends avec plaisir.
Ma sur m’embrasse avec un vrai plaisir que je lui rends aussi alors qu’elle commence à défaire la tirette de mon pantalon afin de sortir mon sexe qui durcissait en étant tenu par ces mains douces. Ma sur était une experte avec moi et mes plaisirs.
Elle me masturbait avec ses mains tout en me regardant droit dans les yeux. Je ne savais pas regarder autre-chose que ses yeux tant son regard était soutenu. Moi, je sentais arriver le sperme qui allait gicler dans les mains de ma sur qui n’attendait que cette arrivée de liquide chaud.
— Tu aimes?
— J’adore.
— Merci.
Mon liquide chaud était dans ses mains maintenant et elle devait s’en débarrasser, elle se dirigeait vers l’évier pour le faire disparaitre avec de l’eau mais je la retins.
— Non, dis-je, tu as un vagin pour cela.
— Mais…
— Mais quoi? On ne se protège jamais d’habitude.
— Je sais mais je prends la pilule depuis qu’on couche ensemble…
— Oh vraiment?
— Oui.
— Tu devrais arrêter maintenant que nous avons un couple stable.
— Tu veux que j’arrête?
— Oui, je le souhaite.
Elle m’embrasse puis le met dans le vagin avant de s’en aller et me laisser seul dans la cuisine avant que ma mère ne débarque à son tour, rentrant du boulot.
— Coucou maman.
— Bonjour mon chéri.
Elle m’embrasse sur les lèvres.
— Tu as passé une bonne journée? me demande-t-elle ensuite.
— La dernière avant de repartir en kot.
— Je sais. Je suis triste aussi.
— On ne se verra que les week-ends, se lamenta ma mère. Ta queux va me manquer en semaine et on aura trop peu de temps pendant le week-end. Avoir Lola est bien mais elle est assez autonome maintenant.
— On dirait que tu veux un enfant toi.
— Oh je suis trop vieille pour avoir un autre enfant.
— Des femmes en ont eu en étant plus âgée que toi.
— Je le sais bienmais bon.
— Tu prends la pilule aussi ?
— Oui.
— Si tu veux larrêter, je te le ferais moi cet enfant.
A ces mots, ma mère me regarde en écarquillant les yeux
Jembarque mes affaires dans la voiture, il faut que je nai quà démarrer demain matin pour partir à mon kot. Javais une dernière nuit à passer avec Lola mais elle ne mintéressait pas finalement, cette nuit serait une nuit de sexe sans plus, aucune chance de la mettre en cloque. Mais il fallait bien le faire pour massurer une place dans son lit la prochaine fois pour assouvir mon besoin.
Je sais que vous attendez cette dernière nuit de vacance où je vous décrirais avec passion la façon dont jai défoncé ma sur. Je lai fait mais je ne vous en parlerais pas, il ny a eu rien de plus que les fois précédentes, on a bel et bien couché ensemble dans son lit quon a mouillé et nous avons réussi à le faire sans réveiller notre mère. Mais ne soyez pas frustré car je vous parlerais de beaucoup mieux dans peu de temps. Je me permets juste de vous de vous dire que je suis passé voir ma sur Agnès dans son kot à elle. Elle m’ouvrit la porte assez rapidement.
— Oh c’est toi, dit-elle.
— Cache ta joie, dis-je.
— Désolée mais ce n’est pas facile de m’installer.
— Un coup de main?
— Je ne sais pas, tu vas encore vouloir me sauter.
— Je le veux toujours.
— Alors, va te faire enculer et ne viens plus me parler!
Elle voulu me claquer la porte au nez mais je plaçais mon pied.
— Attends! dis-je. Tu me prends pour un pervers mais tu es loin du compte.
(Enfin, pas vraiment non?)
— Je te plais hein? C’est ce que tu veux?
Elle levait son chemisier et je voyais son soutien-gorge rouge.
— Et bien tu n’auras rien!
Elle abaisse son chemisier et je la laisse claquer la porte.
— Et merde…dis-je.
Je gardais contact avec Lola, Eva et ma mère via le net et les sms. J’en envoyais aussi quelques-uns à Jenny qui semblait aller très bien. Ma belle-mère ne m’envoyait aucun message et je me fichais de ce qu’elle faisait. J’ai du un peu faire ceinture car je devais attendre leur ovulation pour pouvoir faire quelque-chose de convenable. Et ce week-end magique vint avec bonheur pour moi. Ni ma mère ni ma sur nétaient sous les effets de la pilule. Ma mère était partie dormir le vendredi soir car son travail l’avait fatiguée et Agnès ne reviendrait que demain. J’avais donc ma Lola pour moi tout seul pour en faire ce que je voulais. Je commençais par la toucher gentiment le long du corps en lui retirant quelques vêtements au passage. Elle était partiellement dénudée quand je me suis demandé ce que je pourrais faire pour un peu stimuler notre relation au lieu de coucher classiquement. Mais que faire? J’étais à court d’idée mais j’avoue qu’un événement vint changer les choses :
— Mais qu’est-ce que c’est que ça?!
Ma sur et moi nous nous tournions vers la personne qui venait de parler et qui était ma mère bien entendu. Lola n’avait pas gémi mais c’était juste que ma mère devait descendre dans doute pour boire. Je n’ai pas pensé qu’elle pouvait descendre à tout instant, trop excité par lenvie de sauter ma sur.
— Mamandit cette dernière.
— Alors tu couches avec ta sur ? fit ma mère.
— Et alors ? On couche ensemble toi et moi.
— Je te demande pardon ? sétonna Lola.
— Toi ce nest pas un plan cul et elle si, expliquais-je.
— Un plan cul ? répéta Lola. Notre mère est un plan cul ? Et Agnès ?
— Je ne couche pas avec notre sur. Juste toi et notre mère. Oh ça va vous deux, on couche ensemble et alors ? Cest notre mère et, maman, tu las dit toi-même tu es un plan cul sans plus.
— Sans plus et tu mas demandé daccepter davoir un enfant de toi, rappela ma mère.
— Et moi aussi ! fit Lola.
— Et alors ? Rien nempêche que je le fasse aux deux. Vous en voulez toujours ou non ? Parce quon pourrait bien samuser cette nuit, tous les trois.
Ma mère et ma sur me regardaient avant de se regarder. Cétait un coup de poker à jouer nest-ce pas ? Elles nallaient pas sengueuler mutuellement pour jalousie, ce serait étrange. Ma mère fini descendre les marches pour sapprocher de nous et regardait ma sur. Les deux femmes se regardaient avec intensité avant de sembrasser. Très rapidement, elles se sont tournées vers moi pour commencer à me lécher le sexe, un coté chacune et je navais jamais vécu cela. Ma mère sapprocha ensuite de moi alors que je mallongeais dans le divan. Ma sur samusait avec ma queux alors que moi je mamuser avec les seins de maman. Cétait si bonje navais jamais vécu une expérience à trois.
Javais le vagin de ma sur en bouche et ma mère se faisait pénétrer. Les deux femmes sembrassaient. Jétais couvert de liquide séminal car ma sur et ma mère étaient de vraies fontaines, plus maman que Lola mais tout de même. Moi jessayais le plus possible déquilibrer les pénétrations entre ma sur et ma mère pour quelles aient autant de mon sperme en elles. Cétait si bon sans vouloir vexer ma mère, je préférais le corps de ma sur, un peu plus jeune mais elle était belle tout de même. La meilleure des mamans du monde. La plus belle des mamans et la plus belle des surs du monde. Je faisais de mon mieux pour mappliquer à leur faire plaisir et me faire plaisir, cétait si bon de les toucher en même temps, de me faire toucher par quatre mains douces, davoir le vagin dune en bouche tout en pénétrant lautre en sentant mon sperme qui entrait en elle. Nous concevions nos enfants, elles seraient enceintes en même temps et vivraient cela ensembles tout en couchant lune avec lautre sans doute.
— Je vous aime mes femmes, que je vous aime toutes les deux!
J’embrasse en premier ma mère puis ma sur avant qu’elles ne s’embrassent.
— Je veux que cela recommence encore, dit Lola, un bon truc a trois c’est merveilleux…
— Mais celui de maintenant n’est pas encore fini, dis-je, j’ai encore de l’énergie.
Je les retourne toutes les deux et je les mets une sur l’autre, emplies. Je mets mon sexe dans une puis dans l’autre et je partage encore entre les deux femmes un ultime jet de sperme. Je les veux enceintes en même temps, ce serait parfait.
Ma sur, qui est en-dessous, se retourne pour faire face à notre mère pour s’embrasser.
Mon corps était fatigué maintenant et je m’allongeais devant moi. Avec ma sur, on prenait ma mère en sandwich et on s’endormit là, tous les trois.
C’est vers neuf heures du matin que nous nous sommes réveillés à cause de la porte d’entrée qui s’ouvrait. Agnès entrait avec sa valise et tomba sur sa famille, nue dans le divan et elle se figea, étonnée.
— Quest-ce que ?
— Bonjour, dis-je, tu viens nous rejoindre ?